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A’Salfo Crée Une Nouvelle Société Et Noue Un Partenariat Avec Le Bbda - Célébrités - Ivoireland

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RomeoIvoire RomeoIvoire le 2 juin à 19:37

L'industrie musicale africaine est sur le point de connaître une transformation majeure grâce à l'initiative d'A’Salfo, le charismatique lead-vocal du célèbre groupe ivoirien Magic System. Lors de la 16ème édition du Festival des Musiques Urbaines d'Anoumabo (FEMUA), un partenariat stratégique a été scellé entre la nouvelle société de l'artiste, GMC-SA, et le Bureau Burkinabè du Droit d'Auteur (BBDA). Cette collaboration promet de révolutionner la gestion des droits d'auteur en Afrique grâce à une technologie innovante.

Une Vision Innovante pour l'Industrie Musicale


A’Salfo a mûri cette vision pendant deux ans, déterminé à apporter une solution technologique avancée à l'industrie musicale africaine. La création de GMC-SA, société dédiée à cette cause, est le fruit de ce travail acharné. Le chanteur n'a pas laissé au hasard la gestion de ce projet ambitieux. En obtenant un Master en Global Executive Management de HEC Paris, il s'est préparé à naviguer les défis du monde des affaires culturelles avec compétence et assurance.

GMC-SA se distingue par une technologie de récupération automatisée des programmes diffusés dans les espaces publics. Cette innovation permettra d'identifier avec précision les œuvres musicales jouées dans des lieux tels que les bars, maquis, radios et télévisions. En temps réel, les objets connectés installés dans ces lieux transféreront les détails des phonogrammes vers un serveur dédié. Cette collecte minutieuse vise à optimiser la répartition des droits d'auteur, garantissant une rémunération équitable pour les créateurs.

Le FEMUA, événement incontournable de la scène musicale africaine, a été le théâtre de la signature de ce partenariat historique. Le 17 mai 2024, A’Salfo et Hamed dit Patindeda Patric Lega, directeur général du BBDA, ont officialisé leur collaboration. Cette alliance symbolise un engagement commun pour l'amélioration des conditions de travail des artistes et la protection de leurs droits.

L’annonce de ce partenariat a été accueillie avec enthousiasme. A’Salfo a partagé la nouvelle sur sa page Facebook, déclenchant une avalanche de félicitations et d’encouragements. "Aujourd'hui, la révolution est en marche. Une nouvelle société technologique, GMC-SA, dédiée à l’industrie musicale africaine, a été créée. Nous avons franchi une étape clé avec la signature d’un partenariat avec le Bureau Burkinabè du Droit d’Auteur (BBDA) lors du FEMUA 16," a-t-il écrit. Cette déclaration a résonné fortement parmi les professionnels de la musique et les fans.

Les Enjeux de la Technologie dans l’Industrie Musicale


L'initiative de GMC-SA vise à résoudre un problème majeur : la répartition équitable des droits d'auteur. En Afrique, où la piraterie et les diffusions non déclarées sont courantes, cette technologie offre une solution viable pour assurer que les créateurs soient justement rémunérés pour leur travail. L’installation d’objets connectés dans les espaces publics marque un tournant décisif. Ces dispositifs permettront de suivre précisément l'utilisation des œuvres musicales, réduisant ainsi les pertes de revenus pour les artistes. Cette transparence renforcera la confiance des créateurs envers les systèmes de gestion collective des droits d’auteur.

A’Salfo n’est pas seulement un musicien talentueux ; il est aussi un leader visionnaire. Son parcours, depuis les débuts modestes de Magic System jusqu'à la création de GMC-SA, illustre une détermination à innover et à améliorer l'industrie musicale africaine. Son diplôme de HEC Paris témoigne de son engagement à se former pour mieux gérer les défis auxquels il est confronté. Magic System, groupe phare du mouvement Zouglou, a toujours été à l'avant-garde de la scène musicale ivoirienne et africaine. Leur succès international a pavé la voie à de nombreux artistes et a montré que la musique africaine pouvait conquérir le monde. Avec GMC-SA, A’Salfo poursuit cette tradition d'innovation et de leadership.

Le partenariat avec le BBDA est probablement le premier d’une série de collaborations. A’Salfo envisage déjà d'étendre cette technologie à d'autres pays africains, créant ainsi un réseau solide pour la gestion des droits d'auteur sur le continent. Des protocoles d’accord similaires pourraient être signés avec d’autres organismes de gestion collective, renforçant encore l’impact de cette initiative. L'impact de GMC-SA pourrait s'étendre au-delà de la musique. D'autres secteurs de l'industrie créative, tels que le cinéma et les arts visuels, pourraient également bénéficier de cette technologie. En facilitant la collecte et la répartition des droits, GMC-SA pourrait devenir un modèle pour d’autres industries créatives.

La création de GMC-SA par A’Salfo et le partenariat avec le BBDA marquent un tournant pour l’industrie musicale africaine. Cette initiative promet non seulement de protéger les droits des artistes mais aussi de transformer la manière dont la musique est gérée et consommée sur le continent. Cependant, une question demeure : comment cette technologie influencera-t-elle à long terme la dynamique de l'industrie musicale et créative en Afrique, et quels nouveaux défis devront être surmontés pour maximiser son potentiel?

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Image de Célébrités. L'industrie musicale africaine est sur le point de connaître une transformation majeure grâce à l'initiative d'A’Salfo, le charismatique lead-vocal du célèbre groupe ivoirien Magic System. Lors de la 16ème édition du Festival des Musiques Urbaines d'Anoumabo (FEMUA), un partenariat stratégique a été scellé entre la nouvelle société de l'artiste, GMC-SA, et le Bureau Burkinabè du Droit d'Auteur (BBDA). Cette collaboration promet de révolutionner la gestion des droits d'auteur en Afrique grâce à une technologie innovante. Une Vision Innovante pour l'Industrie Musicale A’Salfo a mûri cette vision pendant deux ans, déterminé à apporter une solution technologique avancée à l'industrie musicale africaine. La création de GMC-SA, société dédiée à cette cause, est le fruit de ce travail acharné. Le chanteur n'a pas laissé au hasard la gestion de ce projet ambitieux. En obtenant un Master en Global Executive Management de HEC Paris, il s'est préparé à naviguer les défis du monde des affaires culturelles avec compétence et assurance. GMC-SA se distingue par une technologie de récupération automatisée des programmes diffusés dans les espaces publics. Cette innovation permettra d'identifier avec précision les œuvres musicales jouées dans des lieux tels que les bars, maquis, radios et télévisions. En temps réel, les objets connectés installés dans ces lieux transféreront les détails des phonogrammes vers un serveur dédié. Cette collecte minutieuse vise à optimiser la répartition des droits d'auteur, garantissant une rémunération équitable pour les créateurs. Le FEMUA, événement incontournable de la scène musicale africaine, a été le théâtre de la signature de ce partenariat historique. Le 17 mai 2024, A’Salfo et Hamed dit Patindeda Patric Lega, directeur général du BBDA, ont officialisé leur collaboration. Cette alliance symbolise un engagement commun pour l'amélioration des conditions de travail des artistes et la protection de leurs droits. L’annonce de ce partenariat a été accueillie avec enthousiasme. A’Salfo a partagé la nouvelle sur sa page Facebook, déclenchant une avalanche de félicitations et d’encouragements. "Aujourd'hui, la révolution est en marche. Une nouvelle société technologique, GMC-SA, dédiée à l’industrie musicale africaine, a été créée. Nous avons franchi une étape clé avec la signature d’un partenariat avec le Bureau Burkinabè du Droit d’Auteur (BBDA) lors du FEMUA 16," a-t-il écrit. Cette déclaration a résonné fortement parmi les professionnels de la musique et les fans. Les Enjeux de la Technologie dans l’Industrie Musicale L'initiative de GMC-SA vise à résoudre un problème majeur : la répartition équitable des droits d'auteur. En Afrique, où la piraterie et les diffusions non déclarées sont courantes, cette technologie offre une solution viable pour assurer que les créateurs soient justement rémunérés pour leur travail. L’installation d’objets connectés dans les espaces publics marque un tournant décisif. Ces dispositifs permettront de suivre précisément l'utilisation des œuvres musicales, réduisant ainsi les pertes de revenus pour les artistes. Cette transparence renforcera la confiance des créateurs envers les systèmes de gestion collective des droits d’auteur. A’Salfo n’est pas seulement un musicien talentueux ; il est aussi un leader visionnaire. Son parcours, depuis les débuts modestes de Magic System jusqu'à la création de GMC-SA, illustre une détermination à innover et à améliorer l'industrie musicale africaine. Son diplôme de HEC Paris témoigne de son engagement à se former pour mieux gérer les défis auxquels il est confronté. Magic System, groupe phare du mouvement Zouglou, a toujours été à l'avant-garde de la scène musicale ivoirienne et africaine. Leur succès international a pavé la voie à de nombreux artistes et a montré que la musique africaine pouvait conquérir le monde. Avec GMC-SA, A’Salfo poursuit cette tradition d'innovation et de leadership. Le partenariat avec le BBDA est probablement le premier d’une série de collaborations. A’Salfo envisage déjà d'étendre cette technologie à d'autres pays africains, créant ainsi un réseau solide pour la gestion des droits d'auteur sur le continent. Des protocoles d’accord similaires pourraient être signés avec d’autres organismes de gestion collective, renforçant encore l’impact de cette initiative. L'impact de GMC-SA pourrait s'étendre au-delà de la musique. D'autres secteurs de l'industrie créative, tels que le cinéma et les arts visuels, pourraient également bénéficier de cette technologie. En facilitant la collecte et la répartition des droits, GMC-SA pourrait devenir un modèle pour d’autres industries créatives. La création de GMC-SA par A’Salfo et le partenariat avec le BBDA marquent un tournant pour l’industrie musicale africaine. Cette initiative promet non seulement de protéger les droits des artistes mais aussi de transformer la manière dont la musique est gérée et consommée sur le continent. Cependant, une question demeure : comment cette technologie influencera-t-elle à long terme la dynamique de l'industrie musicale et créative en Afrique, et quels nouveaux défis devront être surmontés pour maximiser son potentiel?

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