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Date: Lundi, 16 Septembre 2024 à 20:18 / Besoin d'aide

Côte d'Ivoire: Gels d'Avoirs De 29 Personnes Pour "Faits De Terrorisme" - Faits Divers - Ivoireland

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RomeoIvoire RomeoIvoire le 31 août à 20:12

La lutte contre le terrorisme en Côte d'Ivoire prend une nouvelle tournure avec l'annonce récente du gel des avoirs de 29 personnes, accusées de participation à des activités terroristes. Cette mesure, inscrite dans l'arrêté N°0720/MFB/CAB du 22 août 2024, reflète la détermination des autorités ivoiriennes à intensifier leurs efforts pour combattre le terrorisme et assurer la sécurité nationale. Parmi les personnes visées figurent 15 Burkinabè, 7 Ivoiriens, 5 Maliens, 1 Gambien et 1 Mauritanien, impliqués à divers degrés dans des activités terroristes. Ces sanctions illustrent une volonté accrue de coopérer avec les partenaires internationaux pour contrer les menaces terroristes qui pèsent sur la région.

Une Réponse aux Menaces Croissantes de Terrorisme


L'arrêté du ministre des Finances et du Budget de la Côte d'Ivoire, daté du 22 août 2024, inscrit 29 personnes sur la liste nationale des sanctions et gel des avoirs, en réponse à leur implication présumée dans des activités terroristes. Ce document, intitulé "Arrêté N°0720/MFB/CAB", a été publié pour appliquer plusieurs résolutions internationales et dispositions nationales, dont la résolution 1373 (2001) du Conseil de sécurité des Nations Unies et divers articles d'ordonnances et de décrets nationaux. Cette décision intervient dans un contexte de renforcement des mesures de sécurité en Côte d'Ivoire, un pays déterminé à protéger son territoire et ses citoyens contre les menaces terroristes.

L’arrêté se fonde sur un ensemble de textes juridiques à la fois nationaux et internationaux pour justifier le gel des avoirs des personnes accusées de terrorisme. Parmi ces textes, la résolution 1373 (2001) du Conseil de sécurité de l'ONU, qui exige que tous les États membres prennent des mesures pour prévenir et réprimer le financement du terrorisme, y compris le gel des fonds et autres ressources économiques des personnes impliquées dans des actes de terrorisme. En Côte d'Ivoire, cette directive internationale est renforcée par des textes locaux comme l'ordonnance N°2023-875 du 23 novembre 2023, le décret N°2024-216 du 17 avril 2024, et l'arrêté N°0487/MFB/CAB du 07 juin 2024, qui définissent les modalités d'application de ces sanctions.

Les 29 personnes inscrites sur cette liste sont accusées d'une variété d'activités liées au terrorisme. Certaines d'entre elles sont soupçonnées de financement du terrorisme, une activité qui consiste à fournir des fonds ou des ressources pour soutenir des actions terroristes. D'autres ont été inculpées pour participation directe à des actes terroristes ou pour appartenance à des associations de malfaiteurs à caractère terroriste. Dans certains cas, ces individus sont accusés d'avoir pris part à des complots ou ententes visant à préparer ou commettre des attaques terroristes. Ces inculpations reflètent la diversité des menaces auxquelles la Côte d'Ivoire et ses voisins sont confrontés, et la complexité des réseaux terroristes dans la région.


https://www.youtube.com/watch?v=2U3ubtxgEcA

Des Résidents de la Côte d'Ivoire Parmi les Accusés


Il est important de noter que la plupart des personnes inscrites sur cette liste de sanctions résident habituellement en Côte d'Ivoire. Cela soulève des questions sur l'ampleur de la menace terroriste à l'intérieur des frontières ivoiriennes et souligne l'importance de renforcer les mesures de sécurité intérieure. « Nous devons rester vigilants et collaborer étroitement avec nos partenaires internationaux pour débusquer et neutraliser les menaces potentielles », a déclaré un haut responsable du gouvernement ivoirien sous couvert d'anonymat. Cette déclaration reflète la prise de conscience croissante que la lutte contre le terrorisme ne peut être menée de manière isolée, mais nécessite une approche collaborative et intégrée.

Selon l'article 2 de l'arrêté, "les biens des personnes mentionnées à l'article 1er du présent arrêté sont gelés pour une période de six mois renouvelables". Cette mesure vise à empêcher toute utilisation des fonds ou des ressources financières par les accusés pour soutenir des activités terroristes. En outre, l'article 3 stipule qu'il est interdit à toute personne sur le territoire ivoirien de fournir, directement ou indirectement, des biens, fonds, ou autres ressources financières aux individus concernés. Ces dispositions, bien que strictes, sont jugées nécessaires pour limiter les capacités des terroristes présumés à organiser ou financer des activités dangereuses.

Cette initiative de la Côte d'Ivoire s'inscrit dans un contexte plus large de coopération régionale et internationale contre le terrorisme. La présence de ressortissants de plusieurs pays de la sous-région (Burkina Faso, Mali, Gambie, Mauritanie) parmi les personnes sanctionnées démontre l'importance d'une collaboration transfrontalière accrue. Les groupes terroristes opérant en Afrique de l'Ouest ont souvent exploité les frontières poreuses et les faiblesses institutionnelles pour mener leurs activités. En réponse, les pays de la région intensifient leurs efforts pour partager des renseignements, coordonner les actions de sécurité et geler les avoirs des individus et entités impliqués dans le terrorisme.

Alors que la Côte d'Ivoire continue de renforcer ses mesures de sécurité et de lutte contre le terrorisme, une question demeure : ces sanctions et le gel des avoirs suffiront-ils à dissuader les activités terroristes sur son sol et dans la région ? La coopération internationale, le partage d’informations et les efforts concertés seront-ils suffisants pour contenir la menace terroriste qui pèse sur l'Afrique de l'Ouest ?

Dans ce contexte de menaces terroristes persistantes et évolutives, quelle sera la prochaine étape pour la Côte d'Ivoire et ses partenaires régionaux pour garantir la sécurité et la stabilité à long terme ?

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Image de Faits Divers. La lutte contre le terrorisme en Côte d'Ivoire prend une nouvelle tournure avec l'annonce récente du gel des avoirs de 29 personnes, accusées de participation à des activités terroristes. Cette mesure, inscrite dans l'arrêté N°0720/MFB/CAB du 22 août 2024, reflète la détermination des autorités ivoiriennes à intensifier leurs efforts pour combattre le terrorisme et assurer la sécurité nationale. Parmi les personnes visées figurent 15 Burkinabè, 7 Ivoiriens, 5 Maliens, 1 Gambien et 1 Mauritanien, impliqués à divers degrés dans des activités terroristes. Ces sanctions illustrent une volonté accrue de coopérer avec les partenaires internationaux pour contrer les menaces terroristes qui pèsent sur la région. Une Réponse aux Menaces Croissantes de Terrorisme L'arrêté du ministre des Finances et du Budget de la Côte d'Ivoire, daté du 22 août 2024, inscrit 29 personnes sur la liste nationale des sanctions et gel des avoirs, en réponse à leur implication présumée dans des activités terroristes. Ce document, intitulé "Arrêté N°0720/MFB/CAB", a été publié pour appliquer plusieurs résolutions internationales et dispositions nationales, dont la résolution 1373 (2001) du Conseil de sécurité des Nations Unies et divers articles d'ordonnances et de décrets nationaux. Cette décision intervient dans un contexte de renforcement des mesures de sécurité en Côte d'Ivoire, un pays déterminé à protéger son territoire et ses citoyens contre les menaces terroristes. L’arrêté se fonde sur un ensemble de textes juridiques à la fois nationaux et internationaux pour justifier le gel des avoirs des personnes accusées de terrorisme. Parmi ces textes, la résolution 1373 (2001) du Conseil de sécurité de l'ONU, qui exige que tous les États membres prennent des mesures pour prévenir et réprimer le financement du terrorisme, y compris le gel des fonds et autres ressources économiques des personnes impliquées dans des actes de terrorisme. En Côte d'Ivoire, cette directive internationale est renforcée par des textes locaux comme l'ordonnance N°2023-875 du 23 novembre 2023, le décret N°2024-216 du 17 avril 2024, et l'arrêté N°0487/MFB/CAB du 07 juin 2024, qui définissent les modalités d'application de ces sanctions. Les 29 personnes inscrites sur cette liste sont accusées d'une variété d'activités liées au terrorisme. Certaines d'entre elles sont soupçonnées de financement du terrorisme, une activité qui consiste à fournir des fonds ou des ressources pour soutenir des actions terroristes. D'autres ont été inculpées pour participation directe à des actes terroristes ou pour appartenance à des associations de malfaiteurs à caractère terroriste. Dans certains cas, ces individus sont accusés d'avoir pris part à des complots ou ententes visant à préparer ou commettre des attaques terroristes. Ces inculpations reflètent la diversité des menaces auxquelles la Côte d'Ivoire et ses voisins sont confrontés, et la complexité des réseaux terroristes dans la région. Des Résidents de la Côte d'Ivoire Parmi les Accusés Il est important de noter que la plupart des personnes inscrites sur cette liste de sanctions résident habituellement en Côte d'Ivoire. Cela soulève des questions sur l'ampleur de la menace terroriste à l'intérieur des frontières ivoiriennes et souligne l'importance de renforcer les mesures de sécurité intérieure. « Nous devons rester vigilants et collaborer étroitement avec nos partenaires internationaux pour débusquer et neutraliser les menaces potentielles », a déclaré un haut responsable du gouvernement ivoirien sous couvert d'anonymat. Cette déclaration reflète la prise de conscience croissante que la lutte contre le terrorisme ne peut être menée de manière isolée, mais nécessite une approche collaborative et intégrée. Selon l'article 2 de l'arrêté, "les biens des personnes mentionnées à l'article 1er du présent arrêté sont gelés pour une période de six mois renouvelables". Cette mesure vise à empêcher toute utilisation des fonds ou des ressources financières par les accusés pour soutenir des activités terroristes. En outre, l'article 3 stipule qu'il est interdit à toute personne sur le territoire ivoirien de fournir, directement ou indirectement, des biens, fonds, ou autres ressources financières aux individus concernés. Ces dispositions, bien que strictes, sont jugées nécessaires pour limiter les capacités des terroristes présumés à organiser ou financer des activités dangereuses. Cette initiative de la Côte d'Ivoire s'inscrit dans un contexte plus large de coopération régionale et internationale contre le terrorisme. La présence de ressortissants de plusieurs pays de la sous-région (Burkina Faso, Mali, Gambie, Mauritanie) parmi les personnes sanctionnées démontre l'importance d'une collaboration transfrontalière accrue. Les groupes terroristes opérant en Afrique de l'Ouest ont souvent exploité les frontières poreuses et les faiblesses institutionnelles pour mener leurs activités. En réponse, les pays de la région intensifient leurs efforts pour partager des renseignements, coordonner les actions de sécurité et geler les avoirs des individus et entités impliqués dans le terrorisme. Alors que la Côte d'Ivoire continue de renforcer ses mesures de sécurité et de lutte contre le terrorisme, une question demeure : ces sanctions et le gel des avoirs suffiront-ils à dissuader les activités terroristes sur son sol et dans la région ? La coopération internationale, le partage d’informations et les efforts concertés seront-ils suffisants pour contenir la menace terroriste qui pèse sur l'Afrique de l'Ouest ? Dans ce contexte de menaces terroristes persistantes et évolutives, quelle sera la prochaine étape pour la Côte d'Ivoire et ses partenaires régionaux pour garantir la sécurité et la stabilité à long terme ?

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