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Du Nouveau Sur Debordo Leekunfa Et La Polémique Autour Du Remix De "Viviane" - Musique/Radio - Ivoireland

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"Musique: Debordo Met Un Terme Définitif À Sa Collaboration Avec 'Viviane'" / Debordo Leekunfa Déroute Ses Fans Avec Une Mystérieuse "Prophétie" / Polémique En Ligne Autour Du Single d’Or ‘’Coup Du Marteau’’ De Tamsir (2) (3) (4)

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RomeoIvoire RomeoIvoire le 12 octobre à 15:42

Le chanteur ivoirien Debordo Leekunfa se retrouve au cœur d'une polémique grandissante sur les réseaux sociaux depuis quelques jours. Son projet de remix de la chanson « Viviane » de l'artiste camerounais Prince Aimé a provoqué une véritable onde de choc sur la toile, opposant artistes camerounais et fans ivoiriens. Alors que les discussions battent leur plein, Debordo a décidé de partager sa position sur l'affaire, entre humour et déclaration de paix.

Le déclencheur de la polémique : le remix de "Viviane"


Tout a commencé avec l'annonce de Debordo Leekunfa concernant le remix de « Viviane », une chanson de l'artiste camerounais Prince Aimé qui a connu un certain succès dans les deux pays. Le projet semblait prometteur, offrant une nouvelle version d'une chanson aimée par beaucoup. Cependant, cette initiative n'a pas tardé à susciter une levée de boucliers du côté des artistes camerounais. Nombre d'entre eux se sont réunis pour travailler sur un projet similaire, cherchant peut-être à contrer ou à préserver l'esprit original de la chanson.

Cette réaction collective a rapidement fait écho sur les réseaux sociaux, suscitant des débats passionnés entre fans ivoiriens et camerounais. Les uns défendaient le droit de Debordo de réinventer « Viviane », tandis que d'autres considéraient cela comme une dépossession culturelle d'une œuvre emblématique de la musique camerounaise. Face à ce tumulte, une partie du public ivoirien a commencé à demander à Debordo de renoncer au remix de « Viviane », lui conseillant de se concentrer sur un autre projet : « Djeneba », un freestyle qui suscite déjà beaucoup d'engouement.

Invité sur Life Radio, Debordo Leekunfa a abordé le sujet avec franchise, n'hésitant pas à manier l'humour pour atténuer les tensions. « Le remix de Viviane est déjà prêt. Mais les parents de Viviane sont tellement compliqués. En attendant que les choses se calment, nous irons voir les parents de Djeneba », a-t-il déclaré en riant. Par cette phrase, il laissait entendre que le projet « Viviane » n'était pas abandonné, mais simplement mis en suspens, le temps que les tensions autour du titre retombent.

Debordo a ensuite évoqué la relation spéciale qu'il entretient avec le personnage de « Djeneba », qu'il décrit comme une fille dont l'attention et la douceur ont été sources d'émotions intenses. « Les filles comme Djeneba sont du genre de filles dont l'attention, la façon de prendre un homme, font pleurer. On est tellement fier de côtoyer ce genre de fille qu'on en verse des larmes », a-t-il ajouté. Il s'agissait là d'un hommage appuyé à ces femmes attentionnées, qui marquent par leur gentillesse et leur présence. Cette déclaration n'était pas sans rappeler son envie de maintenir des liens de fraternité entre les différentes régions de la Côte d'Ivoire, notamment entre les Bété et les Dioula.

Relations intercommunautaires : le discours de réconciliation de Debordo


Debordo Leekunfa a profité de cette interview pour aborder la question des relations entre les différentes communautés de la Côte d'Ivoire. Il a mentionné la relation harmonieuse entre les Bété et les Dioula, deux communautés souvent présentées comme ayant des différences culturelles significatives, mais qui, selon lui, se sont toujours bien entendues sur le plan humain. Il a cité l'exemple du président Laurent Gbagbo, qui a épousé Nady Bamba, une femme issue de la communauté Dioula, pour illustrer son propos. « Si le président Laurent Gbagbo a épousé une Bamba, nous autres ne pouvons que le suivre. Même s'il va encore prendre au Cameroun, on ira aussi là-bas », a-t-il ajouté avec humour.

Cette intervention visait également à atténuer la tension autour du projet de remix de « Viviane », en rappelant que la musique, comme l'amour, devrait être un vecteur de rapprochement et non de division. En évoquant cette union intercommunautaire et en adoptant un ton décontracté, Debordo souhaitait apaiser les esprits et renforcer l'idée d'une culture musicale partagée par tous, sans barrières ethniques ni frontières.

Malgré la polémique qui entoure le remix de « Viviane », Debordo Leekunfa a affirmé que la chanson sortirait bientôt, pour le plus grand plaisir des mélomanes. « Le remix de Viviane sortira dans les prochains jours », a-t-il déclaré, affichant ainsi sa détermination à mener ce projet à bien. Mais alors que les artistes camerounais semblaient fermement opposés au projet, certains d'entre eux ont commencé à se rallier, laissant entrevoir une éventuelle réconciliation.

Ce revirement de situation a surpris plus d'un observateur. La rapidité avec laquelle les tensions se sont apaisées, après des jours de débats houleux sur les réseaux sociaux, montre la nature fluctuante des opinions dans l'univers musical. Cette situation est également emblématique de l'influence des fans et des artistes sur les décisions créatives, rendant la dynamique de l'industrie musicale aussi imprévisible que passionnante.

Cette affaire illustre également la dimension communautaire qui caractérise la musique en Afrique. Au-delà de la simple création artistique, chaque œuvre musicale devient le reflet de la culture d'une communauté, et parfois même un symbole identitaire. Le projet de remix de « Viviane » a été perçu par certains comme une tentative de réappropriation culturelle, tandis que d'autres y voyaient une manière de renforcer les liens entre l'Afrique de l'Ouest et l'Afrique centrale. La musique, dans ce contexte, est à la fois un espace de confrontation et un lieu de réconciliation.

Il est également intéressant de noter que cette polémique intervient dans un contexte où les collaborations musicales interafricaines sont de plus en plus fréquentes. Des artistes de différents pays du continent n'hésitent plus à travailler ensemble pour créer des morceaux qui transcendront les frontières nationales. Le remix de « Viviane » s'inscrit donc dans cette dynamique, bien que la réaction initiale des artistes camerounais ait pu laisser penser le contraire.

Debordo Leekunfa : un ambassadeur culturel malgré lui ?


Dans cette affaire, Debordo Leekunfa se retrouve, peut-être sans l'avoir prévu, dans le rôle d'un ambassadeur culturel. En décidant de remix à sa façon une chanson d'un artiste camerounais, il tente de bâtir des ponts entre les cultures. Pour lui, la musique est avant tout un moyen d'expression universel, capable de rassembler des personnes de toutes origines et de toutes appartenances ethniques. « La musique est un langage qui ne connaît pas de barrières », a-t-il affirmé lors de son interview. Cette conviction reflète un état d'esprit ouvert et désireux de contribuer à une meilleure compréhension entre les peuples.

Alors que la polémique autour du remix de « Viviane » semble s'apaiser et que la sortie du morceau est attendue avec impatience, une question demeure : quel avenir pour les collaborations musicales en Afrique ? Comment les artistes pourront-ils naviguer entre respect des cultures locales et volonté de collaborer au-delà des frontières ? La musique africaine, riche de sa diversité, pourrait-elle devenir un vecteur de réconciliation et de solidarité entre les peuples, malgré les tensions et les incompréhensions qui peuvent survenir ?


https://www.youtube.com/watch?v=Pqg6IFc_TdQ

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Image de Musique/Radio. Le chanteur ivoirien Debordo Leekunfa se retrouve au cœur d'une polémique grandissante sur les réseaux sociaux depuis quelques jours. Son projet de remix de la chanson « Viviane » de l'artiste camerounais Prince Aimé a provoqué une véritable onde de choc sur la toile, opposant artistes camerounais et fans ivoiriens. Alors que les discussions battent leur plein, Debordo a décidé de partager sa position sur l'affaire, entre humour et déclaration de paix. Le déclencheur de la polémique : le remix de "Viviane" Tout a commencé avec l'annonce de Debordo Leekunfa concernant le remix de « Viviane », une chanson de l'artiste camerounais Prince Aimé qui a connu un certain succès dans les deux pays. Le projet semblait prometteur, offrant une nouvelle version d'une chanson aimée par beaucoup. Cependant, cette initiative n'a pas tardé à susciter une levée de boucliers du côté des artistes camerounais. Nombre d'entre eux se sont réunis pour travailler sur un projet similaire, cherchant peut-être à contrer ou à préserver l'esprit original de la chanson. Cette réaction collective a rapidement fait écho sur les réseaux sociaux, suscitant des débats passionnés entre fans ivoiriens et camerounais. Les uns défendaient le droit de Debordo de réinventer « Viviane », tandis que d'autres considéraient cela comme une dépossession culturelle d'une œuvre emblématique de la musique camerounaise. Face à ce tumulte, une partie du public ivoirien a commencé à demander à Debordo de renoncer au remix de « Viviane », lui conseillant de se concentrer sur un autre projet : « Djeneba », un freestyle qui suscite déjà beaucoup d'engouement. Invité sur Life Radio, Debordo Leekunfa a abordé le sujet avec franchise, n'hésitant pas à manier l'humour pour atténuer les tensions. « Le remix de Viviane est déjà prêt. Mais les parents de Viviane sont tellement compliqués. En attendant que les choses se calment, nous irons voir les parents de Djeneba », a-t-il déclaré en riant. Par cette phrase, il laissait entendre que le projet « Viviane » n'était pas abandonné, mais simplement mis en suspens, le temps que les tensions autour du titre retombent. Debordo a ensuite évoqué la relation spéciale qu'il entretient avec le personnage de « Djeneba », qu'il décrit comme une fille dont l'attention et la douceur ont été sources d'émotions intenses. « Les filles comme Djeneba sont du genre de filles dont l'attention, la façon de prendre un homme, font pleurer. On est tellement fier de côtoyer ce genre de fille qu'on en verse des larmes », a-t-il ajouté. Il s'agissait là d'un hommage appuyé à ces femmes attentionnées, qui marquent par leur gentillesse et leur présence. Cette déclaration n'était pas sans rappeler son envie de maintenir des liens de fraternité entre les différentes régions de la Côte d'Ivoire, notamment entre les Bété et les Dioula. Relations intercommunautaires : le discours de réconciliation de Debordo Debordo Leekunfa a profité de cette interview pour aborder la question des relations entre les différentes communautés de la Côte d'Ivoire. Il a mentionné la relation harmonieuse entre les Bété et les Dioula, deux communautés souvent présentées comme ayant des différences culturelles significatives, mais qui, selon lui, se sont toujours bien entendues sur le plan humain. Il a cité l'exemple du président Laurent Gbagbo, qui a épousé Nady Bamba, une femme issue de la communauté Dioula, pour illustrer son propos. « Si le président Laurent Gbagbo a épousé une Bamba, nous autres ne pouvons que le suivre. Même s'il va encore prendre au Cameroun, on ira aussi là-bas », a-t-il ajouté avec humour. Cette intervention visait également à atténuer la tension autour du projet de remix de « Viviane », en rappelant que la musique, comme l'amour, devrait être un vecteur de rapprochement et non de division. En évoquant cette union intercommunautaire et en adoptant un ton décontracté, Debordo souhaitait apaiser les esprits et renforcer l'idée d'une culture musicale partagée par tous, sans barrières ethniques ni frontières. Malgré la polémique qui entoure le remix de « Viviane », Debordo Leekunfa a affirmé que la chanson sortirait bientôt, pour le plus grand plaisir des mélomanes. « Le remix de Viviane sortira dans les prochains jours », a-t-il déclaré, affichant ainsi sa détermination à mener ce projet à bien. Mais alors que les artistes camerounais semblaient fermement opposés au projet, certains d'entre eux ont commencé à se rallier, laissant entrevoir une éventuelle réconciliation. Ce revirement de situation a surpris plus d'un observateur. La rapidité avec laquelle les tensions se sont apaisées, après des jours de débats houleux sur les réseaux sociaux, montre la nature fluctuante des opinions dans l'univers musical. Cette situation est également emblématique de l'influence des fans et des artistes sur les décisions créatives, rendant la dynamique de l'industrie musicale aussi imprévisible que passionnante. Cette affaire illustre également la dimension communautaire qui caractérise la musique en Afrique. Au-delà de la simple création artistique, chaque œuvre musicale devient le reflet de la culture d'une communauté, et parfois même un symbole identitaire. Le projet de remix de « Viviane » a été perçu par certains comme une tentative de réappropriation culturelle, tandis que d'autres y voyaient une manière de renforcer les liens entre l'Afrique de l'Ouest et l'Afrique centrale. La musique, dans ce contexte, est à la fois un espace de confrontation et un lieu de réconciliation. Il est également intéressant de noter que cette polémique intervient dans un contexte où les collaborations musicales interafricaines sont de plus en plus fréquentes. Des artistes de différents pays du continent n'hésitent plus à travailler ensemble pour créer des morceaux qui transcendront les frontières nationales. Le remix de « Viviane » s'inscrit donc dans cette dynamique, bien que la réaction initiale des artistes camerounais ait pu laisser penser le contraire. Debordo Leekunfa : un ambassadeur culturel malgré lui ? Dans cette affaire, Debordo Leekunfa se retrouve, peut-être sans l'avoir prévu, dans le rôle d'un ambassadeur culturel. En décidant de remix à sa façon une chanson d'un artiste camerounais, il tente de bâtir des ponts entre les cultures. Pour lui, la musique est avant tout un moyen d'expression universel, capable de rassembler des personnes de toutes origines et de toutes appartenances ethniques. « La musique est un langage qui ne connaît pas de barrières », a-t-il affirmé lors de son interview. Cette conviction reflète un état d'esprit ouvert et désireux de contribuer à une meilleure compréhension entre les peuples. Alors que la polémique autour du remix de « Viviane » semble s'apaiser et que la sortie du morceau est attendue avec impatience, une question demeure : quel avenir pour les collaborations musicales en Afrique ? Comment les artistes pourront-ils naviguer entre respect des cultures locales et volonté de collaborer au-delà des frontières ? La musique africaine, riche de sa diversité, pourrait-elle devenir un vecteur de réconciliation et de solidarité entre les peuples, malgré les tensions et les incompréhensions qui peuvent survenir ?

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Serge Beynaud: "Debordo Leekunfa Est Le Seul Artiste Qui, Lorsque Tu Vas" / Côte d’Ivoire: Debordo Leekunfa Époustouflé Par Le Talent Vocal De Josey / Biographie De Debordo Leekunfa, l'Icône Du Coupé-Décalé Ivoirien

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