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Mardi, 22 Octobre 2024 à 7:27

Alassane Ouattara Annonce La Dissolution De La FESCI En Côte d'Ivoire - Politique - Ivoireland

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Côte d'Ivoire: Alassane Ouattara Annonce Des Mesures Fortes Contre La Vie Chère / Alassane Ouattara Quitte La Côte d’Ivoire Pour Un Séjour Annoncé En France / Alassane Ouattara En Visite À Paris Pour Le 19ᵉ Sommet De La Francophonie (2) (3) (4)

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RomeoIvoire RomeoIvoire le 18 octobre à 21:22

La dissolution de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d'Ivoire (FESCI) a été annoncée par le Conseil national de sécurité, le 17 octobre 2024, marquant un tournant majeur pour le système universitaire ivoirien. Cette mesure survient dans un contexte de violences étudiantes et de troubles sur les campus, qui ont culminé avec l'assassinat de deux étudiants. Le gouvernement d'Alassane Ouattara a pris la décision radicale de dissoudre la FESCI et d'autres organisations syndicales, espérant ainsi ramener la sécurité et la sérénité dans les établissements d'enseignement supérieur.

Violences universitaires : une situation devenue intolérable


Les dernières semaines ont été marquées par une recrudescence des violences sur les campus universitaires ivoiriens, un phénomène qui a pris des proportions alarmantes. L'assassinat de deux étudiants, Khalifa Diomandé et Agui Mars Aubin Deagoué, tous deux membres de la FESCI, a été le détonateur d'une crise sans précédent. Les étudiants se sentaient de plus en plus menacés sur les campus, où les affrontements entre groupes rivaux et les violences étaient devenus monnaie courante.

Les autorités, sous la présidence d'Alassane Ouattara, ont immédiatement pointé du doigt la FESCI, accusant l'organisation d'être à l'origine de nombreux troubles à l'ordre public. Ces accusations ont conduit à la décision radicale de dissoudre la FESCI ainsi que d'autres organisations syndicales estudiantines. Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a présenté cette proposition lors d'une réunion du Conseil national de sécurité, présidée par Alassane Ouattara, et elle a été validée sans délai.

« Nous ne pouvons plus tolérer que des violences se produisent sur les campus, mettant en péril la vie de nos enfants. L'université doit rester un lieu de savoir et de développement intellectuel, et non un champ de bataille », a déclaré le ministre lors de son allocution. Cette mesure vise avant tout à rétablir l'ordre sur les campus et à garantir la sécurité des étudiants et du personnel enseignant.

Suite à la dissolution de la FESCI, les forces de l'ordre ont procédé à d'importantes opérations de démantèlement dans les cités universitaires. Ces interventions avaient pour objectif de reprendre le contrôle de ces espaces qui étaient devenus des foyers de tensions et de violences. Les cités universitaires d'Abidjan, Bouaké, et Daloa ont été le théâtre d'évacuations massives. Près de 5000 personnes irrégulièrement logées ont été expulsées, tandis que de nombreuses armes ont été saisies dans le cadre des fouilles effectuées par les forces de sécurité.

La réaction de l'État ivoirien face à cette crise a été rapide et intransigeante. Les locaux de la FESCI ont été démantelés, et plusieurs responsables de l'organisation ont été interpellés. Dix-sept étudiants, dont Kambou Sié, le secrétaire général de la FESCI, ont été arrêtés et déférés au parquet d'Abidjan Plateau. Par ailleurs, vingt-huit autres étudiants ont été interpellés et déférés suite aux opérations de déguerpissement menées dans les cités universitaires.

Selon le Conseil national de sécurité, ces mesures sont nécessaires pour mettre fin à l'impunité qui prévalait au sein des campus universitaires. « Nous devons restaurer l'autorité de l'État et garantir que les établissements d'enseignement soient des lieux sûrs pour tous », a affirmé un responsable du gouvernement.

La fin d'une époque : la FESCI, acteur controversé de la scène ivoirienne


La dissolution de la FESCI marque la fin d'une époque pour le mouvement étudiant en Côte d'Ivoire. Fondée dans les années 1960, la FESCI a joué un rôle prépondérant dans la vie politique et sociale du pays. Au fil des décennies, l'organisation est devenue un acteur incontournable, à la fois redouté et controversé. La FESCI a souvent été accusée de méthodes violentes et de pratiques d'intimidation, mais elle était aussi perçue comme un contre-pouvoir face aux décisions gouvernementales jugées injustes par une partie de la jeunesse.

Pour beaucoup d'étudiants et de citoyens ivoiriens, la FESCI représentait un espoir, un moyen de faire entendre la voix de la jeunesse face à un pouvoir souvent sourd à leurs revendications. Cependant, les accusations de violences récurrentes et les affrontements entre factions rivales ont terni l'image de l'organisation.

En décidant de dissoudre la FESCI, le gouvernement ivoirien souhaite tourner la page d'une période marquée par l'instabilité et les tensions sur les campus. « La dissolution de la FESCI est une décision douloureuse mais nécessaire », a déclaré un officiel, soulignant l'importance de garantir un environnement propice aux études et au développement intellectuel des étudiants.

La disparition de la FESCI soulève de nombreuses questions sur l'avenir du syndicalisme étudiant en Côte d'Ivoire. Pendant plusieurs décennies, la FESCI a été la principale organisation étudiante, capable de mobiliser des milliers d'étudiants pour revendiquer de meilleures conditions d'études et d'existence. Sa dissolution crée un vide dans le paysage syndical ivoirien et soulève la question de la représentation étudiante.

Certains observateurs craignent que la disparition de la FESCI ne conduise à une perte de voix pour les étudiants, qui ne disposeront plus d'un organe fort pour faire valoir leurs revendications. D'autres, en revanche, estiment que la dissolution de l'organisation pourrait être une opportunité pour réinventer le syndicalisme étudiant en Côte d'Ivoire, en créant de nouvelles structures plus pacifiques et mieux organisées.

Le ministre de l'Enseignement supérieur a proposé plusieurs mesures pour réorganiser le système universitaire et garantir la sécurité sur les campus. Parmi celles-ci, la réhabilitation des anciennes universités et des cités universitaires, ainsi que la mise en place d'un nouveau processus d'attribution des chambres universitaires, prenant en compte des critères tels que les résultats académiques, l'âge et la vulnérabilité sociale des étudiants. Ces mesures visent à restaurer un cadre éducatif propice au développement intellectuel et à la cohésion sociale.

Entre sécurité et libertés : un équilibre précaire à trouver


La décision de dissoudre la FESCI pose également la question des libertés académiques et du droit de manifester en Côte d'Ivoire. Si l'objectif affiché du gouvernement est de restaurer l'ordre sur les campus, certains craignent que cette mesure ne soit le prélude à une restriction plus large des libertés d'expression et de réunion pour les étudiants.

Les défenseurs des droits humains ont exprimé leurs inquiétudes quant à l'impact de cette décision sur la démocratie universitaire. « Les étudiants ont le droit de s'organiser et de revendiquer de meilleures conditions de vie et d'études. Dissoudre la FESCI sans proposer de solution alternative pourrait étouffer toute forme de contestation légitime », a estimé un militant des droits de l'homme. Pour ces observateurs, il est crucial que le gouvernement accompagne cette décision par la création d'un espace de dialogue permettant aux étudiants de s'exprimer librement.

En même temps, la question de la sécurité reste prépondérante. Les violences répétées sur les campus avaient créé un climat d'insécurité, nuisant non seulement aux étudiants, mais aussi aux enseignants et au personnel administratif. Pour le gouvernement, la dissolution de la FESCI représente une première étape vers le rétablissement d'un cadre sûr et serein, indispensable pour le bon fonctionnement des établissements d'enseignement supérieur.

Le gouvernement ivoirien entend profiter de la dissolution de la FESCI pour réformer en profondeur le système universitaire. Outre la réhabilitation des infrastructures et la mise en place de critères rigoureux pour l'attribution des chambres universitaires, le ministre de l'Enseignement supérieur a également annoncé son intention de renforcer la présence de forces de sécurité sur les campus afin d'assurer la tranquillité des lieux.

Des initiatives ont été évoquées pour encourager un climat de paix et de dialogue entre les étudiants. Parmi celles-ci, la création de comités consultatifs composés d'étudiants, d'enseignants, et de représentants du gouvernement, dans le but de favoriser une communication ouverte et de prévenir les conflits. Le gouvernement souhaite ainsi éviter que la dissolution de la FESCI ne laisse place à un vide syndical propice à l'émergence de nouveaux groupes extrémistes.

Cependant, de nombreuses incertitudes demeurent quant à l'efficacité de ces mesures et leur capacité à éviter la réémergence de violences sur les campus. Certains analystes estiment que la dissolution de la FESCI pourrait engendrer une résistance de la part des membres les plus radicaux de l'organisation, qui pourraient chercher à continuer leurs actions dans la clandestinité.

La dissolution de la FESCI marque un tournant majeur pour le système universitaire ivoirien. Alors que le gouvernement entend restaurer la sécurité et la paix sur les campus, cette décision suscite des interrogations sur l'avenir du syndicalisme étudiant et des libertés académiques en Côte d'Ivoire. L'État saura-t-il trouver un équilibre entre la sécurité des étudiants et le respect de leurs droits fondamentaux ? La jeunesse ivoirienne pourra-t-elle bénéficier d'un cadre éducatif paisible tout en conservant la possibilité de s'organiser et de revendiquer ses droits ?

La question demeure : la dissolution de la FESCI marquera-t-elle le début d'une ère de stabilité ou ouvrira-t-elle la voie à de nouvelles tensions dans le monde universitaire ivoirien ? Seul l'avenir nous le dira.

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Image de Politique. La dissolution de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d'Ivoire (FESCI) a été annoncée par le Conseil national de sécurité, le 17 octobre 2024, marquant un tournant majeur pour le système universitaire ivoirien. Cette mesure survient dans un contexte de violences étudiantes et de troubles sur les campus, qui ont culminé avec l'assassinat de deux étudiants. Le gouvernement d'Alassane Ouattara a pris la décision radicale de dissoudre la FESCI et d'autres organisations syndicales, espérant ainsi ramener la sécurité et la sérénité dans les établissements d'enseignement supérieur. Violences universitaires : une situation devenue intolérable Les dernières semaines ont été marquées par une recrudescence des violences sur les campus universitaires ivoiriens, un phénomène qui a pris des proportions alarmantes. L'assassinat de deux étudiants, Khalifa Diomandé et Agui Mars Aubin Deagoué, tous deux membres de la FESCI, a été le détonateur d'une crise sans précédent. Les étudiants se sentaient de plus en plus menacés sur les campus, où les affrontements entre groupes rivaux et les violences étaient devenus monnaie courante. Les autorités, sous la présidence d'Alassane Ouattara, ont immédiatement pointé du doigt la FESCI, accusant l'organisation d'être à l'origine de nombreux troubles à l'ordre public. Ces accusations ont conduit à la décision radicale de dissoudre la FESCI ainsi que d'autres organisations syndicales estudiantines. Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a présenté cette proposition lors d'une réunion du Conseil national de sécurité, présidée par Alassane Ouattara, et elle a été validée sans délai. « Nous ne pouvons plus tolérer que des violences se produisent sur les campus, mettant en péril la vie de nos enfants. L'université doit rester un lieu de savoir et de développement intellectuel, et non un champ de bataille », a déclaré le ministre lors de son allocution. Cette mesure vise avant tout à rétablir l'ordre sur les campus et à garantir la sécurité des étudiants et du personnel enseignant. Suite à la dissolution de la FESCI, les forces de l'ordre ont procédé à d'importantes opérations de démantèlement dans les cités universitaires. Ces interventions avaient pour objectif de reprendre le contrôle de ces espaces qui étaient devenus des foyers de tensions et de violences. Les cités universitaires d'Abidjan, Bouaké, et Daloa ont été le théâtre d'évacuations massives. Près de 5000 personnes irrégulièrement logées ont été expulsées, tandis que de nombreuses armes ont été saisies dans le cadre des fouilles effectuées par les forces de sécurité. La réaction de l'État ivoirien face à cette crise a été rapide et intransigeante. Les locaux de la FESCI ont été démantelés, et plusieurs responsables de l'organisation ont été interpellés. Dix-sept étudiants, dont Kambou Sié, le secrétaire général de la FESCI, ont été arrêtés et déférés au parquet d'Abidjan Plateau. Par ailleurs, vingt-huit autres étudiants ont été interpellés et déférés suite aux opérations de déguerpissement menées dans les cités universitaires. Selon le Conseil national de sécurité, ces mesures sont nécessaires pour mettre fin à l'impunité qui prévalait au sein des campus universitaires. « Nous devons restaurer l'autorité de l'État et garantir que les établissements d'enseignement soient des lieux sûrs pour tous », a affirmé un responsable du gouvernement. La fin d'une époque : la FESCI, acteur controversé de la scène ivoirienne La dissolution de la FESCI marque la fin d'une époque pour le mouvement étudiant en Côte d'Ivoire. Fondée dans les années 1960, la FESCI a joué un rôle prépondérant dans la vie politique et sociale du pays. Au fil des décennies, l'organisation est devenue un acteur incontournable, à la fois redouté et controversé. La FESCI a souvent été accusée de méthodes violentes et de pratiques d'intimidation, mais elle était aussi perçue comme un contre-pouvoir face aux décisions gouvernementales jugées injustes par une partie de la jeunesse. Pour beaucoup d'étudiants et de citoyens ivoiriens, la FESCI représentait un espoir, un moyen de faire entendre la voix de la jeunesse face à un pouvoir souvent sourd à leurs revendications. Cependant, les accusations de violences récurrentes et les affrontements entre factions rivales ont terni l'image de l'organisation. En décidant de dissoudre la FESCI, le gouvernement ivoirien souhaite tourner la page d'une période marquée par l'instabilité et les tensions sur les campus. « La dissolution de la FESCI est une décision douloureuse mais nécessaire », a déclaré un officiel, soulignant l'importance de garantir un environnement propice aux études et au développement intellectuel des étudiants. La disparition de la FESCI soulève de nombreuses questions sur l'avenir du syndicalisme étudiant en Côte d'Ivoire. Pendant plusieurs décennies, la FESCI a été la principale organisation étudiante, capable de mobiliser des milliers d'étudiants pour revendiquer de meilleures conditions d'études et d'existence. Sa dissolution crée un vide dans le paysage syndical ivoirien et soulève la question de la représentation étudiante. Certains observateurs craignent que la disparition de la FESCI ne conduise à une perte de voix pour les étudiants, qui ne disposeront plus d'un organe fort pour faire valoir leurs revendications. D'autres, en revanche, estiment que la dissolution de l'organisation pourrait être une opportunité pour réinventer le syndicalisme étudiant en Côte d'Ivoire, en créant de nouvelles structures plus pacifiques et mieux organisées. Le ministre de l'Enseignement supérieur a proposé plusieurs mesures pour réorganiser le système universitaire et garantir la sécurité sur les campus. Parmi celles-ci, la réhabilitation des anciennes universités et des cités universitaires, ainsi que la mise en place d'un nouveau processus d'attribution des chambres universitaires, prenant en compte des critères tels que les résultats académiques, l'âge et la vulnérabilité sociale des étudiants. Ces mesures visent à restaurer un cadre éducatif propice au développement intellectuel et à la cohésion sociale. Entre sécurité et libertés : un équilibre précaire à trouver La décision de dissoudre la FESCI pose également la question des libertés académiques et du droit de manifester en Côte d'Ivoire. Si l'objectif affiché du gouvernement est de restaurer l'ordre sur les campus, certains craignent que cette mesure ne soit le prélude à une restriction plus large des libertés d'expression et de réunion pour les étudiants. Les défenseurs des droits humains ont exprimé leurs inquiétudes quant à l'impact de cette décision sur la démocratie universitaire. « Les étudiants ont le droit de s'organiser et de revendiquer de meilleures conditions de vie et d'études. Dissoudre la FESCI sans proposer de solution alternative pourrait étouffer toute forme de contestation légitime », a estimé un militant des droits de l'homme. Pour ces observateurs, il est crucial que le gouvernement accompagne cette décision par la création d'un espace de dialogue permettant aux étudiants de s'exprimer librement. En même temps, la question de la sécurité reste prépondérante. Les violences répétées sur les campus avaient créé un climat d'insécurité, nuisant non seulement aux étudiants, mais aussi aux enseignants et au personnel administratif. Pour le gouvernement, la dissolution de la FESCI représente une première étape vers le rétablissement d'un cadre sûr et serein, indispensable pour le bon fonctionnement des établissements d'enseignement supérieur. Le gouvernement ivoirien entend profiter de la dissolution de la FESCI pour réformer en profondeur le système universitaire. Outre la réhabilitation des infrastructures et la mise en place de critères rigoureux pour l'attribution des chambres universitaires, le ministre de l'Enseignement supérieur a également annoncé son intention de renforcer la présence de forces de sécurité sur les campus afin d'assurer la tranquillité des lieux. Des initiatives ont été évoquées pour encourager un climat de paix et de dialogue entre les étudiants. Parmi celles-ci, la création de comités consultatifs composés d'étudiants, d'enseignants, et de représentants du gouvernement, dans le but de favoriser une communication ouverte et de prévenir les conflits. Le gouvernement souhaite ainsi éviter que la dissolution de la FESCI ne laisse place à un vide syndical propice à l'émergence de nouveaux groupes extrémistes. Cependant, de nombreuses incertitudes demeurent quant à l'efficacité de ces mesures et leur capacité à éviter la réémergence de violences sur les campus. Certains analystes estiment que la dissolution de la FESCI pourrait engendrer une résistance de la part des membres les plus radicaux de l'organisation, qui pourraient chercher à continuer leurs actions dans la clandestinité. La dissolution de la FESCI marque un tournant majeur pour le système universitaire ivoirien. Alors que le gouvernement entend restaurer la sécurité et la paix sur les campus, cette décision suscite des interrogations sur l'avenir du syndicalisme étudiant et des libertés académiques en Côte d'Ivoire. L'État saura-t-il trouver un équilibre entre la sécurité des étudiants et le respect de leurs droits fondamentaux ? La jeunesse ivoirienne pourra-t-elle bénéficier d'un cadre éducatif paisible tout en conservant la possibilité de s'organiser et de revendiquer ses droits ? La question demeure : la dissolution de la FESCI marquera-t-elle le début d'une ère de stabilité ou ouvrira-t-elle la voie à de nouvelles tensions dans le monde universitaire ivoirien ? Seul l'avenir nous le dira.

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