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Jeudi, 21 Novembre 2024 à 12:03

Tamsir Réagit À La Polémique Sur Les Droits d'Auteur De "Coup Du Marteau" - Musique/Radio - Ivoireland

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Polémique En Ligne Autour Du Single d’Or ‘’Coup Du Marteau’’ De Tamsir / Biographie De Tam Sir: Le Maestro Ivoirien, Auteur Du Coup Du Marteau / La Réaction De Tiesco Le Sultan Au Single d’Or De Tamsir Avec "Coup Du Marteau" (2) (3) (4)

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RomeoIvoire RomeoIvoire le 22 octobre à 19:58

Après l'annonce de la certification disque de platine de son tube « Coup du Marteau », Tamsir, artiste ivoirien en pleine ascension, s'est retrouvé au cœur d'une vive polémique concernant la répartition des droits d'auteur. Le titre, qui a connu un succès retentissant aussi bien en Côte d'Ivoire qu'en France, a suscité de nombreuses réactions, notamment celle de Patcko Yao, un commentateur régulier de la scène musicale ivoirienne. Face aux accusations de mauvaise répartition des revenus, Tamsir a décidé de briser le silence et de clarifier la situation, faisant ainsi la lumière sur les rouages de l'industrie musicale et la gestion des droits d'auteur.

Une certification prestigieuse accompagnée de controverses


La certification disque de platine du titre « Coup du Marteau » a été un événement majeur pour Tamsir, qui continue de marquer la scène musicale africaine de son empreinte. Ce titre, qui a conquis un large public grâce à son rythme entrainant et à ses paroles percutantes, a été salué comme une véritable réussite pour la musique ivoirienne. Cependant, le succès de la chanson n'a pas été sans créer des tensions. Patcko Yao, un commentateur bien connu pour ses opinions tranchées, a insinué que Tamsir était le seul bénéficiaire des retombées financières de cette certification.

Dans une publication sur les réseaux sociaux, Patcko Yao a accusé Tamsir de monopoliser les revenus, écartant ainsi ses collaborateurs du projet, notamment la Team Paiya et d'autres artistes qui avaient contribué au succès de la chanson. « Tam Sir seul certifié pour "Coup du Marteau" : la Team Paiya, Ste Milano et autres non inclus. Yako à Zagba et ses frères qui n'en bénéficieront pas », a-t-il publié, sous-entendant une gestion opaque des droits d'auteur.

Face à ces accusations, Tamsir a choisi de sortir de son habituelle réserve pour éclaircir la situation. Peu coutumier des polémiques, l'artiste a estimé que les affirmations de Patcko Yao n'étaient pas seulement erronées, mais aussi potentiellement nuisibles pour son image et celle de ses collaborateurs. « Faire le connaisseur te rend très inculte malheureusement. Sinon, tu saurais que le SNEP donne la certification et c'est la Sacem qui verse les droits d'auteur », a répliqué Tamsir, pointant du doigt les méconnaissances de son détracteur.

Il a par ailleurs précisé que l'ensemble des personnes ayant travaillé sur le titre « Coup du Marteau » avaient bien été rémunérées, déposant des contrats signés au Burida (Bureau ivoirien des droits d'auteur) et à la Sacem (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique). « Depuis le mois de mars, chaque personne qui a travaillé sur "Coup du Marteau" a signé les papiers du Burida et de la Sacem, y compris le père Elvis Kemayo pour la reprise de "Venez danser". Va te former s'il te plaît », a-t-il ajouté, rappelant que la répartition des droits d'auteur suit une procédure bien établie et ne peut être manipulée à des fins personnelles.

Les rouages de l'industrie musicale : entre perceptions et réalités


La polémique autour de la répartition des droits d'auteur de « Coup du Marteau » soulève une question plus large sur la compréhension des rouages de l'industrie musicale par le grand public. L'univers des droits d'auteur est complexe et souvent méconnu, même de certains acteurs de la scène musicale. De nombreux observateurs n'ont qu'une connaissance partielle du rôle des organismes comme la Sacem, le SNEP ou encore le Burida, ce qui peut conduire à des malentendus.

Les certifications, comme les disques de platine, sont attribuées par le SNEP (Syndicat National de l'Édition Phonographique) en fonction du nombre de ventes ou d'écoutes d'un morceau. Quant aux droits d'auteur, ils sont gérés par des sociétés comme la Sacem, qui collectent et redistribuent les redevances aux auteurs, compositeurs et autres ayants droit. Ainsi, chaque contribution à une œuvre est rémunérée selon des règles précises, qui garantissent une répartition équitable des revenus générés par la musique.

Tamsir a tenu à rappeler ces éléments pour dissiper toute ambiguïté et pour que ses collaborateurs soient reconnus à leur juste valeur. « Il est important que tout le monde comprenne que la répartition des droits se fait de manière rigoureuse et que personne n'a été exclu du processus. Chacun a été payé pour sa contribution, sans exception », a-t-il souligné, déplorant la tendance de certains à entretenir des controverses basées sur des informations erronées.

La musique est avant tout une collaboration. Derriere chaque grand succès se cache une équipe de talents divers qui travaillent ensemble pour créer un morceau inoubliable. Dans le cas de « Coup du Marteau », cette œuvre a nécessité la participation de plusieurs personnes, allant des auteurs-compositeurs aux producteurs, en passant par les musiciens et les ingénieurs du son. Tamsir a précisé que chacun avait reçu la rémunération correspondant à son apport, et que les papiers avaient été signés dans les règles pour assurer la transparence de l'opération.

« La musique est une aventure collective, et je suis reconnaissant envers toutes les personnes qui ont contribé à ce projet. Personne n'a été laissé pour compte », a affirmé l'artiste. Cette clarification est venue rassurer ses fans ainsi que ceux qui suivent de près l'évolution de la scène musicale ivoirienne, où les polémiques autour de la répartition des gains et des droits ne sont pas rares.

Les défis de l'industrie musicale en Afrique


La polémique autour de « Coup du Marteau » met également en évidence les défis auxquels est confrontée l'industrie musicale africaine. La question de la rémunération équitable des artistes et de leurs collaborateurs est un sujet récurrent, surtout dans un contexte où les plateformes de streaming redéfinissent les modes de consommation de la musique. Si ces plateformes offrent une grande visibilité aux artistes, elles posent aussi des problèmes en termes de répartition des revenus, avec des gains parfois très limités pour ceux qui ne sont pas en première ligne.

En outre, le manque de sensibilisation et de formation des artistes sur les questions de droits d'auteur et de gestion de carrière contribue souvent à entretenir des malentendus. De nombreux artistes, producteurs ou musiciens n'ont pas une compréhension précise des mécanismes de rémunération de leur travail, ce qui peut engendrer des frustrations et des tensions inutiles. Tamsir a ainsi profité de cette polémique pour appeler à une meilleure formation des acteurs de l'industrie musicale ivoirienne.

« Il est crucial que les artistes et les professionnels de la musique soient bien informés sur les questions de droits d'auteur et de répartition des revenus. Cela nous évitera bien des malentendus et nous permettra de travailler dans un climat de confiance », a-t-il déclaré. Ce message, loin de s'adresser uniquement à ses détracteurs, est un appel à l'ensemble de l'industrie musicale ivoirienne pour qu'elle se professionnalise davantage et se dote des outils nécessaires pour prévenir les conflits.

Alors que la musique ivoirienne continue de s'exporter et de rencontrer un succès international, la question de la répartition des droits d'auteur demeure centrale. Comment assurer une distribution équitable des revenus, garantir la transparence et éviter les malentendus entre artistes et collaborateurs ? Les récents débats autour de "Coup du Marteau" mettent en lumière la nécessité d'une meilleure éducation des acteurs de l'industrie musicale sur les processus de certification et de répartition des droits. Il est temps de se demander : quelles mesures concrètes pourraient être mises en place pour améliorer la compréhension des droits d'auteur et renforcer la cohésion au sein de l'industrie musicale ivoirienne ?


https://www.youtube.com/watch?v=5zaeAcjTito

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Image de Musique/Radio. Après l'annonce de la certification disque de platine de son tube « Coup du Marteau », Tamsir, artiste ivoirien en pleine ascension, s'est retrouvé au cœur d'une vive polémique concernant la répartition des droits d'auteur. Le titre, qui a connu un succès retentissant aussi bien en Côte d'Ivoire qu'en France, a suscité de nombreuses réactions, notamment celle de Patcko Yao, un commentateur régulier de la scène musicale ivoirienne. Face aux accusations de mauvaise répartition des revenus, Tamsir a décidé de briser le silence et de clarifier la situation, faisant ainsi la lumière sur les rouages de l'industrie musicale et la gestion des droits d'auteur. Une certification prestigieuse accompagnée de controverses La certification disque de platine du titre « Coup du Marteau » a été un événement majeur pour Tamsir, qui continue de marquer la scène musicale africaine de son empreinte. Ce titre, qui a conquis un large public grâce à son rythme entrainant et à ses paroles percutantes, a été salué comme une véritable réussite pour la musique ivoirienne. Cependant, le succès de la chanson n'a pas été sans créer des tensions. Patcko Yao, un commentateur bien connu pour ses opinions tranchées, a insinué que Tamsir était le seul bénéficiaire des retombées financières de cette certification. Dans une publication sur les réseaux sociaux, Patcko Yao a accusé Tamsir de monopoliser les revenus, écartant ainsi ses collaborateurs du projet, notamment la Team Paiya et d'autres artistes qui avaient contribué au succès de la chanson. « Tam Sir seul certifié pour "Coup du Marteau" : la Team Paiya, Ste Milano et autres non inclus. Yako à Zagba et ses frères qui n'en bénéficieront pas », a-t-il publié, sous-entendant une gestion opaque des droits d'auteur. Face à ces accusations, Tamsir a choisi de sortir de son habituelle réserve pour éclaircir la situation. Peu coutumier des polémiques, l'artiste a estimé que les affirmations de Patcko Yao n'étaient pas seulement erronées, mais aussi potentiellement nuisibles pour son image et celle de ses collaborateurs. « Faire le connaisseur te rend très inculte malheureusement. Sinon, tu saurais que le SNEP donne la certification et c'est la Sacem qui verse les droits d'auteur », a répliqué Tamsir, pointant du doigt les méconnaissances de son détracteur. Il a par ailleurs précisé que l'ensemble des personnes ayant travaillé sur le titre « Coup du Marteau » avaient bien été rémunérées, déposant des contrats signés au Burida (Bureau ivoirien des droits d'auteur) et à la Sacem (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique). « Depuis le mois de mars, chaque personne qui a travaillé sur "Coup du Marteau" a signé les papiers du Burida et de la Sacem, y compris le père Elvis Kemayo pour la reprise de "Venez danser". Va te former s'il te plaît », a-t-il ajouté, rappelant que la répartition des droits d'auteur suit une procédure bien établie et ne peut être manipulée à des fins personnelles. Les rouages de l'industrie musicale : entre perceptions et réalités La polémique autour de la répartition des droits d'auteur de « Coup du Marteau » soulève une question plus large sur la compréhension des rouages de l'industrie musicale par le grand public. L'univers des droits d'auteur est complexe et souvent méconnu, même de certains acteurs de la scène musicale. De nombreux observateurs n'ont qu'une connaissance partielle du rôle des organismes comme la Sacem, le SNEP ou encore le Burida, ce qui peut conduire à des malentendus. Les certifications, comme les disques de platine, sont attribuées par le SNEP (Syndicat National de l'Édition Phonographique) en fonction du nombre de ventes ou d'écoutes d'un morceau. Quant aux droits d'auteur, ils sont gérés par des sociétés comme la Sacem, qui collectent et redistribuent les redevances aux auteurs, compositeurs et autres ayants droit. Ainsi, chaque contribution à une œuvre est rémunérée selon des règles précises, qui garantissent une répartition équitable des revenus générés par la musique. Tamsir a tenu à rappeler ces éléments pour dissiper toute ambiguïté et pour que ses collaborateurs soient reconnus à leur juste valeur. « Il est important que tout le monde comprenne que la répartition des droits se fait de manière rigoureuse et que personne n'a été exclu du processus. Chacun a été payé pour sa contribution, sans exception », a-t-il souligné, déplorant la tendance de certains à entretenir des controverses basées sur des informations erronées. La musique est avant tout une collaboration. Derriere chaque grand succès se cache une équipe de talents divers qui travaillent ensemble pour créer un morceau inoubliable. Dans le cas de « Coup du Marteau », cette œuvre a nécessité la participation de plusieurs personnes, allant des auteurs-compositeurs aux producteurs, en passant par les musiciens et les ingénieurs du son. Tamsir a précisé que chacun avait reçu la rémunération correspondant à son apport, et que les papiers avaient été signés dans les règles pour assurer la transparence de l'opération. « La musique est une aventure collective, et je suis reconnaissant envers toutes les personnes qui ont contribé à ce projet. Personne n'a été laissé pour compte », a affirmé l'artiste. Cette clarification est venue rassurer ses fans ainsi que ceux qui suivent de près l'évolution de la scène musicale ivoirienne, où les polémiques autour de la répartition des gains et des droits ne sont pas rares. Les défis de l'industrie musicale en Afrique La polémique autour de « Coup du Marteau » met également en évidence les défis auxquels est confrontée l'industrie musicale africaine. La question de la rémunération équitable des artistes et de leurs collaborateurs est un sujet récurrent, surtout dans un contexte où les plateformes de streaming redéfinissent les modes de consommation de la musique. Si ces plateformes offrent une grande visibilité aux artistes, elles posent aussi des problèmes en termes de répartition des revenus, avec des gains parfois très limités pour ceux qui ne sont pas en première ligne. En outre, le manque de sensibilisation et de formation des artistes sur les questions de droits d'auteur et de gestion de carrière contribue souvent à entretenir des malentendus. De nombreux artistes, producteurs ou musiciens n'ont pas une compréhension précise des mécanismes de rémunération de leur travail, ce qui peut engendrer des frustrations et des tensions inutiles. Tamsir a ainsi profité de cette polémique pour appeler à une meilleure formation des acteurs de l'industrie musicale ivoirienne. « Il est crucial que les artistes et les professionnels de la musique soient bien informés sur les questions de droits d'auteur et de répartition des revenus. Cela nous évitera bien des malentendus et nous permettra de travailler dans un climat de confiance », a-t-il déclaré. Ce message, loin de s'adresser uniquement à ses détracteurs, est un appel à l'ensemble de l'industrie musicale ivoirienne pour qu'elle se professionnalise davantage et se dote des outils nécessaires pour prévenir les conflits. Alors que la musique ivoirienne continue de s'exporter et de rencontrer un succès international, la question de la répartition des droits d'auteur demeure centrale. Comment assurer une distribution équitable des revenus, garantir la transparence et éviter les malentendus entre artistes et collaborateurs ? Les récents débats autour de "Coup du Marteau" mettent en lumière la nécessité d'une meilleure éducation des acteurs de l'industrie musicale sur les processus de certification et de répartition des droits. Il est temps de se demander : quelles mesures concrètes pourraient être mises en place pour améliorer la compréhension des droits d'auteur et renforcer la cohésion au sein de l'industrie musicale ivoirienne ?

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Côte d’Ivoire: Tamsir Décroche Une Troisième Étoile Avec 'Coup Du Marteau' / France: "Coup De Marteau" De Tamsir En Lice Pour Une Prestigieuse Récompense / France: Coup Du Marteau De Tamsir La 1Ère Place Du Classement National Des Clubs

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