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Présidence Du PDCI: Thiam, L'Homme Providentiel? - Politique - Ivoireland

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Karlb14 Karlb14 le 2 novembre 2023 à 17:59

L'élection du nouveau président du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI) est un événement majeur qui se tiendra le samedi 16 décembre prochain. Cet événement politique suscite l'attention et l'excitation de nombreux Ivoiriens et observateurs de la scène politique ivoirienne. Parmi les prétendants à la succession d'Henri Konan Bédié, une figure attire particulièrement l'attention : le banquier Tidjane Thiam.

Tidjane Thiam est un homme politique d'envergure, mais il est également connu pour sa carrière réussie dans le secteur bancaire, notamment en tant qu'ancien directeur général du Crédit Suisse. Sa candidature à la présidence du PDCI a suscité des débats et des controverses au sein du parti et parmi les électeurs ivoiriens.

Cependant, depuis plusieurs semaines, certains responsables du PDCI proches de l'ex-patron du Crédit Suisse ont travaillé assidûment à peaufiner leur stratégie pour faire élire Tidjane Thiam. Cette démarche a généré des réactions contrastées au sein du parti et de la société ivoirienne dans son ensemble.

Une démarche qui n'est pas du goût du Collectif national des cadres PDCI (CNCP). Selon Pascal Koffi Brou, président de ce mouvement, l'ex-ministre Tidjane Thiam n'est pas éligible en vertu des textes régissant l'élection du président du PDCI-RDA. Cette assertion soulève des questions importantes liées à l'éligibilité des candidats, à l'intégrité morale, et à l'importance du respect des règles au sein du parti.

Pascal Koffi Brou souligne que l'exigence de l'intégrité morale commande à chacun de faire preuve de sincérité et de responsabilité, en tenant compte du contexte sociopolitique actuel et de ses nombreux défis. Il mentionne des éléments tels que le décès du président Bédié, la réorganisation du PDCI et la nécessité de mettre à jour les textes du parti en vue de l'élection présidentielle de 2025. Ces éléments constituent un ensemble de facteurs cruciaux qui influenceront l'avenir du PDCI et de la politique ivoirienne dans les années à venir.

De plus, il est intéressant de noter que Pascal Koffi Brou fait référence à d'autres personnalités politiques, en l'occurrence les ministres Jean Louis Billon et Thierry Tanoh, qui ont reconnu leur inéligibilité malgré leurs responsabilités au sein du parti depuis longtemps. Cette déclaration souligne l'importance de l'honnêteté et de la transparence dans le processus électoral du PDCI, ce qui, selon le CNCP, contribue à la paix et à la stabilité du parti.

Le communiqué du CNCP met également en garde contre un éventuel "passage en force". Cette mise en garde suggère qu'il y a des craintes au sein du parti quant à des manœuvres visant à faire élire Tidjane Thiam sans respecter les règles établies. Les membres du Collectif National des Cadres PDCI affirment qu'ils n'accepteront pas un tel scénario et mettent en garde contre toute tentative de tripatouillage ou de violation des textes du PDCI-RDA.

Ces développements au sein du PDCI et de la politique ivoirienne en général posent des questions cruciales. La première question qui se pose est celle de l'éligibilité des candidats à la présidence du PDCI. Les règles établies doivent-elles être scrupuleusement respectées, ou y a-t-il des circonstances exceptionnelles qui justifieraient une certaine flexibilité ?

La deuxième question porte sur l'intégrité morale des candidats. Jusqu'où l'intégrité morale doit-elle être un critère déterminant dans le choix des dirigeants politiques ? Faut-il exclure un candidat en raison de sa carrière passée ou de ses liens avec le secteur financier ?

La troisième question concerne la stabilité du PDCI et son rôle dans la politique ivoirienne. Comment les dissensions internes et les luttes pour le pouvoir au sein du parti pourraient-elles influencer sa capacité à être une force unie et efficace dans le paysage politique ivoirien ?

Enfin, la dernière question porte sur l'avenir de la politique ivoirienne en vue de l'élection présidentielle de 2025. Comment ces événements au sein du PDCI pourraient-ils façonner la dynamique politique et les alliances en prévision de cette élection cruciale ?

Ces questions sont cruciales pour l'avenir de la Côte d'Ivoire et la stabilité de son système politique. L'élection du nouveau président du PDCI le 16 décembre prochain constituera un tournant majeur dans l'histoire politique du pays, et les réponses à ces questions auront un impact durable sur la scène politique ivoirienne. Il reste à voir comment les acteurs politiques, les électeurs et la société dans son ensemble aborderont ces défis et décideront du futur président du PDCI.

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Image de Politique. L'élection du nouveau président du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI) est un événement majeur qui se tiendra le samedi 16 décembre prochain. Cet événement politique suscite l'attention et l'excitation de nombreux Ivoiriens et observateurs de la scène politique ivoirienne. Parmi les prétendants à la succession d'Henri Konan Bédié, une figure attire particulièrement l'attention : le banquier Tidjane Thiam. Tidjane Thiam est un homme politique d'envergure, mais il est également connu pour sa carrière réussie dans le secteur bancaire, notamment en tant qu'ancien directeur général du Crédit Suisse. Sa candidature à la présidence du PDCI a suscité des débats et des controverses au sein du parti et parmi les électeurs ivoiriens. Cependant, depuis plusieurs semaines, certains responsables du PDCI proches de l'ex-patron du Crédit Suisse ont travaillé assidûment à peaufiner leur stratégie pour faire élire Tidjane Thiam. Cette démarche a généré des réactions contrastées au sein du parti et de la société ivoirienne dans son ensemble. Une démarche qui n'est pas du goût du Collectif national des cadres PDCI (CNCP). Selon Pascal Koffi Brou, président de ce mouvement, l'ex-ministre Tidjane Thiam n'est pas éligible en vertu des textes régissant l'élection du président du PDCI-RDA. Cette assertion soulève des questions importantes liées à l'éligibilité des candidats, à l'intégrité morale, et à l'importance du respect des règles au sein du parti. Pascal Koffi Brou souligne que l'exigence de l'intégrité morale commande à chacun de faire preuve de sincérité et de responsabilité, en tenant compte du contexte sociopolitique actuel et de ses nombreux défis. Il mentionne des éléments tels que le décès du président Bédié, la réorganisation du PDCI et la nécessité de mettre à jour les textes du parti en vue de l'élection présidentielle de 2025. Ces éléments constituent un ensemble de facteurs cruciaux qui influenceront l'avenir du PDCI et de la politique ivoirienne dans les années à venir. De plus, il est intéressant de noter que Pascal Koffi Brou fait référence à d'autres personnalités politiques, en l'occurrence les ministres Jean Louis Billon et Thierry Tanoh, qui ont reconnu leur inéligibilité malgré leurs responsabilités au sein du parti depuis longtemps. Cette déclaration souligne l'importance de l'honnêteté et de la transparence dans le processus électoral du PDCI, ce qui, selon le CNCP, contribue à la paix et à la stabilité du parti. Le communiqué du CNCP met également en garde contre un éventuel "passage en force". Cette mise en garde suggère qu'il y a des craintes au sein du parti quant à des manœuvres visant à faire élire Tidjane Thiam sans respecter les règles établies. Les membres du Collectif National des Cadres PDCI affirment qu'ils n'accepteront pas un tel scénario et mettent en garde contre toute tentative de tripatouillage ou de violation des textes du PDCI-RDA. Ces développements au sein du PDCI et de la politique ivoirienne en général posent des questions cruciales. La première question qui se pose est celle de l'éligibilité des candidats à la présidence du PDCI. Les règles établies doivent-elles être scrupuleusement respectées, ou y a-t-il des circonstances exceptionnelles qui justifieraient une certaine flexibilité ? La deuxième question porte sur l'intégrité morale des candidats. Jusqu'où l'intégrité morale doit-elle être un critère déterminant dans le choix des dirigeants politiques ? Faut-il exclure un candidat en raison de sa carrière passée ou de ses liens avec le secteur financier ? La troisième question concerne la stabilité du PDCI et son rôle dans la politique ivoirienne. Comment les dissensions internes et les luttes pour le pouvoir au sein du parti pourraient-elles influencer sa capacité à être une force unie et efficace dans le paysage politique ivoirien ? Enfin, la dernière question porte sur l'avenir de la politique ivoirienne en vue de l'élection présidentielle de 2025. Comment ces événements au sein du PDCI pourraient-ils façonner la dynamique politique et les alliances en prévision de cette élection cruciale ? Ces questions sont cruciales pour l'avenir de la Côte d'Ivoire et la stabilité de son système politique. L'élection du nouveau président du PDCI le 16 décembre prochain constituera un tournant majeur dans l'histoire politique du pays, et les réponses à ces questions auront un impact durable sur la scène politique ivoirienne. Il reste à voir comment les acteurs politiques, les électeurs et la société dans son ensemble aborderont ces défis et décideront du futur président du PDCI.

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