Baky Koné s'exprime avec un mélange de déception et de frustration après la lourde défaite des Eléphants. Ses mots résonnent au-delà du simple résultat du match, soulignant des problèmes plus profonds liés à la gestion de l'équipe nationale ivoirienne. Pour lui, perdre de cette manière va au-delà du terrain de jeu, impliquant un contexte plus large de gestion et de préparation.
Le joueur souligne la complexité de la situation en mentionnant un "management" qui se trouve derrière cette défaite. Il insinue que la responsabilité ne repose pas uniquement sur les joueurs, mais également sur les personnes chargées de diriger et de gérer l'équipe. Cela suggère des lacunes dans la planification, la stratégie et peut-être même la prise de décision au sein de l'encadrement.
Baky Koné, conscient des possibles répercussions médiatiques de ses paroles, évoque la tendance des gens à détourner les propos des joueurs lorsqu'ils s'expriment sur des problèmes internes à l'équipe. Cependant, il affirme qu'il n'a pas peur de partager son point de vue, mettant en avant son amour pour le pays et son engagement envers l'équipe nationale. Cette déclaration reflète un sentiment de responsabilité envers le public et une volonté de transparence malgré les éventuelles critiques.
L'ancien joueur soulève la question de la dignité dans la défaite en déclarant que bien que la perte puisse être acceptable, la manière dont elle s'est produite ne l'est pas. Il exprime l'incompréhension et l'incapacité à trouver les mots justes pour décrire ses émotions, mettant en lumière l'intensité du choc et la profondeur de sa déception. Cela suggère que la défaite va au-delà du simple résultat sportif, touchant émotionnellement les membres de l'équipe.
Le joueur laisse entrevoir une situation tendue autour de la sélection nationale ivoirienne en faisant référence à "trop de choses qui se sont passées avant cette CAN". Il évoque des événements ou des circonstances qui ont pu affecter négativement la préparation et la cohésion de l'équipe. Ces "choses" restent vagues, mais l'insistance sur le besoin de changement suggère que des problèmes sous-jacents persistent depuis un certain temps.
En concluant que "c'est toute ces choses qu'il faut changer", Baky Koné pointe du doigt la nécessité d'une réforme ou d'une transformation profonde au sein de l'équipe nationale. Il ne se contente pas de critiquer la situation actuelle, mais propose implicitement des solutions en suggérant un changement global. Cela pourrait inclure des ajustements dans la gestion, la communication, la préparation physique ou tout autre aspect qui a contribué à la défaite déconcertante.
En somme, les paroles de Baky Koné transcendent le simple commentaire sur la défaite et ouvrent la porte à une réflexion approfondie sur les défis plus vastes auxquels l'équipe nationale ivoirienne pourrait être confrontée. Ses mots soulignent l'importance cruciale de l'organisation, de la transparence et du changement pour revitaliser et renforcer la performance de l'équipe.
(Commenter)
(Signaler)
|