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Jeudi, 31 Octobre 2024 à 9:07

Attaque À Satikran: Un Gendarme Tué Par Un Individu En Habit Traditionnel Dozo - Faits Divers - Ivoireland

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RomeoIvoire RomeoIvoire le 1 février à 17:53

Dans la nuit du mardi 30 janvier 2024, une tragédie a frappé la gendarmerie nationale de Côte d'Ivoire. Le Maréchal des Logis-Chef Bahyo Ninsemon Jaurès, en service à la Brigade Territoriale d'Aniassué, a été mortellement abattu par un individu en tenue traditionnelle dozo, jetant l'ombre de la violence sur la paisible route de Satikran, dans le département d'Abengourou.

Une Patrouille Mortelle


Aux alentours de 23 heures, le MDL-Chef Jaurès et son binôme, l'Adjudant-Chef D.A.J.M., ont entrepris une patrouille aux abords du village de Satikran, près d'un point d'achat d'hévéa. Leur progression a été interrompue par un homme en tenue traditionnelle dozo, dont l'attitude énigmatique a précipité la tragédie.

La Rencontre Fatale


Alors que la patrouille approchait du village, l'inconnu en tenue dozo a perturbé les gendarmes en allumant brusquement sa torche, les éblouissant. Cherchant à identifier les gendarmes, le MDL-Chef Jaurès décline son identité, une action qui scelle tragiquement son destin. Sans avertissement, l'homme dozo ouvre le feu, abandonnant le gendarme grièvement blessé.

Evacuation et Tragique Dénouement


Transporté d'urgence au centre de santé rural de Satikran, le Maréchal des Logis-Chef, atteint à l'abdomen, lutte pour sa vie. Malheureusement, la gravité de ses blessures se révèle insurmontable, entraînant son décès. La nouvelle déchirante atteint rapidement ses collègues, mobilisant les autorités de la gendarmerie.

Réaction des Autorité


Le commandant de brigade et des éléments de la Brigade, alertés par l'Adjudant-Chef D.A.J.M., ainsi que les commandants de la septième légion de la Gendarmerie Territoriale et Mobile, convergent rapidement vers le lieu du drame, formant un détachement déterminé à faire la lumière sur cet acte odieux.

Interpellations et Nécessité d'Enquête


L'enquête, menée avec diligence, conduit à l'arrestation de deux individus lors d'une battue organisée. O. Karim, cultivateur ivoirien de Kodjina, et O. Seydou, conducteur de tricycle également domicilié à Kodjina, sont appréhendés. Parmi les autres individus interpellés dans le village figurent Y. K. Benjamin, propriétaire du pesage à Satikran, et K.A. Célestin, vigile du pesage également résidant à Satikran.

Des Interpellations Multiples


La battue initiée après le drame a conduit à plusieurs interpellations pour approfondir l'enquête. Outre les deux suspects majeurs, d'autres individus du village ont été appréhendés, parmi lesquels Y. K. Benjamin et K.A. Célestin, appelés à fournir des informations cruciales dans le but de comprendre les circonstances exactes de l'assassinat.

L'assassinat du Maréchal des Logis-Chef Bahyo Ninsemon Jaurès a plongé la gendarmerie nationale dans le deuil et la consternation. Alors que les autorités s'efforcent de démêler les fils de cette tragédie, les questions demeurent sur les motivations de l'agresseur et les éventuelles failles dans la sécurité. En cette période sombre, la communauté gendarmique se recueille pour honorer la mémoire de l'homme qui a perdu la vie en protégeant la sécurité de tous.

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Image de Faits Divers. Dans la nuit du mardi 30 janvier 2024, une tragédie a frappé la gendarmerie nationale de Côte d'Ivoire. Le Maréchal des Logis-Chef Bahyo Ninsemon Jaurès, en service à la Brigade Territoriale d'Aniassué, a été mortellement abattu par un individu en tenue traditionnelle dozo, jetant l'ombre de la violence sur la paisible route de Satikran, dans le département d'Abengourou. Une Patrouille Mortelle Aux alentours de 23 heures, le MDL-Chef Jaurès et son binôme, l'Adjudant-Chef D.A.J.M., ont entrepris une patrouille aux abords du village de Satikran, près d'un point d'achat d'hévéa. Leur progression a été interrompue par un homme en tenue traditionnelle dozo, dont l'attitude énigmatique a précipité la tragédie. La Rencontre Fatale Alors que la patrouille approchait du village, l'inconnu en tenue dozo a perturbé les gendarmes en allumant brusquement sa torche, les éblouissant. Cherchant à identifier les gendarmes, le MDL-Chef Jaurès décline son identité, une action qui scelle tragiquement son destin. Sans avertissement, l'homme dozo ouvre le feu, abandonnant le gendarme grièvement blessé. Evacuation et Tragique Dénouement Transporté d'urgence au centre de santé rural de Satikran, le Maréchal des Logis-Chef, atteint à l'abdomen, lutte pour sa vie. Malheureusement, la gravité de ses blessures se révèle insurmontable, entraînant son décès. La nouvelle déchirante atteint rapidement ses collègues, mobilisant les autorités de la gendarmerie. Réaction des Autorité Le commandant de brigade et des éléments de la Brigade, alertés par l'Adjudant-Chef D.A.J.M., ainsi que les commandants de la septième légion de la Gendarmerie Territoriale et Mobile, convergent rapidement vers le lieu du drame, formant un détachement déterminé à faire la lumière sur cet acte odieux. Interpellations et Nécessité d'Enquête L'enquête, menée avec diligence, conduit à l'arrestation de deux individus lors d'une battue organisée. O. Karim, cultivateur ivoirien de Kodjina, et O. Seydou, conducteur de tricycle également domicilié à Kodjina, sont appréhendés. Parmi les autres individus interpellés dans le village figurent Y. K. Benjamin, propriétaire du pesage à Satikran, et K.A. Célestin, vigile du pesage également résidant à Satikran. Des Interpellations Multiples La battue initiée après le drame a conduit à plusieurs interpellations pour approfondir l'enquête. Outre les deux suspects majeurs, d'autres individus du village ont été appréhendés, parmi lesquels Y. K. Benjamin et K.A. Célestin, appelés à fournir des informations cruciales dans le but de comprendre les circonstances exactes de l'assassinat. L'assassinat du Maréchal des Logis-Chef Bahyo Ninsemon Jaurès a plongé la gendarmerie nationale dans le deuil et la consternation. Alors que les autorités s'efforcent de démêler les fils de cette tragédie, les questions demeurent sur les motivations de l'agresseur et les éventuelles failles dans la sécurité. En cette période sombre, la communauté gendarmique se recueille pour honorer la mémoire de l'homme qui a perdu la vie en protégeant la sécurité de tous.

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