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Samedi, 23 Novembre 2024 à 9:30

Jean-Baptiste Djeka Kouadio Présente Les Principales Orientations Du Fata - Culture - Ivoireland

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RomeoIvoire RomeoIvoire le 9 mars à 18:49

Dans l'effervescence du mois de juillet à Sakassou, une ville située au cœur de la Côte d'Ivoire, se prépare un événement d'une importance capitale : le Festival des Arts et Traditions d'Akan (FATA). Sous la houlette de Jean-Baptiste Djeka Kouadio, artiste-peintre et commissaire général de cet événement, Sakassou s'apprête à devenir le centre névralgique de la culture africaine du 1er au 15 juillet prochain.

Un héritage culturel à célébrer


À l'origine de ce festival, une vision profonde de Jean-Baptiste Djeka Kouadio qui exprime son désir ardent de reconnecter les Africains à leurs racines culturelles. "Il y a longtemps que nous travaillons sur le projet", révèle-t-il, soulignant ainsi l'ampleur de la réflexion et de la préparation en amont de cet événement d'envergure.

Le choix du nom du festival, "FATA", n'est pas anodin. Il puise ses racines dans la tradition et la signification profonde des mots hérités des ancêtres. "FATA veut dire c’est joli avec toi", explique-t-il. Cette appellation, empreinte de beauté et de force, symbolise le renouveau culturel que souhaite incarner cet événement.

Le FATA, selon Jean-Baptiste Djeka Kouadio, va bien au-delà des frontières de Sakassou. C'est une plateforme d'échanges culturels qui se veut être un rendez-vous incontournable pour tous les amoureux de la culture africaine, mais aussi une vitrine sur le monde. "Nous parlons du rendez-vous de village planétaire", affirme-t-il, reprenant les mots de Léopold Sédar Senghor pour exprimer l'ambition continentale de cet événement.

Un programme riche et diversifié


Pendant les deux semaines que durera le FATA, Sakassou vibrera au rythme des danses et des chants des 172 villages qui la composent. Mais ce festival ne se limite pas à des performances artistiques. Des conférences-débats seront également au programme, réunissant enseignants-chercheurs et acteurs culturels autour de thématiques essentielles pour la renaissance culturelle africaine.

Bien que cette édition soit la première du genre, le FATA a déjà suscité un vif intérêt. L'année précédente, une édition zéro avait été lancée pour évaluer l'engouement et l'impact potentiel d'un tel événement. Aujourd'hui, avec un thème aussi évocateur que "La renaissance du peuple Waoulé dans les univers Baoulés, Akans, Krous, Gours, Mandés, Wês et Volta de la République de Côte d'Ivoire", le FATA s'annonce comme un rendez-vous incontournable pour tous ceux qui souhaitent participer à l'éveil culturel de l'Afrique.

À l'heure où la mondialisation menace de diluer les spécificités culturelles, le FATA se positionne comme un rempart, une bouffée d'air frais dans le paysage culturel africain. "Nous sommes convaincus que l'industrie culturelle est là", assure Jean-Baptiste Djeka Kouadio, confiant dans le potentiel de cet événement à insuffler un nouvel élan à la culture africaine. Quel rôle les festivals culturels comme le FATA peuvent-ils jouer dans la préservation et la promotion de la diversité culturelle en Afrique et dans le monde ?

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Image de Culture. Dans l'effervescence du mois de juillet à Sakassou, une ville située au cœur de la Côte d'Ivoire, se prépare un événement d'une importance capitale : le Festival des Arts et Traditions d'Akan (FATA). Sous la houlette de Jean-Baptiste Djeka Kouadio, artiste-peintre et commissaire général de cet événement, Sakassou s'apprête à devenir le centre névralgique de la culture africaine du 1er au 15 juillet prochain. Un héritage culturel à célébrer À l'origine de ce festival, une vision profonde de Jean-Baptiste Djeka Kouadio qui exprime son désir ardent de reconnecter les Africains à leurs racines culturelles. "Il y a longtemps que nous travaillons sur le projet", révèle-t-il, soulignant ainsi l'ampleur de la réflexion et de la préparation en amont de cet événement d'envergure. Le choix du nom du festival, "FATA", n'est pas anodin. Il puise ses racines dans la tradition et la signification profonde des mots hérités des ancêtres. "FATA veut dire c’est joli avec toi", explique-t-il. Cette appellation, empreinte de beauté et de force, symbolise le renouveau culturel que souhaite incarner cet événement. Le FATA, selon Jean-Baptiste Djeka Kouadio, va bien au-delà des frontières de Sakassou. C'est une plateforme d'échanges culturels qui se veut être un rendez-vous incontournable pour tous les amoureux de la culture africaine, mais aussi une vitrine sur le monde. "Nous parlons du rendez-vous de village planétaire", affirme-t-il, reprenant les mots de Léopold Sédar Senghor pour exprimer l'ambition continentale de cet événement. Un programme riche et diversifié Pendant les deux semaines que durera le FATA, Sakassou vibrera au rythme des danses et des chants des 172 villages qui la composent. Mais ce festival ne se limite pas à des performances artistiques. Des conférences-débats seront également au programme, réunissant enseignants-chercheurs et acteurs culturels autour de thématiques essentielles pour la renaissance culturelle africaine. Bien que cette édition soit la première du genre, le FATA a déjà suscité un vif intérêt. L'année précédente, une édition zéro avait été lancée pour évaluer l'engouement et l'impact potentiel d'un tel événement. Aujourd'hui, avec un thème aussi évocateur que "La renaissance du peuple Waoulé dans les univers Baoulés, Akans, Krous, Gours, Mandés, Wês et Volta de la République de Côte d'Ivoire", le FATA s'annonce comme un rendez-vous incontournable pour tous ceux qui souhaitent participer à l'éveil culturel de l'Afrique. À l'heure où la mondialisation menace de diluer les spécificités culturelles, le FATA se positionne comme un rempart, une bouffée d'air frais dans le paysage culturel africain. "Nous sommes convaincus que l'industrie culturelle est là", assure Jean-Baptiste Djeka Kouadio, confiant dans le potentiel de cet événement à insuffler un nouvel élan à la culture africaine. Quel rôle les festivals culturels comme le FATA peuvent-ils jouer dans la préservation et la promotion de la diversité culturelle en Afrique et dans le monde ?

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