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Jeudi, 21 Novembre 2024 à 20:46

Grand-Bassam: Le Ministère En Charge De l’Industrie En Visite Sur Les Sites - Société - Ivoireland

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Côte d’Ivoire: Visite d'Une Délégation De Femmes Wan Chez Simone Gbagbo / 8 Mars: Débats Autour De l'Image Des Femmes Dans l'Industrie Musicale / Climat: La Fao Et Le Mef Soutiennent Les 4 Villages De Grand Béréby (2) (3) (4)

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RomeoIvoire RomeoIvoire le 27 mars à 10:41

La récente série de visites du Directeur Général de l’Industrie, Emmanuel Tra Bi, dans deux importantes entreprises de transformation de noix de cajou en Côte d'Ivoire a attiré l'attention sur les défis auxquels est confrontée cette filière d'exportation cruciale pour l'économie ivoirienne. DENIA Ivoire, située au sein du VITIB à Grand Bassam, et CILAGRI-CAJOU, implantée dans la Zone portuaire de Vridi, ont été les deux sites scrutés de près lors de cette initiative, orchestrée au nom du Ministre du Commerce et de l’Industrie.

Des Rumeurs Alarmantes : Fermetures en Cascade?


À l'origine de ces visites, des rumeurs persistantes, amplifiées par la presse écrite et les réseaux sociaux, laissant entendre que plusieurs entreprises de la filière cajou étaient au bord de la fermeture, suscitant ainsi des inquiétudes quant à la stabilité du secteur. Ces allégations ont incité les autorités à mener une enquête approfondie pour démêler le vrai du faux.

Au sein de DENIA Ivoire, la première étape de cette série de visites, un constat alarmant a été relevé : un arrêt temporaire des opérations en raison de plaintes émanant des riverains concernant les nuisances sonores et olfactives. Emmanuel Tra Bi, lors de son intervention, a annoncé que des mesures étaient déjà en cours pour résoudre cette situation et permettre à l'entreprise de reprendre ses activités dans les plus brefs délais. Cette halte forcée a mis en lumière la nécessité d'une meilleure planification urbanistique pour les sites industriels, soulignant ainsi l'importance cruciale de la coopération entre les opérateurs économiques et les autorités locales.

Contrairement aux sombres perspectives annoncées, la visite à CILAGRI-CAJOU a révélé un tableau bien plus optimiste. Cette entreprise, avec ses 500 employés et sa capacité de production annuelle de plus de 30 000 tonnes, a fait montre d'une résilience notable malgré les défis rencontrés sur le marché international. Emmanuel Tra Bi a salué les efforts de l'entreprise, soulignant notamment les investissements consentis pour moderniser ses équipements et accroître sa productivité. Cette réussite relative met en exergue l'importance cruciale de l'innovation et de l'adaptabilité dans un contexte économique mondial souvent instable.

Appel à la Responsabilité et à la Vérification des Faits


Lors de ses interventions, le Directeur Général de l’Industrie a appelé à une approche plus responsable de la part des médias, invitant les journalistes à vérifier leurs sources avant de relayer des informations, afin d'éviter la propagation de fausses nouvelles pouvant nuire à la réputation des entreprises et à la stabilité du secteur dans son ensemble. Cette mise en garde souligne l'importance cruciale d'un journalisme responsable dans un monde où la désinformation peut avoir des conséquences dévastatrices.

En dépit des défis actuels, il est important de souligner le rôle prépondérant de la Côte d'Ivoire dans le marché mondial de la noix de cajou. Avec une production annuelle dépassant les 1,2 million de tonnes et près d'une quarantaine d'entreprises opérant dans le secteur, le pays reste un acteur incontournable de cette industrie en plein essor. Toutefois, les récents développements soulignent la nécessité d'une vigilance constante et d'une adaptation continue pour garantir la durabilité et la prospérité à long terme de cette filière vitale pour l'économie nationale.

Alors que la Côte d'Ivoire et d'autres pays producteurs de noix de cajou s'efforcent de surmonter les défis actuels, une question demeure : quel avenir se dessine pour la filière cajou à l'ère des fluctuations économiques mondiales et des pressions environnementales croissantes? Face à ces défis, quelles stratégies devraient être adoptées pour assurer la pérennité et la prospérité de cette industrie cruciale?

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Image de Société. La récente série de visites du Directeur Général de l’Industrie, Emmanuel Tra Bi, dans deux importantes entreprises de transformation de noix de cajou en Côte d'Ivoire a attiré l'attention sur les défis auxquels est confrontée cette filière d'exportation cruciale pour l'économie ivoirienne. DENIA Ivoire, située au sein du VITIB à Grand Bassam, et CILAGRI-CAJOU, implantée dans la Zone portuaire de Vridi, ont été les deux sites scrutés de près lors de cette initiative, orchestrée au nom du Ministre du Commerce et de l’Industrie. Des Rumeurs Alarmantes : Fermetures en Cascade? À l'origine de ces visites, des rumeurs persistantes, amplifiées par la presse écrite et les réseaux sociaux, laissant entendre que plusieurs entreprises de la filière cajou étaient au bord de la fermeture, suscitant ainsi des inquiétudes quant à la stabilité du secteur. Ces allégations ont incité les autorités à mener une enquête approfondie pour démêler le vrai du faux. Au sein de DENIA Ivoire, la première étape de cette série de visites, un constat alarmant a été relevé : un arrêt temporaire des opérations en raison de plaintes émanant des riverains concernant les nuisances sonores et olfactives. Emmanuel Tra Bi, lors de son intervention, a annoncé que des mesures étaient déjà en cours pour résoudre cette situation et permettre à l'entreprise de reprendre ses activités dans les plus brefs délais. Cette halte forcée a mis en lumière la nécessité d'une meilleure planification urbanistique pour les sites industriels, soulignant ainsi l'importance cruciale de la coopération entre les opérateurs économiques et les autorités locales. Contrairement aux sombres perspectives annoncées, la visite à CILAGRI-CAJOU a révélé un tableau bien plus optimiste. Cette entreprise, avec ses 500 employés et sa capacité de production annuelle de plus de 30 000 tonnes, a fait montre d'une résilience notable malgré les défis rencontrés sur le marché international. Emmanuel Tra Bi a salué les efforts de l'entreprise, soulignant notamment les investissements consentis pour moderniser ses équipements et accroître sa productivité. Cette réussite relative met en exergue l'importance cruciale de l'innovation et de l'adaptabilité dans un contexte économique mondial souvent instable. Appel à la Responsabilité et à la Vérification des Faits Lors de ses interventions, le Directeur Général de l’Industrie a appelé à une approche plus responsable de la part des médias, invitant les journalistes à vérifier leurs sources avant de relayer des informations, afin d'éviter la propagation de fausses nouvelles pouvant nuire à la réputation des entreprises et à la stabilité du secteur dans son ensemble. Cette mise en garde souligne l'importance cruciale d'un journalisme responsable dans un monde où la désinformation peut avoir des conséquences dévastatrices. En dépit des défis actuels, il est important de souligner le rôle prépondérant de la Côte d'Ivoire dans le marché mondial de la noix de cajou. Avec une production annuelle dépassant les 1,2 million de tonnes et près d'une quarantaine d'entreprises opérant dans le secteur, le pays reste un acteur incontournable de cette industrie en plein essor. Toutefois, les récents développements soulignent la nécessité d'une vigilance constante et d'une adaptation continue pour garantir la durabilité et la prospérité à long terme de cette filière vitale pour l'économie nationale. Alors que la Côte d'Ivoire et d'autres pays producteurs de noix de cajou s'efforcent de surmonter les défis actuels, une question demeure : quel avenir se dessine pour la filière cajou à l'ère des fluctuations économiques mondiales et des pressions environnementales croissantes? Face à ces défis, quelles stratégies devraient être adoptées pour assurer la pérennité et la prospérité de cette industrie cruciale?

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