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Présidentielle: Adjoumani Évoque Le "Match Retour" Et Appelle À La Maturité - Politique - Ivoireland

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Adjoumani Souhaite Que Katinan, De Retour Du Burkina Faso, Soit Entendu / Dr Simone Ehivet Gbagbo Appelle À Réformer La CEI Pour l'Élection Présidentielle / N'Guessan Du PDCI-Anyama Appelle À La Transparence Pour La Présidentielle 2025 (2) (3) (4)

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RomeoIvoire RomeoIvoire le 27 août à 19:22

À l'approche des élections présidentielles de 2025 en Côte d'Ivoire, les tensions politiques montent, et les discours s'intensifient. Lors d'une tribune politique tenue la semaine dernière, le ministre d'État, ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Etienne Kobenan Kouassi Adjoumani, également porte-parole du RHDP (Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix), a pris la parole pour aborder la question électorale cruciale que représente ce qu'il a qualifié de "match retour". Ses propos, appelant à la maturité et à la responsabilité des acteurs politiques, ont résonné comme un avertissement et un appel au calme alors que le pays se prépare à une nouvelle élection décisive.

Un contexte électoral sous haute tension


Les présidentielles prévues pour octobre 2025 continuent de polariser la scène politique ivoirienne. Dans ce climat chargé, le ministre d'État Etienne Kobenan Kouassi Adjoumani, fidèle porte-parole du RHDP, a réitéré l'importance de ces élections, souvent perçues comme un "match retour" après les précédents scrutins marqués par des tensions et des conflits.

Lors de son intervention, Adjoumani a répondu aux critiques formulées par certains cadres du PPA-CI (Parti des Peuples Africains - Côte d'Ivoire), qui ont suggéré que sans la candidature de leur leader Laurent Gbagbo, les élections n’auraient pas lieu. "Dans la vie, il faut savoir tirer les leçons de son passé et de ses actes", a-t-il déclaré, rappelant l'importance de la maturité politique et de la responsabilité. "En tout état de cause, c’est le terrain qui va nous départager."

Pour Adjoumani, le véritable enjeu de l'élection de 2025 réside dans la capacité du peuple ivoirien à jouer pleinement son rôle de "juge-arbitre". Il a souligné que le choix du futur président revient au peuple, qui doit être libre de décider sans intimidation ni violence. "En 2025, la balle sera remise au centre et le peuple, seul juge-arbitre, désignera qui doit présider aux destinées de la Côte d’Ivoire pour les cinq prochaines années", a-t-il insisté.

Cet appel à la sagesse et à la prudence intervient dans un contexte où la Côte d'Ivoire se prépare à des élections qui pourraient potentiellement remodeler son paysage politique. Le ministre a également réaffirmé la détermination du président Alassane Ouattara à assurer la paix et la sécurité tout au long du processus électoral, déclarant que "le désordre n’aura pas droit au chapitre en 2025."

Le discours d'Adjoumani met en lumière la priorité du RHDP sur la stabilité et la sécurité. Le ministre a clairement indiqué que toute tentative de perturber l'ordre public ne serait pas tolérée. "Si la violence politique et l’instauration de la chienlit sont les rêves de certains individus dans ce pays, qu’ils sachent que le président Alassane Ouattara ne permettra jamais cela", a averti Adjoumani. Cette déclaration ferme vise à rassurer les citoyens et à prévenir toute escalade de tensions à l'approche du scrutin.

Le gouvernement ivoirien, sous la direction d'Alassane Ouattara, semble déterminé à éviter la répétition des violences électorales passées. Des mesures seront prises pour garantir que le processus électoral soit transparent, équitable et pacifique, même si la compétition s'annonce âpre entre les différentes forces politiques en présence.


https://www.youtube.com/watch?v=Pv98TLVV-mA

Un appel à la maturité politique et à la responsabilité


L'un des thèmes récurrents du discours d'Adjoumani est l'appel à la maturité politique. Il a exhorté les acteurs politiques à tirer les leçons des erreurs du passé et à privilégier la voie de la paix et de la démocratie. "C’est la vérité du terrain qui s’imposera", a-t-il rappelé, soulignant que seul un processus électoral juste et transparent permettra de déterminer le meilleur candidat pour diriger le pays.

Cet appel intervient à un moment crucial où la Côte d'Ivoire, après plusieurs années de croissance économique et de relative stabilité, cherche à consolider ses acquis démocratiques. Le ministre a encouragé les politiciens de tous bords à respecter la volonté du peuple et à éviter toute rhétorique incendiaire susceptible de diviser le pays.

Malgré les assurances du gouvernement, les défis pour organiser une élection pacifique en 2025 sont nombreux. La méfiance entre les partis politiques, les souvenirs encore vifs des violences passées, et les enjeux socio-économiques croissants posent des défis importants pour les autorités ivoiriennes.

Le RHDP, conscient de ces défis, s'efforce de maintenir un dialogue ouvert avec tous les acteurs politiques et de promouvoir une culture de la tolérance et du respect mutuel. "Nous devons tous faire preuve de maturité et comprendre que l'avenir de la Côte d'Ivoire est en jeu", a souligné Adjoumani.

Alors que le pays se prépare à l'échéance électorale de 2025, une question persiste : la Côte d'Ivoire saura-t-elle faire preuve de maturité politique et surmonter les divisions pour garantir une élection pacifique et transparente ?

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Image de Politique. À l'approche des élections présidentielles de 2025 en Côte d'Ivoire, les tensions politiques montent, et les discours s'intensifient. Lors d'une tribune politique tenue la semaine dernière, le ministre d'État, ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Etienne Kobenan Kouassi Adjoumani, également porte-parole du RHDP (Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix), a pris la parole pour aborder la question électorale cruciale que représente ce qu'il a qualifié de "match retour". Ses propos, appelant à la maturité et à la responsabilité des acteurs politiques, ont résonné comme un avertissement et un appel au calme alors que le pays se prépare à une nouvelle élection décisive. Un contexte électoral sous haute tension Les présidentielles prévues pour octobre 2025 continuent de polariser la scène politique ivoirienne. Dans ce climat chargé, le ministre d'État Etienne Kobenan Kouassi Adjoumani, fidèle porte-parole du RHDP, a réitéré l'importance de ces élections, souvent perçues comme un "match retour" après les précédents scrutins marqués par des tensions et des conflits. Lors de son intervention, Adjoumani a répondu aux critiques formulées par certains cadres du PPA-CI (Parti des Peuples Africains - Côte d'Ivoire), qui ont suggéré que sans la candidature de leur leader Laurent Gbagbo, les élections n’auraient pas lieu. "Dans la vie, il faut savoir tirer les leçons de son passé et de ses actes", a-t-il déclaré, rappelant l'importance de la maturité politique et de la responsabilité. "En tout état de cause, c’est le terrain qui va nous départager." Pour Adjoumani, le véritable enjeu de l'élection de 2025 réside dans la capacité du peuple ivoirien à jouer pleinement son rôle de "juge-arbitre". Il a souligné que le choix du futur président revient au peuple, qui doit être libre de décider sans intimidation ni violence. "En 2025, la balle sera remise au centre et le peuple, seul juge-arbitre, désignera qui doit présider aux destinées de la Côte d’Ivoire pour les cinq prochaines années", a-t-il insisté. Cet appel à la sagesse et à la prudence intervient dans un contexte où la Côte d'Ivoire se prépare à des élections qui pourraient potentiellement remodeler son paysage politique. Le ministre a également réaffirmé la détermination du président Alassane Ouattara à assurer la paix et la sécurité tout au long du processus électoral, déclarant que "le désordre n’aura pas droit au chapitre en 2025." Le discours d'Adjoumani met en lumière la priorité du RHDP sur la stabilité et la sécurité. Le ministre a clairement indiqué que toute tentative de perturber l'ordre public ne serait pas tolérée. "Si la violence politique et l’instauration de la chienlit sont les rêves de certains individus dans ce pays, qu’ils sachent que le président Alassane Ouattara ne permettra jamais cela", a averti Adjoumani. Cette déclaration ferme vise à rassurer les citoyens et à prévenir toute escalade de tensions à l'approche du scrutin. Le gouvernement ivoirien, sous la direction d'Alassane Ouattara, semble déterminé à éviter la répétition des violences électorales passées. Des mesures seront prises pour garantir que le processus électoral soit transparent, équitable et pacifique, même si la compétition s'annonce âpre entre les différentes forces politiques en présence. Un appel à la maturité politique et à la responsabilité L'un des thèmes récurrents du discours d'Adjoumani est l'appel à la maturité politique. Il a exhorté les acteurs politiques à tirer les leçons des erreurs du passé et à privilégier la voie de la paix et de la démocratie. "C’est la vérité du terrain qui s’imposera", a-t-il rappelé, soulignant que seul un processus électoral juste et transparent permettra de déterminer le meilleur candidat pour diriger le pays. Cet appel intervient à un moment crucial où la Côte d'Ivoire, après plusieurs années de croissance économique et de relative stabilité, cherche à consolider ses acquis démocratiques. Le ministre a encouragé les politiciens de tous bords à respecter la volonté du peuple et à éviter toute rhétorique incendiaire susceptible de diviser le pays. Malgré les assurances du gouvernement, les défis pour organiser une élection pacifique en 2025 sont nombreux. La méfiance entre les partis politiques, les souvenirs encore vifs des violences passées, et les enjeux socio-économiques croissants posent des défis importants pour les autorités ivoiriennes. Le RHDP, conscient de ces défis, s'efforce de maintenir un dialogue ouvert avec tous les acteurs politiques et de promouvoir une culture de la tolérance et du respect mutuel. "Nous devons tous faire preuve de maturité et comprendre que l'avenir de la Côte d'Ivoire est en jeu", a souligné Adjoumani. Alors que le pays se prépare à l'échéance électorale de 2025, une question persiste : la Côte d'Ivoire saura-t-elle faire preuve de maturité politique et surmonter les divisions pour garantir une élection pacifique et transparente ?

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