A'Salfo Explique Pourquoi Certains Artistes Nigérians Manquaient Au FEMUA - Musique/Radio - Ivoireland

L'édition 2024 du Festival des Musiques Urbaines d'Anoumabo (FEMUA) est prévue pour le jeudi 16 mai jusqu'au dimanche 19 mai. Un événement réputé pour la richesse de sa programmation artistique qui, cette année, fait face à une absence notable: celle de certains des plus grands artistes nigérians. Face aux interrogations du public, A'Salfo, commissaire général de l'événement, apporte des éclaircissements.

"Le FEMUA, une Plateforme de Renommée pour les Artistes"

Le FEMUA est un rendez-vous incontournable de la scène musicale en Côte d'Ivoire, attirant chaque année un public nombreux, venu admirer des artistes de renom. Parallèlement aux concerts, le festival propose également diverses activités, faisant de cette période une occasion de célébrer la musique et la culture africaine. Cet ensemble de prestations contribue à faire du FEMUA un événement unique.

La liste prestigieuse des artistes qui seront présents sur le podium cette année ne manque pas d'éclat. Cependant, l'absence de certains artistes nigérians est remarquée. À la suite de cette observation, un internaute a décidé de questionner directement A'Salfo, le commissaire général du FEMUA, sur cette absence.

"La Réponse franche d'A'Salfo à la Question de l'absence des Artistes Nigérians"

En réponse à la question de l'internaute concernant la non-participation de certaines grandes stars de la musique nigériane, A'Salfo, leader emblématique du groupe Zouglou, n'a pas hésité à exprimer son point de vue. A'Salfo explique que la présence de ces artistes à des coûts trop élevés serait préjudiciable à la réalisation d'autres aspects importants du festival, tels que la construction d'écoles.

La déclaration franche d'A'Salfo met en lumière les défis auxquels les festivals comme le FEMUA sont confrontés, en particulier en matière de financement et de gestion des ressources. Cette situation pose la question suivante : Comment les organisateurs de festivals peuvent-ils concilier les demandes financières des artistes et la promotion d'autres aspects importants du développement communautaire ?