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Dette Extérieure: Chérif Hamed Haïdara Défend La Politique d'Endettement - Politique - Ivoireland

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RomeoIvoire RomeoIvoire le 27 mai à 17:41

Le débat sur la dette extérieure de la Côte d'Ivoire suscite actuellement de vives discussions, opposant farouchement les partisans du gouvernement et les critiques de l'opposition. Dans ce contexte tumultueux, Chérif Hamed Haïdara, président du Rassemblement Démocratique Ivoirien (RDI), a pris la parole pour clarifier la position de son parti et apporter des éclaircissements sur la situation financière du pays. Haïdara a utilisé des allégories simples et accessibles pour expliquer la situation, tentant de rassurer les Ivoiriens quant aux perspectives d'avenir.

Un Débat National Crucial


L'opposition ivoirienne a exprimé de vives critiques concernant la politique d'endettement du gouvernement. Les inquiétudes se concentrent principalement sur les mécanismes de remboursement de la dette et l'impact potentiel sur les générations futures. Les opposants craignent que l'accumulation de dettes ne compromette la souveraineté économique du pays et ne pèse lourdement sur les finances publiques à long terme.

Pour illustrer son propos, Chérif Hamed Haïdara a comparé la situation financière de la Côte d'Ivoire à celle d'une équipe nationale de football, évoquant les émotions partagées par les Ivoiriens lors des défaites et victoires de leur équipe. « Les Ivoiriens ont raison de se préoccuper de tout ce qui concerne leur pays », a-t-il déclaré, saluant l'intérêt de ses compatriotes pour les affaires nationales. « Aujourd'hui, ce débat sur la dette est tout aussi important car il concerne la vie de la nation », a-t-il ajouté.

En réponse aux préoccupations de l'opposition, Haïdara a tenu à rassurer en soulignant que l'endettement est un outil de développement lorsqu'il est bien géré. « Nos frères de l'opposition sont préoccupés par les mécanismes de remboursement de cette dette », a-t-il reconnu. Cependant, il estime que ces inquiétudes sont exagérées. « Nous sommes dans une famille avec un patrimoine immense. Si le père s'endette pour bâtir une grande maison ou s'acheter une belle voiture, cela ne devrait pas être un motif d'inquiétude », a-t-il illustré.

Selon Haïdara, les dettes contractées par le gouvernement visent à financer des projets de développement infrastructurel qui auront un impact positif à long terme. Il a insisté sur le fait que le président Alassane Ouattara, en tant que banquier expérimenté, sait mesurer les risques et prendre des initiatives en connaissance de cause. « Du Nord au Sud, de l'Est à l'Ouest, le pays est en chantier. Tous les villages sont quasiment reliés au réseau électrique, et l'eau courante est disponible sur tout le territoire », a-t-il détaillé.


https://www.youtube.com/watch?v=TahD2g6olQY

Les Fruits de l'Endettement


Haïdara a mis en avant les progrès réalisés en matière d'infrastructures grâce aux emprunts contractés. Il a mentionné les centaines de kilomètres de routes bitumées, la réhabilitation et la construction d'aérodromes et d'aéroports, ainsi que l'extension du réseau électrique et de l'accès à l'eau potable. « Ces investissements ont créé de nombreux emplois, tant pour leur réalisation que pour les besoins en sécurité nationale », a-t-il noté, soulignant l'augmentation des effectifs des forces de l'ordre.

L'homme politique a également insisté sur les retombées économiques et sociales des projets financés par la dette. Selon lui, ces infrastructures sont essentielles pour le développement du pays, améliorant non seulement la qualité de vie des citoyens mais aussi attirant les investissements étrangers. « Ce n'est pas un crime de s'endetter, surtout pour garantir des infrastructures qui améliorent la qualité de vie », a-t-il affirmé.

Pour Haïdara, la politique d'endettement du président Ouattara témoigne de son leadership et de sa vision pour l'avenir de la Côte d'Ivoire. Il a souligné que le pays n'est pas « vendu à des créanciers » et que le leadership du président inspire confiance aux bailleurs de fonds internationaux. « L'essentiel est que ces dettes servent à construire et à améliorer notre nation », a-t-il conclu.
Haïdara a appelé à une critique constructive de l'action gouvernementale, invitant l'opposition à proposer des solutions alternatives plutôt que de se contenter de critiquer. Il a souligné l'importance d'un débat ouvert et informé pour le bien de la nation. « Nous devons travailler ensemble pour trouver les meilleures solutions pour notre pays », a-t-il déclaré.

En conclusion, le débat sur la dette extérieure de la Côte d'Ivoire reste crucial pour l'avenir du pays. Alors que l'opposition continue de mettre en garde contre les dangers de l'endettement, le gouvernement et ses partisans, comme Chérif Hamed Haïdara, défendent cette politique comme un moyen indispensable de développement. La question reste ouverte : la Côte d’Ivoire pourra-t-elle gérer efficacement sa dette tout en poursuivant son développement infrastructurel et économique ?

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Image de Politique. Le débat sur la dette extérieure de la Côte d'Ivoire suscite actuellement de vives discussions, opposant farouchement les partisans du gouvernement et les critiques de l'opposition. Dans ce contexte tumultueux, Chérif Hamed Haïdara, président du Rassemblement Démocratique Ivoirien (RDI), a pris la parole pour clarifier la position de son parti et apporter des éclaircissements sur la situation financière du pays. Haïdara a utilisé des allégories simples et accessibles pour expliquer la situation, tentant de rassurer les Ivoiriens quant aux perspectives d'avenir. Un Débat National Crucial L'opposition ivoirienne a exprimé de vives critiques concernant la politique d'endettement du gouvernement. Les inquiétudes se concentrent principalement sur les mécanismes de remboursement de la dette et l'impact potentiel sur les générations futures. Les opposants craignent que l'accumulation de dettes ne compromette la souveraineté économique du pays et ne pèse lourdement sur les finances publiques à long terme. Pour illustrer son propos, Chérif Hamed Haïdara a comparé la situation financière de la Côte d'Ivoire à celle d'une équipe nationale de football, évoquant les émotions partagées par les Ivoiriens lors des défaites et victoires de leur équipe. « Les Ivoiriens ont raison de se préoccuper de tout ce qui concerne leur pays », a-t-il déclaré, saluant l'intérêt de ses compatriotes pour les affaires nationales. « Aujourd'hui, ce débat sur la dette est tout aussi important car il concerne la vie de la nation », a-t-il ajouté. En réponse aux préoccupations de l'opposition, Haïdara a tenu à rassurer en soulignant que l'endettement est un outil de développement lorsqu'il est bien géré. « Nos frères de l'opposition sont préoccupés par les mécanismes de remboursement de cette dette », a-t-il reconnu. Cependant, il estime que ces inquiétudes sont exagérées. « Nous sommes dans une famille avec un patrimoine immense. Si le père s'endette pour bâtir une grande maison ou s'acheter une belle voiture, cela ne devrait pas être un motif d'inquiétude », a-t-il illustré. Selon Haïdara, les dettes contractées par le gouvernement visent à financer des projets de développement infrastructurel qui auront un impact positif à long terme. Il a insisté sur le fait que le président Alassane Ouattara, en tant que banquier expérimenté, sait mesurer les risques et prendre des initiatives en connaissance de cause. « Du Nord au Sud, de l'Est à l'Ouest, le pays est en chantier. Tous les villages sont quasiment reliés au réseau électrique, et l'eau courante est disponible sur tout le territoire », a-t-il détaillé. Les Fruits de l'Endettement Haïdara a mis en avant les progrès réalisés en matière d'infrastructures grâce aux emprunts contractés. Il a mentionné les centaines de kilomètres de routes bitumées, la réhabilitation et la construction d'aérodromes et d'aéroports, ainsi que l'extension du réseau électrique et de l'accès à l'eau potable. « Ces investissements ont créé de nombreux emplois, tant pour leur réalisation que pour les besoins en sécurité nationale », a-t-il noté, soulignant l'augmentation des effectifs des forces de l'ordre. L'homme politique a également insisté sur les retombées économiques et sociales des projets financés par la dette. Selon lui, ces infrastructures sont essentielles pour le développement du pays, améliorant non seulement la qualité de vie des citoyens mais aussi attirant les investissements étrangers. « Ce n'est pas un crime de s'endetter, surtout pour garantir des infrastructures qui améliorent la qualité de vie », a-t-il affirmé. Pour Haïdara, la politique d'endettement du président Ouattara témoigne de son leadership et de sa vision pour l'avenir de la Côte d'Ivoire. Il a souligné que le pays n'est pas « vendu à des créanciers » et que le leadership du président inspire confiance aux bailleurs de fonds internationaux. « L'essentiel est que ces dettes servent à construire et à améliorer notre nation », a-t-il conclu. Haïdara a appelé à une critique constructive de l'action gouvernementale, invitant l'opposition à proposer des solutions alternatives plutôt que de se contenter de critiquer. Il a souligné l'importance d'un débat ouvert et informé pour le bien de la nation. « Nous devons travailler ensemble pour trouver les meilleures solutions pour notre pays », a-t-il déclaré. En conclusion, le débat sur la dette extérieure de la Côte d'Ivoire reste crucial pour l'avenir du pays. Alors que l'opposition continue de mettre en garde contre les dangers de l'endettement, le gouvernement et ses partisans, comme Chérif Hamed Haïdara, défendent cette politique comme un moyen indispensable de développement. La question reste ouverte : la Côte d’Ivoire pourra-t-elle gérer efficacement sa dette tout en poursuivant son développement infrastructurel et économique ?

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