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Messages de RomeoIvoire (131)

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RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Conflit Israël: Les Pertes Israéliennes À Gaza Équivalentes À Celles De 2014 dans Affaires Etrangères le 20 novembre 2023 à 22:19

Le conflit entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza a atteint un tournant critique, les pertes militaires israéliennes reflétant désormais les niveaux observés lors de l'incursion de 2014. Alors que le 45e jour de l'intervention se déroule, les Forces de Défense Israéliennes (FDI) ont annoncé la mort de sept de leurs soldats au combat, portant à 66 le nombre de militaires tués à Gaza depuis le début de la guerre. Ce chiffre rappelle de manière frappante les pertes subies lors du conflit d'un mois et demi en 2014, au cours duquel 68 soldats israéliens ont officiellement perdu la vie.

La gravité de la situation s'est manifestée au cours de la semaine précédente, avec une augmentation du nombre de décès au sein des rangs de la FDI, passant de 42 au chiffre actuel de 66 au 12 novembre 2023. Cette hausse des pertes est particulièrement marquée parmi les unités d'infanterie et de parachutistes, opérant dans des environnements extrêmement hostiles à travers divers secteurs de Gaza, y compris les camps de réfugiés tels que al-Shati et Jabalya, ainsi que le cœur de la ville de Gaza.

Dans une tentative de réduire les pertes israéliennes, les FDI ont déclaré leur intention d'étendre leurs opérations à de nouveaux quartiers de la bande de Gaza, ciblant notamment la zone de Jabaliya. Des rapports récents indiquent le positionnement de chars israéliens près de l'Hôpital indonésien dans le nord de Gaza. Cependant, de nombreux établissements de santé dans l'enclave palestinienne, y compris l'Hôpital indonésien créé en 2016 avec le financement d'organisations indonésiennes, ont dû interrompre leurs activités.

Pour atténuer davantage les pertes israéliennes, des bombardements intensifiés par l'artillerie et l'aviation ont été utilisés pour cibler les positions détenues par le Hamas. Des frappes aériennes récentes au cours de la nuit de dimanche à lundi ont visé les bastions de résistance du Hamas, les centres de commandement et les dépôts de munitions.

S'ajoutant au bilan, les attaques terroristes perpétrées par le Hamas les 7 et 8 octobre ont coûté la vie à 380 membres des forces armées israéliennes et 59 policiers, selon des chiffres rapportés par le Times of Israel le 8 octobre. Par conséquent, au moins 505 membres des forces de sécurité israéliennes ont perdu la vie depuis le 7 octobre.

Du côté du Hamas, les chiffres concrets restent insaisissables. Selon le dernier rapport du gouvernement du Hamas, 12 300 Palestiniens ont été tués dans les bombardements israéliens sur la bande de Gaza depuis le début de la guerre. Cependant, l'étendue des pertes parmi les combattants du Hamas reste inconnue, soulignant les défis pour obtenir des informations précises depuis l'enclave.

Alors que la situation évolue, le conflit en cours soulève des questions cruciales sur la possibilité d'une escalade supplémentaire, l'efficacité des stratégies militaires employées et les perspectives de résolution diplomatique. La communauté internationale suit de près ces développements, confrontée aux complexités d'un conflit de longue date et profondément enraciné dans la région.

Question à méditer : Face à des tensions croissantes et à des pertes accrues, quelles initiatives diplomatiques ou quelles stratégies pourraient contribuer à une résolution plus durable et plus pérenne du conflit Israël-Hamas ?

Image de Affaires Etrangères. Le conflit entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza a atteint un tournant critique, les pertes militaires israéliennes reflétant désormais les niveaux observés lors de l'incursion de 2014. Alors que le 45e jour de l'intervention se déroule, les Forces de Défense Israéliennes (FDI) ont annoncé la mort de sept de leurs soldats au combat, portant à 66 le nombre de militaires tués à Gaza depuis le début de la guerre. Ce chiffre rappelle de manière frappante les pertes subies lors du conflit d'un mois et demi en 2014, au cours duquel 68 soldats israéliens ont officiellement perdu la vie. La gravité de la situation s'est manifestée au cours de la semaine précédente, avec une augmentation du nombre de décès au sein des rangs de la FDI, passant de 42 au chiffre actuel de 66 au 12 novembre 2023. Cette hausse des pertes est particulièrement marquée parmi les unités d'infanterie et de parachutistes, opérant dans des environnements extrêmement hostiles à travers divers secteurs de Gaza, y compris les camps de réfugiés tels que al-Shati et Jabalya, ainsi que le cœur de la ville de Gaza. Dans une tentative de réduire les pertes israéliennes, les FDI ont déclaré leur intention d'étendre leurs opérations à de nouveaux quartiers de la bande de Gaza, ciblant notamment la zone de Jabaliya. Des rapports récents indiquent le positionnement de chars israéliens près de l'Hôpital indonésien dans le nord de Gaza. Cependant, de nombreux établissements de santé dans l'enclave palestinienne, y compris l'Hôpital indonésien créé en 2016 avec le financement d'organisations indonésiennes, ont dû interrompre leurs activités. Pour atténuer davantage les pertes israéliennes, des bombardements intensifiés par l'artillerie et l'aviation ont été utilisés pour cibler les positions détenues par le Hamas. Des frappes aériennes récentes au cours de la nuit de dimanche à lundi ont visé les bastions de résistance du Hamas, les centres de commandement et les dépôts de munitions. S'ajoutant au bilan, les attaques terroristes perpétrées par le Hamas les 7 et 8 octobre ont coûté la vie à 380 membres des forces armées israéliennes et 59 policiers, selon des chiffres rapportés par le Times of Israel le 8 octobre. Par conséquent, au moins 505 membres des forces de sécurité israéliennes ont perdu la vie depuis le 7 octobre. Du côté du Hamas, les chiffres concrets restent insaisissables. Selon le dernier rapport du gouvernement du Hamas, 12 300 Palestiniens ont été tués dans les bombardements israéliens sur la bande de Gaza depuis le début de la guerre. Cependant, l'étendue des pertes parmi les combattants du Hamas reste inconnue, soulignant les défis pour obtenir des informations précises depuis l'enclave. Alors que la situation évolue, le conflit en cours soulève des questions cruciales sur la possibilité d'une escalade supplémentaire, l'efficacité des stratégies militaires employées et les perspectives de résolution diplomatique. La communauté internationale suit de près ces développements, confrontée aux complexités d'un conflit de longue date et profondément enraciné dans la région. Question à méditer : Face à des tensions croissantes et à des pertes accrues, quelles initiatives diplomatiques ou quelles stratégies pourraient contribuer à une résolution plus durable et plus pérenne du conflit Israël-Hamas ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit La Corée Du Nord Informe Le Japon De Son Projet De Lancer Un Satellite Militaire dans Affaires Etrangères le 20 novembre 2023 à 22:09

La Corée du Nord a récemment annoncé au Japon son intention de lancer un satellite militaire entre le 22 novembre et le 1er décembre. Cette notification a suscité des inquiétudes internationales, d'autant plus que les deux précédentes tentatives de lancement en mai et en août ont échoué. Cette annonce soulève des questions sur les motivations et les ambitions de la Corée du Nord dans le domaine spatial, ainsi que sur les implications géopolitiques et sécuritaires régionales.

Le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un a manifesté à plusieurs reprises la volonté de faire de son pays une puissance spatiale. Cette ambition, bien que déconcertante pour certains observateurs, s'inscrit dans la stratégie globale du régime. Comprendre les motivations derrière ce programme spatial militaire nécessite une analyse approfondie de la politique intérieure de la Corée du Nord, de ses relations internationales, ainsi que des enjeux géopolitiques en Asie de l'Est.

Sur le plan intérieur, le lancement de satellites militaires peut être perçu comme un moyen pour le régime de renforcer sa légitimité et de consolider le pouvoir de Kim Jong Un. Les avancées technologiques, notamment dans le domaine spatial, sont souvent mises en avant comme des réussites nationales, renforçant ainsi la propagande interne et la loyauté envers le leadership.

Sur le plan international, ces lancements suscitent des préoccupations parmi les pays voisins, en particulier la Corée du Sud et le Japon, ainsi que parmi la communauté internationale. Les tirs de missiles et les lancements de satellites peuvent être interprétés comme des provocations, alimentant les tensions déjà existantes dans la région. L'annonce de ce nouveau lancement soulève des questions sur la volonté de la Corée du Nord de respecter les normes internationales et les résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies.

D'un point de vue géopolitique, la Corée du Nord cherche-t-elle à renforcer son influence dans la région en démontrant sa capacité à développer des technologies spatiales avancées ? Comment cela pourrait-il affecter l'équilibre des pouvoirs en Asie de l'Est et les relations entre les acteurs régionaux tels que la Chine, le Japon et la Corée du Sud ?

En outre, la capacité de la Corée du Nord à développer un programme spatial militaire soulève des questions sur la coopération et les sanctions internationales. Comment la communauté internationale, et en particulier les puissances régionales, devraient-elles réagir face à ces développements ? Les sanctions actuelles ont-elles un impact significatif sur la capacité de la Corée du Nord à poursuivre ses ambitions spatiales ?

Enfin, la question de la sécurité régionale demeure cruciale. Comment les pays voisins, en particulier le Japon et la Corée du Sud, envisagent-ils cette nouvelle tentative de lancement de satellite ? Quelles mesures prendront-ils pour assurer la sécurité de la région et faire face aux défis posés par les activités spatiales de la Corée du Nord ?

L'annonce du lancement imminent d'un satellite militaire par la Corée du Nord soulève une série de questions complexes et interconnectées. Comprendre les motivations sous-jacentes, évaluer les réponses possibles de la communauté internationale et anticiper les implications géopolitiques à long terme nécessitent une analyse approfondie et une coopération internationale étroite. Face à ces développements, le maintien de la stabilité et de la sécurité régionales demeure une priorité essentielle.

Image de Affaires Etrangères. La Corée du Nord a récemment annoncé au Japon son intention de lancer un satellite militaire entre le 22 novembre et le 1er décembre. Cette notification a suscité des inquiétudes internationales, d'autant plus que les deux précédentes tentatives de lancement en mai et en août ont échoué. Cette annonce soulève des questions sur les motivations et les ambitions de la Corée du Nord dans le domaine spatial, ainsi que sur les implications géopolitiques et sécuritaires régionales. Le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un a manifesté à plusieurs reprises la volonté de faire de son pays une puissance spatiale. Cette ambition, bien que déconcertante pour certains observateurs, s'inscrit dans la stratégie globale du régime. Comprendre les motivations derrière ce programme spatial militaire nécessite une analyse approfondie de la politique intérieure de la Corée du Nord, de ses relations internationales, ainsi que des enjeux géopolitiques en Asie de l'Est. Sur le plan intérieur, le lancement de satellites militaires peut être perçu comme un moyen pour le régime de renforcer sa légitimité et de consolider le pouvoir de Kim Jong Un. Les avancées technologiques, notamment dans le domaine spatial, sont souvent mises en avant comme des réussites nationales, renforçant ainsi la propagande interne et la loyauté envers le leadership. Sur le plan international, ces lancements suscitent des préoccupations parmi les pays voisins, en particulier la Corée du Sud et le Japon, ainsi que parmi la communauté internationale. Les tirs de missiles et les lancements de satellites peuvent être interprétés comme des provocations, alimentant les tensions déjà existantes dans la région. L'annonce de ce nouveau lancement soulève des questions sur la volonté de la Corée du Nord de respecter les normes internationales et les résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies. D'un point de vue géopolitique, la Corée du Nord cherche-t-elle à renforcer son influence dans la région en démontrant sa capacité à développer des technologies spatiales avancées ? Comment cela pourrait-il affecter l'équilibre des pouvoirs en Asie de l'Est et les relations entre les acteurs régionaux tels que la Chine, le Japon et la Corée du Sud ? En outre, la capacité de la Corée du Nord à développer un programme spatial militaire soulève des questions sur la coopération et les sanctions internationales. Comment la communauté internationale, et en particulier les puissances régionales, devraient-elles réagir face à ces développements ? Les sanctions actuelles ont-elles un impact significatif sur la capacité de la Corée du Nord à poursuivre ses ambitions spatiales ? Enfin, la question de la sécurité régionale demeure cruciale. Comment les pays voisins, en particulier le Japon et la Corée du Sud, envisagent-ils cette nouvelle tentative de lancement de satellite ? Quelles mesures prendront-ils pour assurer la sécurité de la région et faire face aux défis posés par les activités spatiales de la Corée du Nord ? L'annonce du lancement imminent d'un satellite militaire par la Corée du Nord soulève une série de questions complexes et interconnectées. Comprendre les motivations sous-jacentes, évaluer les réponses possibles de la communauté internationale et anticiper les implications géopolitiques à long terme nécessitent une analyse approfondie et une coopération internationale étroite. Face à ces développements, le maintien de la stabilité et de la sécurité régionales demeure une priorité essentielle.

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Nuit Du Rugby: Antoine Dupont, Sacré Meilleur Joueur Du Top 14 dans Sport le 20 novembre 2023 à 22:04

La 19e édition de la Nuit du Rugby, tenue à l'Olympia, a consacré Antoine Dupont, demi de mêlée du Stade Toulousain et du XV de France, en lui attribuant les titres de meilleur joueur du Top 14 et meilleur international français pour la saison 2022-2023. Cette double distinction, décernée par ses pairs, témoigne de la reconnaissance de la communauté des joueurs professionnels envers la performance exceptionnelle de Dupont.

Antoine Dupont a surpassé des talents notables tels que Grégory Alldritt et Camille Lopez pour remporter le titre de meilleur joueur du Top 14. Ce succès marque également l'entrée d'Antoine Dupont dans l'histoire de la Nuit du Rugby en tant que premier joueur à remporter deux fois cette distinction majeure, ayant déjà été lauréat en 2021. Son parcours, du trophée de la meilleure révélation en 2017 à ses récents succès, souligne son influence durable sur le rugby français.

Dans la catégorie de la révélation de la saison, Émilien Gailleton, le centre de la Section Paloise, a été honoré. Malgré son absence à la cérémonie en raison de la grève des contrôleurs aériens, Gailleton a été salué pour avoir été le meilleur marqueur d'essais du Top 14, bouclant ainsi une saison impressionnante.

Le volet Pro D2 a été marqué par le succès d'Oyonnax, champion et promu, qui a remporté le meilleur joueur avec le pilier international Thomas Laclayat, désormais au Racing 92, et le meilleur staff. Ces distinctions soulignent la performance exceptionnelle d'Oyonnax au cours de la saison.

La contribution des internautes a également été célébrée avec le choix du plus bel essai de la saison 2022-2023 du Top 14 attribué à Romain Ntamack pour son raid décisif en finale, offrant le titre au Stade Toulousain face au Stade Rochelais.

La Nuit du Rugby a réuni une pléiade de joueurs et d'acteurs clés du monde du rugby pour célébrer l'excellence sportive et mettre en lumière les moments mémorables de la saison. En dépit des succès individuels, le rugby reste un sport d'équipe, chaque distinction soulignant l'effort collectif nécessaire pour atteindre les sommets.

Alors que la saison de rugby 2022-2023 s'achève avec cette cérémonie, le rugby français se tourne déjà vers l'avenir. Les performances exceptionnelles de joueurs tels qu'Antoine Dupont continueront-elles à marquer le paysage du rugby, et quelles équipes émergeront comme les forces dominantes de la saison à venir ? La Nuit du Rugby a tracé la voie, mais de nouveaux défis et triomphes attendent dans l'arène rugbystique. Quelles histoires captivantes se dérouleront sur le terrain ?

Image de Sport. La 19e édition de la Nuit du Rugby, tenue à l'Olympia, a consacré Antoine Dupont, demi de mêlée du Stade Toulousain et du XV de France, en lui attribuant les titres de meilleur joueur du Top 14 et meilleur international français pour la saison 2022-2023. Cette double distinction, décernée par ses pairs, témoigne de la reconnaissance de la communauté des joueurs professionnels envers la performance exceptionnelle de Dupont. Antoine Dupont a surpassé des talents notables tels que Grégory Alldritt et Camille Lopez pour remporter le titre de meilleur joueur du Top 14. Ce succès marque également l'entrée d'Antoine Dupont dans l'histoire de la Nuit du Rugby en tant que premier joueur à remporter deux fois cette distinction majeure, ayant déjà été lauréat en 2021. Son parcours, du trophée de la meilleure révélation en 2017 à ses récents succès, souligne son influence durable sur le rugby français. Dans la catégorie de la révélation de la saison, Émilien Gailleton, le centre de la Section Paloise, a été honoré. Malgré son absence à la cérémonie en raison de la grève des contrôleurs aériens, Gailleton a été salué pour avoir été le meilleur marqueur d'essais du Top 14, bouclant ainsi une saison impressionnante. Le volet Pro D2 a été marqué par le succès d'Oyonnax, champion et promu, qui a remporté le meilleur joueur avec le pilier international Thomas Laclayat, désormais au Racing 92, et le meilleur staff. Ces distinctions soulignent la performance exceptionnelle d'Oyonnax au cours de la saison. La contribution des internautes a également été célébrée avec le choix du plus bel essai de la saison 2022-2023 du Top 14 attribué à Romain Ntamack pour son raid décisif en finale, offrant le titre au Stade Toulousain face au Stade Rochelais. La Nuit du Rugby a réuni une pléiade de joueurs et d'acteurs clés du monde du rugby pour célébrer l'excellence sportive et mettre en lumière les moments mémorables de la saison. En dépit des succès individuels, le rugby reste un sport d'équipe, chaque distinction soulignant l'effort collectif nécessaire pour atteindre les sommets. Alors que la saison de rugby 2022-2023 s'achève avec cette cérémonie, le rugby français se tourne déjà vers l'avenir. Les performances exceptionnelles de joueurs tels qu'Antoine Dupont continueront-elles à marquer le paysage du rugby, et quelles équipes émergeront comme les forces dominantes de la saison à venir ? La Nuit du Rugby a tracé la voie, mais de nouveaux défis et triomphes attendent dans l'arène rugbystique. Quelles histoires captivantes se dérouleront sur le terrain ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Officiel: Microsoft Embauche Sam Altman, Pionnier De l'Ia dans Société le 20 novembre 2023 à 20:55

Lundi dernier, Microsoft a créé la surprise en annonçant l'embauche de Sam Altman, le co-fondateur et ex-leader de la start-up OpenAI. Cette nouvelle a été d'autant plus remarquée que Sam Altman avait été licencié abruptement par le conseil d'administration d'OpenAI quelques jours auparavant. Cette décision, encore entourée de mystère, a suscité des interrogations dans le milieu de la Silicon Valley, où Sam Altman était considéré comme un pionnier de l'intelligence artificielle (IA).

Le Parcours d'un Pionnier

Sam Altman, âgé de 38 ans, est une figure emblématique de la scène technologique, notamment en tant que visionnaire de l'IA. Né en avril 1985 à St Louis (Missouri), il a connu un tournant majeur dans sa vie lorsqu'il a reçu un Mac pour son huitième anniversaire. Ce cadeau a marqué le début de son intérêt pour l'informatique.

Altman a étudié l'informatique à Stanford, mais sa soif d'entrepreneuriat l'a conduit à quitter rapidement l'université. En 2005, à seulement 20 ans, il a fondé le réseau social Loopt, qui a été valorisé à plus de 43 millions de dollars lors de sa vente en 2012. Cette réussite précoce a mis Altman sur la carte de la Silicon Valley.

En 2014, Sam Altman a pris la tête de Y Combinator, un incubateur de start-up qui investit dans des jeunes pousses et conseille les entrepreneurs en échange d'actions. Sous sa direction, Y Combinator s'est étendu au-delà des logiciels pour inclure des entreprises de divers secteurs, de la biotechnologie aux technologies énergétiques.

L'aventure OpenAI et ChatGPT

En 2015, Sam Altman a co-fondé OpenAI, initialement comme une fondation à but non lucratif. L'objectif d'OpenAI était de développer une IA "sûre et bénéfique pour l'humanité", selon les termes d'Elon Musk, l'un des co-fondateurs. Altman a eu une vision ambitieuse pour l'IA, affirmant que son intégration généralisée permettrait à chacun d'avoir des "superpouvoirs à la demande".

Le projet le plus emblématique d'OpenAI sous la direction de Sam Altman a été ChatGPT, une plateforme d'intelligence artificielle générative capable de converser avec les humains en langage naturel et de générer du texte sur demande. ChatGPT a attiré l'attention de millions d'utilisateurs, mettant l'IA sous les feux des projecteurs.

Un Limogeage Surprenant et un Nouveau Départ chez Microsoft

Cependant, la carrière d'Altman chez OpenAI a connu un coup d'arrêt soudain lorsque le conseil d'administration l'a licencié vendredi dernier, sans fournir de raisons claires. Cette décision a choqué la communauté technologique, qui considérait Altman comme un leader majeur dans le domaine de l'IA.

À peine trois jours après son licenciement, Sam Altman a été recruté par Microsoft. Satya Nadella, le PDG de Microsoft, a annoncé qu'Altman et d'autres responsables ayant démissionné après son renvoi dirigeraient une nouvelle équipe de recherche en IA. Pour Altman, "la mission continue", comme il l'a partagé sur les réseaux sociaux.

Un Homme aux Multiples Facettes

Au-delà de son rôle dans le monde de la technologie, Sam Altman est décrit comme un individu intense, rapide dans sa pensée et ses paroles, posant des questions difficiles de manière encourageante. Sa vision de l'avenir inclut une réduction du coût de l'intelligence et de l'énergie pour améliorer la qualité de vie de tous.

Altman a également investi dans diverses entreprises, notamment dans le domaine de la fusion nucléaire avec Helion et dans la cryptomonnaie avec Worldcoin. Sur le plan politique, il a exprimé des opinions fortes, qualifiant Donald Trump de "menace pour la sécurité nationale" et soutenant des idées telles que le revenu universel.

Perspectives Futures et Questions En Suspens

La nouvelle collaboration entre Sam Altman et Microsoft soulève des questions sur les futurs développements dans le domaine de l'IA. Comment Altman contribuera-t-il aux recherches de Microsoft dans ce domaine en rapide évolution ? Quelles nouvelles innovations peut-on attendre de cette collaboration ?

Alors que l'IA continue de jouer un rôle central dans la transformation technologique mondiale, le parcours de Sam Altman, ses convictions et son engagement suscitent un intérêt croissant. Sa vision audacieuse et ses projets ambitieux soulèvent des questions sur l'impact de l'IA sur notre société et sur la manière dont les leaders de l'industrie peuvent façonner un avenir technologique inclusif et bénéfique pour l'humanité. Comment les décisions d'Altman influenceront-elles les développements futurs de l'IA et de la technologie en général ?

Image de Société. Lundi dernier, Microsoft a créé la surprise en annonçant l'embauche de Sam Altman, le co-fondateur et ex-leader de la start-up OpenAI. Cette nouvelle a été d'autant plus remarquée que Sam Altman avait été licencié abruptement par le conseil d'administration d'OpenAI quelques jours auparavant. Cette décision, encore entourée de mystère, a suscité des interrogations dans le milieu de la Silicon Valley, où Sam Altman était considéré comme un pionnier de l'intelligence artificielle (IA). Le Parcours d'un Pionnier Sam Altman, âgé de 38 ans, est une figure emblématique de la scène technologique, notamment en tant que visionnaire de l'IA. Né en avril 1985 à St Louis (Missouri), il a connu un tournant majeur dans sa vie lorsqu'il a reçu un Mac pour son huitième anniversaire. Ce cadeau a marqué le début de son intérêt pour l'informatique. Altman a étudié l'informatique à Stanford, mais sa soif d'entrepreneuriat l'a conduit à quitter rapidement l'université. En 2005, à seulement 20 ans, il a fondé le réseau social Loopt, qui a été valorisé à plus de 43 millions de dollars lors de sa vente en 2012. Cette réussite précoce a mis Altman sur la carte de la Silicon Valley. En 2014, Sam Altman a pris la tête de Y Combinator, un incubateur de start-up qui investit dans des jeunes pousses et conseille les entrepreneurs en échange d'actions. Sous sa direction, Y Combinator s'est étendu au-delà des logiciels pour inclure des entreprises de divers secteurs, de la biotechnologie aux technologies énergétiques. L'aventure OpenAI et ChatGPT En 2015, Sam Altman a co-fondé OpenAI, initialement comme une fondation à but non lucratif. L'objectif d'OpenAI était de développer une IA "sûre et bénéfique pour l'humanité", selon les termes d'Elon Musk, l'un des co-fondateurs. Altman a eu une vision ambitieuse pour l'IA, affirmant que son intégration généralisée permettrait à chacun d'avoir des "superpouvoirs à la demande". Le projet le plus emblématique d'OpenAI sous la direction de Sam Altman a été ChatGPT, une plateforme d'intelligence artificielle générative capable de converser avec les humains en langage naturel et de générer du texte sur demande. ChatGPT a attiré l'attention de millions d'utilisateurs, mettant l'IA sous les feux des projecteurs. Un Limogeage Surprenant et un Nouveau Départ chez Microsoft Cependant, la carrière d'Altman chez OpenAI a connu un coup d'arrêt soudain lorsque le conseil d'administration l'a licencié vendredi dernier, sans fournir de raisons claires. Cette décision a choqué la communauté technologique, qui considérait Altman comme un leader majeur dans le domaine de l'IA. À peine trois jours après son licenciement, Sam Altman a été recruté par Microsoft. Satya Nadella, le PDG de Microsoft, a annoncé qu'Altman et d'autres responsables ayant démissionné après son renvoi dirigeraient une nouvelle équipe de recherche en IA. Pour Altman, "la mission continue", comme il l'a partagé sur les réseaux sociaux. Un Homme aux Multiples Facettes Au-delà de son rôle dans le monde de la technologie, Sam Altman est décrit comme un individu intense, rapide dans sa pensée et ses paroles, posant des questions difficiles de manière encourageante. Sa vision de l'avenir inclut une réduction du coût de l'intelligence et de l'énergie pour améliorer la qualité de vie de tous. Altman a également investi dans diverses entreprises, notamment dans le domaine de la fusion nucléaire avec Helion et dans la cryptomonnaie avec Worldcoin. Sur le plan politique, il a exprimé des opinions fortes, qualifiant Donald Trump de "menace pour la sécurité nationale" et soutenant des idées telles que le revenu universel. Perspectives Futures et Questions En Suspens La nouvelle collaboration entre Sam Altman et Microsoft soulève des questions sur les futurs développements dans le domaine de l'IA. Comment Altman contribuera-t-il aux recherches de Microsoft dans ce domaine en rapide évolution ? Quelles nouvelles innovations peut-on attendre de cette collaboration ? Alors que l'IA continue de jouer un rôle central dans la transformation technologique mondiale, le parcours de Sam Altman, ses convictions et son engagement suscitent un intérêt croissant. Sa vision audacieuse et ses projets ambitieux soulèvent des questions sur l'impact de l'IA sur notre société et sur la manière dont les leaders de l'industrie peuvent façonner un avenir technologique inclusif et bénéfique pour l'humanité. Comment les décisions d'Altman influenceront-elles les développements futurs de l'IA et de la technologie en général ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Espagne: Shakira Condamnée À Une Amende De 7,3 Millions € Pour Fraude Fiscale dans Célébrités le 20 novembre 2023 à 20:47

La sensation mondiale Shakira a évité un procès pour fraude fiscale en Espagne en acceptant de verser une amende de plus de sept millions d'euros. L'accord, conclu au dernier moment avec le parquet, a scellé l'issue judiciaire, mais soulève des questions sur les implications futures pour la chanteuse et les célébrités confrontées à des problèmes fiscaux.

Lundi, la superstar colombienne de 46 ans s'est présentée au tribunal de Barcelone, où elle a admis sa culpabilité et accepté les peines qui lui ont été infligées. L'accord inclut une amende de plus de 7,3 millions d'euros, soit 50 % du montant de la fraude, ainsi qu'une peine de trois ans de prison avec sursis, convertie en une sanction financière de 432 000 euros, portant le total à près de 7,8 millions.

Le parquet accusait Shakira de ne pas avoir payé ses impôts en Espagne pour les années 2012, 2013 et 2014, alléguant qu'elle avait dépassé le seuil de résidence fiscale de 183 jours par an dans le pays. Malgré ses dénégations, la chanteuse avait déjà versé 17,45 millions d'euros pour régulariser sa situation fiscale.

Les Détails de l'Affaire et les Enjeux

L'affaire de Shakira met en lumière la complexité des questions fiscales auxquelles les personnalités publiques sont confrontées. Le parquet avait initialement requis une peine de huit ans et deux mois de prison, ainsi qu'une amende de 23,8 millions d'euros. Cependant, l'accord a considérablement réduit ces sanctions.

La chanteuse maintient que sa résidence fiscale était aux Bahamas, un paradis fiscal, en raison de ses voyages fréquents pour des raisons professionnelles. Elle a également souligné son établissement permanent à Barcelone à la fin de 2014, après la naissance de son deuxième enfant.

Cependant, l'accord n'est pas la fin des ennuis fiscaux de Shakira en Espagne. Une nouvelle procédure a été entamée cet été pour une fraude fiscale présumée en 2018, évaluée à six millions d'euros. De plus, elle est sous le coup d'une enquête pour l'exercice 2011.

Implications Plus larges et Questions en Suspens

L'affaire Shakira reflète un problème plus vaste de personnalités publiques confrontées à des accusations de fraude fiscale en Espagne, où d'autres célébrités telles que Cristiano Ronaldo et Lionel Messi ont également été impliquées.

Le paiement de l'amende et l'acceptation des peines infligées posent la question de savoir si ces accords financiers seront suffisants pour dissuader d'autres personnalités d'adopter des pratiques fiscales douteuses. De plus, la durabilité du soutien populaire à Shakira et à d'autres artistes impliqués dans des affaires de fraude fiscale reste à voir.

En fin de compte, l'affaire Shakira soulève des questions plus larges sur la transparence fiscale des personnalités publiques et sur la manière dont les systèmes judiciaires traitent ces questions complexes. Comment ces développements influenceront-ils la perception du public et les décisions futures en matière de fiscalité pour les célébrités ?

Image de Célébrités. La sensation mondiale Shakira a évité un procès pour fraude fiscale en Espagne en acceptant de verser une amende de plus de sept millions d'euros. L'accord, conclu au dernier moment avec le parquet, a scellé l'issue judiciaire, mais soulève des questions sur les implications futures pour la chanteuse et les célébrités confrontées à des problèmes fiscaux. Lundi, la superstar colombienne de 46 ans s'est présentée au tribunal de Barcelone, où elle a admis sa culpabilité et accepté les peines qui lui ont été infligées. L'accord inclut une amende de plus de 7,3 millions d'euros, soit 50 % du montant de la fraude, ainsi qu'une peine de trois ans de prison avec sursis, convertie en une sanction financière de 432 000 euros, portant le total à près de 7,8 millions. Le parquet accusait Shakira de ne pas avoir payé ses impôts en Espagne pour les années 2012, 2013 et 2014, alléguant qu'elle avait dépassé le seuil de résidence fiscale de 183 jours par an dans le pays. Malgré ses dénégations, la chanteuse avait déjà versé 17,45 millions d'euros pour régulariser sa situation fiscale. Les Détails de l'Affaire et les Enjeux L'affaire de Shakira met en lumière la complexité des questions fiscales auxquelles les personnalités publiques sont confrontées. Le parquet avait initialement requis une peine de huit ans et deux mois de prison, ainsi qu'une amende de 23,8 millions d'euros. Cependant, l'accord a considérablement réduit ces sanctions. La chanteuse maintient que sa résidence fiscale était aux Bahamas, un paradis fiscal, en raison de ses voyages fréquents pour des raisons professionnelles. Elle a également souligné son établissement permanent à Barcelone à la fin de 2014, après la naissance de son deuxième enfant. Cependant, l'accord n'est pas la fin des ennuis fiscaux de Shakira en Espagne. Une nouvelle procédure a été entamée cet été pour une fraude fiscale présumée en 2018, évaluée à six millions d'euros. De plus, elle est sous le coup d'une enquête pour l'exercice 2011. Implications Plus larges et Questions en Suspens L'affaire Shakira reflète un problème plus vaste de personnalités publiques confrontées à des accusations de fraude fiscale en Espagne, où d'autres célébrités telles que Cristiano Ronaldo et Lionel Messi ont également été impliquées. Le paiement de l'amende et l'acceptation des peines infligées posent la question de savoir si ces accords financiers seront suffisants pour dissuader d'autres personnalités d'adopter des pratiques fiscales douteuses. De plus, la durabilité du soutien populaire à Shakira et à d'autres artistes impliqués dans des affaires de fraude fiscale reste à voir. En fin de compte, l'affaire Shakira soulève des questions plus larges sur la transparence fiscale des personnalités publiques et sur la manière dont les systèmes judiciaires traitent ces questions complexes. Comment ces développements influenceront-ils la perception du public et les décisions futures en matière de fiscalité pour les célébrités ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Kiev: Le Secrétaire À La Défense Américaine Réitère Le Soutien Des USA dans Affaires Etrangères le 20 novembre 2023 à 20:41

Ce lundi, le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, a effectué une visite surprise à Kiev pour réaffirmer le soutien des États-Unis face à l'invasion russe. Cette démarche intervient alors que l'Ukraine fait face à des pénuries de munitions en plein contre-offensive.

Lloyd Austin, arrivé à Kiev par train depuis la Pologne, a délivré un message fort de soutien aux Ukrainiens, déclarant que les États-Unis resteront aux côtés de l'Ukraine "pour longtemps". Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a qualifié cette visite de "signal très important", soulignant l'importance du soutien international dans ce contexte de conflit acharné.

Le Congrès américain se trouve actuellement divisé sur la question de l'aide militaire à apporter à l'Ukraine. Malgré des engagements passés en faveur de Kiev, certains élus républicains remettent en question les milliards de dollars d'aide débloqués par l'administration Biden. Cette divergence politique soulève des inquiétudes quant à la pérennité du soutien américain à l'Ukraine dans les mois à venir.

La Russie, repassant à l'offensive en octobre, menace de reprendre sa campagne de bombardements hivernale, mettant des millions d'Ukrainiens en danger. La visite de Lloyd Austin à Kiev prend une importance stratégique alors que les tensions et les défis auxquels l'Ukraine est confrontée continuent de croître.

La pénurie de munitions, déclarée par Zelensky, souligne l'urgence des besoins militaires de l'Ukraine. Dans ce contexte, la visite du chef du Pentagone vise également à aborder les préoccupations logistiques et stratégiques auxquelles l'Ukraine est confrontée sur le terrain.

Dans le contexte actuel de rivalités politiques au sein du Congrès et de la situation sur le terrain en Ukraine, une question cruciale se pose : Comment ces défis internes et externes influenceront-ils la capacité des États-Unis à maintenir un soutien robuste à l'Ukraine, et quelles répercussions cela pourrait-il avoir sur l'issue du conflit russo-ukrainien ?

Image de Affaires Etrangères. Ce lundi, le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, a effectué une visite surprise à Kiev pour réaffirmer le soutien des États-Unis face à l'invasion russe. Cette démarche intervient alors que l'Ukraine fait face à des pénuries de munitions en plein contre-offensive. Lloyd Austin, arrivé à Kiev par train depuis la Pologne, a délivré un message fort de soutien aux Ukrainiens, déclarant que les États-Unis resteront aux côtés de l'Ukraine "pour longtemps". Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a qualifié cette visite de "signal très important", soulignant l'importance du soutien international dans ce contexte de conflit acharné. Le Congrès américain se trouve actuellement divisé sur la question de l'aide militaire à apporter à l'Ukraine. Malgré des engagements passés en faveur de Kiev, certains élus républicains remettent en question les milliards de dollars d'aide débloqués par l'administration Biden. Cette divergence politique soulève des inquiétudes quant à la pérennité du soutien américain à l'Ukraine dans les mois à venir. La Russie, repassant à l'offensive en octobre, menace de reprendre sa campagne de bombardements hivernale, mettant des millions d'Ukrainiens en danger. La visite de Lloyd Austin à Kiev prend une importance stratégique alors que les tensions et les défis auxquels l'Ukraine est confrontée continuent de croître. La pénurie de munitions, déclarée par Zelensky, souligne l'urgence des besoins militaires de l'Ukraine. Dans ce contexte, la visite du chef du Pentagone vise également à aborder les préoccupations logistiques et stratégiques auxquelles l'Ukraine est confrontée sur le terrain. Dans le contexte actuel de rivalités politiques au sein du Congrès et de la situation sur le terrain en Ukraine, une question cruciale se pose : Comment ces défis internes et externes influenceront-ils la capacité des États-Unis à maintenir un soutien robuste à l'Ukraine, et quelles répercussions cela pourrait-il avoir sur l'issue du conflit russo-ukrainien ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Gaza: Poutine Au Sommet Virtuel Brics Sous La Présidence De l'Afrique Du Sud dans Affaires Etrangères le 20 novembre 2023 à 20:35

Vladimir Poutine, président russe, reprend la participation aux sommets internationaux après avoir manqué les dernières réunions des BRICS et du G20 en raison d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale. La présence de Poutine au sommet virtuel des BRICS, présidé par l'Afrique du Sud, souligne l'importance de la diplomatie multilatérale dans un contexte de conflit israélo-palestinien exacerbé par la guerre en cours à Gaza.

Le Kremlin n'a pas divulgué les détails de l'agenda de la réunion, mais l'accent mis sur le "conflit israélo-palestinien" suggère une discussion approfondie sur la situation au Moyen-Orient. Poutine, qui se positionne en champion de la lutte contre l'hégémonisme américain, aborde cette réunion dans le contexte de son engagement envers une politique étrangère indépendante.

Le président russe avait dû éviter les rencontres précédentes en Afrique du Sud et en Inde en raison des accusations liées à la déportation d'enfants ukrainiens. Cette participation marquera-t-elle une normalisation des relations de Poutine avec la communauté internationale, malgré les tensions persistantes ?

L'Afrique du Sud, fervent défenseur de la cause palestinienne, présidera cette réunion extraordinaire des BRICS. Le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, ouvrira la séance et a appelé à une enquête de la Cour pénale internationale sur la guerre en cours entre Israël et Gaza. Cette position reflète l'engagement historique de l'Afrique du Sud en faveur de la Palestine, avec des parallèles souvent dressés entre la lutte contre l'apartheid et le soutien à la cause palestinienne.

La présence du secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, ajoute une dimension supplémentaire à cette réunion, soulignant l'importance des discussions multilatérales dans la recherche de solutions aux crises mondiales. La prévision d'une déclaration commune des dirigeants sur la situation au Proche-Orient, en particulier à Gaza, indique une volonté collective d'adresser les défis actuels.

Le Kremlin appelle à un cessez-le-feu dans le conflit entre Israël et le Hamas, soulignant la nécessité de la création d'un État palestinien pour parvenir à une paix durable au Proche-Orient. Poutine attribue la responsabilité du conflit aux États-Unis, les accusant d'avoir monopolisé le processus de paix sans aboutir à une résolution.

Alors que Poutine s'implique dans ces enceintes diplomatiques cruciales, la question persiste : sa participation marquera-t-elle le début d'une nouvelle ère de coopération internationale, ou les tensions géopolitiques actuelles continueront-elles à influencer les relations mondiales ?

Image de Affaires Etrangères. Vladimir Poutine, président russe, reprend la participation aux sommets internationaux après avoir manqué les dernières réunions des BRICS et du G20 en raison d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale. La présence de Poutine au sommet virtuel des BRICS, présidé par l'Afrique du Sud, souligne l'importance de la diplomatie multilatérale dans un contexte de conflit israélo-palestinien exacerbé par la guerre en cours à Gaza. Le Kremlin n'a pas divulgué les détails de l'agenda de la réunion, mais l'accent mis sur le "conflit israélo-palestinien" suggère une discussion approfondie sur la situation au Moyen-Orient. Poutine, qui se positionne en champion de la lutte contre l'hégémonisme américain, aborde cette réunion dans le contexte de son engagement envers une politique étrangère indépendante. Le président russe avait dû éviter les rencontres précédentes en Afrique du Sud et en Inde en raison des accusations liées à la déportation d'enfants ukrainiens. Cette participation marquera-t-elle une normalisation des relations de Poutine avec la communauté internationale, malgré les tensions persistantes ? L'Afrique du Sud, fervent défenseur de la cause palestinienne, présidera cette réunion extraordinaire des BRICS. Le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, ouvrira la séance et a appelé à une enquête de la Cour pénale internationale sur la guerre en cours entre Israël et Gaza. Cette position reflète l'engagement historique de l'Afrique du Sud en faveur de la Palestine, avec des parallèles souvent dressés entre la lutte contre l'apartheid et le soutien à la cause palestinienne. La présence du secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, ajoute une dimension supplémentaire à cette réunion, soulignant l'importance des discussions multilatérales dans la recherche de solutions aux crises mondiales. La prévision d'une déclaration commune des dirigeants sur la situation au Proche-Orient, en particulier à Gaza, indique une volonté collective d'adresser les défis actuels. Le Kremlin appelle à un cessez-le-feu dans le conflit entre Israël et le Hamas, soulignant la nécessité de la création d'un État palestinien pour parvenir à une paix durable au Proche-Orient. Poutine attribue la responsabilité du conflit aux États-Unis, les accusant d'avoir monopolisé le processus de paix sans aboutir à une résolution. Alors que Poutine s'implique dans ces enceintes diplomatiques cruciales, la question persiste : sa participation marquera-t-elle le début d'une nouvelle ère de coopération internationale, ou les tensions géopolitiques actuelles continueront-elles à influencer les relations mondiales ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Javier Milei, Élu Président En Argentine: La Tronçonneuse Au Défi Du Pouvoir? dans Politique le 20 novembre 2023 à 20:29

Suite sa victoire écrasante à l'élection présidentielle dimanche, Javier Milei commence à former son équipe gouvernementale. Mettant en avant des mesures radicales telles que privatisations, dollarisation, et coupes drastiques dans les dépenses publiques, le président élu cherche à résoudre la crise économique qui a fortement contribué à son succès électoral.

Suite à ses entretiens radiophoniques, Milei a dévoilé certains membres clés de son gouvernement, notamment Mariano Cuneo Libarona pour la Justice et Carolina Piparo aux Affaires sociales. Le nouveau président ultralibéral prévoit de stabiliser l'inflation actuelle de 143 % par an dans un délai de 18 à 24 mois en réduisant l'émission monétaire.

Parmi ses annonces les plus marquantes figurent une série de privatisations, notamment de l'agence de presse Telam, de la télévision et de la radio publiques, ainsi que du géant pétrolier YPF. Milei affirme que la télévision publique est devenue un instrument de propagande et soutient la privatisation de tout ce qui peut être géré par le secteur privé.

Affichant sa détermination à endosser le rôle présidentiel, Milei prévoit des voyages aux États-Unis et en Israël, qualifiant cela d'"expérience spirituelle" après avoir exprimé une inclination vers le judaïsme pendant la campagne.

La transition vers le pouvoir présidentiel implique également des rencontres avec le président sortant Alberto Fernandez et l'ancien président brésilien Jair Bolsonaro. Toutefois, des défis substantiels attendent Milei, notamment la nécessité de répondre rapidement aux attentes des citoyens concernant la réduction de l'inflation et la réalisation de la dollarisation économique promise.

Avec 56 % des voix, Milei bénéficie d'un soutien populaire massif, mais des experts avertissent que cette popularité pourrait diminuer rapidement face aux attentes élevées de résultats immédiats. La composition politique du Parlement, où La Liberté avance dispose de seulement 38 sièges sur 217, ajoute une complexité à la réalisation des projets ambitieux du nouveau président.

L'alliance nécessaire avec l'ex-président Macri, qui dirige une coalition de 93 députés, souligne la dépendance de Milei à l'égard de la droite traditionnelle. Cependant, cette alliance fragile pourrait entraver la mise en œuvre du programme de rupture radicale que Milei a promis pendant la campagne.

Des analystes soulignent que le discours anti-"caste" de Milei s'est transformé en un choix entre "kirchnerisme ou liberté", illustrant la complexité de sa position politique. De plus, l'inexpérience de Milei et le manque de structure dans son mouvement politique pourraient conduire à une dépendance envers les législateurs de Macri pour assurer une gouvernabilité minimale.

La victoire de Milei, après avoir battu successivement la droite traditionnelle et le parti péroniste, s'annonce comme un exercice périlleux du pouvoir. Dans les semaines à venir, il devra faire face à l'impatience de ses électeurs demandant une sortie rapide de la crise économique, ainsi qu'aux vengeances potentielles de l'ex-président Macri envers les adversaires kirchneristes.

Dans ce contexte complexe, la question demeure : Javier Milei pourra-t-il concilier son projet libertarien ambitieux avec les réalités politiques et économiques de l'Argentine, ou sera-t-il contraint de faire des compromis pour maintenir la stabilité politique et sociale du pays?

Image de Politique. Suite sa victoire écrasante à l'élection présidentielle dimanche, Javier Milei commence à former son équipe gouvernementale. Mettant en avant des mesures radicales telles que privatisations, dollarisation, et coupes drastiques dans les dépenses publiques, le président élu cherche à résoudre la crise économique qui a fortement contribué à son succès électoral. Suite à ses entretiens radiophoniques, Milei a dévoilé certains membres clés de son gouvernement, notamment Mariano Cuneo Libarona pour la Justice et Carolina Piparo aux Affaires sociales. Le nouveau président ultralibéral prévoit de stabiliser l'inflation actuelle de 143 % par an dans un délai de 18 à 24 mois en réduisant l'émission monétaire. Parmi ses annonces les plus marquantes figurent une série de privatisations, notamment de l'agence de presse Telam, de la télévision et de la radio publiques, ainsi que du géant pétrolier YPF. Milei affirme que la télévision publique est devenue un instrument de propagande et soutient la privatisation de tout ce qui peut être géré par le secteur privé. Affichant sa détermination à endosser le rôle présidentiel, Milei prévoit des voyages aux États-Unis et en Israël, qualifiant cela d'"expérience spirituelle" après avoir exprimé une inclination vers le judaïsme pendant la campagne. La transition vers le pouvoir présidentiel implique également des rencontres avec le président sortant Alberto Fernandez et l'ancien président brésilien Jair Bolsonaro. Toutefois, des défis substantiels attendent Milei, notamment la nécessité de répondre rapidement aux attentes des citoyens concernant la réduction de l'inflation et la réalisation de la dollarisation économique promise. Avec 56 % des voix, Milei bénéficie d'un soutien populaire massif, mais des experts avertissent que cette popularité pourrait diminuer rapidement face aux attentes élevées de résultats immédiats. La composition politique du Parlement, où La Liberté avance dispose de seulement 38 sièges sur 217, ajoute une complexité à la réalisation des projets ambitieux du nouveau président. L'alliance nécessaire avec l'ex-président Macri, qui dirige une coalition de 93 députés, souligne la dépendance de Milei à l'égard de la droite traditionnelle. Cependant, cette alliance fragile pourrait entraver la mise en œuvre du programme de rupture radicale que Milei a promis pendant la campagne. Des analystes soulignent que le discours anti-"caste" de Milei s'est transformé en un choix entre "kirchnerisme ou liberté", illustrant la complexité de sa position politique. De plus, l'inexpérience de Milei et le manque de structure dans son mouvement politique pourraient conduire à une dépendance envers les législateurs de Macri pour assurer une gouvernabilité minimale. La victoire de Milei, après avoir battu successivement la droite traditionnelle et le parti péroniste, s'annonce comme un exercice périlleux du pouvoir. Dans les semaines à venir, il devra faire face à l'impatience de ses électeurs demandant une sortie rapide de la crise économique, ainsi qu'aux vengeances potentielles de l'ex-président Macri envers les adversaires kirchneristes. Dans ce contexte complexe, la question demeure : Javier Milei pourra-t-il concilier son projet libertarien ambitieux avec les réalités politiques et économiques de l'Argentine, ou sera-t-il contraint de faire des compromis pour maintenir la stabilité politique et sociale du pays?

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