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RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Côte d'Ivoire: Après FEMUA, Magic System Prépare Une Nouvelle Tournée Mondiale dans Musique/Radio le 4 juin à 17:48

Le groupe emblématique de musique zouglou ivoirien, Magic System, a décidé de repartir à la conquête des scènes internationales après une brève pause liée à l'organisation du très attendu Festival des Musiques Urbaines d'Anoumabo (FEMUA) qui s'est tenu du 16 au 19 mai dernier. Portés par le succès de cette 16e édition et leur récente consécration en tant qu'auteurs de l'hymne officiel de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) 2023 remportée par la Côte d'Ivoire, les quatre compères A'Salfo, Tino, Manadja et Goudé s'apprêtent à embarquer dans une tournée mondiale baptisée "Akwaba Live Tour 2024". Les détails de cette nouvelle aventure musicale.

Retour sur un FEMUA 16 aux airs de triomphe


Après deux années de pause forcée en raison de la pandémie de COVID-19, le FEMUA a réussi son grand retour en mai dernier. Cet événement culturel majeur de Côte d'Ivoire a tenu toutes ses promesses avec une programmation riche et diversifiée mettant à l'honneur la crème de la scène musicale africaine et européenne.

"Nous avons réalisé un FEMUA 16 historique. Le public a répondu présent et a pu assister à des prestations de très haut niveau. C'est une belle récompense pour notre équipe qui travaille d'arrache-pied depuis des mois pour offrir la meilleure expérience possible aux festivaliers", s'est réjoui A'Salfo, le leader charismatique de Magic System.

Au-delà des concerts, le FEMUA a également été l'occasion de célébrer la récente victoire de l'équipe nationale ivoirienne de football à la CAN 2023. Magic System, en tant qu'ambassadeurs de la Côte d'Ivoire, a d'ailleurs composé l'hymne officiel de cette compétition, "Akwaba", qui a grandement contribué à galvaniser les supporters des Éléphants. "Remporter la CAN à domicile, c'était une immense fierté pour nous tous. En tant qu'artistes, nous avons à cœur de porter haut les couleurs de notre pays. Composer cet hymne a été un honneur et a encore renforcé notre attachement à la Côte d'Ivoire", confie Manadja.

Une tournée mondiale en hommage à la CAN 2023


Fort de ces deux succès récents, Magic System a donc décidé de repartir sur les routes pour une nouvelle tournée mondiale. Baptisée "Akwaba Live Tour 2024", cette série de concerts débutera le 15 juin prochain en France et se poursuivra jusqu'en septembre à travers l'Europe et les États-Unis.

"Après un hymne de la CAN 2023 avec à la clé la victoire des Éléphants de Côte d'Ivoire, un FEMUA 16 soldé par un retentissant succès, place maintenant à l'"Akwaba Live Tour 2024". Prenez vos calepins pour 4 mois de tournée non-stop", a annoncé fièrement A'Salfo sur sa page Facebook. Cette tournée mondiale sera l'occasion pour Magic System de présenter son dernier album studio, "Envolée Zougloutique", sorti en 2021. Le groupe promet une série de prestations énergiques et festives pour faire vibrer ses fans à travers le monde.

"Nous avons hâte de remonter sur scène et de partager notre musique avec le public. C'est toujours un moment magique pour nous de pouvoir échanger avec nos fans et les faire danser sur nos titres. Nous allons mettre le paquet pour que cette tournée soit mémorable", confie Tino, danseur et choriste du groupe.Après le succès du FEMUA 16 et la consécration de la CAN 2023, Magic System a-t-il encore des sommets à gravir sur la scène internationale ?

Image de Musique/Radio. Le groupe emblématique de musique zouglou ivoirien, Magic System, a décidé de repartir à la conquête des scènes internationales après une brève pause liée à l'organisation du très attendu Festival des Musiques Urbaines d'Anoumabo (FEMUA) qui s'est tenu du 16 au 19 mai dernier. Portés par le succès de cette 16e édition et leur récente consécration en tant qu'auteurs de l'hymne officiel de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) 2023 remportée par la Côte d'Ivoire, les quatre compères A'Salfo, Tino, Manadja et Goudé s'apprêtent à embarquer dans une tournée mondiale baptisée "Akwaba Live Tour 2024". Les détails de cette nouvelle aventure musicale. Retour sur un FEMUA 16 aux airs de triomphe Après deux années de pause forcée en raison de la pandémie de COVID-19, le FEMUA a réussi son grand retour en mai dernier. Cet événement culturel majeur de Côte d'Ivoire a tenu toutes ses promesses avec une programmation riche et diversifiée mettant à l'honneur la crème de la scène musicale africaine et européenne. "Nous avons réalisé un FEMUA 16 historique. Le public a répondu présent et a pu assister à des prestations de très haut niveau. C'est une belle récompense pour notre équipe qui travaille d'arrache-pied depuis des mois pour offrir la meilleure expérience possible aux festivaliers", s'est réjoui A'Salfo, le leader charismatique de Magic System. Au-delà des concerts, le FEMUA a également été l'occasion de célébrer la récente victoire de l'équipe nationale ivoirienne de football à la CAN 2023. Magic System, en tant qu'ambassadeurs de la Côte d'Ivoire, a d'ailleurs composé l'hymne officiel de cette compétition, "Akwaba", qui a grandement contribué à galvaniser les supporters des Éléphants. "Remporter la CAN à domicile, c'était une immense fierté pour nous tous. En tant qu'artistes, nous avons à cœur de porter haut les couleurs de notre pays. Composer cet hymne a été un honneur et a encore renforcé notre attachement à la Côte d'Ivoire", confie Manadja. Une tournée mondiale en hommage à la CAN 2023 Fort de ces deux succès récents, Magic System a donc décidé de repartir sur les routes pour une nouvelle tournée mondiale. Baptisée "Akwaba Live Tour 2024", cette série de concerts débutera le 15 juin prochain en France et se poursuivra jusqu'en septembre à travers l'Europe et les États-Unis. "Après un hymne de la CAN 2023 avec à la clé la victoire des Éléphants de Côte d'Ivoire, un FEMUA 16 soldé par un retentissant succès, place maintenant à l'"Akwaba Live Tour 2024". Prenez vos calepins pour 4 mois de tournée non-stop", a annoncé fièrement A'Salfo sur sa page Facebook. Cette tournée mondiale sera l'occasion pour Magic System de présenter son dernier album studio, "Envolée Zougloutique", sorti en 2021. Le groupe promet une série de prestations énergiques et festives pour faire vibrer ses fans à travers le monde. "Nous avons hâte de remonter sur scène et de partager notre musique avec le public. C'est toujours un moment magique pour nous de pouvoir échanger avec nos fans et les faire danser sur nos titres. Nous allons mettre le paquet pour que cette tournée soit mémorable", confie Tino, danseur et choriste du groupe.Après le succès du FEMUA 16 et la consécration de la CAN 2023, Magic System a-t-il encore des sommets à gravir sur la scène internationale ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Komenan Marie-Anaëlle Remporte La 3E Édition Du Concours De Lecture À Haute Voix dans Littérature le 4 juin à 17:44

Le 1er juin 2024, à l'Institut français du Plateau à Abidjan, s'est tenue la grande finale du concours de lecture à haute voix "Planète j'aime lire à voix haute", organisé par Bayard Afrique. La jeune Komenan Akissi Marie-Anaëlle, 9 ans, élève en classe de CE2, a remporté la 3e édition de cette compétition avec brio, devançant 14 autres candidats venus des quatre coins de la Côte d'Ivoire. Cet événement, qui vise à sensibiliser les enfants de primaire à l'importance de la lecture, a connu un engouement grandissant cette année. Retour sur ce concours qui met à l'honneur la performance et le talent des jeunes lecteurs.

Une compétition pour promouvoir la lecture chez les jeunes


Organisé par Bayard Afrique, éditeur de magazines jeunesse, le concours "Planète j'aime lire à voix haute" en est à sa 3e édition. Cette année encore, l'objectif était de sensibiliser les enfants de primaire à l'importance de la lecture dès le plus jeune âge. "Notre projet, c'est de sensibiliser nos enfants de primaire sur l'importance de la lecture et de l'apprentissage dès leur plus jeune âge. Raison pour laquelle nous avons ces deux magazines qui s'adressent aux enfants de 1 à 5 ans et de 6 à 10 ans", a expliqué Christophe Moratti, directeur de Bayard Afrique.

Lors de cette finale, qui s'est tenue le 1er juin 2024, 15 candidats se sont affrontés, dont 12 présents sur place et 3 en différé, via une plateforme numérique. La jeune Komenan Akissi Marie-Anaëlle, 9 ans, élève en classe de CE2, s'est démarquée avec un total de 83 points et une moyenne de 16,60, devançant ainsi ses concurrents. "Elle devient ainsi la 3e gagnante de ce concours qui était à sa 3ᵉ édition", précise le communiqué.

Selon Christophe Moratti, l'engouement autour de cet événement s'est renforcé cette année par rapport aux deux éditions précédentes. "Aujourd'hui c'était une finale, mais avant la finale, il y a eu des manches dans plusieurs établissements primaires de la Côte d'Ivoire. C'est vrai que l'intérêt, c'est de sensibiliser toute cette tranche d'âges autour de la lecture", a-t-il souligné.

L'espoir d'un soutien accru du ministère de l'Éducation


Malgré le succès grandissant de ce concours, Christophe Moratti espère un plus grand accompagnement du ministère de l'Éducation nationale et de l'Alphabétisation dans les éditions à venir. "Aujourd'hui c'était une finale, mais avant la finale, il y a eu des manches dans plusieurs établissements primaires de la Côte d'Ivoire. C'est vrai que l'intérêt, c'est de sensibiliser toute cette tranche d'âges autour de la lecture. Nous espérons un soutien accru du ministère pour atteindre davantage d'élèves à l'avenir."

Avec cette 3e édition réussie, le concours "Planète j'aime lire à voix haute" démontre l'engouement grandissant des jeunes Ivoiriens pour la lecture. Désormais, la question se pose de savoir comment pérenniser et amplifier cette dynamique, afin de faire de la lecture une priorité pour l'ensemble du système éducatif ivoirien.

Image de Littérature. Le 1er juin 2024, à l'Institut français du Plateau à Abidjan, s'est tenue la grande finale du concours de lecture à haute voix "Planète j'aime lire à voix haute", organisé par Bayard Afrique. La jeune Komenan Akissi Marie-Anaëlle, 9 ans, élève en classe de CE2, a remporté la 3e édition de cette compétition avec brio, devançant 14 autres candidats venus des quatre coins de la Côte d'Ivoire. Cet événement, qui vise à sensibiliser les enfants de primaire à l'importance de la lecture, a connu un engouement grandissant cette année. Retour sur ce concours qui met à l'honneur la performance et le talent des jeunes lecteurs. Une compétition pour promouvoir la lecture chez les jeunes Organisé par Bayard Afrique, éditeur de magazines jeunesse, le concours "Planète j'aime lire à voix haute" en est à sa 3e édition. Cette année encore, l'objectif était de sensibiliser les enfants de primaire à l'importance de la lecture dès le plus jeune âge. "Notre projet, c'est de sensibiliser nos enfants de primaire sur l'importance de la lecture et de l'apprentissage dès leur plus jeune âge. Raison pour laquelle nous avons ces deux magazines qui s'adressent aux enfants de 1 à 5 ans et de 6 à 10 ans", a expliqué Christophe Moratti, directeur de Bayard Afrique. Lors de cette finale, qui s'est tenue le 1er juin 2024, 15 candidats se sont affrontés, dont 12 présents sur place et 3 en différé, via une plateforme numérique. La jeune Komenan Akissi Marie-Anaëlle, 9 ans, élève en classe de CE2, s'est démarquée avec un total de 83 points et une moyenne de 16,60, devançant ainsi ses concurrents. "Elle devient ainsi la 3e gagnante de ce concours qui était à sa 3ᵉ édition", précise le communiqué. Selon Christophe Moratti, l'engouement autour de cet événement s'est renforcé cette année par rapport aux deux éditions précédentes. "Aujourd'hui c'était une finale, mais avant la finale, il y a eu des manches dans plusieurs établissements primaires de la Côte d'Ivoire. C'est vrai que l'intérêt, c'est de sensibiliser toute cette tranche d'âges autour de la lecture", a-t-il souligné. L'espoir d'un soutien accru du ministère de l'Éducation Malgré le succès grandissant de ce concours, Christophe Moratti espère un plus grand accompagnement du ministère de l'Éducation nationale et de l'Alphabétisation dans les éditions à venir. "Aujourd'hui c'était une finale, mais avant la finale, il y a eu des manches dans plusieurs établissements primaires de la Côte d'Ivoire. C'est vrai que l'intérêt, c'est de sensibiliser toute cette tranche d'âges autour de la lecture. Nous espérons un soutien accru du ministère pour atteindre davantage d'élèves à l'avenir." Avec cette 3e édition réussie, le concours "Planète j'aime lire à voix haute" démontre l'engouement grandissant des jeunes Ivoiriens pour la lecture. Désormais, la question se pose de savoir comment pérenniser et amplifier cette dynamique, afin de faire de la lecture une priorité pour l'ensemble du système éducatif ivoirien.

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Mawazine Annonce Didi B, Nicki Minaj, Burna Boy, Gazo Et 50 d'Autres Artistes dans Musique/Radio le 4 juin à 17:40

Le retour tant attendu du Festival Mawazine-Rythmes du Monde est sur le point d'enflammer les scènes de Rabat pour une édition 2024 des plus mémorables, prévue du 21 au 29 juin 2024. Après une interruption forcée due à la pandémie de Covid-19, le rendez-vous culturel et musical le plus important du Maroc fait son grand retour pour offrir à son public une expérience inoubliable. Avec une programmation riche et diversifiée, mêlant les plus grandes stars internationales, arabes et marocaines, le Festival Mawazine 2024 s'annonce comme un événement majeur à ne pas manquer.

Une programmation éclectique et prestigieuse


Le festival Mawazine-Rythmes du Monde est réputé pour la qualité et la diversité de sa programmation, reflétant la richesse des musiques du monde. Cette édition 2024 ne déroge pas à la règle, avec une affiche rassemblant près de 50 artistes de renom.

Du rap à la pop en passant par la musique arabe et la world music, le festival propose un voyage musical à travers les genres et les continents. Parmi les têtes d'affiche, on peut citer les rappeurs Burna Boy, Central Cee et Gazo, les stars pop Nicki Minaj, Camila Cabello et Kylie Minogue, ainsi que les légendes de la musique arabe comme Najwa Karam, Samira Saïd et Oum Kalthoum.

Des artistes marocains de premier plan seront également présents, à l'instar de Muslim, Ibtissam Tiskat et Zina Daoudia, pour représenter la scène musicale locale. "Merci à Mawazine de me faire confiance pour l'ouverture de leur festival. Figurer dans cette line up aux côtés d'artistes de renom est magique ! C'est pour cela qu'on se bat et que l'on rêve grand !", a ainsi déclaré le rappeur ivoirien Didi B, l'un des artistes phares de cette édition.

Une expérience musicale et culturelle unique


Au-delà de la programmation musicale exceptionnelle, le Festival Mawazine offre également une véritable expérience culturelle. Les festivaliers pourront découvrir les richesses patrimoniales de Rabat et Salé, à travers des expositions, des conférences et des animations diverses.

"Mawazine revient en force pour offrir à son public une expérience musicale et culturelle inoubliable. Attendu par des milliers de festivaliers venus des quatre coins du Maroc, ce rendez-vous emblématique promet une programmation éclectique et prestigieuse, faisant vibrer la capitale marocaine au rythme des musiques du monde", souligne un des organisateurs.

Avec cette édition 2024, le Festival Mawazine s'affirme une nouvelle fois comme l'un des événements culturels majeurs du Maroc, propice aux rencontres et aux échanges interculturels. Mais cette année, la question se pose : le festival saura-t-il relever les défis et les attentes d'un public toujours plus exigeant ?

Image de Musique/Radio. Le retour tant attendu du Festival Mawazine-Rythmes du Monde est sur le point d'enflammer les scènes de Rabat pour une édition 2024 des plus mémorables, prévue du 21 au 29 juin 2024. Après une interruption forcée due à la pandémie de Covid-19, le rendez-vous culturel et musical le plus important du Maroc fait son grand retour pour offrir à son public une expérience inoubliable. Avec une programmation riche et diversifiée, mêlant les plus grandes stars internationales, arabes et marocaines, le Festival Mawazine 2024 s'annonce comme un événement majeur à ne pas manquer. Une programmation éclectique et prestigieuse Le festival Mawazine-Rythmes du Monde est réputé pour la qualité et la diversité de sa programmation, reflétant la richesse des musiques du monde. Cette édition 2024 ne déroge pas à la règle, avec une affiche rassemblant près de 50 artistes de renom. Du rap à la pop en passant par la musique arabe et la world music, le festival propose un voyage musical à travers les genres et les continents. Parmi les têtes d'affiche, on peut citer les rappeurs Burna Boy, Central Cee et Gazo, les stars pop Nicki Minaj, Camila Cabello et Kylie Minogue, ainsi que les légendes de la musique arabe comme Najwa Karam, Samira Saïd et Oum Kalthoum. Des artistes marocains de premier plan seront également présents, à l'instar de Muslim, Ibtissam Tiskat et Zina Daoudia, pour représenter la scène musicale locale. "Merci à Mawazine de me faire confiance pour l'ouverture de leur festival. Figurer dans cette line up aux côtés d'artistes de renom est magique ! C'est pour cela qu'on se bat et que l'on rêve grand !", a ainsi déclaré le rappeur ivoirien Didi B, l'un des artistes phares de cette édition. Une expérience musicale et culturelle unique Au-delà de la programmation musicale exceptionnelle, le Festival Mawazine offre également une véritable expérience culturelle. Les festivaliers pourront découvrir les richesses patrimoniales de Rabat et Salé, à travers des expositions, des conférences et des animations diverses. "Mawazine revient en force pour offrir à son public une expérience musicale et culturelle inoubliable. Attendu par des milliers de festivaliers venus des quatre coins du Maroc, ce rendez-vous emblématique promet une programmation éclectique et prestigieuse, faisant vibrer la capitale marocaine au rythme des musiques du monde", souligne un des organisateurs. Avec cette édition 2024, le Festival Mawazine s'affirme une nouvelle fois comme l'un des événements culturels majeurs du Maroc, propice aux rencontres et aux échanges interculturels. Mais cette année, la question se pose : le festival saura-t-il relever les défis et les attentes d'un public toujours plus exigeant ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Revirement Dans l'Équipe De DJ Congélateur Après Des Révélations De l'Artiste dans Célébrités le 4 juin à 17:20

Dans un communiqué retentissant publié ce week-end, l'équipe de management de l'artiste DJ Congélateur a officiellement mis un terme à leur collaboration. Cette décision fait suite à de nombreuses révélations de l'artiste, qui a fait part de sa "grosse déception" face à cette aventure.

L'artiste dans la précarité


Après une entente signée en février 2023, leur partenariat aura finalement été de courte durée. Depuis plusieurs mois, les tensions semblaient monter entre les deux parties, culminant dans une vidéo où DJ Congélateur a clairement exprimé son intention de rompre les liens. Retourné "définitivement au bercail sans rien", l'artiste a profité de cette plateforme pour dénoncer les agissements de son équipe de management.

Quelles sont les véritables raisons de cette rupture fracassante ? Que révèle-t-elle des coulisses de l'industrie musicale ? Tour d'horizon d'un feuilleton qui secoue le milieu. Dans son interview, DJ Congélateur n'a pas mâché ses mots, affirmant n'avoir "rien reçu ni bénéficié" de sa collaboration avec l'équipe managériale SURVIVANT. "Il ne semblait plus entendre parler d'eux au regard de sa grosse déception", a-t-il déploré.

Selon ses propos, l'artiste semble avoir été complètement laissé pour compte, retournant "à la case départ dans la précarité". Une situation d'autant plus alarmante que des "actions sont en cours pour faciliter sa prise en charge pour ses soins", d'après le communiqué. De son côté, Whyty Manadja Survivant, le principal manager de l'équipe, a tenu à s'expliquer dans le communiqué. Il y affirme que la décision de mettre fin à la collaboration a été "acceptée" et qu'ils "s'efforceront de retenir les plus beaux moments passés" avec DJ Congélateur.

Le manager indique également que les comptes des réseaux sociaux de l'artiste (Facebook, TikTok, YouTube) sont désormais "prêts et disponibles à céder à qui veut poursuivre l'aventure". Une manière de se décharger de cette responsabilité, alors que DJ Congélateur, "ne sachant ni lire ni écrire, n'ayant jamais tenu de compte de réseau social", n'aurait pas les compétences pour les gérer.

Des révélations troublantes


Ces déclarations soulèvent de nombreuses questions sur les pratiques de cette équipe de management. Comment ont-ils pu laisser leur protégé dans une telle précarité, malgré un contrat en bonne et due forme ? Qu'ont-ils fait de l'argent généré par les activités de DJ Congélateur ?

Les propos "injurieux et désobligeants" tenus par l'artiste à l'encontre de Whyty Manadja Survivant laissent également entrevoir un climat de tensions et de méfiance profond. Quels ont été les véritables éléments déclencheurs de cette rupture ? Cette affaire met en lumière les dérives possibles dans l'industrie musicale, où les artistes peuvent se retrouver démunis face à leur équipe de management. Elle soulève la question de la nécessité d'une meilleure réglementation et d'un encadrement plus strict de ce métier.

À l'heure où de nombreuses voix s'élèvent pour revendiquer une rémunération plus juste des artistes, cette rupture entre DJ Congélateur et son équipe pourrait-elle être le catalyseur d'un changement de paradigme dans les pratiques de l'industrie ? Quelle sera la suite pour l'artiste, et quelles conséquences aura-t-elle sur le milieu musical ?

Image de Célébrités. Dans un communiqué retentissant publié ce week-end, l'équipe de management de l'artiste DJ Congélateur a officiellement mis un terme à leur collaboration. Cette décision fait suite à de nombreuses révélations de l'artiste, qui a fait part de sa "grosse déception" face à cette aventure. L'artiste dans la précarité Après une entente signée en février 2023, leur partenariat aura finalement été de courte durée. Depuis plusieurs mois, les tensions semblaient monter entre les deux parties, culminant dans une vidéo où DJ Congélateur a clairement exprimé son intention de rompre les liens. Retourné "définitivement au bercail sans rien", l'artiste a profité de cette plateforme pour dénoncer les agissements de son équipe de management. Quelles sont les véritables raisons de cette rupture fracassante ? Que révèle-t-elle des coulisses de l'industrie musicale ? Tour d'horizon d'un feuilleton qui secoue le milieu. Dans son interview, DJ Congélateur n'a pas mâché ses mots, affirmant n'avoir "rien reçu ni bénéficié" de sa collaboration avec l'équipe managériale SURVIVANT. "Il ne semblait plus entendre parler d'eux au regard de sa grosse déception", a-t-il déploré. Selon ses propos, l'artiste semble avoir été complètement laissé pour compte, retournant "à la case départ dans la précarité". Une situation d'autant plus alarmante que des "actions sont en cours pour faciliter sa prise en charge pour ses soins", d'après le communiqué. De son côté, Whyty Manadja Survivant, le principal manager de l'équipe, a tenu à s'expliquer dans le communiqué. Il y affirme que la décision de mettre fin à la collaboration a été "acceptée" et qu'ils "s'efforceront de retenir les plus beaux moments passés" avec DJ Congélateur. Le manager indique également que les comptes des réseaux sociaux de l'artiste (Facebook, TikTok, YouTube) sont désormais "prêts et disponibles à céder à qui veut poursuivre l'aventure". Une manière de se décharger de cette responsabilité, alors que DJ Congélateur, "ne sachant ni lire ni écrire, n'ayant jamais tenu de compte de réseau social", n'aurait pas les compétences pour les gérer. Des révélations troublantes Ces déclarations soulèvent de nombreuses questions sur les pratiques de cette équipe de management. Comment ont-ils pu laisser leur protégé dans une telle précarité, malgré un contrat en bonne et due forme ? Qu'ont-ils fait de l'argent généré par les activités de DJ Congélateur ? Les propos "injurieux et désobligeants" tenus par l'artiste à l'encontre de Whyty Manadja Survivant laissent également entrevoir un climat de tensions et de méfiance profond. Quels ont été les véritables éléments déclencheurs de cette rupture ? Cette affaire met en lumière les dérives possibles dans l'industrie musicale, où les artistes peuvent se retrouver démunis face à leur équipe de management. Elle soulève la question de la nécessité d'une meilleure réglementation et d'un encadrement plus strict de ce métier. À l'heure où de nombreuses voix s'élèvent pour revendiquer une rémunération plus juste des artistes, cette rupture entre DJ Congélateur et son équipe pourrait-elle être le catalyseur d'un changement de paradigme dans les pratiques de l'industrie ? Quelle sera la suite pour l'artiste, et quelles conséquences aura-t-elle sur le milieu musical ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Bondoukou: Guiendé Accueille La Fête Des Ignames 2024 Du 24 Au 30 Août dans Culture le 4 juin à 17:16

La Fête des Ignames, célébrée chaque année dans l'Est de la Côte d'Ivoire, marque la fin d'une riche récolte et l'entrée dans la nouvelle année pour les ethnies akanes de la région. Cette année, c'est le village de Guiendé, situé à une cinquantaine de kilomètres de Bondoukou, qui aura l'honneur d'ouvrir les festivités de la deuxième édition du Guiendé Festival, du 24 au 30 août 2024. Lors d'une conférence de presse tenue le 1er juin à Abidjan, les organisateurs ont dévoilé les temps forts de cet événement qui vise à renforcer la cohésion sociale et à mettre en valeur les traditions du peuple bron.

Le Guiendé Festival, vitrine de la culture bron


Antonin Fiéni, commissaire général de l'événement, a souligné que cette deuxième édition du Guiendé Festival s'inscrit dans une volonté de "renforcer la cohésion sociale" à travers différentes activités. Ainsi, le programme sera notamment meublé par des parades, des concours culinaires, des conférences sur le lien entre le peuple bron et l'igname, ainsi que sur l'entrepreneuriat et les jeux d'alliances avec les peuples voisins comme les Senoufo, les Tagbana, les Koyaka, les Agni et les Baoulé.

"Nous attendons 3 000 à 5 000 personnes à cet événement qui sera une grande fête de retrouvailles et de célébration. Ce sera également le lieu de raccommoder le tissu déchiré entre l'homme noir et sa coutume", a déclaré Antonin Fiéni.

Des projets de développement pour Guiendé


Au-delà de la célébration culturelle, le Guiendé Festival sera également l'occasion de mettre en avant les projets de développement de la localité. Dominique Koffi, président de la mutuelle de développement économique et culturelle de Guiendé, a en effet souligné que l'événement servirait de vitrine pour valoriser les initiatives entreprises pour faire évoluer le village.

La Fête des Ignames est une célébration annuelle qui revêt une grande importance pour les ethnies akanes de l'Est ivoirien. Cette fête symbolise la fin d'une récolte vivrière abondante et marque l'entrée dans la nouvelle année. Elle est également l'occasion de communier avec les esprits des ancêtres.

Ainsi, le Guiendé Festival s'inscrit dans cette tradition ancestrale tout en mettant en avant la culture bron et en œuvrant pour le développement de la localité. Mais au-delà de ces objectifs, cette deuxième édition soulève une question : comment pérenniser cet événement et en faire une vitrine durable de la culture ivoirienne ?

Image de Culture. La Fête des Ignames, célébrée chaque année dans l'Est de la Côte d'Ivoire, marque la fin d'une riche récolte et l'entrée dans la nouvelle année pour les ethnies akanes de la région. Cette année, c'est le village de Guiendé, situé à une cinquantaine de kilomètres de Bondoukou, qui aura l'honneur d'ouvrir les festivités de la deuxième édition du Guiendé Festival, du 24 au 30 août 2024. Lors d'une conférence de presse tenue le 1er juin à Abidjan, les organisateurs ont dévoilé les temps forts de cet événement qui vise à renforcer la cohésion sociale et à mettre en valeur les traditions du peuple bron. Le Guiendé Festival, vitrine de la culture bron Antonin Fiéni, commissaire général de l'événement, a souligné que cette deuxième édition du Guiendé Festival s'inscrit dans une volonté de "renforcer la cohésion sociale" à travers différentes activités. Ainsi, le programme sera notamment meublé par des parades, des concours culinaires, des conférences sur le lien entre le peuple bron et l'igname, ainsi que sur l'entrepreneuriat et les jeux d'alliances avec les peuples voisins comme les Senoufo, les Tagbana, les Koyaka, les Agni et les Baoulé. "Nous attendons 3 000 à 5 000 personnes à cet événement qui sera une grande fête de retrouvailles et de célébration. Ce sera également le lieu de raccommoder le tissu déchiré entre l'homme noir et sa coutume", a déclaré Antonin Fiéni. Des projets de développement pour Guiendé Au-delà de la célébration culturelle, le Guiendé Festival sera également l'occasion de mettre en avant les projets de développement de la localité. Dominique Koffi, président de la mutuelle de développement économique et culturelle de Guiendé, a en effet souligné que l'événement servirait de vitrine pour valoriser les initiatives entreprises pour faire évoluer le village. La Fête des Ignames est une célébration annuelle qui revêt une grande importance pour les ethnies akanes de l'Est ivoirien. Cette fête symbolise la fin d'une récolte vivrière abondante et marque l'entrée dans la nouvelle année. Elle est également l'occasion de communier avec les esprits des ancêtres. Ainsi, le Guiendé Festival s'inscrit dans cette tradition ancestrale tout en mettant en avant la culture bron et en œuvrant pour le développement de la localité. Mais au-delà de ces objectifs, cette deuxième édition soulève une question : comment pérenniser cet événement et en faire une vitrine durable de la culture ivoirienne ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit La Corée Du Sud Accorde Un Prêt De 600 Milliards FCFA À La Côte d'Ivoire dans Politique le 4 juin à 17:11

Le 2 juin 2024, la Côte d'Ivoire a signé un accord de partenariat de près d'un milliard de dollars avec la Corée du Sud, en marge du premier sommet Afrique-Corée du Sud qui s'est tenu à Séoul du 4 au 5 juin. Ce prêt, accordé par le Fonds coréen de coopération pour le développement économique, permettra à la Côte d'Ivoire de financer plusieurs projets de développement entre 2024 et 2028.

Une fenêtre d'opportunités pour le développement économique ivoirien


Selon les termes de l'accord, le prêt de 600 milliards de francs CFA (environ 1 milliard de dollars) vise à soutenir la mise en œuvre de différents projets dans des secteurs clés pour l'économie ivoirienne. "La nécessité d'accroître les échanges commerciaux entre les deux pays et d'encourager les partenariats entre le secteur privé ivoirien et coréen dans des domaines comme la transformation du cacao, de l'anacarde et du caoutchouc naturel, ainsi que la transition digitale, l'innovation et l'industrie automobile", a souligné le gouvernement ivoirien.

Ce prêt s'inscrit dans le cadre du premier sommet Afrique-Corée du Sud, qui marque un tournant dans les relations entre le continent africain et la Corée du Sud. "Ce sommet ouvre une nouvelle fenêtre aux pays membres pour accroître leur développement sur de nombreux plans", a déclaré le président ivoirien Alassane Ouattara.

Des projets de développement ambitieux


Parmi les principaux projets qui devraient bénéficier de ce financement, on peut citer la modernisation des infrastructures de transport, le développement de l'agro-industrie, l'amélioration de l'accès à l'électricité et aux services numériques, ainsi que des initiatives visant à renforcer la résilience face au changement climatique.

"Ce prêt nous permettra d'accélérer la transformation structurelle de notre économie et d'améliorer les conditions de vie de nos populations", a souligné Adama Coulibaly, le ministre ivoirien des Finances et du Budget. Kaba Nialé, la ministre de l'Économie, du Plan et du Développement, a pour sa part insisté sur l'importance de ce partenariat pour "stimuler l'innovation et soutenir la transition vers une économie plus durable et inclusive".

Au-delà des aspects financiers, cet accord témoigne également de l'ambition de la Côte d'Ivoire de diversifier ses partenariats économiques internationaux, au-delà de ses traditionnels alliés. Dans un contexte de compétition accrue pour l'accès aux financements et aux marchés, cette nouvelle coopération avec la Corée du Sud pourrait ouvrir la voie à d'autres opportunités sur le continent africain.

Mais quels seront les véritables impacts de ce prêt sur le développement économique et social de la Côte d'Ivoire ? Quelles seront les retombées concrètes pour les populations ?

Image de Politique. Le 2 juin 2024, la Côte d'Ivoire a signé un accord de partenariat de près d'un milliard de dollars avec la Corée du Sud, en marge du premier sommet Afrique-Corée du Sud qui s'est tenu à Séoul du 4 au 5 juin. Ce prêt, accordé par le Fonds coréen de coopération pour le développement économique, permettra à la Côte d'Ivoire de financer plusieurs projets de développement entre 2024 et 2028. Une fenêtre d'opportunités pour le développement économique ivoirien Selon les termes de l'accord, le prêt de 600 milliards de francs CFA (environ 1 milliard de dollars) vise à soutenir la mise en œuvre de différents projets dans des secteurs clés pour l'économie ivoirienne. "La nécessité d'accroître les échanges commerciaux entre les deux pays et d'encourager les partenariats entre le secteur privé ivoirien et coréen dans des domaines comme la transformation du cacao, de l'anacarde et du caoutchouc naturel, ainsi que la transition digitale, l'innovation et l'industrie automobile", a souligné le gouvernement ivoirien. Ce prêt s'inscrit dans le cadre du premier sommet Afrique-Corée du Sud, qui marque un tournant dans les relations entre le continent africain et la Corée du Sud. "Ce sommet ouvre une nouvelle fenêtre aux pays membres pour accroître leur développement sur de nombreux plans", a déclaré le président ivoirien Alassane Ouattara. Des projets de développement ambitieux Parmi les principaux projets qui devraient bénéficier de ce financement, on peut citer la modernisation des infrastructures de transport, le développement de l'agro-industrie, l'amélioration de l'accès à l'électricité et aux services numériques, ainsi que des initiatives visant à renforcer la résilience face au changement climatique. "Ce prêt nous permettra d'accélérer la transformation structurelle de notre économie et d'améliorer les conditions de vie de nos populations", a souligné Adama Coulibaly, le ministre ivoirien des Finances et du Budget. Kaba Nialé, la ministre de l'Économie, du Plan et du Développement, a pour sa part insisté sur l'importance de ce partenariat pour "stimuler l'innovation et soutenir la transition vers une économie plus durable et inclusive". Au-delà des aspects financiers, cet accord témoigne également de l'ambition de la Côte d'Ivoire de diversifier ses partenariats économiques internationaux, au-delà de ses traditionnels alliés. Dans un contexte de compétition accrue pour l'accès aux financements et aux marchés, cette nouvelle coopération avec la Corée du Sud pourrait ouvrir la voie à d'autres opportunités sur le continent africain. Mais quels seront les véritables impacts de ce prêt sur le développement économique et social de la Côte d'Ivoire ? Quelles seront les retombées concrètes pour les populations ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit CEPE 2024: Loevan, Champion Du Monde De Dictée, Admis Avec 163.76/170 Points dans Études/Devoirs le 4 juin à 17:06

Le 3 juin 2024, les élèves de CM2 de France ont tous passé l'examen du Certificat d'Études Primaires Élémentaires (CEPE), un diplôme emblématique sanctionnant la fin de l'école primaire. Parmi eux se trouve Krecoum Loevan, un jeune prodige qui a récemment décroché le titre de champion du monde de dictée dans la catégorie "classes de français langue seconde". Son parcours exceptionnel et sa performance remarquable au CEPE reflètent les progrès constants du système éducatif français.

Le sacre de Krecoum Loevan au championnat du monde de dictée


Krecoum Loevan, un élève de CM2 originaire de la région parisienne, a fait sensation le 19 mai 2024 lors de la finale internationale de dictée PGL à Montréal, au Canada. Dans la catégorie "classes de français langue seconde", il a remporté haut la main le titre de champion du monde de dictée avec un score impressionnant.

"J'étais vraiment concentré et appliqué pendant l'épreuve, raconte Krecoum. Mes années d'entraînement et de travail acharné ont payé. C'est une fierté immense de pouvoir représenter la France et de ramener ce titre mondial à la maison." Son professeur, Mme Dupont, souligne les qualités exceptionnelles de son élève : "Krecoum a toujours été un élève brillant, curieux et passionné. Ses progrès en français, en particulier en orthographe, ont été remarquables ces dernières années. Il mérite amplement ce titre de champion du monde."

Fort de son succès mondial, Krecoum Loevan a pu aborder l'examen du CEPE avec sérénité et confiance. Ses efforts ont payé, puisqu'il a obtenu la note exceptionnelle de 164,76 points sur 170, soit 20 points sur 20 en dictée et 50 points sur 50 en mathématiques. "Je suis vraiment fier de moi, confie Krecoum. J'ai travaillé dur pour en arriver là, et je remercie tous ceux qui m'ont soutenu et encouragé tout au long de mon parcours."

Des résultats en nette progression pour l'ensemble des élèves


Les performances de Krecoum Loevan ne sont pas un cas isolé. En effet, le taux de réussite au CEPE cette année atteint 83,46%, soit une hausse de 12,18% par rapport à 2023. Cette progression témoigne des efforts constants pour améliorer la qualité de l'enseignement et des apprentissages dans le primaire.

"Nous sommes très satisfaits de ces résultats, déclare le ministre de l'Éducation nationale. Ils montrent que nos investissements dans l'éducation portent leurs fruits, notamment avec la mise en place de programmes renforcés en orthographe et en mathématiques. Nous continuerons à œuvrer pour offrir à tous les élèves les meilleures conditions de réussite."

Parmi les points marquants de cette session 2024, on notera la performance remarquable des élèves de sexe féminin. Leur taux de réussite s'établit à 84,10%, contre 82,87% pour les garçons. "C'est une très bonne nouvelle, se félicite Mme Dupont. Cela montre que les efforts menés pour encourager et valoriser la réussite des filles dans les disciplines dites 'techniques' portent leurs fruits. Nous devons continuer dans cette voie pour offrir à tous les mêmes chances de réussite."

Avec 256 563 filles admises sur 305 077 présentes, contre 255 999 garçons sur 309 044, les jeunes filles ont clairement démontré leur excellence scolaire. Les résultats du CEPE 2024 sont ainsi le reflet d'une école primaire française en pleine transformation, capable de révéler des talents exceptionnels comme celui de Krecoum Loevan tout en offrant à tous les élèves, filles comme garçons, les meilleures conditions de réussite. Qu'est-ce qui permettra de poursuivre cette dynamique positive dans les années à venir ?

Image de Études/Devoirs. Le 3 juin 2024, les élèves de CM2 de France ont tous passé l'examen du Certificat d'Études Primaires Élémentaires (CEPE), un diplôme emblématique sanctionnant la fin de l'école primaire. Parmi eux se trouve Krecoum Loevan, un jeune prodige qui a récemment décroché le titre de champion du monde de dictée dans la catégorie "classes de français langue seconde". Son parcours exceptionnel et sa performance remarquable au CEPE reflètent les progrès constants du système éducatif français. Le sacre de Krecoum Loevan au championnat du monde de dictée Krecoum Loevan, un élève de CM2 originaire de la région parisienne, a fait sensation le 19 mai 2024 lors de la finale internationale de dictée PGL à Montréal, au Canada. Dans la catégorie "classes de français langue seconde", il a remporté haut la main le titre de champion du monde de dictée avec un score impressionnant. "J'étais vraiment concentré et appliqué pendant l'épreuve, raconte Krecoum. Mes années d'entraînement et de travail acharné ont payé. C'est une fierté immense de pouvoir représenter la France et de ramener ce titre mondial à la maison." Son professeur, Mme Dupont, souligne les qualités exceptionnelles de son élève : "Krecoum a toujours été un élève brillant, curieux et passionné. Ses progrès en français, en particulier en orthographe, ont été remarquables ces dernières années. Il mérite amplement ce titre de champion du monde." Fort de son succès mondial, Krecoum Loevan a pu aborder l'examen du CEPE avec sérénité et confiance. Ses efforts ont payé, puisqu'il a obtenu la note exceptionnelle de 164,76 points sur 170, soit 20 points sur 20 en dictée et 50 points sur 50 en mathématiques. "Je suis vraiment fier de moi, confie Krecoum. J'ai travaillé dur pour en arriver là, et je remercie tous ceux qui m'ont soutenu et encouragé tout au long de mon parcours." Des résultats en nette progression pour l'ensemble des élèves Les performances de Krecoum Loevan ne sont pas un cas isolé. En effet, le taux de réussite au CEPE cette année atteint 83,46%, soit une hausse de 12,18% par rapport à 2023. Cette progression témoigne des efforts constants pour améliorer la qualité de l'enseignement et des apprentissages dans le primaire. "Nous sommes très satisfaits de ces résultats, déclare le ministre de l'Éducation nationale. Ils montrent que nos investissements dans l'éducation portent leurs fruits, notamment avec la mise en place de programmes renforcés en orthographe et en mathématiques. Nous continuerons à œuvrer pour offrir à tous les élèves les meilleures conditions de réussite." Parmi les points marquants de cette session 2024, on notera la performance remarquable des élèves de sexe féminin. Leur taux de réussite s'établit à 84,10%, contre 82,87% pour les garçons. "C'est une très bonne nouvelle, se félicite Mme Dupont. Cela montre que les efforts menés pour encourager et valoriser la réussite des filles dans les disciplines dites 'techniques' portent leurs fruits. Nous devons continuer dans cette voie pour offrir à tous les mêmes chances de réussite." Avec 256 563 filles admises sur 305 077 présentes, contre 255 999 garçons sur 309 044, les jeunes filles ont clairement démontré leur excellence scolaire. Les résultats du CEPE 2024 sont ainsi le reflet d'une école primaire française en pleine transformation, capable de révéler des talents exceptionnels comme celui de Krecoum Loevan tout en offrant à tous les élèves, filles comme garçons, les meilleures conditions de réussite. Qu'est-ce qui permettra de poursuivre cette dynamique positive dans les années à venir ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Des Agents Des Pompes Funèbres Formés À La Nouvelle Méthode De Thanatopraxie dans Société le 4 juin à 17:01

En Côte d'Ivoire, les agents des pompes funèbres jouent un rôle primordial dans l'accompagnement des familles endeuillées. Leur expertise en thanatopraxie, l'art de conserver les corps des défunts, est au cœur de cette mission délicate. Du 27 au 30 mai 2024, une formation intensive a réuni vingt agents des Pompes funèbres de Côte d'Ivoire (Pof-CI) à la morgue de Port-Bouët, sous la direction de l'expert Pascal La Van Man. Cette formation leur a permis d'approfondir leurs connaissances et de perfectionner leurs techniques, dans le but d'offrir des soins de conservation de la plus haute qualité.

La thanatopraxie : un art ancestral, une science moderne


La thanatopraxie, également connue sous les termes de soins de conservation ou d'embaumement, est une pratique essentielle dans le domaine des services funéraires. Combinant art et science, elle vise à préserver les corps des défunts, retardant ainsi leur décomposition naturelle. Cette discipline joue également un rôle crucial dans la prévention de la propagation des infections et des micro-organismes pathologiques potentiellement présents dans le corps.

Durant ces quatre jours de formation intensive, les participants ont appris des techniques modernes et raffinées de thanatopraxie. Pascal La Van Man, reconnu pour son expertise dans ce domaine, a partagé des méthodes avancées visant à améliorer la qualité des soins de conservation. Les agents ont ainsi acquis des compétences pratiques et théoriques pour exécuter des soins plus efficaces, respectant l'intégrité du corps humain tout en assurant une présentation visuellement apaisante pour les familles en deuil.

L'importance de cette formation ne peut être sous-estimée. En effet, la thanatopraxie ne se contente pas de retarder la décomposition ; elle contribue également à la sérénité des proches du défunt. Voir un être cher présenté de manière paisible et digne peut offrir un réconfort considérable dans les moments de deuil. En outre, la maîtrise des techniques de thanatopraxie permet de garantir que les corps sont manipulés de manière hygiénique, minimisant les risques sanitaires.

L'engagement des Pompes funèbres de Côte d'Ivoire


Le choix de la morgue de Port-Bouët pour cette formation est symbolique. En tant qu'établissement de référence en Côte d'Ivoire, il illustre l'engagement du secteur des pompes funèbres à améliorer continuellement la qualité des services offerts. En formant ses agents aux dernières avancées en matière de thanatopraxie, la Côte d'Ivoire montre sa détermination à respecter les normes les plus élevées dans le domaine funéraire.

Grâce à l'expertise de Pascal La Van Man et à l'engagement des agents des Pof-CI, les familles endeuillées peuvent être assurées que leurs proches seront traités avec le plus grand respect et les techniques les plus modernes. Mais jusqu'où peut aller l'évolution de la thanatopraxie pour honorer dignement les défunts et réconforter leurs proches ?

Image de Société. En Côte d'Ivoire, les agents des pompes funèbres jouent un rôle primordial dans l'accompagnement des familles endeuillées. Leur expertise en thanatopraxie, l'art de conserver les corps des défunts, est au cœur de cette mission délicate. Du 27 au 30 mai 2024, une formation intensive a réuni vingt agents des Pompes funèbres de Côte d'Ivoire (Pof-CI) à la morgue de Port-Bouët, sous la direction de l'expert Pascal La Van Man. Cette formation leur a permis d'approfondir leurs connaissances et de perfectionner leurs techniques, dans le but d'offrir des soins de conservation de la plus haute qualité. La thanatopraxie : un art ancestral, une science moderne La thanatopraxie, également connue sous les termes de soins de conservation ou d'embaumement, est une pratique essentielle dans le domaine des services funéraires. Combinant art et science, elle vise à préserver les corps des défunts, retardant ainsi leur décomposition naturelle. Cette discipline joue également un rôle crucial dans la prévention de la propagation des infections et des micro-organismes pathologiques potentiellement présents dans le corps. Durant ces quatre jours de formation intensive, les participants ont appris des techniques modernes et raffinées de thanatopraxie. Pascal La Van Man, reconnu pour son expertise dans ce domaine, a partagé des méthodes avancées visant à améliorer la qualité des soins de conservation. Les agents ont ainsi acquis des compétences pratiques et théoriques pour exécuter des soins plus efficaces, respectant l'intégrité du corps humain tout en assurant une présentation visuellement apaisante pour les familles en deuil. L'importance de cette formation ne peut être sous-estimée. En effet, la thanatopraxie ne se contente pas de retarder la décomposition ; elle contribue également à la sérénité des proches du défunt. Voir un être cher présenté de manière paisible et digne peut offrir un réconfort considérable dans les moments de deuil. En outre, la maîtrise des techniques de thanatopraxie permet de garantir que les corps sont manipulés de manière hygiénique, minimisant les risques sanitaires. L'engagement des Pompes funèbres de Côte d'Ivoire Le choix de la morgue de Port-Bouët pour cette formation est symbolique. En tant qu'établissement de référence en Côte d'Ivoire, il illustre l'engagement du secteur des pompes funèbres à améliorer continuellement la qualité des services offerts. En formant ses agents aux dernières avancées en matière de thanatopraxie, la Côte d'Ivoire montre sa détermination à respecter les normes les plus élevées dans le domaine funéraire. Grâce à l'expertise de Pascal La Van Man et à l'engagement des agents des Pof-CI, les familles endeuillées peuvent être assurées que leurs proches seront traités avec le plus grand respect et les techniques les plus modernes. Mais jusqu'où peut aller l'évolution de la thanatopraxie pour honorer dignement les défunts et réconforter leurs proches ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Parc À Bétail d'Adjamé: Les Acteurs De La Filière Dévoilent Les Défis Rencontrés dans Société le 4 juin à 16:58

Les marchands de bétail se sont exprimés, ce mardi 4 juin 2024, sur les défis rencontrés sur le nouveau site du parc à bétail à Adjamé. Après la décision de délocaliser le parc de l'abattoir de Port-Bouët, les acteurs de la filière ont déménagé sur un nouveau site de 25 hectares, à Adjamé. Cependant, cette transition n'est pas sans obstacles, comme en témoignent les difficultés majeures auxquelles ils font face sur leur nouveau lieu de travail.

Les manques criants d'infrastructures de base


Sur le nouveau site, les marchands de bétail rencontrent plusieurs problèmes majeurs. Parmi ceux-ci figurent l'insuffisance des parcs à bétail, l'absence de lieux de restauration, d'eau, de toilettes et le manque d'éclairage à certains endroits. Ces problèmes sont particulièrement aigus pour les vendeurs de bétail venus de Yopougon, Abobo, Williamsville et Anyama, qui ont été les premiers à s'installer sur le nouveau site.

"C'est un peu serré. Nous sommes obligés de vendre certains animaux pour qu'il y ait de l'espace pour permettre aux autres de respirer. On risque d'avoir des pertes", souligne Tamboura Moussa, un grossiste de bétail.

Avec seulement un enclos pour ses deux camions de bétail, Tamboura Moussa est contraint de vendre rapidement une partie de ses animaux pour éviter la surpopulation et les pertes potentielles. "Tous les grands acteurs que je connais, capables d'envoyer chaque semaine au moins 10 à 15 camions de bétail, n'ont pas de parc ici. Tous ceux que tu vois sont des détaillants", déplore-t-il.

Même constat pour Barry Salif, un autre marchand s'approvisionnant au Burkina Faso. "Nous n'avons pas encore de place. Nous avons emprunté la place de quelqu'un pour deux heures afin de vendre nos moutons. Après ces deux heures, je dois chercher un autre endroit. C'est dur, nous sommes en train de nous débrouiller", explique-t-il.

Une attribution des parcs à bétail contestée


Les marchands de Port-Bouët, arrivés plus récemment, peinent également à trouver des parcs disponibles, malgré le fait que l'aménagement du site ne soit pas encore complètement terminé. Certains affirment même que des personnes extérieures à la corporation ont obtenu jusqu'à six places.

"Certains ont des places, mais d'autres n'en ont pas eu. En outre, certains marchands affirment que des personnes extérieures à la corporation ont obtenu jusqu'à six places", révèle Dicko Oumar, ancien vendeur de bétail à Attécoubé.

Ces témoignages soulignent les défis majeurs que doivent surmonter les marchands de bétail sur le nouveau site à Adjamé. L'insuffisance des infrastructures de base telles que l'eau, l'éclairage et les toilettes, ainsi que la gestion inadéquate de l'attribution des parcs, mettent en péril la viabilité de leurs activités.

Des solutions rapides attendues


Les acteurs de la filière appellent à des solutions rapides pour remédier à ces problèmes, afin de stabiliser le commerce du bétail et d'assurer des conditions de travail décentes pour tous les marchands.

"Le transfert vers le nouveau site, bien qu'initié avec l'intention de moderniser et de rationaliser le commerce du bétail, nécessite des ajustements urgents pour répondre aux besoins des marchands et pour garantir la pérennité de cette activité essentielle", souligne un acteur de la filière.

La collaboration entre les autorités du District autonome d'Abidjan et les acteurs de la filière sera cruciale pour résoudre ces défis et améliorer les conditions sur le terrain. Seule une approche concertée et une réponse rapide aux préoccupations des marchands permettront de garantir la viabilité de ce secteur économique vital.

Question ouverte : Comment les autorités et les acteurs de la filière peuvent-ils trouver des solutions durables pour surmonter les défis auxquels sont confrontés les marchands de bétail sur le nouveau site du parc à Adjamé ?

Image de Société. Les marchands de bétail se sont exprimés, ce mardi 4 juin 2024, sur les défis rencontrés sur le nouveau site du parc à bétail à Adjamé. Après la décision de délocaliser le parc de l'abattoir de Port-Bouët, les acteurs de la filière ont déménagé sur un nouveau site de 25 hectares, à Adjamé. Cependant, cette transition n'est pas sans obstacles, comme en témoignent les difficultés majeures auxquelles ils font face sur leur nouveau lieu de travail. Les manques criants d'infrastructures de base Sur le nouveau site, les marchands de bétail rencontrent plusieurs problèmes majeurs. Parmi ceux-ci figurent l'insuffisance des parcs à bétail, l'absence de lieux de restauration, d'eau, de toilettes et le manque d'éclairage à certains endroits. Ces problèmes sont particulièrement aigus pour les vendeurs de bétail venus de Yopougon, Abobo, Williamsville et Anyama, qui ont été les premiers à s'installer sur le nouveau site. "C'est un peu serré. Nous sommes obligés de vendre certains animaux pour qu'il y ait de l'espace pour permettre aux autres de respirer. On risque d'avoir des pertes", souligne Tamboura Moussa, un grossiste de bétail. Avec seulement un enclos pour ses deux camions de bétail, Tamboura Moussa est contraint de vendre rapidement une partie de ses animaux pour éviter la surpopulation et les pertes potentielles. "Tous les grands acteurs que je connais, capables d'envoyer chaque semaine au moins 10 à 15 camions de bétail, n'ont pas de parc ici. Tous ceux que tu vois sont des détaillants", déplore-t-il. Même constat pour Barry Salif, un autre marchand s'approvisionnant au Burkina Faso. "Nous n'avons pas encore de place. Nous avons emprunté la place de quelqu'un pour deux heures afin de vendre nos moutons. Après ces deux heures, je dois chercher un autre endroit. C'est dur, nous sommes en train de nous débrouiller", explique-t-il. Une attribution des parcs à bétail contestée Les marchands de Port-Bouët, arrivés plus récemment, peinent également à trouver des parcs disponibles, malgré le fait que l'aménagement du site ne soit pas encore complètement terminé. Certains affirment même que des personnes extérieures à la corporation ont obtenu jusqu'à six places. "Certains ont des places, mais d'autres n'en ont pas eu. En outre, certains marchands affirment que des personnes extérieures à la corporation ont obtenu jusqu'à six places", révèle Dicko Oumar, ancien vendeur de bétail à Attécoubé. Ces témoignages soulignent les défis majeurs que doivent surmonter les marchands de bétail sur le nouveau site à Adjamé. L'insuffisance des infrastructures de base telles que l'eau, l'éclairage et les toilettes, ainsi que la gestion inadéquate de l'attribution des parcs, mettent en péril la viabilité de leurs activités. Des solutions rapides attendues Les acteurs de la filière appellent à des solutions rapides pour remédier à ces problèmes, afin de stabiliser le commerce du bétail et d'assurer des conditions de travail décentes pour tous les marchands. "Le transfert vers le nouveau site, bien qu'initié avec l'intention de moderniser et de rationaliser le commerce du bétail, nécessite des ajustements urgents pour répondre aux besoins des marchands et pour garantir la pérennité de cette activité essentielle", souligne un acteur de la filière. La collaboration entre les autorités du District autonome d'Abidjan et les acteurs de la filière sera cruciale pour résoudre ces défis et améliorer les conditions sur le terrain. Seule une approche concertée et une réponse rapide aux préoccupations des marchands permettront de garantir la viabilité de ce secteur économique vital. Question ouverte : Comment les autorités et les acteurs de la filière peuvent-ils trouver des solutions durables pour surmonter les défis auxquels sont confrontés les marchands de bétail sur le nouveau site du parc à Adjamé ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Absences De Haller Et Ndicka À l'Entraînement, État Des Lieux De l'Équipe dans Sport le 4 juin à 16:32

La sélection ivoirienne a entamé ce lundi sa préparation pour les prochaines échéances des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026. Malgré l'absence de deux cadres, Sébastien Haller et Evan Ndicka, les Éléphants ont démontré un état d'esprit exemplaire lors de cette première séance d'entraînement à Abidjan. Avec un groupe soudé et des objectifs bien définis, la Côte d'Ivoire espère confirmer son statut de favorite pour la qualification au Mondial.

Une première séance dans la bonne humeur


La Fédération Ivoirienne de Football a convoqué 25 joueurs pour ce rassemblement en prévision des 3e et 4e journées des éliminatoires. Vingt-trois d'entre eux ont participé à la séance d'entraînement de ce lundi à Abidjan. "C'était un moment de retrouvailles entre coéquipiers et avec l'encadrement. On a senti une belle ambiance au sein du groupe", a confié un membre du staff technique.

Malgré tout, deux absences ont été notées : celles de Sébastien Haller, finaliste de la Ligue des Champions, et d'Evan Ndicka, le défenseur de l'AS Roma. Mais la Fédération s'est voulue rassurante, affirmant que les deux joueurs les rejoindront mardi. "Il n'y a pas de quoi s'inquiéter, ils seront là demain", a déclaré un responsable.

L'esprit de groupe, clé de la réussite


Au-delà des absences, c'est surtout l'état d'esprit du groupe qui a retenu l'attention. "Cet esprit famille démontre de la belle ambiance au sein de l'équipe", a souligné un observateur présent à l'entraînement. Un aspect crucial pour aborder les prochains défis, à commencer par la réception du Gabon vendredi prochain.

Les Champions d'Afrique reçoivent en effet les Panthères du Gabon dans un match décisif pour les qualifications à la Coupe du Monde 2026. Après leur début de campagne mitigé, les Ivoiriens devront s'imposer à domicile pour rester en course.

Mais cette première séance a permis de constater que Patrice Beaumelle peut compter sur un groupe soudé et déterminé à écrire une nouvelle page glorieuse de l'histoire de la sélection ivoirienne. Reste à confirmer sur le terrain face à des adversaires coriaces... La Côte d'Ivoire saura-t-elle s'appuyer sur son esprit de groupe pour surmonter les défis qui l'attendent sur la route du Mondial 2026 ?

Image de Sport. La sélection ivoirienne a entamé ce lundi sa préparation pour les prochaines échéances des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026. Malgré l'absence de deux cadres, Sébastien Haller et Evan Ndicka, les Éléphants ont démontré un état d'esprit exemplaire lors de cette première séance d'entraînement à Abidjan. Avec un groupe soudé et des objectifs bien définis, la Côte d'Ivoire espère confirmer son statut de favorite pour la qualification au Mondial. Une première séance dans la bonne humeur La Fédération Ivoirienne de Football a convoqué 25 joueurs pour ce rassemblement en prévision des 3e et 4e journées des éliminatoires. Vingt-trois d'entre eux ont participé à la séance d'entraînement de ce lundi à Abidjan. "C'était un moment de retrouvailles entre coéquipiers et avec l'encadrement. On a senti une belle ambiance au sein du groupe", a confié un membre du staff technique. Malgré tout, deux absences ont été notées : celles de Sébastien Haller, finaliste de la Ligue des Champions, et d'Evan Ndicka, le défenseur de l'AS Roma. Mais la Fédération s'est voulue rassurante, affirmant que les deux joueurs les rejoindront mardi. "Il n'y a pas de quoi s'inquiéter, ils seront là demain", a déclaré un responsable. L'esprit de groupe, clé de la réussite Au-delà des absences, c'est surtout l'état d'esprit du groupe qui a retenu l'attention. "Cet esprit famille démontre de la belle ambiance au sein de l'équipe", a souligné un observateur présent à l'entraînement. Un aspect crucial pour aborder les prochains défis, à commencer par la réception du Gabon vendredi prochain. Les Champions d'Afrique reçoivent en effet les Panthères du Gabon dans un match décisif pour les qualifications à la Coupe du Monde 2026. Après leur début de campagne mitigé, les Ivoiriens devront s'imposer à domicile pour rester en course. Mais cette première séance a permis de constater que Patrice Beaumelle peut compter sur un groupe soudé et déterminé à écrire une nouvelle page glorieuse de l'histoire de la sélection ivoirienne. Reste à confirmer sur le terrain face à des adversaires coriaces... La Côte d'Ivoire saura-t-elle s'appuyer sur son esprit de groupe pour surmonter les défis qui l'attendent sur la route du Mondial 2026 ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Accident Dans Un Parc À Bétail: Un Policier Tué Et Plusieurs Blessés dans Faits Divers le 4 juin à 16:26

C'est un terrible drame qui s'est produit ce mardi 4 juin 2024 dans la commune d'Adjamé-Williamsville, à Abidjan. Un policier stagiaire a perdu la vie dans un grave accident de la circulation impliquant un car de transport en commun et un véhicule de la police nationale. Ce tragique événement, qui a également fait plusieurs blessés parmi les forces de l'ordre, soulève des questions cruciales sur la sécurité routière dans ces zones sensibles que sont les parcs à bétail de la capitale économique ivoirienne.

La sécurité routière, un enjeu crucial dans les parcs à bétail


Selon les premières informations, l'accident s'est produit aux environs de 1 heure du matin, à l'entrée principale du nouveau parc à bétail d'Adjamé-Williamsville. Un car de 70 places effectuant une manœuvre de marche arrière a percuté violemment un véhicule de police stationné sur les lieux. "Le choc a été d'une rare violence, témoigne un riverain. Le car a littéralement écrasé la voiture de police, coincant malheureusement un des agents à l'intérieur."

Malgré l'intervention rapide des secours, le sergent stagiaire Djalega Tito Jean Luc, bloqué sous le véhicule, n'a pas survécu à ses blessures. Ses cinq collègues, également impliqués dans l'accident, ont quant à eux été transportés à l'hôpital de la police nationale, situé au Plateau.

"C'est une véritable tragédie pour nous tous. Djalega était un jeune policier plein d'engagement et de dévouement envers sa mission. Sa perte est un choc immense", témoigne le commissaire divisionnaire Kouamé Yao, responsable du District de police d'Adjamé.

Des lacunes de sécurité à combler


Cet accident dramatique met en lumière les enjeux de sécurité routière dans ces zones sensibles que sont les parcs à bétail d'Abidjan. "Le trafic peut y être dense et complexe, avec de nombreux véhicules lourds et des mouvements de piétons. C'est un environnement qui nécessite des protocoles de sécurité renforcés pour protéger les forces de l'ordre et les usagers", souligne le général Kouadio Kouassi, directeur de la sécurité routière.

Les autorités ont d'ores et déjà annoncé l'ouverture d'une enquête pour déterminer les causes exactes de l'accident et identifier d'éventuelles défaillances dans les mesures de sécurité en place. Des actions de sensibilisation des conducteurs ainsi que des investissements pour améliorer l'infrastructure routière et la signalisation dans ces zones stratégiques sont également envisagés.

Cet accident tragique rappelle l'urgence d'agir pour renforcer la sécurité routière dans ces espaces sensibles. Quelles autres mesures pourraient être mises en place pour mieux protéger les forces de l'ordre et les usagers dans les parcs à bétail d'Abidjan ?

Image de Faits Divers. C'est un terrible drame qui s'est produit ce mardi 4 juin 2024 dans la commune d'Adjamé-Williamsville, à Abidjan. Un policier stagiaire a perdu la vie dans un grave accident de la circulation impliquant un car de transport en commun et un véhicule de la police nationale. Ce tragique événement, qui a également fait plusieurs blessés parmi les forces de l'ordre, soulève des questions cruciales sur la sécurité routière dans ces zones sensibles que sont les parcs à bétail de la capitale économique ivoirienne. La sécurité routière, un enjeu crucial dans les parcs à bétail Selon les premières informations, l'accident s'est produit aux environs de 1 heure du matin, à l'entrée principale du nouveau parc à bétail d'Adjamé-Williamsville. Un car de 70 places effectuant une manœuvre de marche arrière a percuté violemment un véhicule de police stationné sur les lieux. "Le choc a été d'une rare violence, témoigne un riverain. Le car a littéralement écrasé la voiture de police, coincant malheureusement un des agents à l'intérieur." Malgré l'intervention rapide des secours, le sergent stagiaire Djalega Tito Jean Luc, bloqué sous le véhicule, n'a pas survécu à ses blessures. Ses cinq collègues, également impliqués dans l'accident, ont quant à eux été transportés à l'hôpital de la police nationale, situé au Plateau. "C'est une véritable tragédie pour nous tous. Djalega était un jeune policier plein d'engagement et de dévouement envers sa mission. Sa perte est un choc immense", témoigne le commissaire divisionnaire Kouamé Yao, responsable du District de police d'Adjamé. Des lacunes de sécurité à combler Cet accident dramatique met en lumière les enjeux de sécurité routière dans ces zones sensibles que sont les parcs à bétail d'Abidjan. "Le trafic peut y être dense et complexe, avec de nombreux véhicules lourds et des mouvements de piétons. C'est un environnement qui nécessite des protocoles de sécurité renforcés pour protéger les forces de l'ordre et les usagers", souligne le général Kouadio Kouassi, directeur de la sécurité routière. Les autorités ont d'ores et déjà annoncé l'ouverture d'une enquête pour déterminer les causes exactes de l'accident et identifier d'éventuelles défaillances dans les mesures de sécurité en place. Des actions de sensibilisation des conducteurs ainsi que des investissements pour améliorer l'infrastructure routière et la signalisation dans ces zones stratégiques sont également envisagés. Cet accident tragique rappelle l'urgence d'agir pour renforcer la sécurité routière dans ces espaces sensibles. Quelles autres mesures pourraient être mises en place pour mieux protéger les forces de l'ordre et les usagers dans les parcs à bétail d'Abidjan ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Côte d'Ivoire: Rocky Gold Évoque Les Défis Des Carrières Des Chanteuses dans Célébrités le 4 juin à 16:21

Dans l'industrie musicale africaine, les artistes féminines font face à de nombreux obstacles qui freinent le développement de leurs carrières. Entre propositions indécentes, chantages et autres formes de discrimination, ces défis sont trop souvent ignorés du grand public. Récemment, la chanteuse ivoirienne Rocky Gold a choisi de briser le silence et d'évoquer publiquement ces réalités méconnues.

Les carrières musicales bridées par les mœurs sociales


Selon Rocky Gold, l'un des principaux freins à la réussite des chanteuses africaines réside dans les mœurs sociales de leurs pays respectifs. "Nous sommes beaucoup courtisées. Ils sont nombreux ces hommes à avoir de l'admiration pour nous. Du coup, quand nous affichons publiquement nos relations amoureuses, on nous ferme des portes. Surtout au niveau des spectacles", déplore-t-elle.

Ce phénomène traduit une double injonction faite aux artistes féminines : d'un côté, elles doivent susciter l'admiration et l'attention pour attirer les opportunités, de l'autre, elles doivent se garder de trop s'afficher en couple sous peine de voir leur carrière compromise. Une situation d'autant plus frustrante que leurs homologues masculins ne sont pas soumis aux mêmes attentes.

Au-delà des conventions sociales, les chanteuses africaines font aussi face à des pratiques prédatrices de la part de certains acteurs de l'industrie musicale. "Il y a beaucoup de dessous dans la carrière musicale de nombreuses artistes africaines. Elles font face à beaucoup de difficultés qui freinent l'évolution de leur parcours dans l'univers de la musique africaine. Plusieurs obstacles tels des propositions indécentes, chantage et bien d'autres empêchent la plupart des artistes féminines en Afrique d'avoir une si grande carrière prometteuse", souligne Rocky Gold.

Ces abus, souvent tus par crainte de représailles, constituent un frein majeur à l'épanouissement des carrières. Ils contribuent à entretenir un climat de précarité et d'insécurité, obligeant parfois les artistes à faire des choix cornéliens entre leur intégrité et leur réussite professionnelle.

Un combat pour plus de considération


Face à ces défis, Rocky Gold a choisi de prendre position et de sensibiliser le public. "J'ai donc décidé de ne plus afficher quelqu'un. J'évoquerai plus publiquement ma vie sentimentale. Je ne parlerai désormais que de mon boulot", affirme-t-elle.

Cette décision symbolique traduit la volonté de l'artiste de se réapproprier le contrôle de son image et de sa carrière, tout en attirant l'attention sur les obstacles spécifiques auxquels sont confrontées les chanteuses africaines. Un combat pour plus de considération et de respect dans un secteur encore trop souvent dominé par des logiques patriarcales.

Alors que les voix s'élèvent pour dénoncer ces réalités, une question demeure : comment l'industrie musicale africaine pourra-t-elle évoluer pour offrir des conditions plus favorables à l'épanouissement des artistes féminines ?

Image de Célébrités. Dans l'industrie musicale africaine, les artistes féminines font face à de nombreux obstacles qui freinent le développement de leurs carrières. Entre propositions indécentes, chantages et autres formes de discrimination, ces défis sont trop souvent ignorés du grand public. Récemment, la chanteuse ivoirienne Rocky Gold a choisi de briser le silence et d'évoquer publiquement ces réalités méconnues. Les carrières musicales bridées par les mœurs sociales Selon Rocky Gold, l'un des principaux freins à la réussite des chanteuses africaines réside dans les mœurs sociales de leurs pays respectifs. "Nous sommes beaucoup courtisées. Ils sont nombreux ces hommes à avoir de l'admiration pour nous. Du coup, quand nous affichons publiquement nos relations amoureuses, on nous ferme des portes. Surtout au niveau des spectacles", déplore-t-elle. Ce phénomène traduit une double injonction faite aux artistes féminines : d'un côté, elles doivent susciter l'admiration et l'attention pour attirer les opportunités, de l'autre, elles doivent se garder de trop s'afficher en couple sous peine de voir leur carrière compromise. Une situation d'autant plus frustrante que leurs homologues masculins ne sont pas soumis aux mêmes attentes. Au-delà des conventions sociales, les chanteuses africaines font aussi face à des pratiques prédatrices de la part de certains acteurs de l'industrie musicale. "Il y a beaucoup de dessous dans la carrière musicale de nombreuses artistes africaines. Elles font face à beaucoup de difficultés qui freinent l'évolution de leur parcours dans l'univers de la musique africaine. Plusieurs obstacles tels des propositions indécentes, chantage et bien d'autres empêchent la plupart des artistes féminines en Afrique d'avoir une si grande carrière prometteuse", souligne Rocky Gold. Ces abus, souvent tus par crainte de représailles, constituent un frein majeur à l'épanouissement des carrières. Ils contribuent à entretenir un climat de précarité et d'insécurité, obligeant parfois les artistes à faire des choix cornéliens entre leur intégrité et leur réussite professionnelle. Un combat pour plus de considération Face à ces défis, Rocky Gold a choisi de prendre position et de sensibiliser le public. "J'ai donc décidé de ne plus afficher quelqu'un. J'évoquerai plus publiquement ma vie sentimentale. Je ne parlerai désormais que de mon boulot", affirme-t-elle. Cette décision symbolique traduit la volonté de l'artiste de se réapproprier le contrôle de son image et de sa carrière, tout en attirant l'attention sur les obstacles spécifiques auxquels sont confrontées les chanteuses africaines. Un combat pour plus de considération et de respect dans un secteur encore trop souvent dominé par des logiques patriarcales. Alors que les voix s'élèvent pour dénoncer ces réalités, une question demeure : comment l'industrie musicale africaine pourra-t-elle évoluer pour offrir des conditions plus favorables à l'épanouissement des artistes féminines ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Les Déboires De Bictogo Se Poursuivent Au Burkina Faso Après La Côte d'Ivoire dans Politique le 4 juin à 16:10

La succession de revers subis par Adama Bictogo, président de l'Assemblée nationale ivoirienne et influent homme d'affaires, ne semble pas s'arrêter. Après avoir fait l'objet de contrôles fiscaux et vu des marchés cruciaux lui être retirés en Côte d'Ivoire, son groupe SNEDAI fait désormais face à un coup dur au Burkina Faso, où les autorités ont décidé de ne pas renouveler le contrat de production de cartes consulaires. Cette décision survient dans un contexte de turbulences régionales pour cet acteur économique majeur de la sous-région.

Fin du partenariat avec le Burkina Faso


Le 29 mai dernier, le gouvernement burkinabè a annoncé sa décision de ne pas renouveler le contrat de partenariat public-privé (PPP) signé avec SNEDAI le 11 septembre 2013. Ce contrat, qui devait assurer la production de cartes consulaires sécurisées, est arrivé à terme le 10 septembre 2023. "Sur une prévision de 3 050 000 cartes, ladite société n'a produit que 1 945 077 cartes à la date d'échéance du projet", a indiqué un communiqué du conseil des ministres, jugeant le rendement insuffisant.

En conséquence, les autorités du Burkina Faso ont décidé de confier la poursuite de ce projet à un nouveau partenaire, Alliance & Co, dans le cadre d'un autre PPP. Le gouvernement a également donné des instructions pour régler les passifs du contrat avec SNEDAI-Burkina et assurer une transition en douceur.


https://www.youtube.com/watch?v=3bbGEKuu2Hc

Contrôles fiscaux et pertes de marchés en Côte d'Ivoire


Cette décision des autorités burkinabè intervient alors que SNEDAI fait face à d'autres difficultés dans la région, notamment en Côte d'Ivoire. Selon plusieurs sources, les autorités ivoiriennes ont lancé des enquêtes pour examiner les impôts payés par le groupe au cours des dernières années.

Par ailleurs, SNEDAI s'est vu retirer le marché de la confection des cartes de la Couverture Maladie Universelle (CMU), un projet crucial sous sa gestion depuis le lancement. De plus, le contrat de fabrication des passeports et de délivrance de visas, également détenu par SNEDAI, est arrivé à son terme sans négociations pour une prorogation. Les autorités ivoiriennes ont lancé un appel d'offres public pour ce marché, indiquant une volonté de diversifier ou de changer de prestataire pour ces services essentiels.

Ces revers successifs, aussi bien en Côte d'Ivoire qu'au Burkina Faso, fragilisent la position d'Adama Bictogo et de son groupe SNEDAI dans la région. Avec la perte de marchés importants et les enquêtes fiscales en cours, l'avenir de cet acteur économique influent semble de plus en plus incertain. Comment Adama Bictogo et son empire économique parviendront-ils à surmonter ces défis et à se relancer dans la sous-région ?

Image de Politique. La succession de revers subis par Adama Bictogo, président de l'Assemblée nationale ivoirienne et influent homme d'affaires, ne semble pas s'arrêter. Après avoir fait l'objet de contrôles fiscaux et vu des marchés cruciaux lui être retirés en Côte d'Ivoire, son groupe SNEDAI fait désormais face à un coup dur au Burkina Faso, où les autorités ont décidé de ne pas renouveler le contrat de production de cartes consulaires. Cette décision survient dans un contexte de turbulences régionales pour cet acteur économique majeur de la sous-région. Fin du partenariat avec le Burkina Faso Le 29 mai dernier, le gouvernement burkinabè a annoncé sa décision de ne pas renouveler le contrat de partenariat public-privé (PPP) signé avec SNEDAI le 11 septembre 2013. Ce contrat, qui devait assurer la production de cartes consulaires sécurisées, est arrivé à terme le 10 septembre 2023. "Sur une prévision de 3 050 000 cartes, ladite société n'a produit que 1 945 077 cartes à la date d'échéance du projet", a indiqué un communiqué du conseil des ministres, jugeant le rendement insuffisant. En conséquence, les autorités du Burkina Faso ont décidé de confier la poursuite de ce projet à un nouveau partenaire, Alliance & Co, dans le cadre d'un autre PPP. Le gouvernement a également donné des instructions pour régler les passifs du contrat avec SNEDAI-Burkina et assurer une transition en douceur. Contrôles fiscaux et pertes de marchés en Côte d'Ivoire Cette décision des autorités burkinabè intervient alors que SNEDAI fait face à d'autres difficultés dans la région, notamment en Côte d'Ivoire. Selon plusieurs sources, les autorités ivoiriennes ont lancé des enquêtes pour examiner les impôts payés par le groupe au cours des dernières années. Par ailleurs, SNEDAI s'est vu retirer le marché de la confection des cartes de la Couverture Maladie Universelle (CMU), un projet crucial sous sa gestion depuis le lancement. De plus, le contrat de fabrication des passeports et de délivrance de visas, également détenu par SNEDAI, est arrivé à son terme sans négociations pour une prorogation. Les autorités ivoiriennes ont lancé un appel d'offres public pour ce marché, indiquant une volonté de diversifier ou de changer de prestataire pour ces services essentiels. Ces revers successifs, aussi bien en Côte d'Ivoire qu'au Burkina Faso, fragilisent la position d'Adama Bictogo et de son groupe SNEDAI dans la région. Avec la perte de marchés importants et les enquêtes fiscales en cours, l'avenir de cet acteur économique influent semble de plus en plus incertain. Comment Adama Bictogo et son empire économique parviendront-ils à surmonter ces défis et à se relancer dans la sous-région ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Le Pccet Envoie 30 Jeunes Ivoiriens De La Filière Fruits Et Légumes En Stage dans Agriculture le 4 juin à 16:04

Dans le cadre de ses activités visant à renforcer les capacités des acteurs de la chaîne de valeur des fruits et légumes en Côte d'Ivoire, le Projet des Chaînes de Valeur Compétitives pour l'Emploi et la Transformation économique (PCCET) a initié un programme de formation destiné à 30 jeunes. Cet atelier, qui se déroule du 3 au 15 juin 2024 à Assinie, est animé par des experts de l'Université de Wageningen aux Pays-Bas. Au terme de cette formation, les participants effectueront un stage d'immersion dans ce pays réputé pour son excellence dans le domaine agricole.

Améliorer la qualité et la compétitivité


Lors de la cérémonie d'ouverture, Arthur Coulibaly, Coordonnateur du PCCET, a souligné les objectifs de cet atelier : "L'objectif c'est toujours l'amélioration constante et permanente des conditions de production qui vont conduire à l'amélioration de la qualité et de la compétitivité. Notre capacité à exporter toujours plus et aussi de générer des revenus pour les producteurs et les productrices et aussi de créer des emplois pour les jeunes et les femmes."

Cette formation s'inscrit dans la continuité des diagnostics menés par le PCCET auprès des acteurs ruraux. "Nous avons mené une grande activité de diagnostic. Il est ressorti des éléments que nous cherchons à corriger aujourd'hui", a expliqué M. Coulibaly, se félicitant du partenariat avec l'Université de Wageningen, reconnue pour son expertise dans le domaine de la formation agricole.

Chercheuse à l'Université de Wageningen et formatrice lors de cet atelier, Cornelia Klaver a indiqué que sa mission consistait à renforcer le savoir-faire et le savoir-être des 30 participants. "Cette formation s'articule au niveau des chaines de valeur agricoles. Le PCCET a voulu qu'on renforce les apprenants dans leurs capacités d'analyse des chaines de valeur et trouver des créneaux d'exportation et aussi des créneaux pour augmenter la valorisation des produits agricoles choisis", a-t-elle expliqué.

Renforcer les capacités d'analyse et d'exportation


Josiane Cloutier, également de l'Université hollandaise et spécialiste en technologie après-récolte, a précisé que les participants seront également formés sur les techniques pour une meilleure qualité de produit aux fins d'exportation. "Les participants vont voir ce qui peut être fait en technologie après-récolte pour augmenter leurs chances d'exportation", a-t-elle souligné.

Après cette session de formation en présentiel, une autre séance, cette fois en ligne, aura lieu en juillet prochain avant la troisième phase de cette initiative qui va consister en un voyage d'immersion aux Pays-Bas pour ces jeunes acteurs agricoles.

Cette formation s'inscrit dans une dynamique plus large visant à renforcer la compétitivité de la filière fruits et légumes en Côte d'Ivoire. Quels seront les impacts concrets de ce programme sur l'amélioration de la qualité et de la valorisation des produits agricoles ivoiriens sur les marchés internationaux ?

Image de Agriculture. Dans le cadre de ses activités visant à renforcer les capacités des acteurs de la chaîne de valeur des fruits et légumes en Côte d'Ivoire, le Projet des Chaînes de Valeur Compétitives pour l'Emploi et la Transformation économique (PCCET) a initié un programme de formation destiné à 30 jeunes. Cet atelier, qui se déroule du 3 au 15 juin 2024 à Assinie, est animé par des experts de l'Université de Wageningen aux Pays-Bas. Au terme de cette formation, les participants effectueront un stage d'immersion dans ce pays réputé pour son excellence dans le domaine agricole. Améliorer la qualité et la compétitivité Lors de la cérémonie d'ouverture, Arthur Coulibaly, Coordonnateur du PCCET, a souligné les objectifs de cet atelier : "L'objectif c'est toujours l'amélioration constante et permanente des conditions de production qui vont conduire à l'amélioration de la qualité et de la compétitivité. Notre capacité à exporter toujours plus et aussi de générer des revenus pour les producteurs et les productrices et aussi de créer des emplois pour les jeunes et les femmes." Cette formation s'inscrit dans la continuité des diagnostics menés par le PCCET auprès des acteurs ruraux. "Nous avons mené une grande activité de diagnostic. Il est ressorti des éléments que nous cherchons à corriger aujourd'hui", a expliqué M. Coulibaly, se félicitant du partenariat avec l'Université de Wageningen, reconnue pour son expertise dans le domaine de la formation agricole. Chercheuse à l'Université de Wageningen et formatrice lors de cet atelier, Cornelia Klaver a indiqué que sa mission consistait à renforcer le savoir-faire et le savoir-être des 30 participants. "Cette formation s'articule au niveau des chaines de valeur agricoles. Le PCCET a voulu qu'on renforce les apprenants dans leurs capacités d'analyse des chaines de valeur et trouver des créneaux d'exportation et aussi des créneaux pour augmenter la valorisation des produits agricoles choisis", a-t-elle expliqué. Renforcer les capacités d'analyse et d'exportation Josiane Cloutier, également de l'Université hollandaise et spécialiste en technologie après-récolte, a précisé que les participants seront également formés sur les techniques pour une meilleure qualité de produit aux fins d'exportation. "Les participants vont voir ce qui peut être fait en technologie après-récolte pour augmenter leurs chances d'exportation", a-t-elle souligné. Après cette session de formation en présentiel, une autre séance, cette fois en ligne, aura lieu en juillet prochain avant la troisième phase de cette initiative qui va consister en un voyage d'immersion aux Pays-Bas pour ces jeunes acteurs agricoles. Cette formation s'inscrit dans une dynamique plus large visant à renforcer la compétitivité de la filière fruits et légumes en Côte d'Ivoire. Quels seront les impacts concrets de ce programme sur l'amélioration de la qualité et de la valorisation des produits agricoles ivoiriens sur les marchés internationaux ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Laurent Gbagbo Refuse Toute Augmentation Des Salaires De La Fonction Publique dans Politique le 4 juin à 15:54

Une déclaration attribuée à l'ancien président ivoirien Laurent Gbagbo fait le tour des réseaux sociaux, suscitant débats et controverses. Fabrice Lago, secrétaire national technique en charge du marketing politique au sein du Parti des Peuples Africains - Côte d'Ivoire (PPA-CI), a tenu à clarifier le contexte de cette déclaration et rétablir la vérité.

Contexte et vérité derrière la phrase polémique


Le 14 mars 2009, le président Laurent Gbagbo reçoit des enseignants grévistes au Palais présidentiel. Contrairement à ce qu'affirment ses détracteurs, Laurent Gbagbo n'a pas réprimé ces fonctionnaires en grève, mais a plutôt engagé le dialogue avec eux.

Avant de prononcer la phrase polémique, Laurent Gbagbo a rappelé les sacrifices consentis par son gouvernement en faveur des enseignants. En 1990, lorsqu'Alassane Ouattara était Premier ministre, le salaire des enseignants avait été divisé par deux, une mesure appelée le "raccrochage". Lorsque Gbagbo est élu, il supprime cette mesure injuste, faisant ainsi doubler le salaire des enseignants.

Une phrase sortie de son contexte


Gbagbo a ensuite expliqué qu'il ne pouvait pas augmenter les salaires des fonctionnaires dans l'immédiat, car il attendait une décision concernant la réduction de la dette extérieure du pays, ce qui permettrait de dégager 500 milliards de FCFA par an. Il demandait donc aux fonctionnaires d'attendre deux semaines, le temps que cette décision soit rendue.

Ainsi, la phrase polémique de Gbagbo a été sortie de son contexte par ses adversaires politiques, qui ont voulu en faire un argument pour le discréditer. Mais la vérité est que Gbagbo n'a pas refusé d'augmenter les salaires des fonctionnaires, il demandait juste un délai de deux semaines le temps que la décision concernant la dette extérieure soit prise, ce qui aurait permis de dégager des ressources pour mieux rémunérer les agents publics.

Quelle leçon tirer de cette affaire concernant la nécessité de contextualiser les propos politiques avant de les commenter ?

Image de Politique. Une déclaration attribuée à l'ancien président ivoirien Laurent Gbagbo fait le tour des réseaux sociaux, suscitant débats et controverses. Fabrice Lago, secrétaire national technique en charge du marketing politique au sein du Parti des Peuples Africains - Côte d'Ivoire (PPA-CI), a tenu à clarifier le contexte de cette déclaration et rétablir la vérité. Contexte et vérité derrière la phrase polémique Le 14 mars 2009, le président Laurent Gbagbo reçoit des enseignants grévistes au Palais présidentiel. Contrairement à ce qu'affirment ses détracteurs, Laurent Gbagbo n'a pas réprimé ces fonctionnaires en grève, mais a plutôt engagé le dialogue avec eux. Avant de prononcer la phrase polémique, Laurent Gbagbo a rappelé les sacrifices consentis par son gouvernement en faveur des enseignants. En 1990, lorsqu'Alassane Ouattara était Premier ministre, le salaire des enseignants avait été divisé par deux, une mesure appelée le "raccrochage". Lorsque Gbagbo est élu, il supprime cette mesure injuste, faisant ainsi doubler le salaire des enseignants. Une phrase sortie de son contexte Gbagbo a ensuite expliqué qu'il ne pouvait pas augmenter les salaires des fonctionnaires dans l'immédiat, car il attendait une décision concernant la réduction de la dette extérieure du pays, ce qui permettrait de dégager 500 milliards de FCFA par an. Il demandait donc aux fonctionnaires d'attendre deux semaines, le temps que cette décision soit rendue. Ainsi, la phrase polémique de Gbagbo a été sortie de son contexte par ses adversaires politiques, qui ont voulu en faire un argument pour le discréditer. Mais la vérité est que Gbagbo n'a pas refusé d'augmenter les salaires des fonctionnaires, il demandait juste un délai de deux semaines le temps que la décision concernant la dette extérieure soit prise, ce qui aurait permis de dégager des ressources pour mieux rémunérer les agents publics. Quelle leçon tirer de cette affaire concernant la nécessité de contextualiser les propos politiques avant de les commenter ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Le RHDP Se Mobilise À Abobo N'Dotré En Vue De La Présidentielle De 2025 dans Politique le 4 juin à 15:51

À treize mois de l'élection présidentielle d'octobre 2025, le Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP) multiplie les actions sur le terrain pour se préparer au scrutin. Dans son bastion historique d'Abobo, le Secrétaire Départemental du RHDP, l'honorable Yéo Brahima, a récemment initié une tournée d'évaluation des zones qui s'est déroulée du 25 mai au 1er juin 2024. Objectif : évaluer les structures de base du parti, identifier les dysfonctionnements et remobiliser les militants en vue des échéances électorales de 2025.

Une tournée de remobilisation des militants


La délégation menée par le chargé d'administration Yéo Nanga Gérard, incluant également le CEGEL départemental Silué Pékanidjo et le conseiller spécial du SD Touré Moustapha, a entamé une série de rencontres pour galvaniser les troupes du RHDP à Abobo N'Dotré. Yéo Nanga Gérard a annoncé la nomination de nouveaux coordonnateurs régionaux par le directoire du RHDP, dont Madame Kandia Camara, Présidente du Sénat et Maire de la commune d'Abobo, désignée coordonnatrice pour Abobo. De plus, le département bénéficiera de nouveaux bureaux de vote pour les prochaines élections.

La deuxième étape de la tournée s'est déroulée dans la zone N'Dotré 2, dirigée par Madame Diallo. Gérard Nanga Yeo, accompagné de l'honorable Ouattara Siaka, Coordinateur Adjoint du RHDP à Anyama, a procédé à l'évaluation des structures. Cette zone, performante dans l'opération E-militant à Abobo, a été encouragée à maintenir ses efforts. La session s'est conclue sur une note d'encouragement aux militants pour leur engagement et leur travail acharné.

La présidentielle de 2025 au cœur des préoccupations


La dernière étape de la tournée a eu lieu dans la zone Sotrapim le 1er juin 2024, au domicile du conseiller municipal Doumbia Moussa. Conduite par Ouattara Sitafa, Secrétaire Départemental Adjoint, cette visite a permis de vérifier la présence des responsables et d'évaluer le fonctionnement du parti. Les responsables ont été exhortés à redoubler d'efforts pour atteindre les objectifs assignés en vue de la présidentielle de 2025.

Cette tournée d'évaluation marque une phase cruciale pour le RHDP à Abobo N'Dotré, visant à remobiliser les militants et assurer une préparation optimale pour les prochaines élections. La stratégie mise en place par le SD Yéo Brahima et son équipe est un gage de détermination pour conserver le pouvoir en 2025, tout en renforçant les bases militantes du parti. Notons que le Département du RHDP Abobo N'Dotré figure à la première place des dix (10) départements pour l'opération e-militant.

Quelle sera la stratégie du RHDP pour s'imposer face à ses adversaires lors de la présidentielle de 2025 ?

Image de Politique. À treize mois de l'élection présidentielle d'octobre 2025, le Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP) multiplie les actions sur le terrain pour se préparer au scrutin. Dans son bastion historique d'Abobo, le Secrétaire Départemental du RHDP, l'honorable Yéo Brahima, a récemment initié une tournée d'évaluation des zones qui s'est déroulée du 25 mai au 1er juin 2024. Objectif : évaluer les structures de base du parti, identifier les dysfonctionnements et remobiliser les militants en vue des échéances électorales de 2025. Une tournée de remobilisation des militants La délégation menée par le chargé d'administration Yéo Nanga Gérard, incluant également le CEGEL départemental Silué Pékanidjo et le conseiller spécial du SD Touré Moustapha, a entamé une série de rencontres pour galvaniser les troupes du RHDP à Abobo N'Dotré. Yéo Nanga Gérard a annoncé la nomination de nouveaux coordonnateurs régionaux par le directoire du RHDP, dont Madame Kandia Camara, Présidente du Sénat et Maire de la commune d'Abobo, désignée coordonnatrice pour Abobo. De plus, le département bénéficiera de nouveaux bureaux de vote pour les prochaines élections. La deuxième étape de la tournée s'est déroulée dans la zone N'Dotré 2, dirigée par Madame Diallo. Gérard Nanga Yeo, accompagné de l'honorable Ouattara Siaka, Coordinateur Adjoint du RHDP à Anyama, a procédé à l'évaluation des structures. Cette zone, performante dans l'opération E-militant à Abobo, a été encouragée à maintenir ses efforts. La session s'est conclue sur une note d'encouragement aux militants pour leur engagement et leur travail acharné. La présidentielle de 2025 au cœur des préoccupations La dernière étape de la tournée a eu lieu dans la zone Sotrapim le 1er juin 2024, au domicile du conseiller municipal Doumbia Moussa. Conduite par Ouattara Sitafa, Secrétaire Départemental Adjoint, cette visite a permis de vérifier la présence des responsables et d'évaluer le fonctionnement du parti. Les responsables ont été exhortés à redoubler d'efforts pour atteindre les objectifs assignés en vue de la présidentielle de 2025. Cette tournée d'évaluation marque une phase cruciale pour le RHDP à Abobo N'Dotré, visant à remobiliser les militants et assurer une préparation optimale pour les prochaines élections. La stratégie mise en place par le SD Yéo Brahima et son équipe est un gage de détermination pour conserver le pouvoir en 2025, tout en renforçant les bases militantes du parti. Notons que le Département du RHDP Abobo N'Dotré figure à la première place des dix (10) départements pour l'opération e-militant. Quelle sera la stratégie du RHDP pour s'imposer face à ses adversaires lors de la présidentielle de 2025 ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Ouattara Dévoilera-t-Il Ses Intentions Pour 2025 Lors Du Congrès Du 18 Juin? dans Politique le 4 juin à 15:47

Le président ivoirien Alassane Ouattara s'apprête à prendre la parole devant le Congrès le 18 juin prochain, un discours très attendu où il devrait aborder l'état de la Nation. Cette intervention, confirmée par les autorités, suscite de nombreuses attentes alors que la Côte d'Ivoire s'approche à grands pas des élections présidentielles de 2025. Au-delà du bilan de son mandat, le successeur d'Henriette Dagri Diabaté pourrait enfin lever le voile sur ses intentions pour l'avenir. Tour d'horizon des enjeux qui entourent cette allocution.

La convocation d'un Congrès exceptionnel


Selon un communiqué officiel, le président de la République a sollicité la convocation d'un Congrès, réunissant l'ensemble des députés et sénateurs ivoiriens. Cet événement, qui se tiendra à l'auditorium du Sofitel Hôtel Ivoire, aura pour unique point à l'ordre du jour le discours d'Alassane Ouattara sur l'état de la Nation.

"Ce rendez-vous crucial suscite une attente particulière car il pourrait marquer un tournant décisif dans l'avenir politique de la Côte d'Ivoire", souligne Arsène Konan, politologue ivoirien. En effet, à 15 mois de l'élection présidentielle de 2025, le président Ouattara pourrait enfin lever le voile sur ses intentions de se représenter ou non pour un quatrième mandat.

Depuis plusieurs mois, le suspense reste entier quant à la décision d'Alassane Ouattara. Sur le terrain, les appels et les meetings de soutien en faveur de sa candidature se multiplient. Le Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP), le parti au pouvoir, a clairement exprimé son souhait de voir leur leader se représenter.

"Ce qui est en jeu, c'est la victoire de notre candidat naturel (…) Alassane Ouattara à l'élection présidentielle de 2025", a déclaré Gilbert Koné Kafana, président du directoire du RHDP, lors d'une réunion extraordinaire le 27 mai 2024.

Des attentes sur la réconciliation nationale


Outre la question de sa candidature, l'allocution du 18 juin sera également scrutée pour les pistes qu'elle pourrait esquisser en matière de réconciliation nationale. L'opposition, notamment le PPA-CI de Laurent Gbagbo, le COJEP de Charles Blé Goudé et GPS de Guillaume Soro, espère notamment une loi d'amnistie en faveur des leaders politiques exclus du processus électoral, afin de favoriser des élections ouvertes à tous en 2025.

"C'est un rendez-vous historique qui influencera grandement les stratégies politiques et les dynamiques électorales à l'approche de 2025", conclut le politologue Arsène Konan. Les Ivoiriens attendent avec impatience les mots du président Alassane Ouattara.

Quelle sera la teneur du discours du 18 juin ? Le président ivoirien lèvera-t-il enfin le voile sur ses intentions pour 2025 ? Quelles pistes tracera-t-il en matière de réconciliation nationale ? La Côte d'Ivoire dans l'expectative.

Image de Politique. Le président ivoirien Alassane Ouattara s'apprête à prendre la parole devant le Congrès le 18 juin prochain, un discours très attendu où il devrait aborder l'état de la Nation. Cette intervention, confirmée par les autorités, suscite de nombreuses attentes alors que la Côte d'Ivoire s'approche à grands pas des élections présidentielles de 2025. Au-delà du bilan de son mandat, le successeur d'Henriette Dagri Diabaté pourrait enfin lever le voile sur ses intentions pour l'avenir. Tour d'horizon des enjeux qui entourent cette allocution. La convocation d'un Congrès exceptionnel Selon un communiqué officiel, le président de la République a sollicité la convocation d'un Congrès, réunissant l'ensemble des députés et sénateurs ivoiriens. Cet événement, qui se tiendra à l'auditorium du Sofitel Hôtel Ivoire, aura pour unique point à l'ordre du jour le discours d'Alassane Ouattara sur l'état de la Nation. "Ce rendez-vous crucial suscite une attente particulière car il pourrait marquer un tournant décisif dans l'avenir politique de la Côte d'Ivoire", souligne Arsène Konan, politologue ivoirien. En effet, à 15 mois de l'élection présidentielle de 2025, le président Ouattara pourrait enfin lever le voile sur ses intentions de se représenter ou non pour un quatrième mandat. Depuis plusieurs mois, le suspense reste entier quant à la décision d'Alassane Ouattara. Sur le terrain, les appels et les meetings de soutien en faveur de sa candidature se multiplient. Le Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP), le parti au pouvoir, a clairement exprimé son souhait de voir leur leader se représenter. "Ce qui est en jeu, c'est la victoire de notre candidat naturel (…) Alassane Ouattara à l'élection présidentielle de 2025", a déclaré Gilbert Koné Kafana, président du directoire du RHDP, lors d'une réunion extraordinaire le 27 mai 2024. Des attentes sur la réconciliation nationale Outre la question de sa candidature, l'allocution du 18 juin sera également scrutée pour les pistes qu'elle pourrait esquisser en matière de réconciliation nationale. L'opposition, notamment le PPA-CI de Laurent Gbagbo, le COJEP de Charles Blé Goudé et GPS de Guillaume Soro, espère notamment une loi d'amnistie en faveur des leaders politiques exclus du processus électoral, afin de favoriser des élections ouvertes à tous en 2025. "C'est un rendez-vous historique qui influencera grandement les stratégies politiques et les dynamiques électorales à l'approche de 2025", conclut le politologue Arsène Konan. Les Ivoiriens attendent avec impatience les mots du président Alassane Ouattara. Quelle sera la teneur du discours du 18 juin ? Le président ivoirien lèvera-t-il enfin le voile sur ses intentions pour 2025 ? Quelles pistes tracera-t-il en matière de réconciliation nationale ? La Côte d'Ivoire dans l'expectative.

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Le Président Alassane Ouattara s'Adresse À La Nation Le Mardi 18 Juin 2024 dans Politique le 4 juin à 15:42

Le mardi 18 juin 2024, le président ivoirien Alassane Ouattara s'adressera à la nation depuis le Parlement. À quelques mois de la prochaine élection présidentielle, les Ivoiriens sont nombreux à attendre avec impatience ce discours qui pourrait donner des indications sur la suite du mandat en cours et les intentions du chef de l'État pour l'avenir.

Allocution devant les parlementaires


Selon les communiqués officiels, le chef de l'État a demandé la convocation d'un congrès réunissant les députés et les sénateurs pour y délivrer son message. « C'est le président de la République qui a souhaité s'exprimer devant les deux chambres du Parlement », a confirmé le secrétaire général du Sénat. Cette allocution solennelle, prévue à partir de 10 heures, sera l'occasion pour Alassane Ouattara de faire le bilan de sa gestion et d'esquisser les perspectives pour le reste de son mandat.

À quelques mois de l'élection présidentielle de 2025, les Ivoiriens attendent beaucoup de ce discours présidentiel. « Nous voulons connaître les projets du président pour la fin de son mandat et savoir s'il compte se représenter », confie Josiane, une fonctionnaire à Abidjan. En effet, de nombreux partisans d'Alassane Ouattara le pressent déjà de briguer un troisième mandat, malgré les controverses autour de cette question.

La situation économique et sociale au cœur des préoccupations


Au-delà de la question de sa candidature, les Ivoiriens espèrent également des annonces concrètes sur les principaux défis auxquels le pays est confronté. « Nous voulons des réponses sur l'emploi des jeunes, l'accès aux services sociaux de base et la lutte contre la vie chère », explique Séraphin, un étudiant à Yamoussoukro. La crise économique mondiale et ses répercussions sur le pouvoir d'achat des Ivoiriens sont en effet au cœur des préoccupations.

Certains observateurs estiment également qu'Alassane Ouattara pourrait profiter de cette allocution pour annoncer des réformes institutionnelles. « Le président a déjà évoqué la possibilité de revoir certains aspects de la Constitution. Nous espérons qu'il nous en dira davantage », indique Awa, une militante de l'opposition.

Alors que l'échéance électorale de 2025 se profile à l'horizon, le message du chef de l'État sera scruté avec attention par tous les acteurs politiques et la société civile ivoirienne. Au-delà des annonces attendues, la question centrale sera de savoir si Alassane Ouattara dévoilera ses intentions pour la suite de son mandat. Sa réponse pourrait avoir des répercussions majeures sur la vie politique ivoirienne dans les mois à venir.

Image de Politique. Le mardi 18 juin 2024, le président ivoirien Alassane Ouattara s'adressera à la nation depuis le Parlement. À quelques mois de la prochaine élection présidentielle, les Ivoiriens sont nombreux à attendre avec impatience ce discours qui pourrait donner des indications sur la suite du mandat en cours et les intentions du chef de l'État pour l'avenir. Allocution devant les parlementaires Selon les communiqués officiels, le chef de l'État a demandé la convocation d'un congrès réunissant les députés et les sénateurs pour y délivrer son message. « C'est le président de la République qui a souhaité s'exprimer devant les deux chambres du Parlement », a confirmé le secrétaire général du Sénat. Cette allocution solennelle, prévue à partir de 10 heures, sera l'occasion pour Alassane Ouattara de faire le bilan de sa gestion et d'esquisser les perspectives pour le reste de son mandat. À quelques mois de l'élection présidentielle de 2025, les Ivoiriens attendent beaucoup de ce discours présidentiel. « Nous voulons connaître les projets du président pour la fin de son mandat et savoir s'il compte se représenter », confie Josiane, une fonctionnaire à Abidjan. En effet, de nombreux partisans d'Alassane Ouattara le pressent déjà de briguer un troisième mandat, malgré les controverses autour de cette question. La situation économique et sociale au cœur des préoccupations Au-delà de la question de sa candidature, les Ivoiriens espèrent également des annonces concrètes sur les principaux défis auxquels le pays est confronté. « Nous voulons des réponses sur l'emploi des jeunes, l'accès aux services sociaux de base et la lutte contre la vie chère », explique Séraphin, un étudiant à Yamoussoukro. La crise économique mondiale et ses répercussions sur le pouvoir d'achat des Ivoiriens sont en effet au cœur des préoccupations. Certains observateurs estiment également qu'Alassane Ouattara pourrait profiter de cette allocution pour annoncer des réformes institutionnelles. « Le président a déjà évoqué la possibilité de revoir certains aspects de la Constitution. Nous espérons qu'il nous en dira davantage », indique Awa, une militante de l'opposition. Alors que l'échéance électorale de 2025 se profile à l'horizon, le message du chef de l'État sera scruté avec attention par tous les acteurs politiques et la société civile ivoirienne. Au-delà des annonces attendues, la question centrale sera de savoir si Alassane Ouattara dévoilera ses intentions pour la suite de son mandat. Sa réponse pourrait avoir des répercussions majeures sur la vie politique ivoirienne dans les mois à venir.

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit L'Épouse De Debordo Leekunfa Fait Des Révélations Troublantes Sur TikTok dans Célébrités le 3 juin à 16:54

Lors d'un direct sur TikTok, Aline, l'épouse de l'artiste ivoirien Debordo Leekunfa, a fait des déclarations choquantes, révélant des détails troublants sur sa relation avec le chanteur et les difficultés qu'elle affronte. Ses révélations ont suscité une onde de choc parmi les internautes et ont relancé les débats sur les relations toxiques et les abus conjugaux.

Des révélations troublantes sur TikTok


Aline, l'épouse de Debordo Leekunfa, a brisé le silence lors d'un direct sur TikTok, révélant les coulisses sombres de sa relation avec le célèbre chanteur ivoirien. Ses paroles ont dévoilé un tableau poignant de souffrance, de contrôle et de menace qui ont marqué sa vie ces derniers temps.

Dans ses déclarations, Aline a décrit une relation toxique, où elle se sentait emprisonnée et contrôlée par Debordo Leekunfa. Elle a déclaré avoir été empêchée de travailler et de sortir, se sentant comme une prisonnière dans sa propre maison. Malgré tous ses sacrifices et ses efforts, elle affirme n'avoir jamais été appréciée par son mari.


https://www.youtube.com/watch?v=eiQIj5mtGDE

Des menaces et des actes alarmants


Aline a également fait part de menaces proférées à son encontre et à l'encontre de ses amis par Debordo Leekunfa. Elle a déclaré que plusieurs de ses amis avaient porté plainte contre lui pour harcèlement, et a relaté une situation alarmante où une de ses amies aurait été enlevée sous ses yeux par le chanteur, la retenant de 21h à 4h du matin.

Épuisée et désespérée, Aline a lancé un appel à l'aide lors de sa diffusion sur TikTok, implorant les internautes de la soutenir dans cette épreuve difficile. Ses révélations ont suscité une vague d'indignation et de solidarité sur les réseaux sociaux, avec de nombreux messages de soutien à son égard. Face à ces révélations troublantes, comment la société peut-elle mieux protéger les victimes de relations toxiques et d'abus conjugaux, et offrir un soutien adéquat à ceux qui en ont besoin ?

Image de Célébrités. Lors d'un direct sur TikTok, Aline, l'épouse de l'artiste ivoirien Debordo Leekunfa, a fait des déclarations choquantes, révélant des détails troublants sur sa relation avec le chanteur et les difficultés qu'elle affronte. Ses révélations ont suscité une onde de choc parmi les internautes et ont relancé les débats sur les relations toxiques et les abus conjugaux. Des révélations troublantes sur TikTok Aline, l'épouse de Debordo Leekunfa, a brisé le silence lors d'un direct sur TikTok, révélant les coulisses sombres de sa relation avec le célèbre chanteur ivoirien. Ses paroles ont dévoilé un tableau poignant de souffrance, de contrôle et de menace qui ont marqué sa vie ces derniers temps. Dans ses déclarations, Aline a décrit une relation toxique, où elle se sentait emprisonnée et contrôlée par Debordo Leekunfa. Elle a déclaré avoir été empêchée de travailler et de sortir, se sentant comme une prisonnière dans sa propre maison. Malgré tous ses sacrifices et ses efforts, elle affirme n'avoir jamais été appréciée par son mari. Des menaces et des actes alarmants Aline a également fait part de menaces proférées à son encontre et à l'encontre de ses amis par Debordo Leekunfa. Elle a déclaré que plusieurs de ses amis avaient porté plainte contre lui pour harcèlement, et a relaté une situation alarmante où une de ses amies aurait été enlevée sous ses yeux par le chanteur, la retenant de 21h à 4h du matin. Épuisée et désespérée, Aline a lancé un appel à l'aide lors de sa diffusion sur TikTok, implorant les internautes de la soutenir dans cette épreuve difficile. Ses révélations ont suscité une vague d'indignation et de solidarité sur les réseaux sociaux, avec de nombreux messages de soutien à son égard. Face à ces révélations troublantes, comment la société peut-elle mieux protéger les victimes de relations toxiques et d'abus conjugaux, et offrir un soutien adéquat à ceux qui en ont besoin ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Roseline Layo Prête À Enflammer Harlem Avec Son Concert Exceptionnel À New York dans Musique/Radio le 3 juin à 16:47

La chanteuse ivoirienne de renom, Roseline Layo, est arrivée à New York ce dimanche 2 juin 2024, en vue de son concert tant attendu qui se tiendra le 8 juin prochain à Harlem.

Une star de la musique ivoirienne à New York


Roseline Layo, célèbre pour sa voix captivante et ses performances scéniques enflammées, est une icône de la musique moderne en Côte d'Ivoire. Son talent incontestable et son charisme ont conquis le cœur de nombreux fans à travers le monde.

L'événement prévu à Harlem promet d'être mémorable, avec la présence de la chanteuse accompagnée de son groupe de musiciens talentueux. Ils offriront au public une expérience musicale inoubliable en interprétant ses plus grands succès ainsi que des morceaux exclusifs de son prochain album.

Un concert à ne pas manquer


L'annonce de ce concert exceptionnel a suscité une grande excitation parmi les fans de Roseline Layo et les amateurs de musique africaine à New York et dans ses environs. Les billets sont déjà disponibles à l'achat, que ce soit en ligne ou auprès des points de vente physiques désignés.

Billetterie en ligne : [Lien vers la billetterie en ligne](https://bit.ly/3K3DQJA)

Points de vente physiques :
- Shrine: 212 690 7807
- Ange: +1 (912) 572-4772
- Aoua la patronne: +1 (347) 406-1037
- Rahim: (347) 573-8855
- Blandine: (646) 434-9326
- Yadema: +1 (347) 812-8603
- Ka ya Ouaga (Samson): +1 (973) 458-2982
- Basta: (347) 339-0236

Les amateurs de musique et les admirateurs de Roseline Layo sont invités à réserver leurs places sans tarder pour cet événement exceptionnel à Harlem. Ne manquez pas l'opportunité de vivre une soirée magique en compagnie de cette talentueuse artiste ivoirienne. Quelles sont vos attentes pour ce concert ? Quel titre de Roseline Layo avez-vous le plus hâte d'entendre ?

Image de Musique/Radio. La chanteuse ivoirienne de renom, Roseline Layo, est arrivée à New York ce dimanche 2 juin 2024, en vue de son concert tant attendu qui se tiendra le 8 juin prochain à Harlem. Une star de la musique ivoirienne à New York Roseline Layo, célèbre pour sa voix captivante et ses performances scéniques enflammées, est une icône de la musique moderne en Côte d'Ivoire. Son talent incontestable et son charisme ont conquis le cœur de nombreux fans à travers le monde. L'événement prévu à Harlem promet d'être mémorable, avec la présence de la chanteuse accompagnée de son groupe de musiciens talentueux. Ils offriront au public une expérience musicale inoubliable en interprétant ses plus grands succès ainsi que des morceaux exclusifs de son prochain album. Un concert à ne pas manquer L'annonce de ce concert exceptionnel a suscité une grande excitation parmi les fans de Roseline Layo et les amateurs de musique africaine à New York et dans ses environs. Les billets sont déjà disponibles à l'achat, que ce soit en ligne ou auprès des points de vente physiques désignés. Billetterie en ligne : [Lien vers la billetterie en ligne]() Points de vente physiques : - Shrine: 212 690 7807 - Ange: +1 (912) 572-4772 - Aoua la patronne: +1 (347) 406-1037 - Rahim: (347) 573-8855 - Blandine: (646) 434-9326 - Yadema: +1 (347) 812-8603 - Ka ya Ouaga (Samson): +1 (973) 458-2982 - Basta: (347) 339-0236 Les amateurs de musique et les admirateurs de Roseline Layo sont invités à réserver leurs places sans tarder pour cet événement exceptionnel à Harlem. Ne manquez pas l'opportunité de vivre une soirée magique en compagnie de cette talentueuse artiste ivoirienne. Quelles sont vos attentes pour ce concert ? Quel titre de Roseline Layo avez-vous le plus hâte d'entendre ?

Deuxième Image de Musique/Radio. La chanteuse ivoirienne de renom, Roseline Layo, est arrivée à New York ce dimanche 2 juin 2024, en vue de son concert tant attendu qui se tiendra le 8 juin prochain à Harlem. Une star de la musique ivoirienne à New York Roseline Layo, célèbre pour sa voix captivante et ses performances scéniques enflammées, est une icône de la musique moderne en Côte d'Ivoire. Son talent incontestable et son charisme ont conquis le cœur de nombreux fans à travers le monde. L'événement prévu à Harlem promet d'être mémorable, avec la présence de la chanteuse accompagnée de son groupe de musiciens talentueux. Ils offriront au public une expérience musicale inoubliable en interprétant ses plus grands succès ainsi que des morceaux exclusifs de son prochain album. Un concert à ne pas manquer L'annonce de ce concert exceptionnel a suscité une grande excitation parmi les fans de Roseline Layo et les amateurs de musique africaine à New York et dans ses environs. Les billets sont déjà disponibles à l'achat, que ce soit en ligne ou auprès des points de vente physiques désignés. Billetterie en ligne : [Lien vers la billetterie en ligne]() Points de vente physiques : - Shrine: 212 690 7807 - Ange: +1 (912) 572-4772 - Aoua la patronne: +1 (347) 406-1037 - Rahim: (347) 573-8855 - Blandine: (646) 434-9326 - Yadema: +1 (347) 812-8603 - Ka ya Ouaga (Samson): +1 (973) 458-2982 - Basta: (347) 339-0236 Les amateurs de musique et les admirateurs de Roseline Layo sont invités à réserver leurs places sans tarder pour cet événement exceptionnel à Harlem. Ne manquez pas l'opportunité de vivre une soirée magique en compagnie de cette talentueuse artiste ivoirienne. Quelles sont vos attentes pour ce concert ? Quel titre de Roseline Layo avez-vous le plus hâte d'entendre ?

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