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Des Supporteurs Ramassent Les Ordures Dans Le Stade À La Fin Du Match - Faits Divers - Ivoireland

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Karlb14 Karlb14 le 18 janvier à 21:47

La Coupe d'Afrique des Nations (CAN) est bien plus qu'un simple tournoi de football. Au-delà des compétitions passionnantes et des moments palpitants sur le terrain, elle revêt également une dimension sociale cruciale. Jérôme Biti, Président de l'ONG "La Rue n'est pas une poubelle", a introduit une initiative novatrice qui transcende les limites du sport : une opération de ramassage des ordures dans les gradins à la fin de chaque match.

Cette initiative audacieuse s'inscrit dans le cadre d'une campagne plus vaste visant à promouvoir la propreté et la responsabilité environnementale. Alors que le monde entier a les yeux rivés sur les exploits des équipes participantes, Jérôme Biti a choisi d'utiliser l'ampleur de la CAN pour sensibiliser le public à l'importance de maintenir des espaces publics propres.

L'impact de cette campagne dépasse largement les limites du stade. En impliquant les fans directement, Biti a créé une communauté engagée autour de l'idée que chaque individu a un rôle à jouer dans la préservation de l'environnement. Les supporters, souvent passionnés et dévoués à leur équipe favorite, sont maintenant également conscients de l'impact de leurs actions sur l'environnement qui les entoure.

Le processus de sensibilisation ne se limite pas à la simple collecte des déchets. Jérôme Biti organise régulièrement des séances éducatives au sein des enceintes sportives pour informer les spectateurs sur les conséquences néfastes de la pollution et sur la manière dont des gestes simples peuvent contribuer à un environnement plus sain. Cette éducation environnementale est un élément clé de la mission de "La Rue n'est pas une poubelle", visant à instaurer des changements durables dans les comportements.

La CAN, traditionnellement axée sur la compétition sportive, se transforme ainsi en une plateforme d'éducation et de sensibilisation. Les équipes de football, les joueurs étoiles, les moments mémorables sur le terrain deviennent des catalyseurs pour un changement positif dans la société. Les médias couvrant l'événement se font également l'écho de cette initiative unique, amplifiant ainsi son impact au-delà des frontières du pays hôte.

En suscitant l'intérêt et la participation du public, Jérôme Biti et son équipe ont réussi à transformer la propreté en un enjeu collectif. La CAN devient ainsi un exemple inspirant de la manière dont le sport peut être utilisé comme un levier puissant pour promouvoir des causes sociales et environnementales. Les fans qui assistent aux matchs de la CAN ne sont plus simplement des spectateurs, mais des acteurs actifs dans la création d'un changement positif et durable.

Le succès de cette campagne repose également sur la collaboration avec les autorités locales, les organismes de gestion des stades et d'autres parties prenantes. En intégrant la propreté comme un aspect essentiel de l'expérience de la CAN, ces partenaires contribuent à renforcer l'impact de l'initiative et à pérenniser ces pratiques respectueuses de l'environnement au-delà du tournoi.

Au-delà de l'aspect environnemental, l'opération de ramassage des ordures de "La Rue n'est pas une poubelle" a également des répercussions économiques et sociales positives. Elle crée des opportunités d'emploi locales, mobilise des volontaires et renforce le tissu social en encourageant la coopération communautaire. Ainsi, la CAN devient un catalyseur non seulement pour le changement écologique, mais aussi pour le développement durable et inclusif.

En conclusion, la CAN ne se limite plus à être une arène sportive où s'affrontent les meilleures équipes du continent. Grâce à l'initiative visionnaire de Jérôme Biti, elle devient un terrain fertile pour l'engagement social, l'éducation environnementale et la promotion de comportements responsables. La CAN de la propreté démontre que le sport peut transcender ses frontières traditionnelles et devenir un moteur puissant pour le changement positif dans la société.

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Deuxième Image de Faits Divers. La Coupe d'Afrique des Nations (CAN) est bien plus qu'un simple tournoi de football. Au-delà des compétitions passionnantes et des moments palpitants sur le terrain, elle revêt également une dimension sociale cruciale. Jérôme Biti, Président de l'ONG "La Rue n'est pas une poubelle", a introduit une initiative novatrice qui transcende les limites du sport : une opération de ramassage des ordures dans les gradins à la fin de chaque match. Cette initiative audacieuse s'inscrit dans le cadre d'une campagne plus vaste visant à promouvoir la propreté et la responsabilité environnementale. Alors que le monde entier a les yeux rivés sur les exploits des équipes participantes, Jérôme Biti a choisi d'utiliser l'ampleur de la CAN pour sensibiliser le public à l'importance de maintenir des espaces publics propres. L'impact de cette campagne dépasse largement les limites du stade. En impliquant les fans directement, Biti a créé une communauté engagée autour de l'idée que chaque individu a un rôle à jouer dans la préservation de l'environnement. Les supporters, souvent passionnés et dévoués à leur équipe favorite, sont maintenant également conscients de l'impact de leurs actions sur l'environnement qui les entoure. Le processus de sensibilisation ne se limite pas à la simple collecte des déchets. Jérôme Biti organise régulièrement des séances éducatives au sein des enceintes sportives pour informer les spectateurs sur les conséquences néfastes de la pollution et sur la manière dont des gestes simples peuvent contribuer à un environnement plus sain. Cette éducation environnementale est un élément clé de la mission de "La Rue n'est pas une poubelle", visant à instaurer des changements durables dans les comportements. La CAN, traditionnellement axée sur la compétition sportive, se transforme ainsi en une plateforme d'éducation et de sensibilisation. Les équipes de football, les joueurs étoiles, les moments mémorables sur le terrain deviennent des catalyseurs pour un changement positif dans la société. Les médias couvrant l'événement se font également l'écho de cette initiative unique, amplifiant ainsi son impact au-delà des frontières du pays hôte. En suscitant l'intérêt et la participation du public, Jérôme Biti et son équipe ont réussi à transformer la propreté en un enjeu collectif. La CAN devient ainsi un exemple inspirant de la manière dont le sport peut être utilisé comme un levier puissant pour promouvoir des causes sociales et environnementales. Les fans qui assistent aux matchs de la CAN ne sont plus simplement des spectateurs, mais des acteurs actifs dans la création d'un changement positif et durable. Le succès de cette campagne repose également sur la collaboration avec les autorités locales, les organismes de gestion des stades et d'autres parties prenantes. En intégrant la propreté comme un aspect essentiel de l'expérience de la CAN, ces partenaires contribuent à renforcer l'impact de l'initiative et à pérenniser ces pratiques respectueuses de l'environnement au-delà du tournoi. Au-delà de l'aspect environnemental, l'opération de ramassage des ordures de "La Rue n'est pas une poubelle" a également des répercussions économiques et sociales positives. Elle crée des opportunités d'emploi locales, mobilise des volontaires et renforce le tissu social en encourageant la coopération communautaire. Ainsi, la CAN devient un catalyseur non seulement pour le changement écologique, mais aussi pour le développement durable et inclusif. En conclusion, la CAN ne se limite plus à être une arène sportive où s'affrontent les meilleures équipes du continent. Grâce à l'initiative visionnaire de Jérôme Biti, elle devient un terrain fertile pour l'engagement social, l'éducation environnementale et la promotion de comportements responsables. La CAN de la propreté démontre que le sport peut transcender ses frontières traditionnelles et devenir un moteur puissant pour le changement positif dans la société.

Troisième Image de Faits Divers. La Coupe d'Afrique des Nations (CAN) est bien plus qu'un simple tournoi de football. Au-delà des compétitions passionnantes et des moments palpitants sur le terrain, elle revêt également une dimension sociale cruciale. Jérôme Biti, Président de l'ONG "La Rue n'est pas une poubelle", a introduit une initiative novatrice qui transcende les limites du sport : une opération de ramassage des ordures dans les gradins à la fin de chaque match. Cette initiative audacieuse s'inscrit dans le cadre d'une campagne plus vaste visant à promouvoir la propreté et la responsabilité environnementale. Alors que le monde entier a les yeux rivés sur les exploits des équipes participantes, Jérôme Biti a choisi d'utiliser l'ampleur de la CAN pour sensibiliser le public à l'importance de maintenir des espaces publics propres. L'impact de cette campagne dépasse largement les limites du stade. En impliquant les fans directement, Biti a créé une communauté engagée autour de l'idée que chaque individu a un rôle à jouer dans la préservation de l'environnement. Les supporters, souvent passionnés et dévoués à leur équipe favorite, sont maintenant également conscients de l'impact de leurs actions sur l'environnement qui les entoure. Le processus de sensibilisation ne se limite pas à la simple collecte des déchets. Jérôme Biti organise régulièrement des séances éducatives au sein des enceintes sportives pour informer les spectateurs sur les conséquences néfastes de la pollution et sur la manière dont des gestes simples peuvent contribuer à un environnement plus sain. Cette éducation environnementale est un élément clé de la mission de "La Rue n'est pas une poubelle", visant à instaurer des changements durables dans les comportements. La CAN, traditionnellement axée sur la compétition sportive, se transforme ainsi en une plateforme d'éducation et de sensibilisation. Les équipes de football, les joueurs étoiles, les moments mémorables sur le terrain deviennent des catalyseurs pour un changement positif dans la société. Les médias couvrant l'événement se font également l'écho de cette initiative unique, amplifiant ainsi son impact au-delà des frontières du pays hôte. En suscitant l'intérêt et la participation du public, Jérôme Biti et son équipe ont réussi à transformer la propreté en un enjeu collectif. La CAN devient ainsi un exemple inspirant de la manière dont le sport peut être utilisé comme un levier puissant pour promouvoir des causes sociales et environnementales. Les fans qui assistent aux matchs de la CAN ne sont plus simplement des spectateurs, mais des acteurs actifs dans la création d'un changement positif et durable. Le succès de cette campagne repose également sur la collaboration avec les autorités locales, les organismes de gestion des stades et d'autres parties prenantes. En intégrant la propreté comme un aspect essentiel de l'expérience de la CAN, ces partenaires contribuent à renforcer l'impact de l'initiative et à pérenniser ces pratiques respectueuses de l'environnement au-delà du tournoi. Au-delà de l'aspect environnemental, l'opération de ramassage des ordures de "La Rue n'est pas une poubelle" a également des répercussions économiques et sociales positives. Elle crée des opportunités d'emploi locales, mobilise des volontaires et renforce le tissu social en encourageant la coopération communautaire. Ainsi, la CAN devient un catalyseur non seulement pour le changement écologique, mais aussi pour le développement durable et inclusif. En conclusion, la CAN ne se limite plus à être une arène sportive où s'affrontent les meilleures équipes du continent. Grâce à l'initiative visionnaire de Jérôme Biti, elle devient un terrain fertile pour l'engagement social, l'éducation environnementale et la promotion de comportements responsables. La CAN de la propreté démontre que le sport peut transcender ses frontières traditionnelles et devenir un moteur puissant pour le changement positif dans la société.

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CAN 2023: 184 549 Véhicules Flashés, 11 240 Sur Autoroute Nord En 10 Jours / Incendie Suspect Au Big Bazar De La Chanteuse Daysie: Un Sinistre Planifié? / Bilan Du Démantèlement Des Réseaux De Trafic d'Espèces Protégées En 2023

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