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Naomi Naomi a répondu à Spiritualité, Utilisations De Nos Feuilles & Autres Pour Guérir dans Santé le 6 juin 2015 à 17:00

ANOGEISSUS LEIOCARPUS (NGALAMA) /GEDAN

On utilise l’écorce de son tronc contre l’anorexie, la constipation, le paludisme, l’ictère, ses feuilles (bouillies) contre la jaunisse, les rhumes de cerveau et ses rameaux feuillés en cas de migraine, de dysenterie amibienne.

Image de Santé. ANOGEISSUS LEIOCARPUS (NGALAMA) /GEDAN On utilise l’écorce de son tronc contre l’anorexie, la constipation, le paludisme, l’ictère, ses feuilles (bouillies) contre la jaunisse, les rhumes de cerveau et ses rameaux feuillés en cas de migraine, de dysenterie amibienne.

Naomi Naomi a répondu à Spiritualité, Utilisations De Nos Feuilles & Autres Pour Guérir dans Santé le 6 juin 2015 à 16:59

ADANSONIA DIGITATA (BAOBAB) / GUY

Très utilisé pour de multiples usages : maux de dents, digestion difficile, hépatite, abcès, stomatites, conjonctivite, gingivite, asthme, hémorragie, diarrhées, dermatoses.
L’écorce en décoction est utilisée contre la fièvre, bain pour les yeux, pour soigner les plaies aussi. Ses feuilles (riche en vitamines), sont séchées et transformées en poudre pour l’asthme, en infusion en cas de diarrhées. Son jus de fruit est très prisé en Afrique.

Image de Santé. ADANSONIA DIGITATA (BAOBAB) / GUY Très utilisé pour de multiples usages : maux de dents, digestion difficile, hépatite, abcès, stomatites, conjonctivite, gingivite, asthme, hémorragie, diarrhées, dermatoses. L’écorce en décoction est utilisée contre la fièvre, bain pour les yeux, pour soigner les plaies aussi. Ses feuilles (riche en vitamines), sont séchées et transformées en poudre pour l’asthme, en infusion en cas de diarrhées. Son jus de fruit est très prisé en Afrique.

Naomi Naomi a répondu à Spiritualité, Utilisations De Nos Feuilles & Autres Pour Guérir dans Santé le 6 juin 2015 à 16:58

ANACARDIUM OCCIDENTALE / DARKASE

Son écorce a une action hypoglycémiante, hypotenseur, anti-inflammatoire traite le diabète insipide. Ses feuille servent à soigner la rougeole, blennorragie ; Sa pomme cajou a une action laxative et traite les verrues ; Sa noix (l’huile) est utilisée contre les ulcères, les vers, les eczémas, les dermatites.

Image de Santé. ANACARDIUM OCCIDENTALE / DARKASE Son écorce a une action hypoglycémiante, hypotenseur, anti-inflammatoire traite le diabète insipide. Ses feuille servent à soigner la rougeole, blennorragie ; Sa pomme cajou a une action laxative et traite les verrues ; Sa noix (l’huile) est utilisée contre les ulcères, les vers, les eczémas, les dermatites.

Naomi Naomi a répondu à Spiritualité, Utilisations De Nos Feuilles & Autres Pour Guérir dans Santé le 6 juin 2015 à 16:56

ALOE VERA / ALOÈS VRAI

Ses feuilles (suc) sont utilisées en cataplasme sur les plaies, blessures, fractures contre l’herpès action anti-inflammatoire, antibiotique, hydratant ; Sa (Pulpe) en cas de gastrite et maux de dents.

Image de Santé. ALOE VERA / ALOÈS VRAI Ses feuilles (suc) sont utilisées en cataplasme sur les plaies, blessures, fractures contre l’herpès action anti-inflammatoire, antibiotique, hydratant ; Sa (Pulpe) en cas de gastrite et maux de dents.

Naomi Naomi a répondu à Spiritualité, Utilisations De Nos Feuilles & Autres Pour Guérir dans Santé le 6 juin 2015 à 16:55

CARAPA PROCERA (CONDOU) / TULUKUNA

Le bois de l’arbre est dur et compact, inattaquable par les insectes et les termites. Les écorces contiennent des tri-terpènes amers (touloucounin) fébrifuges, insecticides et insectifuges non toxiques pour l’homme (applications agricoles) ainsi que des colorants. L’huile extraite à l’eau bouillante des amandes est riche en AG insaturés (47% oléique, 17% linoléique). Cette huile traite plusieurs maladies. Elle est utilisée aussi en cosmétique, peau, cheveux, et en soin dans le traitement des plaies, des brûlures et des rhumatismes. Elle est également protectrice contre les piqûres d’insectes.

Image de Santé. CARAPA PROCERA (CONDOU) / TULUKUNA Le bois de l’arbre est dur et compact, inattaquable par les insectes et les termites. Les écorces contiennent des tri-terpènes amers (touloucounin) fébrifuges, insecticides et insectifuges non toxiques pour l’homme (applications agricoles) ainsi que des colorants. L’huile extraite à l’eau bouillante des amandes est riche en AG insaturés (47% oléique, 17% linoléique). Cette huile traite plusieurs maladies. Elle est utilisée aussi en cosmétique, peau, cheveux, et en soin dans le traitement des plaies, des brûlures et des rhumatismes. Elle est également protectrice contre les piqûres d’insectes.

Naomi Naomi a répondu à Spiritualité, Utilisations De Nos Feuilles & Autres Pour Guérir dans Santé le 6 juin 2015 à 16:54

SECURINEGA VIROSA / KÊN

Arbuste de 2 à 3 mètre avec de nombreuses branches partant de la base. Ces branches à l’écorce claire sont anguleuses. Il existe partout en Afrique, particulièrement abondant dans les savanes boisées. Un des plus grands médicaments de la pharmacopée africaine. On lui reconnaît surtout une efficacité pour les troubles hépatiques, rénaux, vésicaux et génitaux. Les préparations à base de racines sont utilisé pour la fièvre bilieuse hématurique, la lithiase rénale, la bilharziose, les rhumatismes, la blennorragie, l’orchite, la stérilité.

Image de Santé. SECURINEGA VIROSA / KÊN Arbuste de 2 à 3 mètre avec de nombreuses branches partant de la base. Ces branches à l’écorce claire sont anguleuses. Il existe partout en Afrique, particulièrement abondant dans les savanes boisées. Un des plus grands médicaments de la pharmacopée africaine. On lui reconnaît surtout une efficacité pour les troubles hépatiques, rénaux, vésicaux et génitaux. Les préparations à base de racines sont utilisé pour la fièvre bilieuse hématurique, la lithiase rénale, la bilharziose, les rhumatismes, la blennorragie, l’orchite, la stérilité.

Naomi Naomi a répondu à Spiritualité, Utilisations De Nos Feuilles & Autres Pour Guérir dans Santé le 6 juin 2015 à 16:53

KHAYA SÉNÉGALENSIS (CAÏCÉDRAT, ACAJOU DU SÉNÉGAL) / HAY

Grand arbre de 25 à 30 mètres, à fût généralement court et trapus pouvant dépasser 2 mètres de diamètre à la base avec un faible empattement. On utilise les écorces macérées ou décoctées auxquelles on ajoute parfois des feuilles à la préparation. Il est utilisé contre de nombreuses maladies : la blennorragie, la constipation, les démangeaisons, la fièvre, les plaies, les maux de dents, le paludisme, les ulcères phagédénique, les vers et à une action tonifiante.

Image de Santé. KHAYA SÉNÉGALENSIS (CAÏCÉDRAT, ACAJOU DU SÉNÉGAL) / HAY Grand arbre de 25 à 30 mètres, à fût généralement court et trapus pouvant dépasser 2 mètres de diamètre à la base avec un faible empattement. On utilise les écorces macérées ou décoctées auxquelles on ajoute parfois des feuilles à la préparation. Il est utilisé contre de nombreuses maladies : la blennorragie, la constipation, les démangeaisons, la fièvre, les plaies, les maux de dents, le paludisme, les ulcères phagédénique, les vers et à une action tonifiante.

Naomi Naomi a répondu à Spiritualité, Utilisations De Nos Feuilles & Autres Pour Guérir dans Santé le 6 juin 2015 à 16:17

CASSIA ITALICA (OU SÉNÉ DU SÉNÉGAL) / LAYDUR

Sous arbrisseau dépassant rarement 50 cm, vivace par sa souche d’où partent plusieurs tiges. Feuilles glauques glabres composées de 5 - 6 paires de folioles, gousse plate.

On le retrouve dans toute la région sahélienne, hors des zones inondables. Peu abondant, souvent regroupé en petit peuplement. Les feuilles et à défaut les racines ou écorces quand pendant la saison sèche, l’arbrisseau est défeuillé sont couramment utilisées comme laxatif, purgatif et vermifuge. Remarque : son action peut dépendre de la situation géographique.

Image de Santé. CASSIA ITALICA (OU SÉNÉ DU SÉNÉGAL) / LAYDUR Sous arbrisseau dépassant rarement 50 cm, vivace par sa souche d’où partent plusieurs tiges. Feuilles glauques glabres composées de 5 - 6 paires de folioles, gousse plate. On le retrouve dans toute la région sahélienne, hors des zones inondables. Peu abondant, souvent regroupé en petit peuplement. Les feuilles et à défaut les racines ou écorces quand pendant la saison sèche, l’arbrisseau est défeuillé sont couramment utilisées comme laxatif, purgatif et vermifuge. Remarque : son action peut dépendre de la situation géographique.

Naomi Naomi a répondu à Spiritualité, Utilisations De Nos Feuilles & Autres Pour Guérir dans Santé le 6 juin 2015 à 16:15

GUIERA SENEGALENSIS / NGEER

Arbuste pouvant atteindre 3 mètres, souvent buisson de moins de 1,5 mètres. Très commun au Sahel, il envahit les jachères. On lui reconnait des actions béchiques (traitement de la toux), eupneïde (qui favorise la respiration), fébrifuge d’où la prescription pour la toux et les états dyspneïque, le paludisme pneumopathe et bronchopathe. Il est souvent associé à Combretum micranthum. Ses racines contre le choléra et en cas d’insuffisance de sperme, sa tige feuillée soigne les caries et les abcès dentaires, les rhumes. On lui reconnait des actions antitussives, fébrifuges, diurétiques et galactogènes. Les feuilles sont vendues dans les marchés et utilisées sous forme de décoction.

Image de Santé. GUIERA SENEGALENSIS / NGEER Arbuste pouvant atteindre 3 mètres, souvent buisson de moins de 1,5 mètres. Très commun au Sahel, il envahit les jachères. On lui reconnait des actions béchiques (traitement de la toux), eupneïde (qui favorise la respiration), fébrifuge d’où la prescription pour la toux et les états dyspneïque, le paludisme pneumopathe et bronchopathe. Il est souvent associé à Combretum micranthum. Ses racines contre le choléra et en cas d’insuffisance de sperme, sa tige feuillée soigne les caries et les abcès dentaires, les rhumes. On lui reconnait des actions antitussives, fébrifuges, diurétiques et galactogènes. Les feuilles sont vendues dans les marchés et utilisées sous forme de décoction.

Naomi Naomi a répondu à Spiritualité, Utilisations De Nos Feuilles & Autres Pour Guérir dans Santé le 6 juin 2015 à 16:14

Un peu partout en Afrique, personne n’hésite à avoir recours aux plantes médicinales pour se soigner, souvent en même temps que les services de la médecine moderne. Une sorte d’ouverture et d’enracinement dans le domaine de la santé.

On trouve ainsi de nombreux produits dans les pharmacopées, chez les herboristes dans les marchés, dans la rue, ou encore à la source, à savoir dans les villages. Les plantes médicinales sont utilisées entières ou en partie (feuille, tige, racine, écorce, fruit,…) dans des préparations galéniques diverses.

Voici une sélection de quelques plantes ou arbres largement utilisés par la médecine traditionnelle.

Naomi Naomi a écrit Spiritualité, Utilisations De Nos Feuilles & Autres Pour Guérir dans Santé le 6 juin 2015 à 16:10

La Guérison parfaite par les feuilles. Guéris-toi, toi-même par les plantes et leurs constituants.

Sauve-toi, toi-même et sauve l'UNIVERS!

Les plantes, les eaux, les animaux & les pierres sont a ta disposition, Dieu les a crée pour toi & moi.

Image de Santé. La Guérison parfaite par les feuilles. Guéris-toi, toi-même par les plantes et leurs constituants. Sauve-toi, toi-même et sauve l'UNIVERS! Les plantes, les eaux, les animaux & les pierres sont a ta disposition, Dieu les a crée pour toi & moi.

Naomi Naomi a écrit Ghana - L'explosion D'une Station Service Fait 78 Morts dans Affaires Etrangères le 6 juin 2015 à 15:38

Flash Actu

Une explosion dans une station-service d'Accra, la capitale ghanéenne, a fait au moins 78 morts, a annoncé un porte-parole des pompiers à une station de radio ce jour.

Un grand nombre de victimes étaient des personnes qui avaient voulu se mettre à l'abri en raison des pluies torrentielles.

Une dizaine de blessés ont été hospitalisés après l'explosion, qui semble être un accident lié à la pluie, a déclaré le porte-parole, qui s'exprimait sur la station JOYFM.

Image de Affaires Etrangères. Flash Actu Une explosion dans une station-service d'Accra, la capitale ghanéenne, a fait au moins 78 morts, a annoncé un porte-parole des pompiers à une station de radio ce jour. Un grand nombre de victimes étaient des personnes qui avaient voulu se mettre à l'abri en raison des pluies torrentielles. Une dizaine de blessés ont été hospitalisés après l'explosion, qui semble être un accident lié à la pluie, a déclaré le porte-parole, qui s'exprimait sur la station JOYFM.

Deuxième Image de Affaires Etrangères. Flash Actu Une explosion dans une station-service d'Accra, la capitale ghanéenne, a fait au moins 78 morts, a annoncé un porte-parole des pompiers à une station de radio ce jour. Un grand nombre de victimes étaient des personnes qui avaient voulu se mettre à l'abri en raison des pluies torrentielles. Une dizaine de blessés ont été hospitalisés après l'explosion, qui semble être un accident lié à la pluie, a déclaré le porte-parole, qui s'exprimait sur la station JOYFM.

Troisième Image de Affaires Etrangères. Flash Actu Une explosion dans une station-service d'Accra, la capitale ghanéenne, a fait au moins 78 morts, a annoncé un porte-parole des pompiers à une station de radio ce jour. Un grand nombre de victimes étaient des personnes qui avaient voulu se mettre à l'abri en raison des pluies torrentielles. Une dizaine de blessés ont été hospitalisés après l'explosion, qui semble être un accident lié à la pluie, a déclaré le porte-parole, qui s'exprimait sur la station JOYFM.

Naomi Naomi a écrit Lynchage D’un Chef Du Gang "Microbes" À Abidjan, Et Après? dans Faits Divers le 6 juin 2015 à 15:23

L’horreur a pris le pas sur la justice mardi 14 avril lorsque le chef d’un gang d’Attécoubé, une commune d’Abidjan, a été sauvagement lynché et démembré par une foule qui lui reprochait d’être à l’origine de nombreuses exactions depuis plusieurs années. Témoignages d’habitants désemparés par cette ultra-violence.

Zama, de son vrai nom Mamadou Traoré, faisait trembler Attécoubé. Le jeune homme de 25 ans originaire de Boribana, un sous-quartier très pauvre de la commune, était le chef du gang le plus craint d’Abidjan, et recrutait ses membres parmi les jeunes désœuvrés, le plus souvent âgés de 10 à 25 ans. Son groupe, "Microbes", s’adonnait notamment à des rackets d’objets de valeur sur la voie publique, parfois très violents, à l’aide de machettes.

Zama, à qui les habitants d’Attécoubé ont prêté des pouvoirs mystiques lui permettant d’échapper à la police, était suspecté d’être à l’origine de plusieurs assassinats dans la commune. À 25 ans, le chef était soupçonné d’avoir combattu durant la crise post-électorale entre 2010 et 2011 aux côtés des forces loyales à Alassane Ouattara, l’actuel président. Des organisations de défense des droits de l’Homme ivoiriennes ont régulièrement accusé des ex-FRCI de protéger le jeune Zama sans que cela ne soit officiellement établi.



"C’était une scène d’hystérie collective effroyable"

Le chef de gang a été interpellé mardi 14 avril, dans un quartier de la commune de Yopougon, dans des circonstances qui restent floues. Certains médias affirment qu’il a été arrêté par la police criminelle, d’autres par des comités de vigilance locaux.

Sur les images, Zama est traîné à un carrefour de la commune d’Attécoubé où il est exposé à la foule. Il est alors menotté mais aucun policier en uniforme n’apparaît sur les images.



Zouar (pseudonyme), un habitant d’Attécoubé, a assisté à la scène.

Les avis étaient partagés : beaucoup d’habitants voulaient en finir immédiatement avec Zama, d’autres voulaient attendre l’arrivée de la police pour qu’il soit jugé. Certains ont commencé à le piquer avec un couteau et à lui lancer des pierres. D’un coup, le chef de gang a réussi à s’échapper, à sauter par-dessus la remorque d’un camion, et à se faufiler dans un caniveau.

Il s’est blessé en tombant, et ses poursuivants ont réussi à le sortir de là pour le lyncher de plus belle. C’est là qu’il a été égorgé et démembré. Ses assassins ont ensuite paradé dans les rues d’Attécoubé en chantant "Zama, c’est fini !" C’était une scène d’hystérie collective effroyable. Puis les restes de son corps ont été rassemblés et brûlés dans un bûcher avant que la police ne puisse les récupérer.



122 "Microbes" arrêtés en aout dernier

À l’été 2014, le gouvernement ivoirien a pris le problème des "Microbes" à bras-le-corps en mettant sur pied une brigade policière spécifique pour lutter contre le phénomène dans plusieurs communes dont Abobo, Attécoubé et Adjamé.

En août, la police avait annoncé avoir arrêté 122 personnes, participant à ces gangs, et a condamné plusieurs de ses chefs à 20 ans de prison. Une section spéciale pour la réinsertion des "Microbes" a également été créée dans un centre pour enfants à Dabou, à 50 kilomètres d’Abidjan.



"Zama n’était plus en mesure de nuire comme auparavant"

À Attécoubé, ces mesures faisaient leur effet. Shaku (pseudonyme) habite dans cette commune.


Depuis ces mesures, on n’entendait pratiquement plus parler de Zama et le nombre d’attaques armées avaient sensiblement diminué. On se sentait pour la première fois depuis longtemps davantage en sécurité. Ce chef de gang n’était plus en mesure de nuire comme ça avait été le cas par le passé. Je ne crois pas que lui ôter la vie change grand-chose à la situation ou permettra d’améliorer notre sécurité.

Ceux qui l’ont tué pensent qu’ils envoient un message à tous ceux qui voudraient continuer à s’adonner à ce genre d’activité. Je crains plutôt que d’autres groupes proches de Zama s’adonnent à des représailles. [Le lendemain, mercredi 15 avril, des groupes présumés de "Microbes" ont été signalés en train de mener des actions aux Deux Plateaux après la mort de Zama, NDLR.]

Le ministère de l’Intérieur n’a pour l’instant pas donné suite à nos questions sur les circonstances de la mort du chef de gang et notamment sur l’éventuelle poursuite en justice des responsables. Nous publierons ses réponses lorsque celles-ci nous parviendrons.

Image de Faits Divers. L’horreur a pris le pas sur la justice mardi 14 avril lorsque le chef d’un gang d’Attécoubé, une commune d’Abidjan, a été sauvagement lynché et démembré par une foule qui lui reprochait d’être à l’origine de nombreuses exactions depuis plusieurs années. Témoignages d’habitants désemparés par cette ultra-violence. Zama, de son vrai nom Mamadou Traoré, faisait trembler Attécoubé. Le jeune homme de 25 ans originaire de Boribana, un sous-quartier très pauvre de la commune, était le chef du gang le plus craint d’Abidjan, et recrutait ses membres parmi les jeunes désœuvrés, le plus souvent âgés de 10 à 25 ans. Son groupe, "Microbes", s’adonnait notamment à des rackets d’objets de valeur sur la voie publique, parfois très violents, à l’aide de machettes. Zama, à qui les habitants d’Attécoubé ont prêté des pouvoirs mystiques lui permettant d’échapper à la police, était suspecté d’être à l’origine de plusieurs assassinats dans la commune. À 25 ans, le chef était soupçonné d’avoir combattu durant la crise post-électorale entre 2010 et 2011 aux côtés des forces loyales à Alassane Ouattara, l’actuel président. Des organisations de défense des droits de l’Homme ivoiriennes ont régulièrement accusé des ex-FRCI de protéger le jeune Zama sans que cela ne soit officiellement établi. "C’était une scène d’hystérie collective effroyable" Le chef de gang a été interpellé mardi 14 avril, dans un quartier de la commune de Yopougon, dans des circonstances qui restent floues. Certains médias affirment qu’il a été arrêté par la police criminelle, d’autres par des comités de vigilance locaux. Sur les images, Zama est traîné à un carrefour de la commune d’Attécoubé où il est exposé à la foule. Il est alors menotté mais aucun policier en uniforme n’apparaît sur les images. Zouar (pseudonyme), un habitant d’Attécoubé, a assisté à la scène. Les avis étaient partagés : beaucoup d’habitants voulaient en finir immédiatement avec Zama, d’autres voulaient attendre l’arrivée de la police pour qu’il soit jugé. Certains ont commencé à le piquer avec un couteau et à lui lancer des pierres. D’un coup, le chef de gang a réussi à s’échapper, à sauter par-dessus la remorque d’un camion, et à se faufiler dans un caniveau. Il s’est blessé en tombant, et ses poursuivants ont réussi à le sortir de là pour le lyncher de plus belle. C’est là qu’il a été égorgé et démembré. Ses assassins ont ensuite paradé dans les rues d’Attécoubé en chantant "Zama, c’est fini !" C’était une scène d’hystérie collective effroyable. Puis les restes de son corps ont été rassemblés et brûlés dans un bûcher avant que la police ne puisse les récupérer. 122 "Microbes" arrêtés en aout dernier À l’été 2014, le gouvernement ivoirien a pris le problème des "Microbes" à bras-le-corps en mettant sur pied une brigade policière spécifique pour lutter contre le phénomène dans plusieurs communes dont Abobo, Attécoubé et Adjamé. En août, la police avait annoncé avoir arrêté 122 personnes, participant à ces gangs, et a condamné plusieurs de ses chefs à 20 ans de prison. Une section spéciale pour la réinsertion des "Microbes" a également été créée dans un centre pour enfants à Dabou, à 50 kilomètres d’Abidjan. "Zama n’était plus en mesure de nuire comme auparavant" À Attécoubé, ces mesures faisaient leur effet. Shaku (pseudonyme) habite dans cette commune. Depuis ces mesures, on n’entendait pratiquement plus parler de Zama et le nombre d’attaques armées avaient sensiblement diminué. On se sentait pour la première fois depuis longtemps davantage en sécurité. Ce chef de gang n’était plus en mesure de nuire comme ça avait été le cas par le passé. Je ne crois pas que lui ôter la vie change grand-chose à la situation ou permettra d’améliorer notre sécurité. Ceux qui l’ont tué pensent qu’ils envoient un message à tous ceux qui voudraient continuer à s’adonner à ce genre d’activité. Je crains plutôt que d’autres groupes proches de Zama s’adonnent à des représailles. [Le lendemain, mercredi 15 avril, des groupes présumés de "Microbes" ont été signalés en train de mener des actions aux Deux Plateaux après la mort de Zama, NDLR.] Le ministère de l’Intérieur n’a pour l’instant pas donné suite à nos questions sur les circonstances de la mort du chef de gang et notamment sur l’éventuelle poursuite en justice des responsables. Nous publierons ses réponses lorsque celles-ci nous parviendrons.

Deuxième Image de Faits Divers. L’horreur a pris le pas sur la justice mardi 14 avril lorsque le chef d’un gang d’Attécoubé, une commune d’Abidjan, a été sauvagement lynché et démembré par une foule qui lui reprochait d’être à l’origine de nombreuses exactions depuis plusieurs années. Témoignages d’habitants désemparés par cette ultra-violence. Zama, de son vrai nom Mamadou Traoré, faisait trembler Attécoubé. Le jeune homme de 25 ans originaire de Boribana, un sous-quartier très pauvre de la commune, était le chef du gang le plus craint d’Abidjan, et recrutait ses membres parmi les jeunes désœuvrés, le plus souvent âgés de 10 à 25 ans. Son groupe, "Microbes", s’adonnait notamment à des rackets d’objets de valeur sur la voie publique, parfois très violents, à l’aide de machettes. Zama, à qui les habitants d’Attécoubé ont prêté des pouvoirs mystiques lui permettant d’échapper à la police, était suspecté d’être à l’origine de plusieurs assassinats dans la commune. À 25 ans, le chef était soupçonné d’avoir combattu durant la crise post-électorale entre 2010 et 2011 aux côtés des forces loyales à Alassane Ouattara, l’actuel président. Des organisations de défense des droits de l’Homme ivoiriennes ont régulièrement accusé des ex-FRCI de protéger le jeune Zama sans que cela ne soit officiellement établi. "C’était une scène d’hystérie collective effroyable" Le chef de gang a été interpellé mardi 14 avril, dans un quartier de la commune de Yopougon, dans des circonstances qui restent floues. Certains médias affirment qu’il a été arrêté par la police criminelle, d’autres par des comités de vigilance locaux. Sur les images, Zama est traîné à un carrefour de la commune d’Attécoubé où il est exposé à la foule. Il est alors menotté mais aucun policier en uniforme n’apparaît sur les images. Zouar (pseudonyme), un habitant d’Attécoubé, a assisté à la scène. Les avis étaient partagés : beaucoup d’habitants voulaient en finir immédiatement avec Zama, d’autres voulaient attendre l’arrivée de la police pour qu’il soit jugé. Certains ont commencé à le piquer avec un couteau et à lui lancer des pierres. D’un coup, le chef de gang a réussi à s’échapper, à sauter par-dessus la remorque d’un camion, et à se faufiler dans un caniveau. Il s’est blessé en tombant, et ses poursuivants ont réussi à le sortir de là pour le lyncher de plus belle. C’est là qu’il a été égorgé et démembré. Ses assassins ont ensuite paradé dans les rues d’Attécoubé en chantant "Zama, c’est fini !" C’était une scène d’hystérie collective effroyable. Puis les restes de son corps ont été rassemblés et brûlés dans un bûcher avant que la police ne puisse les récupérer. 122 "Microbes" arrêtés en aout dernier À l’été 2014, le gouvernement ivoirien a pris le problème des "Microbes" à bras-le-corps en mettant sur pied une brigade policière spécifique pour lutter contre le phénomène dans plusieurs communes dont Abobo, Attécoubé et Adjamé. En août, la police avait annoncé avoir arrêté 122 personnes, participant à ces gangs, et a condamné plusieurs de ses chefs à 20 ans de prison. Une section spéciale pour la réinsertion des "Microbes" a également été créée dans un centre pour enfants à Dabou, à 50 kilomètres d’Abidjan. "Zama n’était plus en mesure de nuire comme auparavant" À Attécoubé, ces mesures faisaient leur effet. Shaku (pseudonyme) habite dans cette commune. Depuis ces mesures, on n’entendait pratiquement plus parler de Zama et le nombre d’attaques armées avaient sensiblement diminué. On se sentait pour la première fois depuis longtemps davantage en sécurité. Ce chef de gang n’était plus en mesure de nuire comme ça avait été le cas par le passé. Je ne crois pas que lui ôter la vie change grand-chose à la situation ou permettra d’améliorer notre sécurité. Ceux qui l’ont tué pensent qu’ils envoient un message à tous ceux qui voudraient continuer à s’adonner à ce genre d’activité. Je crains plutôt que d’autres groupes proches de Zama s’adonnent à des représailles. [Le lendemain, mercredi 15 avril, des groupes présumés de "Microbes" ont été signalés en train de mener des actions aux Deux Plateaux après la mort de Zama, NDLR.] Le ministère de l’Intérieur n’a pour l’instant pas donné suite à nos questions sur les circonstances de la mort du chef de gang et notamment sur l’éventuelle poursuite en justice des responsables. Nous publierons ses réponses lorsque celles-ci nous parviendrons.

Troisième Image de Faits Divers. L’horreur a pris le pas sur la justice mardi 14 avril lorsque le chef d’un gang d’Attécoubé, une commune d’Abidjan, a été sauvagement lynché et démembré par une foule qui lui reprochait d’être à l’origine de nombreuses exactions depuis plusieurs années. Témoignages d’habitants désemparés par cette ultra-violence. Zama, de son vrai nom Mamadou Traoré, faisait trembler Attécoubé. Le jeune homme de 25 ans originaire de Boribana, un sous-quartier très pauvre de la commune, était le chef du gang le plus craint d’Abidjan, et recrutait ses membres parmi les jeunes désœuvrés, le plus souvent âgés de 10 à 25 ans. Son groupe, "Microbes", s’adonnait notamment à des rackets d’objets de valeur sur la voie publique, parfois très violents, à l’aide de machettes. Zama, à qui les habitants d’Attécoubé ont prêté des pouvoirs mystiques lui permettant d’échapper à la police, était suspecté d’être à l’origine de plusieurs assassinats dans la commune. À 25 ans, le chef était soupçonné d’avoir combattu durant la crise post-électorale entre 2010 et 2011 aux côtés des forces loyales à Alassane Ouattara, l’actuel président. Des organisations de défense des droits de l’Homme ivoiriennes ont régulièrement accusé des ex-FRCI de protéger le jeune Zama sans que cela ne soit officiellement établi. "C’était une scène d’hystérie collective effroyable" Le chef de gang a été interpellé mardi 14 avril, dans un quartier de la commune de Yopougon, dans des circonstances qui restent floues. Certains médias affirment qu’il a été arrêté par la police criminelle, d’autres par des comités de vigilance locaux. Sur les images, Zama est traîné à un carrefour de la commune d’Attécoubé où il est exposé à la foule. Il est alors menotté mais aucun policier en uniforme n’apparaît sur les images. Zouar (pseudonyme), un habitant d’Attécoubé, a assisté à la scène. Les avis étaient partagés : beaucoup d’habitants voulaient en finir immédiatement avec Zama, d’autres voulaient attendre l’arrivée de la police pour qu’il soit jugé. Certains ont commencé à le piquer avec un couteau et à lui lancer des pierres. D’un coup, le chef de gang a réussi à s’échapper, à sauter par-dessus la remorque d’un camion, et à se faufiler dans un caniveau. Il s’est blessé en tombant, et ses poursuivants ont réussi à le sortir de là pour le lyncher de plus belle. C’est là qu’il a été égorgé et démembré. Ses assassins ont ensuite paradé dans les rues d’Attécoubé en chantant "Zama, c’est fini !" C’était une scène d’hystérie collective effroyable. Puis les restes de son corps ont été rassemblés et brûlés dans un bûcher avant que la police ne puisse les récupérer. 122 "Microbes" arrêtés en aout dernier À l’été 2014, le gouvernement ivoirien a pris le problème des "Microbes" à bras-le-corps en mettant sur pied une brigade policière spécifique pour lutter contre le phénomène dans plusieurs communes dont Abobo, Attécoubé et Adjamé. En août, la police avait annoncé avoir arrêté 122 personnes, participant à ces gangs, et a condamné plusieurs de ses chefs à 20 ans de prison. Une section spéciale pour la réinsertion des "Microbes" a également été créée dans un centre pour enfants à Dabou, à 50 kilomètres d’Abidjan. "Zama n’était plus en mesure de nuire comme auparavant" À Attécoubé, ces mesures faisaient leur effet. Shaku (pseudonyme) habite dans cette commune. Depuis ces mesures, on n’entendait pratiquement plus parler de Zama et le nombre d’attaques armées avaient sensiblement diminué. On se sentait pour la première fois depuis longtemps davantage en sécurité. Ce chef de gang n’était plus en mesure de nuire comme ça avait été le cas par le passé. Je ne crois pas que lui ôter la vie change grand-chose à la situation ou permettra d’améliorer notre sécurité. Ceux qui l’ont tué pensent qu’ils envoient un message à tous ceux qui voudraient continuer à s’adonner à ce genre d’activité. Je crains plutôt que d’autres groupes proches de Zama s’adonnent à des représailles. [Le lendemain, mercredi 15 avril, des groupes présumés de "Microbes" ont été signalés en train de mener des actions aux Deux Plateaux après la mort de Zama, NDLR.] Le ministère de l’Intérieur n’a pour l’instant pas donné suite à nos questions sur les circonstances de la mort du chef de gang et notamment sur l’éventuelle poursuite en justice des responsables. Nous publierons ses réponses lorsque celles-ci nous parviendrons.

Quatrième Image de Faits Divers. L’horreur a pris le pas sur la justice mardi 14 avril lorsque le chef d’un gang d’Attécoubé, une commune d’Abidjan, a été sauvagement lynché et démembré par une foule qui lui reprochait d’être à l’origine de nombreuses exactions depuis plusieurs années. Témoignages d’habitants désemparés par cette ultra-violence. Zama, de son vrai nom Mamadou Traoré, faisait trembler Attécoubé. Le jeune homme de 25 ans originaire de Boribana, un sous-quartier très pauvre de la commune, était le chef du gang le plus craint d’Abidjan, et recrutait ses membres parmi les jeunes désœuvrés, le plus souvent âgés de 10 à 25 ans. Son groupe, "Microbes", s’adonnait notamment à des rackets d’objets de valeur sur la voie publique, parfois très violents, à l’aide de machettes. Zama, à qui les habitants d’Attécoubé ont prêté des pouvoirs mystiques lui permettant d’échapper à la police, était suspecté d’être à l’origine de plusieurs assassinats dans la commune. À 25 ans, le chef était soupçonné d’avoir combattu durant la crise post-électorale entre 2010 et 2011 aux côtés des forces loyales à Alassane Ouattara, l’actuel président. Des organisations de défense des droits de l’Homme ivoiriennes ont régulièrement accusé des ex-FRCI de protéger le jeune Zama sans que cela ne soit officiellement établi. "C’était une scène d’hystérie collective effroyable" Le chef de gang a été interpellé mardi 14 avril, dans un quartier de la commune de Yopougon, dans des circonstances qui restent floues. Certains médias affirment qu’il a été arrêté par la police criminelle, d’autres par des comités de vigilance locaux. Sur les images, Zama est traîné à un carrefour de la commune d’Attécoubé où il est exposé à la foule. Il est alors menotté mais aucun policier en uniforme n’apparaît sur les images. Zouar (pseudonyme), un habitant d’Attécoubé, a assisté à la scène. Les avis étaient partagés : beaucoup d’habitants voulaient en finir immédiatement avec Zama, d’autres voulaient attendre l’arrivée de la police pour qu’il soit jugé. Certains ont commencé à le piquer avec un couteau et à lui lancer des pierres. D’un coup, le chef de gang a réussi à s’échapper, à sauter par-dessus la remorque d’un camion, et à se faufiler dans un caniveau. Il s’est blessé en tombant, et ses poursuivants ont réussi à le sortir de là pour le lyncher de plus belle. C’est là qu’il a été égorgé et démembré. Ses assassins ont ensuite paradé dans les rues d’Attécoubé en chantant "Zama, c’est fini !" C’était une scène d’hystérie collective effroyable. Puis les restes de son corps ont été rassemblés et brûlés dans un bûcher avant que la police ne puisse les récupérer. 122 "Microbes" arrêtés en aout dernier À l’été 2014, le gouvernement ivoirien a pris le problème des "Microbes" à bras-le-corps en mettant sur pied une brigade policière spécifique pour lutter contre le phénomène dans plusieurs communes dont Abobo, Attécoubé et Adjamé. En août, la police avait annoncé avoir arrêté 122 personnes, participant à ces gangs, et a condamné plusieurs de ses chefs à 20 ans de prison. Une section spéciale pour la réinsertion des "Microbes" a également été créée dans un centre pour enfants à Dabou, à 50 kilomètres d’Abidjan. "Zama n’était plus en mesure de nuire comme auparavant" À Attécoubé, ces mesures faisaient leur effet. Shaku (pseudonyme) habite dans cette commune. Depuis ces mesures, on n’entendait pratiquement plus parler de Zama et le nombre d’attaques armées avaient sensiblement diminué. On se sentait pour la première fois depuis longtemps davantage en sécurité. Ce chef de gang n’était plus en mesure de nuire comme ça avait été le cas par le passé. Je ne crois pas que lui ôter la vie change grand-chose à la situation ou permettra d’améliorer notre sécurité. Ceux qui l’ont tué pensent qu’ils envoient un message à tous ceux qui voudraient continuer à s’adonner à ce genre d’activité. Je crains plutôt que d’autres groupes proches de Zama s’adonnent à des représailles. [Le lendemain, mercredi 15 avril, des groupes présumés de "Microbes" ont été signalés en train de mener des actions aux Deux Plateaux après la mort de Zama, NDLR.] Le ministère de l’Intérieur n’a pour l’instant pas donné suite à nos questions sur les circonstances de la mort du chef de gang et notamment sur l’éventuelle poursuite en justice des responsables. Nous publierons ses réponses lorsque celles-ci nous parviendrons.

Naomi Naomi a répondu à Les Derniers Films Nigerian Nollywood Version Française Complet dans TV/Films/Séries le 5 juin 2015 à 2:31

Efia Et Ses Amies

Efia est une jeune élève n'ayant aucune caractéristique d'une élevé. Lesbianisme, occultisme, bizoutisme sont les plats preferes d'Efia mais tout changera invraisemblablement avec l'arrive de "La Nouvelle"...

https://www.youtube.com/watch?v=7VZwJ2iAeVw

Naomi Naomi a répondu à Les Derniers Films Nigerian Nollywood Version Française Complet dans TV/Films/Séries le 5 juin 2015 à 2:29

Secrets De Filles

Les filles sont les êtres ayant les secrets les plus dangereux qui soient. Vrai ou faux, regardez ce film pour le confirmer.

https://www.youtube.com/watch?v=SK_CwpC0qxs

Naomi Naomi a répondu à Les Derniers Films Nigerian Nollywood Version Française Complet dans TV/Films/Séries le 5 juin 2015 à 2:28

Les Péchés Sanguins

Partis en expédition dans un village inconnu, un groupe d'ami se retrouvera pris au piège par des individus qui n'ont d'egard que pour le sexe, la chair humaine et le sang.

https://www.youtube.com/watch?v=zGEsHwtOrIA

Naomi Naomi a répondu à Les Derniers Films Nigerian Nollywood Version Française Complet dans TV/Films/Séries le 5 juin 2015 à 2:25

Désir Mielleux

Désir désir désir. Ah! Je préféré ne pas décrire ce film, chacun a le devoir de le décrire dans les commentaires. Merci à tout le monde.

https://www.youtube.com/watch?v=SCCCUC75xSU

Naomi Naomi a répondu à Les Derniers Films Nigerian Nollywood Version Française Complet dans TV/Films/Séries le 5 juin 2015 à 2:23

Jeu Charnel

Un jeu sans réglés, faut être assez fou pour s'y engager. Mais qui ne risque rien n'a rien. Soyez les spectateur d'un ce film de 37 minutes et 18 secondes intenses et sensuelles.

https://www.youtube.com/watch?v=j7SWfO7GOj4

Naomi Naomi a répondu à Les Derniers Films Nigerian Nollywood Version Française Complet dans TV/Films/Séries le 5 juin 2015 à 2:22

Elle Est A Moi Et Fait Ma Joie

Vous allez vous regaler avec ce film sensuel de Jim Iyeke.

https://www.youtube.com/watch?v=YIWCGTuQDw8

Naomi Naomi a répondu à Les Derniers Films Nigerian Nollywood Version Française Complet dans TV/Films/Séries le 5 juin 2015 à 2:21

Bromance

La "Bromance" c'est l'amour qui existe entre frères. Un amour sincère. Voici ce dont est capable bromance, ne jamais laisser une femme semer le trouble entre deux frères ou amis. Ce films est un catalogue pour ce qui est de cette question.

https://www.youtube.com/watch?v=JD7hdU_fXAU

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