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RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Ramadan: Tournée De Souleymane Diarrassouba Dans Les Grandes Surfaces d'Abidjan dans L'islam pour les musulmans le 11 mars à 19:46
Ce lundi 11 mars marque le début du mois sacré de Ramadan pour des millions de fidèles musulmans à travers le monde, et en Côte d'Ivoire, le Ministre du Commerce et de l’Industrie, Dr Souleymane Diarrassouba, entame sa traditionnelle tournée dans les entrepôts et grands espaces de vente des produits de grande consommation dans le District autonome d’Abidjan.

Objectif crucial : garantir l'approvisionnement pendant Ramadan


Dans un contexte de forte demande en produits de première nécessité pendant le Ramadan, le Ministre Diarrassouba et ses équipes techniques mettent l'accent sur la disponibilité en quantité suffisante de ces produits essentiels. Il s'agit non seulement d'assurer une offre adéquate pour répondre à la demande croissante, mais aussi d'évaluer les stocks actuels afin de prendre des mesures préventives et éviter toute pénurie.

Cette première journée de tournée, le lundi 11 mars, a été marquée par la visite de plusieurs communes importantes, à savoir Bingerville, Cocody Riviera et Port-Bouet. Accompagnée par un groupe de journalistes, la délégation du Ministère du Commerce et de l’Industrie a pu observer de près les conditions sur le terrain et formuler des recommandations pour optimiser l'approvisionnement.

Un constat rassurant à Socofrais de Bingerville


La première étape de cette tournée a conduit le Ministre et son équipe à Socofrais de Bingerville. Au cours d'une visite guidée menée par la gérante des lieux, le Ministre a pu constater la disponibilité d'une large gamme de produits, allant des produits vivriers aux denrées alimentaires en passant par les produits manufacturés et halieutiques. Cette disponibilité témoigne des efforts déployés par les acteurs du secteur pour répondre aux besoins des consommateurs pendant cette période cruciale.

Ensuite, la délégation s'est rendue à l'entrepôt de Socoprix de la Riviera Palmeraie. Là encore, le constat est positif : les stocks de produits agroalimentaires et d'entretien sont au rendez-vous, avec une équipe déjà mobilisée pour assurer l'approvisionnement dès le début du Ramadan. Le Directeur Général, Ezzeddine Zakaria, s'est montré satisfait après cette visite guidée, soulignant l'importance de telles initiatives pour garantir la disponibilité des produits essentiels pendant cette période de forte demande.

Au-delà de ces visites, cette tournée du Ministre Souleymane Diarrassouba revêt une importance capitale pour assurer un approvisionnement adéquat en produits de première nécessité tout au long du mois de Ramadan. En cette période où la solidarité et la générosité sont de mise, il est essentiel que les autorités et les acteurs économiques travaillent de concert pour garantir le bien-être des citoyens. Alors que le mois sacré débute, la question demeure : comment pouvons-nous renforcer davantage ces efforts pour assurer un Ramadan serein et prospère pour tous ?

Image de L'islam pour les musulmans. Ce lundi 11 mars marque le début du mois sacré de Ramadan pour des millions de fidèles musulmans à travers le monde, et en Côte d'Ivoire, le Ministre du Commerce et de l’Industrie, Dr Souleymane Diarrassouba, entame sa traditionnelle tournée dans les entrepôts et grands espaces de vente des produits de grande consommation dans le District autonome d’Abidjan. Objectif crucial : garantir l'approvisionnement pendant Ramadan Dans un contexte de forte demande en produits de première nécessité pendant le Ramadan, le Ministre Diarrassouba et ses équipes techniques mettent l'accent sur la disponibilité en quantité suffisante de ces produits essentiels. Il s'agit non seulement d'assurer une offre adéquate pour répondre à la demande croissante, mais aussi d'évaluer les stocks actuels afin de prendre des mesures préventives et éviter toute pénurie. Cette première journée de tournée, le lundi 11 mars, a été marquée par la visite de plusieurs communes importantes, à savoir Bingerville, Cocody Riviera et Port-Bouet. Accompagnée par un groupe de journalistes, la délégation du Ministère du Commerce et de l’Industrie a pu observer de près les conditions sur le terrain et formuler des recommandations pour optimiser l'approvisionnement. Un constat rassurant à Socofrais de Bingerville La première étape de cette tournée a conduit le Ministre et son équipe à Socofrais de Bingerville. Au cours d'une visite guidée menée par la gérante des lieux, le Ministre a pu constater la disponibilité d'une large gamme de produits, allant des produits vivriers aux denrées alimentaires en passant par les produits manufacturés et halieutiques. Cette disponibilité témoigne des efforts déployés par les acteurs du secteur pour répondre aux besoins des consommateurs pendant cette période cruciale. Ensuite, la délégation s'est rendue à l'entrepôt de Socoprix de la Riviera Palmeraie. Là encore, le constat est positif : les stocks de produits agroalimentaires et d'entretien sont au rendez-vous, avec une équipe déjà mobilisée pour assurer l'approvisionnement dès le début du Ramadan. Le Directeur Général, Ezzeddine Zakaria, s'est montré satisfait après cette visite guidée, soulignant l'importance de telles initiatives pour garantir la disponibilité des produits essentiels pendant cette période de forte demande. Au-delà de ces visites, cette tournée du Ministre Souleymane Diarrassouba revêt une importance capitale pour assurer un approvisionnement adéquat en produits de première nécessité tout au long du mois de Ramadan. En cette période où la solidarité et la générosité sont de mise, il est essentiel que les autorités et les acteurs économiques travaillent de concert pour garantir le bien-être des citoyens. Alors que le mois sacré débute, la question demeure : comment pouvons-nous renforcer davantage ces efforts pour assurer un Ramadan serein et prospère pour tous ?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Brédoumy Soumaïla Éclaire l'Incident Lors De Sa Causerie Avec Kobenan Adjoumani dans Politique le 11 mars à 17:14
La récente fuite d'une conversation téléphonique entre le porte-parole du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), Brédoumy Soumaïla, et le ministre d'État Kobenan Kouassi Adjoumani a suscité de vives réactions au sein de la classe politique ivoirienne. Lors de son passage à l'émission NCI 360 du dimanche 10 mars 2024, Dr Brédoumy Soumaïla a abordé cette affaire qui a défrayé la chronique.

Une Conversation Éclaboussée par les Réseaux Sociaux


Le 10 mars 2024, l'émission NCI 360 a été le théâtre d'un échange passionnant entre Brédoumy Soumaïla et les animateurs. Au cœur des discussions, la fuite d'une conversation téléphonique entre le porte-parole du PDCI et le ministre d'État Kobenan Kouassi Adjoumani. Ce dialogue, initialement privé, a été rendu public sur les réseaux sociaux, jetant ainsi une lumière crue sur les tensions politiques en Côte d'Ivoire.

Interrogé sur cet incident, Brédoumy Soumaïla a pris la parole pour clarifier les circonstances entourant cette fuite. Il a souligné que cette divulgation n'était pas un événement isolé, rappelant d'autres cas où des informations confidentielles ont émergé du cabinet d'Adjoumani. Toutefois, il a catégoriquement nié être à l'origine de l'enregistrement de la conversation, affirmant l'avoir reçu par transfert.

"Il y a une chose que je ne regrette pas. C'est que la menace est connue de tout le monde", a déclaré Brédoumy Soumaïla lors de son intervention. Ces propos révèlent la complexité des relations politiques en Côte d'Ivoire, où les tensions et les rivalités sont souvent exacerbées par des rivalités ethniques et des alliances complexes.

Un Dialogue au Cœur de l'Enjeu Politique


La révélation de cette conversation téléphonique met en lumière les enjeux politiques qui animent la scène ivoirienne. Les échanges entre Brédoumy Soumaïla et Kobenan Kouassi Adjoumani révèlent les divergences politiques profondes qui persistent au sein du pays.

En conclusion, l'affaire de la fuite de la conversation entre Brédoumy Soumaïla et Kobenan Kouassi Adjoumani souligne l'importance de la prudence et du dialogue dans la sphère politique ivoirienne. Alors que les tensions persistent, il est essentiel que les acteurs politiques fassent preuve de sagesse et de responsabilité pour éviter toute escalade qui pourrait compromettre la stabilité et la cohésion nationale.

Face à cette situation délicate, la question qui se pose est la suivante : les leaders politiques ivoiriens seront-ils capables de surmonter leurs divergences et de travailler ensemble pour bâtir un avenir meilleur pour le pays?

Image de Politique. La récente fuite d'une conversation téléphonique entre le porte-parole du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), Brédoumy Soumaïla, et le ministre d'État Kobenan Kouassi Adjoumani a suscité de vives réactions au sein de la classe politique ivoirienne. Lors de son passage à l'émission NCI 360 du dimanche 10 mars 2024, Dr Brédoumy Soumaïla a abordé cette affaire qui a défrayé la chronique. Une Conversation Éclaboussée par les Réseaux Sociaux Le 10 mars 2024, l'émission NCI 360 a été le théâtre d'un échange passionnant entre Brédoumy Soumaïla et les animateurs. Au cœur des discussions, la fuite d'une conversation téléphonique entre le porte-parole du PDCI et le ministre d'État Kobenan Kouassi Adjoumani. Ce dialogue, initialement privé, a été rendu public sur les réseaux sociaux, jetant ainsi une lumière crue sur les tensions politiques en Côte d'Ivoire. Interrogé sur cet incident, Brédoumy Soumaïla a pris la parole pour clarifier les circonstances entourant cette fuite. Il a souligné que cette divulgation n'était pas un événement isolé, rappelant d'autres cas où des informations confidentielles ont émergé du cabinet d'Adjoumani. Toutefois, il a catégoriquement nié être à l'origine de l'enregistrement de la conversation, affirmant l'avoir reçu par transfert. "Il y a une chose que je ne regrette pas. C'est que la menace est connue de tout le monde", a déclaré Brédoumy Soumaïla lors de son intervention. Ces propos révèlent la complexité des relations politiques en Côte d'Ivoire, où les tensions et les rivalités sont souvent exacerbées par des rivalités ethniques et des alliances complexes. Un Dialogue au Cœur de l'Enjeu Politique La révélation de cette conversation téléphonique met en lumière les enjeux politiques qui animent la scène ivoirienne. Les échanges entre Brédoumy Soumaïla et Kobenan Kouassi Adjoumani révèlent les divergences politiques profondes qui persistent au sein du pays. En conclusion, l'affaire de la fuite de la conversation entre Brédoumy Soumaïla et Kobenan Kouassi Adjoumani souligne l'importance de la prudence et du dialogue dans la sphère politique ivoirienne. Alors que les tensions persistent, il est essentiel que les acteurs politiques fassent preuve de sagesse et de responsabilité pour éviter toute escalade qui pourrait compromettre la stabilité et la cohésion nationale. Face à cette situation délicate, la question qui se pose est la suivante : les leaders politiques ivoiriens seront-ils capables de surmonter leurs divergences et de travailler ensemble pour bâtir un avenir meilleur pour le pays?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Entretien Stratégique Entre Tidjane Thiam Et Le Président Ouattara Aujourd'Hui dans Politique le 11 mars à 17:06
Dans les cercles politiques ivoiriens, un événement majeur se profile à l'horizon. Tidjane Thiam, président du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), est attendu pour une rencontre de grande envergure avec le président de la République, Alassane Ouattara, ce lundi 11 mars 2024, au Palais présidentiel du Plateau à Abidjan. L'annonce de cette réunion a été officiellement communiquée par le compte Facebook de la Présidence de la République de Côte d'Ivoire dans la nuit du dimanche 10 mars 2024.

Des Motifs Encore Flous


Le rendez-vous, prévu pour midi, suscite une grande curiosité quant à ses motifs. En effet, bien que cette rencontre revête une importance capitale, l'agenda du Chef de l'État, tel qu'énoncé dans la publication officielle, demeure énigmatique quant aux sujets qui seront abordés lors de cet entretien crucial. Cependant, les observateurs politiques s'attendent à ce que les discussions portent sur des questions politiques pressantes, notamment l'élargissement de l'assiette de la liste électorale, ainsi que sur les obsèques du président Bédié.

Ce rendez-vous intervient dans un contexte politique marqué par des bouleversements significatifs. Notamment, il fait suite à une récente rencontre entre Tidjane Thiam et l'ancien président Laurent Gbagbo à Mama. Cette série de rencontres politiques s'inscrit dans la volonté affichée par Tidjane Thiam d'échanger avec divers acteurs politiques ivoiriens, y compris le président Alassane Ouattara et le parti au pouvoir, le RHDP. Il convient de noter que cette réunion avec Alassane Ouattara marque une première depuis l'élection de Tidjane Thiam à la tête du PDCI en décembre 2023, lors d'un congrès tenu à Yamoussoukro.

Perspectives et Attentes


Cette rencontre revêt une importance capitale pour l'avenir politique de la Côte d'Ivoire. Les attentes sont élevées quant aux éventuelles annonces ou décisions qui pourraient découler de cet entretien entre deux figures politiques majeures du pays. En effet, les enjeux sont multiples, notamment en ce qui concerne la stabilité politique, la consolidation de la démocratie et la résolution des défis socio-économiques auxquels le pays est confronté.

Alors que les regards sont tournés vers cette rencontre au sommet, une question demeure en suspens: quel sera l'impact de cet entretien sur l'avenir politique de la Côte d'Ivoire? Les réponses à cette interrogation restent incertaines, mais une chose est sûre: les décisions qui en découleront pourraient façonner le paysage politique ivoirien pour les années à venir.

Image de Politique. Dans les cercles politiques ivoiriens, un événement majeur se profile à l'horizon. Tidjane Thiam, président du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), est attendu pour une rencontre de grande envergure avec le président de la République, Alassane Ouattara, ce lundi 11 mars 2024, au Palais présidentiel du Plateau à Abidjan. L'annonce de cette réunion a été officiellement communiquée par le compte Facebook de la Présidence de la République de Côte d'Ivoire dans la nuit du dimanche 10 mars 2024. Des Motifs Encore Flous Le rendez-vous, prévu pour midi, suscite une grande curiosité quant à ses motifs. En effet, bien que cette rencontre revête une importance capitale, l'agenda du Chef de l'État, tel qu'énoncé dans la publication officielle, demeure énigmatique quant aux sujets qui seront abordés lors de cet entretien crucial. Cependant, les observateurs politiques s'attendent à ce que les discussions portent sur des questions politiques pressantes, notamment l'élargissement de l'assiette de la liste électorale, ainsi que sur les obsèques du président Bédié. Ce rendez-vous intervient dans un contexte politique marqué par des bouleversements significatifs. Notamment, il fait suite à une récente rencontre entre Tidjane Thiam et l'ancien président Laurent Gbagbo à Mama. Cette série de rencontres politiques s'inscrit dans la volonté affichée par Tidjane Thiam d'échanger avec divers acteurs politiques ivoiriens, y compris le président Alassane Ouattara et le parti au pouvoir, le RHDP. Il convient de noter que cette réunion avec Alassane Ouattara marque une première depuis l'élection de Tidjane Thiam à la tête du PDCI en décembre 2023, lors d'un congrès tenu à Yamoussoukro. Perspectives et Attentes Cette rencontre revêt une importance capitale pour l'avenir politique de la Côte d'Ivoire. Les attentes sont élevées quant aux éventuelles annonces ou décisions qui pourraient découler de cet entretien entre deux figures politiques majeures du pays. En effet, les enjeux sont multiples, notamment en ce qui concerne la stabilité politique, la consolidation de la démocratie et la résolution des défis socio-économiques auxquels le pays est confronté. Alors que les regards sont tournés vers cette rencontre au sommet, une question demeure en suspens: quel sera l'impact de cet entretien sur l'avenir politique de la Côte d'Ivoire? Les réponses à cette interrogation restent incertaines, mais une chose est sûre: les décisions qui en découleront pourraient façonner le paysage politique ivoirien pour les années à venir.
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Déguerpissements À Abidjan: La Sopa-CI Et Pulcherie Gbalet Condamnent dans Société le 11 mars à 16:59
Dans une initiative marquante de mobilisation citoyenne, la Solidarité Panafricaniste Côte d'Ivoire (SOPA-CI), sous la direction de Pulcherie Gbalet, a tenu une conférence de presse le samedi 9 mars à Cocody, exprimant son indignation face à ce qu'elle considère comme une violation flagrante de la Constitution ivoirienne par les autorités.

Une Politique de Déguerpissements Condamnée


Au cœur de la conférence, Pulcherie Gbalet a mis en lumière les déguerpissements massifs entrepris par le district autonome d'Abidjan depuis le début de l'année 2024. Cette politique a entraîné des conséquences désastreuses pour des milliers de familles, avec des expulsions sans préavis et sans mesures d'accompagnement adéquates.

La SOPA-CI, à travers la voix de Pulcherie Gbalet, a fermement condamné le non-respect manifeste des procédures légales et des droits fondamentaux des citoyens. Les déguerpissements ont eu lieu sans aucune information préalable ni mesure d'accompagnement, laissant des milliers de familles dans une situation de détresse et de précarité.

Violation de la Constitution Ivoirienne


La porte-parole de la SOPA-CI a souligné que cette politique de déguerpissement constitue une violation flagrante de la Constitution ivoirienne ainsi que des normes internationales. Les articles 2, 3, 4, 5, 9, 10, 11, 13 et 58 de la Constitution ont été cités pour illustrer cette violation, mettant en lumière le non-respect du serment du président de la République de protéger les droits et libertés des citoyens.

Face à cette situation alarmante, la SOPA-CI a formulé plusieurs exigences claires. Tout d'abord, elle demande l'arrêt immédiat de ces déguerpissements abusifs. Ensuite, elle réclame la mise en place d'un processus de dédommagement équitable pour les victimes impactées. De plus, la SOPA-CI appelle à l'ouverture de négociations transparentes avec les populations concernées.

Appel à la Mobilisation Citoyenne


La SOPA-CI a lancé un appel à la mobilisation de la société civile, des guides religieux, des organisations de défense des droits de l'homme, des ONG et des institutions internationales pour faire front commun contre cette politique destructrice. Elle a également appelé les représentants du peuple, notamment les députés et les maires, à prendre position en faveur des droits de leurs administrés. Enfin, la SOPA-CI a averti qu'en l'absence de mesures satisfaisantes pour les populations déguerpies et menacées, elle prendrait des mesures constitutionnelles pour défendre leurs droits et faire entendre leur voix.

La conférence de presse de la SOPA-CI a mis en lumière une problématique brûlante de la société ivoirienne, mettant en évidence la nécessité d'un respect strict des droits des citoyens et des principes constitutionnels. Alors que le débat sur les déguerpissements fait rage, il est impératif de trouver des solutions équitables et durables pour préserver la dignité et les droits fondamentaux de toutes les personnes affectées. La question demeure : quelles seront les prochaines étapes dans cette lutte pour la justice et l'égalité en Côte d'Ivoire ?

Image de Société. Dans une initiative marquante de mobilisation citoyenne, la Solidarité Panafricaniste Côte d'Ivoire (SOPA-CI), sous la direction de Pulcherie Gbalet, a tenu une conférence de presse le samedi 9 mars à Cocody, exprimant son indignation face à ce qu'elle considère comme une violation flagrante de la Constitution ivoirienne par les autorités. Une Politique de Déguerpissements Condamnée Au cœur de la conférence, Pulcherie Gbalet a mis en lumière les déguerpissements massifs entrepris par le district autonome d'Abidjan depuis le début de l'année 2024. Cette politique a entraîné des conséquences désastreuses pour des milliers de familles, avec des expulsions sans préavis et sans mesures d'accompagnement adéquates. La SOPA-CI, à travers la voix de Pulcherie Gbalet, a fermement condamné le non-respect manifeste des procédures légales et des droits fondamentaux des citoyens. Les déguerpissements ont eu lieu sans aucune information préalable ni mesure d'accompagnement, laissant des milliers de familles dans une situation de détresse et de précarité. Violation de la Constitution Ivoirienne La porte-parole de la SOPA-CI a souligné que cette politique de déguerpissement constitue une violation flagrante de la Constitution ivoirienne ainsi que des normes internationales. Les articles 2, 3, 4, 5, 9, 10, 11, 13 et 58 de la Constitution ont été cités pour illustrer cette violation, mettant en lumière le non-respect du serment du président de la République de protéger les droits et libertés des citoyens. Face à cette situation alarmante, la SOPA-CI a formulé plusieurs exigences claires. Tout d'abord, elle demande l'arrêt immédiat de ces déguerpissements abusifs. Ensuite, elle réclame la mise en place d'un processus de dédommagement équitable pour les victimes impactées. De plus, la SOPA-CI appelle à l'ouverture de négociations transparentes avec les populations concernées. Appel à la Mobilisation Citoyenne La SOPA-CI a lancé un appel à la mobilisation de la société civile, des guides religieux, des organisations de défense des droits de l'homme, des ONG et des institutions internationales pour faire front commun contre cette politique destructrice. Elle a également appelé les représentants du peuple, notamment les députés et les maires, à prendre position en faveur des droits de leurs administrés. Enfin, la SOPA-CI a averti qu'en l'absence de mesures satisfaisantes pour les populations déguerpies et menacées, elle prendrait des mesures constitutionnelles pour défendre leurs droits et faire entendre leur voix. La conférence de presse de la SOPA-CI a mis en lumière une problématique brûlante de la société ivoirienne, mettant en évidence la nécessité d'un respect strict des droits des citoyens et des principes constitutionnels. Alors que le débat sur les déguerpissements fait rage, il est impératif de trouver des solutions équitables et durables pour préserver la dignité et les droits fondamentaux de toutes les personnes affectées. La question demeure : quelles seront les prochaines étapes dans cette lutte pour la justice et l'égalité en Côte d'Ivoire ?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Présidentielle 2025: L'Adp Demande À La CEI De Reporter La Révision Électorale dans Politique le 11 mars à 16:47
La plateforme politique dénommée l'Alliance pour la Démocratie et la Paix (ADP) a récemment tenu une conférence de presse dirigée par son porte-parole, Jacob Mamadou Coulibaly, également président du parti pour l'Intégration Africaine (PIA). L'ADP a saisi cette opportunité pour aborder divers sujets d'actualité, en particulier la révision de la liste électorale, appelant la Commission Électorale Ivoirienne (CEI) à suspendre ce processus. Voici les détails de cette prise de position.

Cycle électoral agité : L'appel à la prudence


Jacob Mamadou Coulibaly a ouvert la conférence en soulignant les tensions qui ont marqué le récent cycle électoral, débuté en 2020 avec l'élection présidentielle et clôturé en 2023 par les élections municipales et régionales. Des contestations, notamment concernant la crédibilité de la liste électorale, ont émaillé cette période. L'ADP estime que la poursuite du processus de révision de la liste électorale sans répondre préalablement à ces préoccupations risque de renforcer les doutes sur la transparence du système électoral.

Face à cette situation, l'ADP recommande une reconstitution de la liste électorale comme solution plus adéquate pour garantir la transparence et la crédibilité des élections. Selon Jacob Mamadou Coulibaly, cette approche permettrait de répondre de manière durable aux contestations liées à la fiabilité de la liste électorale, tout en renforçant le cadre juridique électoral.

Appel à un dialogue politique inclusif


Outre la question de la liste électorale, l'ADP soulève d'autres points restés en suspens lors du dernier cycle électoral, notamment le parrainage, la composition de la CEI et le découpage électoral. Pour favoriser un processus électoral inclusif, transparent et démocratique, l'ADP appelle à une nouvelle phase de dialogue politique. Cette démarche vise à prévenir les tensions et à éviter les erreurs du passé, où les intérêts partisans ont souvent primé sur l'intérêt général.

La position de l'ADP soulève des questions cruciales sur l'avenir du processus électoral en Côte d'Ivoire. Face aux défis persistants en matière de transparence et de crédibilité, quelles mesures la CEI et le gouvernement prendront-ils ? La reconstitution de la liste électorale sera-t-elle sérieusement envisagée ? Et quel rôle jouera le dialogue politique dans la résolution des tensions préélectorales ? Autant d'interrogations qui méritent une réflexion approfondie alors que le pays se prépare pour de nouvelles échéances électorales.

Image de Politique. La plateforme politique dénommée l'Alliance pour la Démocratie et la Paix (ADP) a récemment tenu une conférence de presse dirigée par son porte-parole, Jacob Mamadou Coulibaly, également président du parti pour l'Intégration Africaine (PIA). L'ADP a saisi cette opportunité pour aborder divers sujets d'actualité, en particulier la révision de la liste électorale, appelant la Commission Électorale Ivoirienne (CEI) à suspendre ce processus. Voici les détails de cette prise de position. Cycle électoral agité : L'appel à la prudence Jacob Mamadou Coulibaly a ouvert la conférence en soulignant les tensions qui ont marqué le récent cycle électoral, débuté en 2020 avec l'élection présidentielle et clôturé en 2023 par les élections municipales et régionales. Des contestations, notamment concernant la crédibilité de la liste électorale, ont émaillé cette période. L'ADP estime que la poursuite du processus de révision de la liste électorale sans répondre préalablement à ces préoccupations risque de renforcer les doutes sur la transparence du système électoral. Face à cette situation, l'ADP recommande une reconstitution de la liste électorale comme solution plus adéquate pour garantir la transparence et la crédibilité des élections. Selon Jacob Mamadou Coulibaly, cette approche permettrait de répondre de manière durable aux contestations liées à la fiabilité de la liste électorale, tout en renforçant le cadre juridique électoral. Appel à un dialogue politique inclusif Outre la question de la liste électorale, l'ADP soulève d'autres points restés en suspens lors du dernier cycle électoral, notamment le parrainage, la composition de la CEI et le découpage électoral. Pour favoriser un processus électoral inclusif, transparent et démocratique, l'ADP appelle à une nouvelle phase de dialogue politique. Cette démarche vise à prévenir les tensions et à éviter les erreurs du passé, où les intérêts partisans ont souvent primé sur l'intérêt général. La position de l'ADP soulève des questions cruciales sur l'avenir du processus électoral en Côte d'Ivoire. Face aux défis persistants en matière de transparence et de crédibilité, quelles mesures la CEI et le gouvernement prendront-ils ? La reconstitution de la liste électorale sera-t-elle sérieusement envisagée ? Et quel rôle jouera le dialogue politique dans la résolution des tensions préélectorales ? Autant d'interrogations qui méritent une réflexion approfondie alors que le pays se prépare pour de nouvelles échéances électorales.
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Côte d’Ivoire: Installation De 176 Cantines Dans Les Écoles De Daloa dans Société le 11 mars à 16:32
La région de Daloa, en Côte d'Ivoire, connaît une avancée significative dans le domaine de l'éducation et de la nutrition grâce à l'initiative d'installation de cantines scolaires dans ses écoles primaires publiques. Sous l'impulsion du gouvernement ivoirien et de diverses organisations sociales, 176 écoles sur les 737 que compte la Direction régionale de l'Éducation nationale et de l'Alphabétisation (DRENA) de Daloa ont été équipées de cantines. Ces cantines visent à fournir des repas chauds à midi à un nombre croissant d'élèves, améliorant ainsi leur santé et leur rendement scolaire.

Une vision concrète de l'engagement gouvernemental


La mise en place de ces cantines est le fruit d'une politique gouvernementale volontariste, illustrant l'engagement des autorités en faveur de l'éducation et du bien-être des enfants. Lors d'une visite dans la région, le coordonnateur régional des cantines scolaires, Théophile Boua Bi Kahou, a exposé les statistiques révélatrices de cette avancée. Sur les 284 180 élèves de la DRENA de Daloa, pas moins de 44 145 ont désormais la possibilité de bénéficier d'un repas à la cantine à midi, soit environ 25,53%.

L'introduction de cantines scolaires dans les écoles primaires répond à plusieurs défis majeurs auxquels sont confrontés les élèves ivoiriens. Premièrement, cela permet de garantir un apport nutritionnel adéquat aux enfants, contribuant ainsi à lutter contre la malnutrition et ses effets néfastes sur la santé et le développement intellectuel des jeunes. Deuxièmement, cette initiative vise à encourager la fréquentation scolaire en offrant aux enfants une incitation supplémentaire à assister régulièrement aux cours. En effet, la perspective de recevoir un repas chaud à midi peut être un facteur déterminant pour de nombreux élèves, en particulier ceux issus de milieux défavorisés.

Des exemples concrets de réussite


La visite de la délégation gouvernementale dans les écoles de la sous-préfecture de Gonaté a permis de constater les effets bénéfiques des cantines scolaires sur le terrain. Au groupe scolaire de Bégafla, par exemple, où une cantine est opérationnelle depuis 2002, 575 élèves sur 1 387 bénéficient désormais de repas chauds à midi. Cette cantine, alimentée en partie par le groupement agricole local "Wobè Wognon", parvient à maintenir une offre régulière tout au long de l'année scolaire, y compris pendant les jours de congé gouvernementaux.

Malgré les progrès réalisés, des défis demeurent pour assurer la viabilité à long terme de ces cantines scolaires. L'approvisionnement régulier en nourriture reste un enjeu crucial, nécessitant une coordination efficace entre les autorités locales, les partenaires sociaux et les fournisseurs de produits alimentaires. Le gouvernement, conscient de cette problématique, a pris des mesures pour garantir la continuité de l'approvisionnement, avec notamment la distribution prévue de 19 195 tonnes de vivres dans 5 108 cantines scolaires à travers le pays.

L'expansion des cantines scolaires à Daloa représente une avancée significative dans la quête d'une éducation de qualité et d'une alimentation adéquate pour les enfants ivoiriens. Cependant, pour que ces initiatives continuent à porter leurs fruits, il est essentiel que les efforts se poursuivent en matière de planification, de coordination et de financement. La question demeure : comment garantir la pérennité et l'efficacité des cantines scolaires pour assurer un avenir meilleur aux générations futures ?

Image de Société. La région de Daloa, en Côte d'Ivoire, connaît une avancée significative dans le domaine de l'éducation et de la nutrition grâce à l'initiative d'installation de cantines scolaires dans ses écoles primaires publiques. Sous l'impulsion du gouvernement ivoirien et de diverses organisations sociales, 176 écoles sur les 737 que compte la Direction régionale de l'Éducation nationale et de l'Alphabétisation (DRENA) de Daloa ont été équipées de cantines. Ces cantines visent à fournir des repas chauds à midi à un nombre croissant d'élèves, améliorant ainsi leur santé et leur rendement scolaire. Une vision concrète de l'engagement gouvernemental La mise en place de ces cantines est le fruit d'une politique gouvernementale volontariste, illustrant l'engagement des autorités en faveur de l'éducation et du bien-être des enfants. Lors d'une visite dans la région, le coordonnateur régional des cantines scolaires, Théophile Boua Bi Kahou, a exposé les statistiques révélatrices de cette avancée. Sur les 284 180 élèves de la DRENA de Daloa, pas moins de 44 145 ont désormais la possibilité de bénéficier d'un repas à la cantine à midi, soit environ 25,53%. L'introduction de cantines scolaires dans les écoles primaires répond à plusieurs défis majeurs auxquels sont confrontés les élèves ivoiriens. Premièrement, cela permet de garantir un apport nutritionnel adéquat aux enfants, contribuant ainsi à lutter contre la malnutrition et ses effets néfastes sur la santé et le développement intellectuel des jeunes. Deuxièmement, cette initiative vise à encourager la fréquentation scolaire en offrant aux enfants une incitation supplémentaire à assister régulièrement aux cours. En effet, la perspective de recevoir un repas chaud à midi peut être un facteur déterminant pour de nombreux élèves, en particulier ceux issus de milieux défavorisés. Des exemples concrets de réussite La visite de la délégation gouvernementale dans les écoles de la sous-préfecture de Gonaté a permis de constater les effets bénéfiques des cantines scolaires sur le terrain. Au groupe scolaire de Bégafla, par exemple, où une cantine est opérationnelle depuis 2002, 575 élèves sur 1 387 bénéficient désormais de repas chauds à midi. Cette cantine, alimentée en partie par le groupement agricole local "Wobè Wognon", parvient à maintenir une offre régulière tout au long de l'année scolaire, y compris pendant les jours de congé gouvernementaux. Malgré les progrès réalisés, des défis demeurent pour assurer la viabilité à long terme de ces cantines scolaires. L'approvisionnement régulier en nourriture reste un enjeu crucial, nécessitant une coordination efficace entre les autorités locales, les partenaires sociaux et les fournisseurs de produits alimentaires. Le gouvernement, conscient de cette problématique, a pris des mesures pour garantir la continuité de l'approvisionnement, avec notamment la distribution prévue de 19 195 tonnes de vivres dans 5 108 cantines scolaires à travers le pays. L'expansion des cantines scolaires à Daloa représente une avancée significative dans la quête d'une éducation de qualité et d'une alimentation adéquate pour les enfants ivoiriens. Cependant, pour que ces initiatives continuent à porter leurs fruits, il est essentiel que les efforts se poursuivent en matière de planification, de coordination et de financement. La question demeure : comment garantir la pérennité et l'efficacité des cantines scolaires pour assurer un avenir meilleur aux générations futures ?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Côte d'Ivoire: Absence De 3 Champions d'Afrique Pour La Journée FIFA dans Football le 11 mars à 16:23
Les prochaines rencontres internationales de football de la Côte d'Ivoire s'annoncent sans certains de ses meilleurs éléments. En effet, le sélectionneur national, Emerse Faé, a dévoilé la liste des joueurs convoqués pour les matchs à venir contre le Bénin et l'Uruguay, lors des journées FIFA de mars 2024. Trois noms manquent à l'appel, et pas des moindres, puisqu'il s'agit de Serge Aurier, Sébastien Haller et Christian Kouamé, tous trois vainqueurs de la Coupe d'Afrique des Nations en 2023.

Des joueurs clés absents pour cause de blessure


La décision de se passer de ces trois joueurs n'est pas anodine. Selon Emerse Faé, ces absences sont motivées par des problèmes physiques. Serge Aurier et Christian Kouamé, en phase de récupération après des blessures, ne sont pas encore en mesure de reprendre la compétition à ce stade. Quant à Sébastien Haller, sa présence est compromise en raison d'une blessure qui le tient éloigné des terrains.

Le sélectionneur national a justifié ces choix en affirmant : "Comme vous pouvez le constater, on a pris la décision, avec le staff, de repartir avec les champions d’Afrique. À l’exception de Sébastien Haller, qui est blessé, de Christian Kouamé, qui revient d’un palu, et de Serge Aurier, qui revient de blessure aussi, tous les champions d’Afrique sont présents." Ces décisions visent à composer une équipe compétitive pour affronter des adversaires redoutables lors de ces journées FIFA.

L'arrivée de nouveaux visages dans l'équipe


Malgré ces absences, Emerse Faé a également introduit du sang neuf dans l'équipe. Guela Doué, joueur du Stade Rennais en France, a été convoqué pour la première fois en équipe nationale. Cette sélection marque une étape importante dans la carrière du jeune défenseur, qui aura l'opportunité de représenter son pays au plus haut niveau.

Ces absences laissent planer une certaine incertitude quant à la capacité de l'équipe nationale ivoirienne à rivaliser avec ses adversaires lors des prochains matchs. Affronter le Bénin et l'Uruguay sans trois joueurs clés représente un défi de taille pour les Éléphants. Toutefois, cela offre également l'occasion à de nouveaux talents de se faire remarquer et de saisir leur chance de briller sur la scène internationale. Comment l'équipe nationale ivoirienne surmontera-t-elle ces obstacles pour continuer à performer au plus haut niveau ?

Image de Football. Les prochaines rencontres internationales de football de la Côte d'Ivoire s'annoncent sans certains de ses meilleurs éléments. En effet, le sélectionneur national, Emerse Faé, a dévoilé la liste des joueurs convoqués pour les matchs à venir contre le Bénin et l'Uruguay, lors des journées FIFA de mars 2024. Trois noms manquent à l'appel, et pas des moindres, puisqu'il s'agit de Serge Aurier, Sébastien Haller et Christian Kouamé, tous trois vainqueurs de la Coupe d'Afrique des Nations en 2023. Des joueurs clés absents pour cause de blessure La décision de se passer de ces trois joueurs n'est pas anodine. Selon Emerse Faé, ces absences sont motivées par des problèmes physiques. Serge Aurier et Christian Kouamé, en phase de récupération après des blessures, ne sont pas encore en mesure de reprendre la compétition à ce stade. Quant à Sébastien Haller, sa présence est compromise en raison d'une blessure qui le tient éloigné des terrains. Le sélectionneur national a justifié ces choix en affirmant : "Comme vous pouvez le constater, on a pris la décision, avec le staff, de repartir avec les champions d’Afrique. À l’exception de Sébastien Haller, qui est blessé, de Christian Kouamé, qui revient d’un palu, et de Serge Aurier, qui revient de blessure aussi, tous les champions d’Afrique sont présents." Ces décisions visent à composer une équipe compétitive pour affronter des adversaires redoutables lors de ces journées FIFA. L'arrivée de nouveaux visages dans l'équipe Malgré ces absences, Emerse Faé a également introduit du sang neuf dans l'équipe. Guela Doué, joueur du Stade Rennais en France, a été convoqué pour la première fois en équipe nationale. Cette sélection marque une étape importante dans la carrière du jeune défenseur, qui aura l'opportunité de représenter son pays au plus haut niveau. Ces absences laissent planer une certaine incertitude quant à la capacité de l'équipe nationale ivoirienne à rivaliser avec ses adversaires lors des prochains matchs. Affronter le Bénin et l'Uruguay sans trois joueurs clés représente un défi de taille pour les Éléphants. Toutefois, cela offre également l'occasion à de nouveaux talents de se faire remarquer et de saisir leur chance de briller sur la scène internationale. Comment l'équipe nationale ivoirienne surmontera-t-elle ces obstacles pour continuer à performer au plus haut niveau ?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Scandale Au Mariage De Safarel Obiang En Côte d'Ivoire dans Célébrités le 11 mars à 16:18
À peine les festivités du mariage de Safarel Obiang, icône du coupé-décalé en Côte d'Ivoire, se sont-elles achevées que le chanteur se retrouve au centre d'un scandale retentissant. Alors qu'il savourait sa lune de miel avec sa nouvelle épouse, Aïcha, une accusation fracassante a émergé sur les réseaux sociaux, jetant une ombre sur son bonheur fraîchement scellé.

Les révélations explosives sur TikTok


Une jeune fille, utilisant la plateforme TikTok comme tribune, a publiquement accusé Safarel Obiang d'avoir trompé sa grande sœur, qui réside aux États-Unis, en lui promettant le mariage. Dans ses déclarations, elle expose les agissements du chanteur, décrivant comment il aurait noué une relation avec sa sœur dès le début de l'année 2023, alors même qu'elle vivait outre-Atlantique.

Selon les dires de la jeune femme, Safarel Obiang aurait entretenu une relation avec sa sœur, faisant des projets d'avenir avec elle et laissant entendre qu'ils se marieraient. Pourtant, en coulisses, le chanteur aurait préparé son mariage avec Aïcha, sans que sa sœur ne soit au courant. Le coup de grâce aurait été porté lorsque Safarel a accompagné sa sœur à l'aéroport pour son retour aux États-Unis, avant de se précipiter pour épouser Aïcha dès le lendemain matin.

Le silence de Safarel Obiang face aux accusations


À ce stade, Safarel Obiang, alias Gooré Bastien Junior, n'a pas encore réagi aux accusations portées contre lui. Son silence sur cette affaire a laissé place à une vague de réactions sur les réseaux sociaux, alimentant la controverse et la spéculation quant à la véracité des allégations. Pendant que certains internautes expriment leur soutien à la jeune fille et condamnent les actions présumées du chanteur, d'autres adoptent une position plus nuancée, mettant en doute les motivations derrière ces révélations publiques.

Les réactions sur les réseaux sociaux ne se sont pas fait attendre, et elles sont variées. Certains internautes expriment leur indignation face à la conduite présumée de Safarel Obiang, condamnant son comportement jugé déloyal envers sa compagne américaine. D'autres, en revanche, prennent la défense du chanteur, arguant que les relations sentimentales peuvent être complexes et que les décisions prises par Safarel sont le fruit de circonstances particulières.

Quelles conséquences pour Safarel Obiang ?


Alors que l'affaire continue de faire le tour des réseaux sociaux, la question qui se pose est de savoir quelles seront les conséquences pour Safarel Obiang, tant sur le plan personnel que professionnel. Si les accusations s'avèrent être fondées, cela pourrait entacher la réputation du chanteur et compromettre ses relations avec ses fans et le public en général. Cependant, en l'absence de déclarations officielles de la part de Safarel Obiang, il est difficile de tirer des conclusions définitives.

Au-delà du cas spécifique de Safarel Obiang, cette affaire soulève des questions plus larges sur les relations amoureuses à l'ère des réseaux sociaux. La possibilité pour quiconque de partager publiquement des histoires personnelles sur les plateformes numériques met en lumière les défis et les dilemmes auxquels sont confrontées les personnes impliquées dans des relations sentimentales, ainsi que la façon dont ces histoires sont perçues et jugées par le public.

Image de Célébrités. À peine les festivités du mariage de Safarel Obiang, icône du coupé-décalé en Côte d'Ivoire, se sont-elles achevées que le chanteur se retrouve au centre d'un scandale retentissant. Alors qu'il savourait sa lune de miel avec sa nouvelle épouse, Aïcha, une accusation fracassante a émergé sur les réseaux sociaux, jetant une ombre sur son bonheur fraîchement scellé. Les révélations explosives sur TikTok Une jeune fille, utilisant la plateforme TikTok comme tribune, a publiquement accusé Safarel Obiang d'avoir trompé sa grande sœur, qui réside aux États-Unis, en lui promettant le mariage. Dans ses déclarations, elle expose les agissements du chanteur, décrivant comment il aurait noué une relation avec sa sœur dès le début de l'année 2023, alors même qu'elle vivait outre-Atlantique. Selon les dires de la jeune femme, Safarel Obiang aurait entretenu une relation avec sa sœur, faisant des projets d'avenir avec elle et laissant entendre qu'ils se marieraient. Pourtant, en coulisses, le chanteur aurait préparé son mariage avec Aïcha, sans que sa sœur ne soit au courant. Le coup de grâce aurait été porté lorsque Safarel a accompagné sa sœur à l'aéroport pour son retour aux États-Unis, avant de se précipiter pour épouser Aïcha dès le lendemain matin. Le silence de Safarel Obiang face aux accusations À ce stade, Safarel Obiang, alias Gooré Bastien Junior, n'a pas encore réagi aux accusations portées contre lui. Son silence sur cette affaire a laissé place à une vague de réactions sur les réseaux sociaux, alimentant la controverse et la spéculation quant à la véracité des allégations. Pendant que certains internautes expriment leur soutien à la jeune fille et condamnent les actions présumées du chanteur, d'autres adoptent une position plus nuancée, mettant en doute les motivations derrière ces révélations publiques. Les réactions sur les réseaux sociaux ne se sont pas fait attendre, et elles sont variées. Certains internautes expriment leur indignation face à la conduite présumée de Safarel Obiang, condamnant son comportement jugé déloyal envers sa compagne américaine. D'autres, en revanche, prennent la défense du chanteur, arguant que les relations sentimentales peuvent être complexes et que les décisions prises par Safarel sont le fruit de circonstances particulières. Quelles conséquences pour Safarel Obiang ? Alors que l'affaire continue de faire le tour des réseaux sociaux, la question qui se pose est de savoir quelles seront les conséquences pour Safarel Obiang, tant sur le plan personnel que professionnel. Si les accusations s'avèrent être fondées, cela pourrait entacher la réputation du chanteur et compromettre ses relations avec ses fans et le public en général. Cependant, en l'absence de déclarations officielles de la part de Safarel Obiang, il est difficile de tirer des conclusions définitives. Au-delà du cas spécifique de Safarel Obiang, cette affaire soulève des questions plus larges sur les relations amoureuses à l'ère des réseaux sociaux. La possibilité pour quiconque de partager publiquement des histoires personnelles sur les plateformes numériques met en lumière les défis et les dilemmes auxquels sont confrontées les personnes impliquées dans des relations sentimentales, ainsi que la façon dont ces histoires sont perçues et jugées par le public.
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Safarel Obiang Et Aïcha Traoré Unis Pour Le Meilleur Et Pour Le Pire dans Célébrités le 11 mars à 16:10
Ce samedi 9 Mars 2024, Safarel Obiang, figure emblématique de la musique coupé-décalé, a décidé de franchir le pas et de s'unir pour la vie avec sa compagne, Aïcha Traoré. La cérémonie, entourée de proches et d'amis, a été un moment de célébration et de joie pour le célèbre artiste, révélant les raisons de son absence récente sur la scène publique.

Les raisons du silence de Safarel Obiang


Depuis quelque temps, le public se demandait ce qui avait motivé le silence de Safarel Obiang et son absence des feux de la rampe. La réponse est désormais claire : le chanteur était plongé dans les préparatifs de son mariage. Gooré Bastien Junior, de son vrai nom, avait en effet entrepris les démarches pour unir sa destinée à celle de sa bien-aimée, Aïcha Traoré.

La célébration de l'amour entre Safarel Obiang et Aïcha Traoré s'est déroulée en deux temps. D'abord, une cérémonie traditionnelle, qui a eu lieu le jeudi 7 mars, a été suivie de près par la cérémonie civile, organisée le samedi 9 mars à la mairie de Cocody. Cette journée spéciale a également été marquée par une petite cérémonie privée de port des alliances, suivie d'une réception grandiose dans la prestigieuse salle du Latrille Event.

Une fête mémorable avec la présence d'artistes renommés


La réception du mariage de Safarel Obiang et d'Aïcha Traoré a été un événement inoubliable, animé par la présence de plusieurs artistes de renom. Roseline Layo, le Molare, Ariel Sheney, Yodé et Siro, Didi Yeman, Kerozen, AB le Superman, et bien d'autres encore ont honoré de leur présence ce moment unique dans la vie du couple Gooré. Leurs performances musicales ont ajouté une touche de magie à cette journée déjà exceptionnelle.

Pour cette occasion spéciale, Safarel Obiang et Aïcha Traoré ont été sublimés par les talents des stylistes ivoiriens Niamien Couture et Lévy Tano. Le couple a brillé de mille feux, incarnant l'élégance et la classe sous les projecteurs de cette célébration d'amour.

Maintenant que les festivités du mariage sont terminées, une question se pose : quel sera le prochain chapitre de la carrière musicale de Safarel Obiang ? Après cette pause bien méritée pour célébrer son union avec Aïcha Traoré, les fans attendent avec impatience de découvrir ce que le chanteur réserve pour la suite de son parcours artistique. Une chose est certaine : le mariage de Safarel Obiang marque le début d'un nouveau chapitre, à la fois personnel et professionnel, dans la vie de ce talentueux artiste ivoirien.

Image de Célébrités. Ce samedi 9 Mars 2024, Safarel Obiang, figure emblématique de la musique coupé-décalé, a décidé de franchir le pas et de s'unir pour la vie avec sa compagne, Aïcha Traoré. La cérémonie, entourée de proches et d'amis, a été un moment de célébration et de joie pour le célèbre artiste, révélant les raisons de son absence récente sur la scène publique. Les raisons du silence de Safarel Obiang Depuis quelque temps, le public se demandait ce qui avait motivé le silence de Safarel Obiang et son absence des feux de la rampe. La réponse est désormais claire : le chanteur était plongé dans les préparatifs de son mariage. Gooré Bastien Junior, de son vrai nom, avait en effet entrepris les démarches pour unir sa destinée à celle de sa bien-aimée, Aïcha Traoré. La célébration de l'amour entre Safarel Obiang et Aïcha Traoré s'est déroulée en deux temps. D'abord, une cérémonie traditionnelle, qui a eu lieu le jeudi 7 mars, a été suivie de près par la cérémonie civile, organisée le samedi 9 mars à la mairie de Cocody. Cette journée spéciale a également été marquée par une petite cérémonie privée de port des alliances, suivie d'une réception grandiose dans la prestigieuse salle du Latrille Event. Une fête mémorable avec la présence d'artistes renommés La réception du mariage de Safarel Obiang et d'Aïcha Traoré a été un événement inoubliable, animé par la présence de plusieurs artistes de renom. Roseline Layo, le Molare, Ariel Sheney, Yodé et Siro, Didi Yeman, Kerozen, AB le Superman, et bien d'autres encore ont honoré de leur présence ce moment unique dans la vie du couple Gooré. Leurs performances musicales ont ajouté une touche de magie à cette journée déjà exceptionnelle. Pour cette occasion spéciale, Safarel Obiang et Aïcha Traoré ont été sublimés par les talents des stylistes ivoiriens Niamien Couture et Lévy Tano. Le couple a brillé de mille feux, incarnant l'élégance et la classe sous les projecteurs de cette célébration d'amour. Maintenant que les festivités du mariage sont terminées, une question se pose : quel sera le prochain chapitre de la carrière musicale de Safarel Obiang ? Après cette pause bien méritée pour célébrer son union avec Aïcha Traoré, les fans attendent avec impatience de découvrir ce que le chanteur réserve pour la suite de son parcours artistique. Une chose est certaine : le mariage de Safarel Obiang marque le début d'un nouveau chapitre, à la fois personnel et professionnel, dans la vie de ce talentueux artiste ivoirien.
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Mylène Djihony Échoue Aux Portes Du Top 40 De Miss Monde 2024 dans Beauté/Mode le 11 mars à 16:01
La 71ème édition de Miss Monde 2024, qui s'est déroulée le samedi 9 mars au Jio World Convention Center de Mumbai, en Inde, a été le théâtre de nombreux espoirs et de quelques déceptions. Parmi les 112 reines de beauté venues de différents pays, la Côte d'Ivoire était représentée par Mylène Djihony, Miss CI 2023. Malheureusement, malgré les attentes et les encouragements, la jeune ivoirienne n'a pas réussi à atteindre le Top 40 de la compétition, laissant le pays sans titre à ramener à la maison.

Une compétition féroce et des défis de taille


L'échec de Mylène Djihony à se hisser parmi les meilleures lors de Miss Monde 2024 peut être attribué en partie à la féroce compétition à laquelle elle a été confrontée. Avec des représentantes du monde entier rivalisant pour le titre prestigieux, chaque étape du concours était un défi de taille. Malheureusement, la chance n'a pas semblé sourire à l'ivoirienne, qui a rencontré des difficultés dès le début de la compétition, échouant à plusieurs challenges et ne parvenant pas à se qualifier pour le Top 40.

Malgré cette déception, Mylène Djihony a pu compter sur le soutien indéfectible de ses fans et de ses compatriotes ivoiriens. Sur sa page Facebook, le lendemain de la finale, elle a exprimé sa gratitude envers ceux qui l'ont soutenue tout au long de son parcours. Sa déclaration concise mais émouvante - "Merci pour tout" - témoigne de sa reconnaissance envers ceux qui ont cru en elle et l'ont encouragée, même dans les moments difficiles.

La représentation africaine à Miss Monde 2024


Malgré la déception de Mylène Djihony, la présence africaine à Miss Monde 2024 a été notable. Des Miss venues de différents pays africains ont réussi à franchir les étapes initiales et à se hisser dans le Top 40 de la compétition. Parmi elles, Lesego Chombo, la représentante du Botswana, a particulièrement brillé en remportant la troisième place de la compétition, marquant ainsi un honneur pour toute l'Afrique. Sa performance exceptionnelle vient renforcer la réputation de l'Afrique dans les concours de beauté internationaux et inspire de nombreuses jeunes filles à travers le continent.

Alors que Mylène Djihony rentre chez elle après une expérience mitigée à Miss Monde 2024, une question reste en suspens : quel sera son prochain chapitre, et celui de la Côte d'Ivoire, dans les concours de beauté internationaux ? Malgré les obstacles rencontrés cette année, la détermination et le talent de Mylène Djihony pourraient lui ouvrir de nouvelles portes dans le monde du mannequinat et du divertissement. Quant à la Côte d'Ivoire, le pays continue de nourrir de nouveaux espoirs et de former de jeunes talents qui pourraient briller sur la scène internationale à l'avenir.

Image de Beauté/Mode. La 71ème édition de Miss Monde 2024, qui s'est déroulée le samedi 9 mars au Jio World Convention Center de Mumbai, en Inde, a été le théâtre de nombreux espoirs et de quelques déceptions. Parmi les 112 reines de beauté venues de différents pays, la Côte d'Ivoire était représentée par Mylène Djihony, Miss CI 2023. Malheureusement, malgré les attentes et les encouragements, la jeune ivoirienne n'a pas réussi à atteindre le Top 40 de la compétition, laissant le pays sans titre à ramener à la maison. Une compétition féroce et des défis de taille L'échec de Mylène Djihony à se hisser parmi les meilleures lors de Miss Monde 2024 peut être attribué en partie à la féroce compétition à laquelle elle a été confrontée. Avec des représentantes du monde entier rivalisant pour le titre prestigieux, chaque étape du concours était un défi de taille. Malheureusement, la chance n'a pas semblé sourire à l'ivoirienne, qui a rencontré des difficultés dès le début de la compétition, échouant à plusieurs challenges et ne parvenant pas à se qualifier pour le Top 40. Malgré cette déception, Mylène Djihony a pu compter sur le soutien indéfectible de ses fans et de ses compatriotes ivoiriens. Sur sa page Facebook, le lendemain de la finale, elle a exprimé sa gratitude envers ceux qui l'ont soutenue tout au long de son parcours. Sa déclaration concise mais émouvante - "Merci pour tout" - témoigne de sa reconnaissance envers ceux qui ont cru en elle et l'ont encouragée, même dans les moments difficiles. La représentation africaine à Miss Monde 2024 Malgré la déception de Mylène Djihony, la présence africaine à Miss Monde 2024 a été notable. Des Miss venues de différents pays africains ont réussi à franchir les étapes initiales et à se hisser dans le Top 40 de la compétition. Parmi elles, Lesego Chombo, la représentante du Botswana, a particulièrement brillé en remportant la troisième place de la compétition, marquant ainsi un honneur pour toute l'Afrique. Sa performance exceptionnelle vient renforcer la réputation de l'Afrique dans les concours de beauté internationaux et inspire de nombreuses jeunes filles à travers le continent. Alors que Mylène Djihony rentre chez elle après une expérience mitigée à Miss Monde 2024, une question reste en suspens : quel sera son prochain chapitre, et celui de la Côte d'Ivoire, dans les concours de beauté internationaux ? Malgré les obstacles rencontrés cette année, la détermination et le talent de Mylène Djihony pourraient lui ouvrir de nouvelles portes dans le monde du mannequinat et du divertissement. Quant à la Côte d'Ivoire, le pays continue de nourrir de nouveaux espoirs et de former de jeunes talents qui pourraient briller sur la scène internationale à l'avenir.
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Côte d’Ivoire: Emma Lohoues Et Son Nez Alimentent Le Débat En Ligne dans Célébrités le 11 mars à 15:09
Dans l'univers impitoyable des réseaux sociaux, aucune célébrité n'échappe à la critique, et Emma Lohoues, célèbre influenceuse ivoirienne, en sait quelque chose. Régulièrement sous le feu des projecteurs numériques, cette fois-ci, c'est son nez qui fait l'objet de débats enflammés. Des internautes, scrutant chaque détail de son visage, affirment que la star aurait eu recours à la chirurgie esthétique pour modifier son apparence nasale. Mais qu'en est-il réellement ? Décryptage d'une controverse qui agite la toile.

Les accusations et les réponses d'Emma Lohoues


Depuis la publication d'une photo de l'influenceuse camerounaise, Coco Emilia, sur la plateforme Peupah Zouzoua, accompagnée du commentaire "La photo de sa meilleure amie en commentaire", une avalanche de spéculations a déferlé sur Emma Lohoues. En effet, une autre photo, celle du regretté Michael Jackson, est également partagée par la même internaute. Ces images juxtaposées ont alimenté les rumeurs selon lesquelles Emma Lohoues aurait subi une rhinoplastie, à l'instar de la légende de la musique américaine.

Dans une vidéo diffusée précédemment sur une plateforme en ligne, Emma Lohoues avait pourtant évoqué sa transformation physique, notamment sa perte de poids, qu'elle présentait comme un choix personnel visant à adopter un mode de vie plus sain. Elle expliquait alors avoir perdu 22 kg, passant de 90 kg à 68 kg. Cependant, cette justification n'a pas suffi à étouffer les spéculations sur une éventuelle intervention chirurgicale.

L'effet du maquillage et les illusions d'optique


Face à l'ampleur de la controverse, certains défenseurs d'Emma Lohoues avancent l'hypothèse selon laquelle l'effet du maquillage pourrait expliquer l'apparence modifiée de son nez. En effet, le maquillage peut jouer sur les ombres et les lumières pour affiner visuellement les traits du visage, y compris le nez. Cette technique, largement utilisée dans l'industrie du divertissement et du mannequinat, pourrait expliquer une partie des changements perçus par les internautes.

Cependant, cette explication ne suffit pas à convaincre tous les observateurs, qui persistent à soupçonner une intervention chirurgicale. Certains affirment même que les photos publiées par Emma Lohoues sur ses réseaux sociaux semblent confirmer cette hypothèse, bien que l'art du maquillage puisse également jouer un rôle dans la transformation de son apparence.


https://www.youtube.com/watch?v=vq5e4csqS4Y

Les précédentes polémiques et la culture de la critique en ligne


Emma Lohoues n'en est pas à sa première controverse sur les réseaux sociaux. En effet, la célébrité ivoirienne est régulièrement la cible de critiques concernant divers aspects de son apparence physique. Que ce soit ses fesses, son visage ou d'autres parties de son corps, rien n'échappe à l'œil acéré des internautes, souvent prompts à commenter et à juger chaque détail.

Cette culture de la critique en ligne, amplifiée par l'anonymat et la viralité des réseaux sociaux, soulève des questions sur les normes de beauté et les pressions sociales auxquelles sont confrontées les personnalités publiques, en particulier celles évoluant dans l'industrie du divertissement et de la mode. Si les réseaux sociaux offrent une plateforme d'expression et de partage sans précédent, ils sont également le terreau fertile de la haine et du cyberharcèlement, rappelant ainsi la nécessité d'une utilisation responsable et bienveillante de ces plateformes.

Alors que la polémique autour du nez d'Emma Lohoues continue de diviser les internautes, une question demeure : la célébrité ivoirienne a-t-elle vraiment eu recours à la chirurgie esthétique pour modifier son apparence nasale, ou s'agit-il simplement d'une illusion d'optique causée par le maquillage et les jeux de lumière ? Face à cette controverse, une chose est sûre : les réseaux sociaux sont le théâtre d'une guerre sans merci où la vérité se perd parfois dans les méandres de la virtualité.

Deuxième Image de Célébrités. Dans l'univers impitoyable des réseaux sociaux, aucune célébrité n'échappe à la critique, et Emma Lohoues, célèbre influenceuse ivoirienne, en sait quelque chose. Régulièrement sous le feu des projecteurs numériques, cette fois-ci, c'est son nez qui fait l'objet de débats enflammés. Des internautes, scrutant chaque détail de son visage, affirment que la star aurait eu recours à la chirurgie esthétique pour modifier son apparence nasale. Mais qu'en est-il réellement ? Décryptage d'une controverse qui agite la toile. Les accusations et les réponses d'Emma Lohoues Depuis la publication d'une photo de l'influenceuse camerounaise, Coco Emilia, sur la plateforme Peupah Zouzoua, accompagnée du commentaire "La photo de sa meilleure amie en commentaire", une avalanche de spéculations a déferlé sur Emma Lohoues. En effet, une autre photo, celle du regretté Michael Jackson, est également partagée par la même internaute. Ces images juxtaposées ont alimenté les rumeurs selon lesquelles Emma Lohoues aurait subi une rhinoplastie, à l'instar de la légende de la musique américaine. Dans une vidéo diffusée précédemment sur une plateforme en ligne, Emma Lohoues avait pourtant évoqué sa transformation physique, notamment sa perte de poids, qu'elle présentait comme un choix personnel visant à adopter un mode de vie plus sain. Elle expliquait alors avoir perdu 22 kg, passant de 90 kg à 68 kg. Cependant, cette justification n'a pas suffi à étouffer les spéculations sur une éventuelle intervention chirurgicale. L'effet du maquillage et les illusions d'optique Face à l'ampleur de la controverse, certains défenseurs d'Emma Lohoues avancent l'hypothèse selon laquelle l'effet du maquillage pourrait expliquer l'apparence modifiée de son nez. En effet, le maquillage peut jouer sur les ombres et les lumières pour affiner visuellement les traits du visage, y compris le nez. Cette technique, largement utilisée dans l'industrie du divertissement et du mannequinat, pourrait expliquer une partie des changements perçus par les internautes. Cependant, cette explication ne suffit pas à convaincre tous les observateurs, qui persistent à soupçonner une intervention chirurgicale. Certains affirment même que les photos publiées par Emma Lohoues sur ses réseaux sociaux semblent confirmer cette hypothèse, bien que l'art du maquillage puisse également jouer un rôle dans la transformation de son apparence. Les précédentes polémiques et la culture de la critique en ligne Emma Lohoues n'en est pas à sa première controverse sur les réseaux sociaux. En effet, la célébrité ivoirienne est régulièrement la cible de critiques concernant divers aspects de son apparence physique. Que ce soit ses fesses, son visage ou d'autres parties de son corps, rien n'échappe à l'œil acéré des internautes, souvent prompts à commenter et à juger chaque détail. Cette culture de la critique en ligne, amplifiée par l'anonymat et la viralité des réseaux sociaux, soulève des questions sur les normes de beauté et les pressions sociales auxquelles sont confrontées les personnalités publiques, en particulier celles évoluant dans l'industrie du divertissement et de la mode. Si les réseaux sociaux offrent une plateforme d'expression et de partage sans précédent, ils sont également le terreau fertile de la haine et du cyberharcèlement, rappelant ainsi la nécessité d'une utilisation responsable et bienveillante de ces plateformes. Alors que la polémique autour du nez d'Emma Lohoues continue de diviser les internautes, une question demeure : la célébrité ivoirienne a-t-elle vraiment eu recours à la chirurgie esthétique pour modifier son apparence nasale, ou s'agit-il simplement d'une illusion d'optique causée par le maquillage et les jeux de lumière ? Face à cette controverse, une chose est sûre : les réseaux sociaux sont le théâtre d'une guerre sans merci où la vérité se perd parfois dans les méandres de la virtualité.

Troisième Image de Célébrités. Dans l'univers impitoyable des réseaux sociaux, aucune célébrité n'échappe à la critique, et Emma Lohoues, célèbre influenceuse ivoirienne, en sait quelque chose. Régulièrement sous le feu des projecteurs numériques, cette fois-ci, c'est son nez qui fait l'objet de débats enflammés. Des internautes, scrutant chaque détail de son visage, affirment que la star aurait eu recours à la chirurgie esthétique pour modifier son apparence nasale. Mais qu'en est-il réellement ? Décryptage d'une controverse qui agite la toile. Les accusations et les réponses d'Emma Lohoues Depuis la publication d'une photo de l'influenceuse camerounaise, Coco Emilia, sur la plateforme Peupah Zouzoua, accompagnée du commentaire "La photo de sa meilleure amie en commentaire", une avalanche de spéculations a déferlé sur Emma Lohoues. En effet, une autre photo, celle du regretté Michael Jackson, est également partagée par la même internaute. Ces images juxtaposées ont alimenté les rumeurs selon lesquelles Emma Lohoues aurait subi une rhinoplastie, à l'instar de la légende de la musique américaine. Dans une vidéo diffusée précédemment sur une plateforme en ligne, Emma Lohoues avait pourtant évoqué sa transformation physique, notamment sa perte de poids, qu'elle présentait comme un choix personnel visant à adopter un mode de vie plus sain. Elle expliquait alors avoir perdu 22 kg, passant de 90 kg à 68 kg. Cependant, cette justification n'a pas suffi à étouffer les spéculations sur une éventuelle intervention chirurgicale. L'effet du maquillage et les illusions d'optique Face à l'ampleur de la controverse, certains défenseurs d'Emma Lohoues avancent l'hypothèse selon laquelle l'effet du maquillage pourrait expliquer l'apparence modifiée de son nez. En effet, le maquillage peut jouer sur les ombres et les lumières pour affiner visuellement les traits du visage, y compris le nez. Cette technique, largement utilisée dans l'industrie du divertissement et du mannequinat, pourrait expliquer une partie des changements perçus par les internautes. Cependant, cette explication ne suffit pas à convaincre tous les observateurs, qui persistent à soupçonner une intervention chirurgicale. Certains affirment même que les photos publiées par Emma Lohoues sur ses réseaux sociaux semblent confirmer cette hypothèse, bien que l'art du maquillage puisse également jouer un rôle dans la transformation de son apparence. Les précédentes polémiques et la culture de la critique en ligne Emma Lohoues n'en est pas à sa première controverse sur les réseaux sociaux. En effet, la célébrité ivoirienne est régulièrement la cible de critiques concernant divers aspects de son apparence physique. Que ce soit ses fesses, son visage ou d'autres parties de son corps, rien n'échappe à l'œil acéré des internautes, souvent prompts à commenter et à juger chaque détail. Cette culture de la critique en ligne, amplifiée par l'anonymat et la viralité des réseaux sociaux, soulève des questions sur les normes de beauté et les pressions sociales auxquelles sont confrontées les personnalités publiques, en particulier celles évoluant dans l'industrie du divertissement et de la mode. Si les réseaux sociaux offrent une plateforme d'expression et de partage sans précédent, ils sont également le terreau fertile de la haine et du cyberharcèlement, rappelant ainsi la nécessité d'une utilisation responsable et bienveillante de ces plateformes. Alors que la polémique autour du nez d'Emma Lohoues continue de diviser les internautes, une question demeure : la célébrité ivoirienne a-t-elle vraiment eu recours à la chirurgie esthétique pour modifier son apparence nasale, ou s'agit-il simplement d'une illusion d'optique causée par le maquillage et les jeux de lumière ? Face à cette controverse, une chose est sûre : les réseaux sociaux sont le théâtre d'une guerre sans merci où la vérité se perd parfois dans les méandres de la virtualité.
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Biographie De Digbeu Cravate, L'Icône De l'Humour Ivoirien dans Célébrités le 11 mars à 14:06
Dans le riche paysage artistique de la Côte d'Ivoire, Digbeu Cravate, de son nom de naissance Zouho Bla Michel, brille tel un astre dans l'univers de l'humour. Né le 7 janvier 1969 dans la chaleur de l'ouest ivoirien, il a su conquérir le cœur de milliers de spectateurs à travers ses performances tant sur les planches que sur les écrans. Plongeons dans le parcours fascinant de cet artiste hors du commun, à la fois acteur, humoriste et personnalité marquante de la scène culturelle ivoirienne.

Un parcours atypique


Originaire de l'ethnie Yacouba, Digbeu Cravate, malgré ses racines, incarne avec brio le personnage fictif d'un Bété, démontrant ainsi sa versatilité artistique. Cette capacité à incarner des rôles variés et à transcender les frontières ethniques dans ses performances contribue à son immense popularité auprès du public.

Issu du théâtre, il a rapidement gravi les échelons pour s'illustrer également dans le domaine cinématographique. Sa participation à des séries télévisées emblématiques telles que "Ma famille" diffusée sur RTI et Canal+, ainsi que ses apparitions dans des émissions comiques comme "Le Parlement du rire" sur Canal+, ont solidifié sa réputation d'humoriste hors pair.

Un talent polyvalent


La filmographie de Digbeu Cravate témoigne de son engagement et de son talent. De son rôle dans "Bienvenue au Gondwana" en 2016 à ses prestations dans "Ma grande famille" en 2020, en passant par des œuvres telles que "Lago le terrible", il a su diversifier ses performances, naviguant avec aisance entre comédie et drame, toujours avec une touche d'humour propre à son style.

Reconnaissance et distinctions


Son génie comique a été salué à maintes reprises par ses pairs et les institutions. En témoigne le Prix spécial humour qu'il a reçu lors de la première édition des "GBICH D'OR", consacrant ainsi son impact significatif sur la scène humoristique ivoirienne. De plus, l'année 2021 a marqué un jalon important dans sa carrière, avec la célébration de ses 25 ans d'activité artistique au prestigieux palais de la culture.


https://www.youtube.com/watch?v=IQBcSqBBccw

Digbeu Cravate ne se contente pas seulement de divertir, il inspire également les générations futures d'artistes. Son parcours illustre le pouvoir de la persévérance et du talent dans l'atteinte des plus grands succès. En tant que figure emblématique de la scène humoristique ivoirienne, il continue de marquer les esprits et de laisser une empreinte indélébile dans le paysage culturel du pays.

Vers de nouveaux horizons


Alors que Digbeu Cravate continue de surprendre et de ravir son public, une question se pose : quel sera le prochain chapitre de son histoire ? Sa capacité à se réinventer et à captiver les foules semble illimitée. Ainsi, nous restons en suspens, impatients de découvrir les futures péripéties de cet artiste exceptionnel, dont le talent et le charisme continuent d'illuminer les scènes ivoiriennes et au-delà.

Dans un monde où les rires sont parfois rares, Digbeu Cravate demeure un phare d'optimisme et de joie, rappelant à chacun l'importance de ne jamais cesser de rêver et de sourire.

Troisième Image de Célébrités. Dans le riche paysage artistique de la Côte d'Ivoire, Digbeu Cravate, de son nom de naissance Zouho Bla Michel, brille tel un astre dans l'univers de l'humour. Né le 7 janvier 1969 dans la chaleur de l'ouest ivoirien, il a su conquérir le cœur de milliers de spectateurs à travers ses performances tant sur les planches que sur les écrans. Plongeons dans le parcours fascinant de cet artiste hors du commun, à la fois acteur, humoriste et personnalité marquante de la scène culturelle ivoirienne. Un parcours atypique Originaire de l'ethnie Yacouba, Digbeu Cravate, malgré ses racines, incarne avec brio le personnage fictif d'un Bété, démontrant ainsi sa versatilité artistique. Cette capacité à incarner des rôles variés et à transcender les frontières ethniques dans ses performances contribue à son immense popularité auprès du public. Issu du théâtre, il a rapidement gravi les échelons pour s'illustrer également dans le domaine cinématographique. Sa participation à des séries télévisées emblématiques telles que "Ma famille" diffusée sur RTI et Canal+, ainsi que ses apparitions dans des émissions comiques comme "Le Parlement du rire" sur Canal+, ont solidifié sa réputation d'humoriste hors pair. Un talent polyvalent La filmographie de Digbeu Cravate témoigne de son engagement et de son talent. De son rôle dans "Bienvenue au Gondwana" en 2016 à ses prestations dans "Ma grande famille" en 2020, en passant par des œuvres telles que "Lago le terrible", il a su diversifier ses performances, naviguant avec aisance entre comédie et drame, toujours avec une touche d'humour propre à son style. Reconnaissance et distinctions Son génie comique a été salué à maintes reprises par ses pairs et les institutions. En témoigne le Prix spécial humour qu'il a reçu lors de la première édition des "GBICH D'OR", consacrant ainsi son impact significatif sur la scène humoristique ivoirienne. De plus, l'année 2021 a marqué un jalon important dans sa carrière, avec la célébration de ses 25 ans d'activité artistique au prestigieux palais de la culture. Digbeu Cravate ne se contente pas seulement de divertir, il inspire également les générations futures d'artistes. Son parcours illustre le pouvoir de la persévérance et du talent dans l'atteinte des plus grands succès. En tant que figure emblématique de la scène humoristique ivoirienne, il continue de marquer les esprits et de laisser une empreinte indélébile dans le paysage culturel du pays. Vers de nouveaux horizons Alors que Digbeu Cravate continue de surprendre et de ravir son public, une question se pose : quel sera le prochain chapitre de son histoire ? Sa capacité à se réinventer et à captiver les foules semble illimitée. Ainsi, nous restons en suspens, impatients de découvrir les futures péripéties de cet artiste exceptionnel, dont le talent et le charisme continuent d'illuminer les scènes ivoiriennes et au-delà. Dans un monde où les rires sont parfois rares, Digbeu Cravate demeure un phare d'optimisme et de joie, rappelant à chacun l'importance de ne jamais cesser de rêver et de sourire.
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit 8 Mars: Quelles Avancées Pour Les Droits Des Femmes En Côte d'Ivoire? dans Société le 9 mars à 20:04
Alors que le monde se prépare à commémorer l'édition 2024 de la Journée internationale des droits de la femme (JIF), le Ministère de la Femme, de la Famille et de l'Enfant (MFFE) de Côte d'Ivoire a pris une avance en lançant des discussions autour du thème national le vendredi 8 mars, date symbolique de cet événement mondial.

Sous le thème "Agir ensemble pour l'égalité en Côte d'Ivoire: éradiquer la pauvreté, renforcer les institutions, investir dans le futur de la femme", ces échanges ont rassemblé divers acteurs engagés dans la promotion des droits des femmes, témoignant de l'importance et de la pertinence des dialogues sur cette question cruciale

Réflexions et Perspectives


Sous la direction de Moussa Diarassouba, directeur de cabinet du MFFE, des représentants d'organisations de la société civile et de l'ONU-Femmes ont partagé leurs réflexions et propositions pour enrichir les débats autour de cette Journée. Ils ont souligné l'importance de célébrer les réalisations des femmes tout au long de l'année, le 8 mars étant l'occasion de dresser un bilan des progrès accomplis et des défis restants.

M. Diarassouba a mis en lumière certaines avancées significatives enregistrées en Côte d'Ivoire dans la promotion des droits humains, en particulier ceux des femmes. Parmi celles-ci, l'ouverture de secteurs professionnels traditionnellement masculins, tels que la Gendarmerie, aux femmes, ainsi que l'adoption de lois telles que l'obligation scolaire pour les enfants de six à seize ans, qui ont contribué à l'augmentation de la scolarisation des filles, notamment en milieu rural. Il a également souligné l'engagement continu du pays à respecter ses engagements internationaux et régionaux en matière de droits des femmes.

Vers une Lutte Permanente


Les participants ont unanimement exprimé la nécessité de poursuivre la lutte pour garantir l'égalité des sexes et le respect des droits des femmes. Pascaline Ménono, représentante d'ONU-Femmes en Côte d'Ivoire, a souligné les efforts de l'agence onusienne dans le pays tout en recommandant des mesures pour une meilleure mise en œuvre des droits des femmes conformément aux engagements nationaux et internationaux.

Les intervenants, tels que Marie-Paule Tahi de l'Association Femmes Unies d'Afrique, ont plaidé en faveur de mesures concrètes, telles que la sensibilisation des femmes dans les marchés sur leurs droits, ainsi que des actions visant à soutenir les personnes en situation de handicap par le biais de la création d'activités génératrices de revenus. Ces appels à l'action reflètent la diversité des défis auxquels sont confrontées les femmes ivoiriennes et la nécessité d'une approche holistique pour y répondre.

En 1977, les Nations Unies ont institué la Journée internationale des droits de la femme pour encourager les États membres à examiner les progrès réalisés dans la promotion des droits des femmes. Alors que la célébration de cette journée continue d'inspirer des discussions et des actions à travers le monde, nous nous demandons : quelles initiatives supplémentaires peuvent être entreprises pour garantir une véritable égalité des sexes et un respect total des droits des femmes en Côte d'Ivoire et au-delà ?

Image de Société. Alors que le monde se prépare à commémorer l'édition 2024 de la Journée internationale des droits de la femme (JIF), le Ministère de la Femme, de la Famille et de l'Enfant (MFFE) de Côte d'Ivoire a pris une avance en lançant des discussions autour du thème national le vendredi 8 mars, date symbolique de cet événement mondial. Sous le thème "Agir ensemble pour l'égalité en Côte d'Ivoire: éradiquer la pauvreté, renforcer les institutions, investir dans le futur de la femme", ces échanges ont rassemblé divers acteurs engagés dans la promotion des droits des femmes, témoignant de l'importance et de la pertinence des dialogues sur cette question cruciale Réflexions et Perspectives Sous la direction de Moussa Diarassouba, directeur de cabinet du MFFE, des représentants d'organisations de la société civile et de l'ONU-Femmes ont partagé leurs réflexions et propositions pour enrichir les débats autour de cette Journée. Ils ont souligné l'importance de célébrer les réalisations des femmes tout au long de l'année, le 8 mars étant l'occasion de dresser un bilan des progrès accomplis et des défis restants. M. Diarassouba a mis en lumière certaines avancées significatives enregistrées en Côte d'Ivoire dans la promotion des droits humains, en particulier ceux des femmes. Parmi celles-ci, l'ouverture de secteurs professionnels traditionnellement masculins, tels que la Gendarmerie, aux femmes, ainsi que l'adoption de lois telles que l'obligation scolaire pour les enfants de six à seize ans, qui ont contribué à l'augmentation de la scolarisation des filles, notamment en milieu rural. Il a également souligné l'engagement continu du pays à respecter ses engagements internationaux et régionaux en matière de droits des femmes. Vers une Lutte Permanente Les participants ont unanimement exprimé la nécessité de poursuivre la lutte pour garantir l'égalité des sexes et le respect des droits des femmes. Pascaline Ménono, représentante d'ONU-Femmes en Côte d'Ivoire, a souligné les efforts de l'agence onusienne dans le pays tout en recommandant des mesures pour une meilleure mise en œuvre des droits des femmes conformément aux engagements nationaux et internationaux. Les intervenants, tels que Marie-Paule Tahi de l'Association Femmes Unies d'Afrique, ont plaidé en faveur de mesures concrètes, telles que la sensibilisation des femmes dans les marchés sur leurs droits, ainsi que des actions visant à soutenir les personnes en situation de handicap par le biais de la création d'activités génératrices de revenus. Ces appels à l'action reflètent la diversité des défis auxquels sont confrontées les femmes ivoiriennes et la nécessité d'une approche holistique pour y répondre. En 1977, les Nations Unies ont institué la Journée internationale des droits de la femme pour encourager les États membres à examiner les progrès réalisés dans la promotion des droits des femmes. Alors que la célébration de cette journée continue d'inspirer des discussions et des actions à travers le monde, nous nous demandons : quelles initiatives supplémentaires peuvent être entreprises pour garantir une véritable égalité des sexes et un respect total des droits des femmes en Côte d'Ivoire et au-delà ?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Trafic d'Or: Ancien Député Et Lieutenant Incarcérés, Commissaire Sous Contrôle dans Faits Divers le 9 mars à 19:55
Dans un retentissant coup de filet, le lieutenant N.O.D., membre éminent du Centre de renseignement opérationnel antiterroriste (Croat) des Forces armées de Côte d'Ivoire (Faci), a été appréhendé et placé en détention au Pôle pénitentiaire d'Abidjan (Paa) le 1er mars 2024. Cette arrestation, orchestrée par le pôle économique, fait suite à des accusations sérieuses, notamment des séquestrations, des rackets et des extorsions de fonds à l'encontre d'opérateurs économiques, ainsi qu'une présumée implication dans un réseau de trafic de bois susceptible de compromettre la sécurité de l'État.

Un Réseau de Trafiquants d'Orpaillage Mis au Jour


L'affaire prend une dimension encore plus grave avec les révélations sur l'implication du lieutenant N.O.D. dans un réseau étendu de trafiquants d'orpaillage, alimentant ainsi les désastres environnementaux et les conflits intercommunautaires qui ravagent le pays. Cette découverte s'inscrit dans le cadre d'une opération de grande envergure visant à démanteler cette organisation criminelle complexe.

Dans le sillage de ce démantèlement, Z.D.C.P., un ancien député, a également été appréhendé pour son rôle présumé dans un trafic de 20 kg d'or acquis illégalement. Selon les sources, l'ancien parlementaire aurait réussi à faire sortir cette précieuse marchandise du territoire national, avant d'être intercepté par les autorités à son retour. Des allégations graves pèsent également sur lui, notamment celle d'avoir exploité des travailleurs asiatiques sous de faux prétextes gouvernementaux, avec la complicité supposée d'acteurs internes, y compris le Commissaire B.A.O.

Des Tensions Croissantes dans le Contexte de l'Orpaillage Illégal


Ces arrestations interviennent dans un contexte où l'orpaillage illégal atteint des proportions alarmantes en Côte d'Ivoire, engendrant des troubles environnementaux majeurs et des tensions au sein des communautés locales. Selon les données fournies par la brigade de répression des infractions au Code minier (BRICM), relevant du ministère ivoirien des Mines, du Pétrole et de l'Énergie, pas moins de 501 individus ont été appréhendés et une somme considérable de 807 904 865 FCFA a été saisie au cours de l'année 2023.

Ces opérations font partie des efforts soutenus du gouvernement ivoirien, appuyé par le Groupement spécial de lutte contre l'orpaillage illégal (GSLOI), visant à endiguer le fléau de l'orpaillage illégal dans le pays. Cependant, malgré ces actions répressives, les défis restent nombreux et la question demeure : quelles stratégies supplémentaires peuvent être mises en œuvre pour éradiquer efficacement le trafic d'orpaillage illégal et restaurer la sécurité et la stabilité dans les régions touchées?

Image de Faits Divers. Dans un retentissant coup de filet, le lieutenant N.O.D., membre éminent du Centre de renseignement opérationnel antiterroriste (Croat) des Forces armées de Côte d'Ivoire (Faci), a été appréhendé et placé en détention au Pôle pénitentiaire d'Abidjan (Paa) le 1er mars 2024. Cette arrestation, orchestrée par le pôle économique, fait suite à des accusations sérieuses, notamment des séquestrations, des rackets et des extorsions de fonds à l'encontre d'opérateurs économiques, ainsi qu'une présumée implication dans un réseau de trafic de bois susceptible de compromettre la sécurité de l'État. Un Réseau de Trafiquants d'Orpaillage Mis au Jour L'affaire prend une dimension encore plus grave avec les révélations sur l'implication du lieutenant N.O.D. dans un réseau étendu de trafiquants d'orpaillage, alimentant ainsi les désastres environnementaux et les conflits intercommunautaires qui ravagent le pays. Cette découverte s'inscrit dans le cadre d'une opération de grande envergure visant à démanteler cette organisation criminelle complexe. Dans le sillage de ce démantèlement, Z.D.C.P., un ancien député, a également été appréhendé pour son rôle présumé dans un trafic de 20 kg d'or acquis illégalement. Selon les sources, l'ancien parlementaire aurait réussi à faire sortir cette précieuse marchandise du territoire national, avant d'être intercepté par les autorités à son retour. Des allégations graves pèsent également sur lui, notamment celle d'avoir exploité des travailleurs asiatiques sous de faux prétextes gouvernementaux, avec la complicité supposée d'acteurs internes, y compris le Commissaire B.A.O. Des Tensions Croissantes dans le Contexte de l'Orpaillage Illégal Ces arrestations interviennent dans un contexte où l'orpaillage illégal atteint des proportions alarmantes en Côte d'Ivoire, engendrant des troubles environnementaux majeurs et des tensions au sein des communautés locales. Selon les données fournies par la brigade de répression des infractions au Code minier (BRICM), relevant du ministère ivoirien des Mines, du Pétrole et de l'Énergie, pas moins de 501 individus ont été appréhendés et une somme considérable de 807 904 865 FCFA a été saisie au cours de l'année 2023. Ces opérations font partie des efforts soutenus du gouvernement ivoirien, appuyé par le Groupement spécial de lutte contre l'orpaillage illégal (GSLOI), visant à endiguer le fléau de l'orpaillage illégal dans le pays. Cependant, malgré ces actions répressives, les défis restent nombreux et la question demeure : quelles stratégies supplémentaires peuvent être mises en œuvre pour éradiquer efficacement le trafic d'orpaillage illégal et restaurer la sécurité et la stabilité dans les régions touchées?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit L'Ivoirienne Mylène Djihony Écartée Avant La Finale De Miss Monde 2024 dans Célébrités le 9 mars à 19:48
Alors que l'excitation montait pour la finale de Miss Monde 2024, la déception s'est abattue sur la candidate ivoirienne, Mylène Djihony. Sa participation à la dernière épreuve, cruciale pour accéder à la grande finale, s'est soldée par une élimination. Cet événement, survenu ce samedi 9 mars 2024, a marqué la fin du parcours de Mylène Djihony dans cette compétition prestigieuse.

Une Campagne Mitigée


Dès le départ, les espoirs étaient élevés pour Mylène Djihony, représentante de la Côte d'Ivoire à Miss Monde 2024. En tant que Miss Côte d'Ivoire 2023, elle portait sur ses épaules les attentes de tout un pays. Cependant, malgré sa détermination, son parcours au sein de la compétition n'a pas été marqué par des succès retentissants. Aucun des défis proposés au cours de la compétition n'a été remporté par Mylène Djihony, et sa performance lors de l'épreuve orale n'a pas non plus suscité l'enthousiasme escompté.

L'élimination de Mylène Djihony a également des répercussions au niveau national. En effet, en perdant sa chance d'accéder à la grande finale, la Côte d'Ivoire perd également le titre de Miss Monde Afrique, précédemment détenu par Olivia Yacé. Cette déception est donc ressentie à plusieurs niveaux, à la fois pour la candidate elle-même et pour le pays qu'elle représentait.

Attentes pour la Grande Finale


Pendant que Mylène Djihony fait face à sa déception, l'attention se tourne maintenant vers la grande finale de la 71e édition de Miss Monde, qui se déroulera dans la soirée du même jour en Inde. Parmi les 40 finalistes, deux autres candidates africaines retiennent particulièrement l'attention : Miss Cameroun et Miss Botswana. Cette dernière, en particulier, est considérée comme une favorite pour remporter le titre de Miss Monde Afrique.

Alors que la compétition atteint son point culminant, de nombreuses questions restent en suspens. Qui succédera à Olivia Yacé en tant que Miss Monde Afrique ? La pression est palpable, et les enjeux sont élevés pour toutes les candidates en lice. De plus, le monde entier attend avec impatience de savoir qui sera couronné Miss Monde 2024, succédant ainsi à Karolina Bielawska.

Cette soirée promet d'être pleine de suspense et d'émotions, et nous suivrons de près chaque instant de cette compétition internationale. Qui saura captiver le jury et remporter les prestigieux titres en jeu ? La réponse ne tardera pas à venir, et le monde retiendra son souffle jusqu'à ce que les couronnes soient attribuées.

Image de Célébrités. Alors que l'excitation montait pour la finale de Miss Monde 2024, la déception s'est abattue sur la candidate ivoirienne, Mylène Djihony. Sa participation à la dernière épreuve, cruciale pour accéder à la grande finale, s'est soldée par une élimination. Cet événement, survenu ce samedi 9 mars 2024, a marqué la fin du parcours de Mylène Djihony dans cette compétition prestigieuse. Une Campagne Mitigée Dès le départ, les espoirs étaient élevés pour Mylène Djihony, représentante de la Côte d'Ivoire à Miss Monde 2024. En tant que Miss Côte d'Ivoire 2023, elle portait sur ses épaules les attentes de tout un pays. Cependant, malgré sa détermination, son parcours au sein de la compétition n'a pas été marqué par des succès retentissants. Aucun des défis proposés au cours de la compétition n'a été remporté par Mylène Djihony, et sa performance lors de l'épreuve orale n'a pas non plus suscité l'enthousiasme escompté. L'élimination de Mylène Djihony a également des répercussions au niveau national. En effet, en perdant sa chance d'accéder à la grande finale, la Côte d'Ivoire perd également le titre de Miss Monde Afrique, précédemment détenu par Olivia Yacé. Cette déception est donc ressentie à plusieurs niveaux, à la fois pour la candidate elle-même et pour le pays qu'elle représentait. Attentes pour la Grande Finale Pendant que Mylène Djihony fait face à sa déception, l'attention se tourne maintenant vers la grande finale de la 71e édition de Miss Monde, qui se déroulera dans la soirée du même jour en Inde. Parmi les 40 finalistes, deux autres candidates africaines retiennent particulièrement l'attention : Miss Cameroun et Miss Botswana. Cette dernière, en particulier, est considérée comme une favorite pour remporter le titre de Miss Monde Afrique. Alors que la compétition atteint son point culminant, de nombreuses questions restent en suspens. Qui succédera à Olivia Yacé en tant que Miss Monde Afrique ? La pression est palpable, et les enjeux sont élevés pour toutes les candidates en lice. De plus, le monde entier attend avec impatience de savoir qui sera couronné Miss Monde 2024, succédant ainsi à Karolina Bielawska. Cette soirée promet d'être pleine de suspense et d'émotions, et nous suivrons de près chaque instant de cette compétition internationale. Qui saura captiver le jury et remporter les prestigieux titres en jeu ? La réponse ne tardera pas à venir, et le monde retiendra son souffle jusqu'à ce que les couronnes soient attribuées.
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Côte d'Ivoire: Suspect 95 Donne Enfin Son Avis Sur Sa Rivalité Avec Didi B dans Musique/Radio le 9 mars à 19:37
L'univers du rap ivoirien a souvent été le théâtre de rivalités entre artistes, et celle entre Suspect 95 et Didi B n'a pas échappé à cette tendance. Toutefois, récemment, Suspect 95 a décidé de lever le voile sur cette situation, apportant ainsi un éclairage nouveau sur leur relation.

Une rivalité souvent évoquée par les fans


Les fans de rap ivoirien ont souvent alimenté le débat autour de la rivalité entre Suspect 95 et Didi B. Certains les considèrent comme les poids lourds du genre, chacun ayant son propre style et ses propres succès. D'aucuns considèrent Didi B comme le GOAT (Greatest of All Time) du rap ivoirien, tandis que Suspect 95 est vu comme le leader du "Syndicat". Cette rivalité, bien que non confirmée par les artistes eux-mêmes, a alimenté de nombreuses discussions au sein de la communauté hip-hop ivoirienne.

Cependant, Suspect 95 a décidé de prendre la parole pour clarifier les choses. Pour lui, il ne s'agit pas de rivalité, mais plutôt de collaboration et d'entraide entre artistes. Il voit Didi B et les autres artistes comme des coéquipiers, travaillant ensemble pour promouvoir la musique ivoirienne à l'étranger. Il souligne également l'importance de l'unité dans un milieu souvent perçu comme compétitif. Cette prise de position offre un nouvel éclairage sur la relation entre les deux artistes, mettant en avant leur collaboration plutôt que leur rivalité.

L'importance du travail acharné dans l'industrie musicale


Au-delà de cette clarification sur la relation avec Didi B, Suspect 95 insiste sur l'importance du travail et de la détermination dans l'industrie musicale. Pour lui, il n'y a pas de place pour les fainéants. Il souligne l'importance d'avoir une mentalité de gagnant et de travailler dur pour réussir. Cette vision ambitieuse et déterminée illustre l'engagement de Suspect 95 envers sa carrière et sa volonté de repousser les limites dans le monde du rap ivoirien.

Au-delà des querelles et des rivalités, cette prise de parole de Suspect 95 ouvre la voie à une collaboration plus étroite entre les artistes ivoiriens. En mettant l'accent sur l'unité et la coopération, il montre que le rap ivoirien a tout à gagner en travaillant ensemble pour promouvoir sa musique à l'échelle internationale. Cette approche pourrait-elle marquer le début d'une nouvelle ère de collaboration fructueuse dans le monde du rap ivoirien ? Comment les artistes ivoiriens pourraient-ils renforcer leur collaboration pour promouvoir la musique ivoirienne à l'échelle mondiale ?

Image de Musique/Radio. L'univers du rap ivoirien a souvent été le théâtre de rivalités entre artistes, et celle entre Suspect 95 et Didi B n'a pas échappé à cette tendance. Toutefois, récemment, Suspect 95 a décidé de lever le voile sur cette situation, apportant ainsi un éclairage nouveau sur leur relation. Une rivalité souvent évoquée par les fans Les fans de rap ivoirien ont souvent alimenté le débat autour de la rivalité entre Suspect 95 et Didi B. Certains les considèrent comme les poids lourds du genre, chacun ayant son propre style et ses propres succès. D'aucuns considèrent Didi B comme le GOAT (Greatest of All Time) du rap ivoirien, tandis que Suspect 95 est vu comme le leader du "Syndicat". Cette rivalité, bien que non confirmée par les artistes eux-mêmes, a alimenté de nombreuses discussions au sein de la communauté hip-hop ivoirienne. Cependant, Suspect 95 a décidé de prendre la parole pour clarifier les choses. Pour lui, il ne s'agit pas de rivalité, mais plutôt de collaboration et d'entraide entre artistes. Il voit Didi B et les autres artistes comme des coéquipiers, travaillant ensemble pour promouvoir la musique ivoirienne à l'étranger. Il souligne également l'importance de l'unité dans un milieu souvent perçu comme compétitif. Cette prise de position offre un nouvel éclairage sur la relation entre les deux artistes, mettant en avant leur collaboration plutôt que leur rivalité. L'importance du travail acharné dans l'industrie musicale Au-delà de cette clarification sur la relation avec Didi B, Suspect 95 insiste sur l'importance du travail et de la détermination dans l'industrie musicale. Pour lui, il n'y a pas de place pour les fainéants. Il souligne l'importance d'avoir une mentalité de gagnant et de travailler dur pour réussir. Cette vision ambitieuse et déterminée illustre l'engagement de Suspect 95 envers sa carrière et sa volonté de repousser les limites dans le monde du rap ivoirien. Au-delà des querelles et des rivalités, cette prise de parole de Suspect 95 ouvre la voie à une collaboration plus étroite entre les artistes ivoiriens. En mettant l'accent sur l'unité et la coopération, il montre que le rap ivoirien a tout à gagner en travaillant ensemble pour promouvoir sa musique à l'échelle internationale. Cette approche pourrait-elle marquer le début d'une nouvelle ère de collaboration fructueuse dans le monde du rap ivoirien ? Comment les artistes ivoiriens pourraient-ils renforcer leur collaboration pour promouvoir la musique ivoirienne à l'échelle mondiale ?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Présentation En Avant-Première De La Série "Les Perles De Babi" dans TV/Films/Séries le 9 mars à 19:25
Le jeudi 7 mars 2024 restera gravé dans les mémoires des cinéphiles ivoiriens avec la présentation en avant-première de la série "Les perles de Babi". Un rendez-vous tant attendu qui a eu lieu à l’auditorium d’Orange Village, offrant ainsi un avant-goût de cette nouvelle création cinématographique signée Erico Sery.

Une plongée dans la société ivoirienne


"Les perles de Babi" se présente comme une série chorale, s'inscrivant dans le genre des novelas, avec un format de 26 épisodes de 26 minutes chacun. À travers l'histoire de Makoura, Awa, Haby, Sialou, Hanohi et Akissi, six jeunes femmes évoluant dans une société ivoirienne empreinte de traditions, de culture et de religion, Erico Sery nous invite à une immersion captivante.

Chacune de ces jeunes femmes tente de trouver sa place et de s'émanciper à sa manière, mais se heurte aux préjugés tenaces qui imprègnent les mentalités de leur pays. Dans leur quête de liberté, elles devront affronter une réalité parfois hostile, faisant de leur parcours un combat incessant.

Un casting de talent


Pour incarner ces personnages complexes, Erico Sery a réuni un casting de choix, comprenant notamment Nel Jamila, Ariane Celeste Moua, Eunice Zunon, Ami la Slameuse, Juste Crepin Gondo, Jimy Danger, Jessica Bamba et Necy N’dry. Cette diversité d'acteurs promet une interprétation riche et nuancée des différentes facettes de la société ivoirienne.

"Les perles de Babi" a été tournée dans plusieurs villes de Côte d'Ivoire, notamment Abidjan, Jacqueville et Dabou, offrant ainsi un panorama varié des paysages et des cultures ivoiriennes. Ce choix de décors authentiques renforce l'immersion du spectateur dans l'univers de la série.

Diffusion et partenariat stratégique


La série "Les perles de Babi" sera diffusée en quotidienne sur Actualité OTV à 19 heures 30, ainsi qu'en vidéo à la demande du lundi au jeudi. Une accessibilité maximale pour les spectateurs, qu'ils soient en Côte d'Ivoire ou à l'étranger. Ce projet ambitieux est le fruit d'un partenariat solide entre Original Entertainment et la TV d’Orange, marquant ainsi une nouvelle étape dans la collaboration fructueuse entre ces deux entités.

La présentation en avant-première de "Les perles de Babi" a été l'occasion pour Habib Bamba, directeur de la transformation du digital et des médias chez Orange CI, de souligner l'importance de cette série dans le paysage audiovisuel ivoirien. Mais au-delà de son impact local, quelle influence cette série pourrait-elle avoir sur la scène cinématographique africaine et mondiale ? C'est une question qui mérite d'être posée, car "Les perles de Babi" semble avoir le potentiel de transcender les frontières et de toucher un public international. Comment les productions cinématographiques africaines peuvent-elles contribuer à une meilleure compréhension et appréciation de la diversité culturelle du continent au niveau mondial ?

Image de TV/Films/Séries. Le jeudi 7 mars 2024 restera gravé dans les mémoires des cinéphiles ivoiriens avec la présentation en avant-première de la série "Les perles de Babi". Un rendez-vous tant attendu qui a eu lieu à l’auditorium d’Orange Village, offrant ainsi un avant-goût de cette nouvelle création cinématographique signée Erico Sery. Une plongée dans la société ivoirienne "Les perles de Babi" se présente comme une série chorale, s'inscrivant dans le genre des novelas, avec un format de 26 épisodes de 26 minutes chacun. À travers l'histoire de Makoura, Awa, Haby, Sialou, Hanohi et Akissi, six jeunes femmes évoluant dans une société ivoirienne empreinte de traditions, de culture et de religion, Erico Sery nous invite à une immersion captivante. Chacune de ces jeunes femmes tente de trouver sa place et de s'émanciper à sa manière, mais se heurte aux préjugés tenaces qui imprègnent les mentalités de leur pays. Dans leur quête de liberté, elles devront affronter une réalité parfois hostile, faisant de leur parcours un combat incessant. Un casting de talent Pour incarner ces personnages complexes, Erico Sery a réuni un casting de choix, comprenant notamment Nel Jamila, Ariane Celeste Moua, Eunice Zunon, Ami la Slameuse, Juste Crepin Gondo, Jimy Danger, Jessica Bamba et Necy N’dry. Cette diversité d'acteurs promet une interprétation riche et nuancée des différentes facettes de la société ivoirienne. "Les perles de Babi" a été tournée dans plusieurs villes de Côte d'Ivoire, notamment Abidjan, Jacqueville et Dabou, offrant ainsi un panorama varié des paysages et des cultures ivoiriennes. Ce choix de décors authentiques renforce l'immersion du spectateur dans l'univers de la série. Diffusion et partenariat stratégique La série "Les perles de Babi" sera diffusée en quotidienne sur Actualité OTV à 19 heures 30, ainsi qu'en vidéo à la demande du lundi au jeudi. Une accessibilité maximale pour les spectateurs, qu'ils soient en Côte d'Ivoire ou à l'étranger. Ce projet ambitieux est le fruit d'un partenariat solide entre Original Entertainment et la TV d’Orange, marquant ainsi une nouvelle étape dans la collaboration fructueuse entre ces deux entités. La présentation en avant-première de "Les perles de Babi" a été l'occasion pour Habib Bamba, directeur de la transformation du digital et des médias chez Orange CI, de souligner l'importance de cette série dans le paysage audiovisuel ivoirien. Mais au-delà de son impact local, quelle influence cette série pourrait-elle avoir sur la scène cinématographique africaine et mondiale ? C'est une question qui mérite d'être posée, car "Les perles de Babi" semble avoir le potentiel de transcender les frontières et de toucher un public international. Comment les productions cinématographiques africaines peuvent-elles contribuer à une meilleure compréhension et appréciation de la diversité culturelle du continent au niveau mondial ?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Jean-Baptiste Djeka Kouadio Présente Les Principales Orientations Du Fata dans Culture le 9 mars à 18:49
Dans l'effervescence du mois de juillet à Sakassou, une ville située au cœur de la Côte d'Ivoire, se prépare un événement d'une importance capitale : le Festival des Arts et Traditions d'Akan (FATA). Sous la houlette de Jean-Baptiste Djeka Kouadio, artiste-peintre et commissaire général de cet événement, Sakassou s'apprête à devenir le centre névralgique de la culture africaine du 1er au 15 juillet prochain.

Un héritage culturel à célébrer


À l'origine de ce festival, une vision profonde de Jean-Baptiste Djeka Kouadio qui exprime son désir ardent de reconnecter les Africains à leurs racines culturelles. "Il y a longtemps que nous travaillons sur le projet", révèle-t-il, soulignant ainsi l'ampleur de la réflexion et de la préparation en amont de cet événement d'envergure.

Le choix du nom du festival, "FATA", n'est pas anodin. Il puise ses racines dans la tradition et la signification profonde des mots hérités des ancêtres. "FATA veut dire c’est joli avec toi", explique-t-il. Cette appellation, empreinte de beauté et de force, symbolise le renouveau culturel que souhaite incarner cet événement.

Le FATA, selon Jean-Baptiste Djeka Kouadio, va bien au-delà des frontières de Sakassou. C'est une plateforme d'échanges culturels qui se veut être un rendez-vous incontournable pour tous les amoureux de la culture africaine, mais aussi une vitrine sur le monde. "Nous parlons du rendez-vous de village planétaire", affirme-t-il, reprenant les mots de Léopold Sédar Senghor pour exprimer l'ambition continentale de cet événement.

Un programme riche et diversifié


Pendant les deux semaines que durera le FATA, Sakassou vibrera au rythme des danses et des chants des 172 villages qui la composent. Mais ce festival ne se limite pas à des performances artistiques. Des conférences-débats seront également au programme, réunissant enseignants-chercheurs et acteurs culturels autour de thématiques essentielles pour la renaissance culturelle africaine.

Bien que cette édition soit la première du genre, le FATA a déjà suscité un vif intérêt. L'année précédente, une édition zéro avait été lancée pour évaluer l'engouement et l'impact potentiel d'un tel événement. Aujourd'hui, avec un thème aussi évocateur que "La renaissance du peuple Waoulé dans les univers Baoulés, Akans, Krous, Gours, Mandés, Wês et Volta de la République de Côte d'Ivoire", le FATA s'annonce comme un rendez-vous incontournable pour tous ceux qui souhaitent participer à l'éveil culturel de l'Afrique.

À l'heure où la mondialisation menace de diluer les spécificités culturelles, le FATA se positionne comme un rempart, une bouffée d'air frais dans le paysage culturel africain. "Nous sommes convaincus que l'industrie culturelle est là", assure Jean-Baptiste Djeka Kouadio, confiant dans le potentiel de cet événement à insuffler un nouvel élan à la culture africaine. Quel rôle les festivals culturels comme le FATA peuvent-ils jouer dans la préservation et la promotion de la diversité culturelle en Afrique et dans le monde ?

Image de Culture. Dans l'effervescence du mois de juillet à Sakassou, une ville située au cœur de la Côte d'Ivoire, se prépare un événement d'une importance capitale : le Festival des Arts et Traditions d'Akan (FATA). Sous la houlette de Jean-Baptiste Djeka Kouadio, artiste-peintre et commissaire général de cet événement, Sakassou s'apprête à devenir le centre névralgique de la culture africaine du 1er au 15 juillet prochain. Un héritage culturel à célébrer À l'origine de ce festival, une vision profonde de Jean-Baptiste Djeka Kouadio qui exprime son désir ardent de reconnecter les Africains à leurs racines culturelles. "Il y a longtemps que nous travaillons sur le projet", révèle-t-il, soulignant ainsi l'ampleur de la réflexion et de la préparation en amont de cet événement d'envergure. Le choix du nom du festival, "FATA", n'est pas anodin. Il puise ses racines dans la tradition et la signification profonde des mots hérités des ancêtres. "FATA veut dire c’est joli avec toi", explique-t-il. Cette appellation, empreinte de beauté et de force, symbolise le renouveau culturel que souhaite incarner cet événement. Le FATA, selon Jean-Baptiste Djeka Kouadio, va bien au-delà des frontières de Sakassou. C'est une plateforme d'échanges culturels qui se veut être un rendez-vous incontournable pour tous les amoureux de la culture africaine, mais aussi une vitrine sur le monde. "Nous parlons du rendez-vous de village planétaire", affirme-t-il, reprenant les mots de Léopold Sédar Senghor pour exprimer l'ambition continentale de cet événement. Un programme riche et diversifié Pendant les deux semaines que durera le FATA, Sakassou vibrera au rythme des danses et des chants des 172 villages qui la composent. Mais ce festival ne se limite pas à des performances artistiques. Des conférences-débats seront également au programme, réunissant enseignants-chercheurs et acteurs culturels autour de thématiques essentielles pour la renaissance culturelle africaine. Bien que cette édition soit la première du genre, le FATA a déjà suscité un vif intérêt. L'année précédente, une édition zéro avait été lancée pour évaluer l'engouement et l'impact potentiel d'un tel événement. Aujourd'hui, avec un thème aussi évocateur que "La renaissance du peuple Waoulé dans les univers Baoulés, Akans, Krous, Gours, Mandés, Wês et Volta de la République de Côte d'Ivoire", le FATA s'annonce comme un rendez-vous incontournable pour tous ceux qui souhaitent participer à l'éveil culturel de l'Afrique. À l'heure où la mondialisation menace de diluer les spécificités culturelles, le FATA se positionne comme un rempart, une bouffée d'air frais dans le paysage culturel africain. "Nous sommes convaincus que l'industrie culturelle est là", assure Jean-Baptiste Djeka Kouadio, confiant dans le potentiel de cet événement à insuffler un nouvel élan à la culture africaine. Quel rôle les festivals culturels comme le FATA peuvent-ils jouer dans la préservation et la promotion de la diversité culturelle en Afrique et dans le monde ?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Fête Des Libertés 2024: Simone Gbagbo Fait De Bondoukou Un Pivot Politique dans Société le 9 mars à 10:47
Le Mouvement des Générations Capables (MGC) a récemment dévoilé les détails de la deuxième édition de sa Fête des Libertés. L'événement, qui se tiendra du 17 au 19 mai 2024 à Bondoukou, dans la région du Gontougo, promet d'être un moment phare dans le paysage politique ivoirien. Cette annonce a été faite lors d'une conférence de presse tenue au siège du MGC à Abidjan-Cocody Riviera Golf.

Objectifs et Thèmes de la Fête


Le vice-président du MGC, Akoï Kacou Innocent, a souligné l'importance de cette manifestation en déclarant : "Au moins 5 000 personnes, militants du parti de gauche et citoyens ivoiriens en général, sont attendus à cet événement". Il a également dévoilé le thème central de cette édition : "Dynamisation durable de l'économie agricole et libertés".

Cette thématique met en lumière les défis et les opportunités liés à la revitalisation de l'agriculture en Côte d'Ivoire. Le coordinateur du District de la Comoé a souligné l'importance de faire le point sur les acquis démocratiques du pays ainsi que sur le développement agricole, en particulier dans le District du Zanzan.

La Présence de Simone Gbagbo : Un Moment Fort


La présidente du MGC, Simone Gbagbo, jouera un rôle central lors de cet événement. Elle prendra la parole sur le thème principal ainsi que sur l'actualité sociopolitique de la Côte d'Ivoire. Cette intervention sera l'occasion pour elle de partager sa vision et ses idées avec les participants.

Le comité d'organisation a prévu une série d'activités pour animer ces journées. Un séminaire de formation sur la transformation et la commercialisation des produits agricoles locaux, en mettant l'accent sur le cajou, est notamment au programme. De plus, des rencontres avec des officiels et des communautés nationales et étrangères vivant dans le district seront organisées.

Le MGC a tenu à souligner que toutes les formations politiques du pays sont invitées à participer à cet événement. Cette ouverture témoigne de la volonté du mouvement de promouvoir le dialogue et l'échange entre les différentes forces politiques ivoiriennes.

Perspectives sur les Prochaines Échéances Électorales


Le vice-président du MGC a également évoqué les résultats des élections municipales, régionales et sénatoriales de 2023, mettant en avant les succès du parti. Il a assuré que le MGC sera pleinement engagé dans les futures échéances électorales.

En conclusion, la 2ème édition de la Fête des Libertés organisée par le MGC s'annonce comme un événement majeur dans le paysage politique ivoirien. Au-delà de la célébration des libertés et de la dynamisation de l'économie agricole, cette manifestation offre une plateforme unique pour le dialogue et le partage entre les acteurs politiques et la société civile. La question qui se pose maintenant est la suivante : quelle sera l'impact de cet événement sur la scène politique ivoirienne et sur l'avenir du pays ?

Image de Société. Le Mouvement des Générations Capables (MGC) a récemment dévoilé les détails de la deuxième édition de sa Fête des Libertés. L'événement, qui se tiendra du 17 au 19 mai 2024 à Bondoukou, dans la région du Gontougo, promet d'être un moment phare dans le paysage politique ivoirien. Cette annonce a été faite lors d'une conférence de presse tenue au siège du MGC à Abidjan-Cocody Riviera Golf. Objectifs et Thèmes de la Fête Le vice-président du MGC, Akoï Kacou Innocent, a souligné l'importance de cette manifestation en déclarant : "Au moins 5 000 personnes, militants du parti de gauche et citoyens ivoiriens en général, sont attendus à cet événement". Il a également dévoilé le thème central de cette édition : "Dynamisation durable de l'économie agricole et libertés". Cette thématique met en lumière les défis et les opportunités liés à la revitalisation de l'agriculture en Côte d'Ivoire. Le coordinateur du District de la Comoé a souligné l'importance de faire le point sur les acquis démocratiques du pays ainsi que sur le développement agricole, en particulier dans le District du Zanzan. La Présence de Simone Gbagbo : Un Moment Fort La présidente du MGC, Simone Gbagbo, jouera un rôle central lors de cet événement. Elle prendra la parole sur le thème principal ainsi que sur l'actualité sociopolitique de la Côte d'Ivoire. Cette intervention sera l'occasion pour elle de partager sa vision et ses idées avec les participants. Le comité d'organisation a prévu une série d'activités pour animer ces journées. Un séminaire de formation sur la transformation et la commercialisation des produits agricoles locaux, en mettant l'accent sur le cajou, est notamment au programme. De plus, des rencontres avec des officiels et des communautés nationales et étrangères vivant dans le district seront organisées. Le MGC a tenu à souligner que toutes les formations politiques du pays sont invitées à participer à cet événement. Cette ouverture témoigne de la volonté du mouvement de promouvoir le dialogue et l'échange entre les différentes forces politiques ivoiriennes. Perspectives sur les Prochaines Échéances Électorales Le vice-président du MGC a également évoqué les résultats des élections municipales, régionales et sénatoriales de 2023, mettant en avant les succès du parti. Il a assuré que le MGC sera pleinement engagé dans les futures échéances électorales. En conclusion, la 2ème édition de la Fête des Libertés organisée par le MGC s'annonce comme un événement majeur dans le paysage politique ivoirien. Au-delà de la célébration des libertés et de la dynamisation de l'économie agricole, cette manifestation offre une plateforme unique pour le dialogue et le partage entre les acteurs politiques et la société civile. La question qui se pose maintenant est la suivante : quelle sera l'impact de cet événement sur la scène politique ivoirienne et sur l'avenir du pays ?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Côte d'Ivoire: Des Dons Et Engagements Aux Chefs Atchans d'Abidjan dans Société le 9 mars à 10:37
Depuis des mois, une réunion entre le Ministre gouverneur Cissé Bacongo et les 60 Chefs traditionnels des villages Atchans du District Autonome d’Abidjan a suscité un débat passionné. Les annonces de dons généreux et de promesses formulées ont alimenté les discussions, soulevant des questions sur l'intégrité et les intentions derrière de tels gestes.

Les Faits : Une Salle Félix Houphouët-Boigny Chargée de Promesses


La réunion s'est déroulée à la Salle Félix Houphouët-Boigny de l'Hôtel du District au Plateau, le 6 mars 2024. Le Ministre gouverneur a présenté sa mission axée sur l'urbanisme et l'assainissement urbain à Abidjan. Cependant, ce qui a retenu l'attention de tous, ce sont les annonces de dons et de promesses. La construction d'un siège de la Chefferie Atchan, la nomination de trois Chefs Atchan comme Conseillers spéciaux, et la remise de quatre-vingt-dix véhicules ont été les points forts de cette réunion.

Les Questions : Stratégie Politique ou Sincérité ?


Ces gestes généreux peuvent-ils être considérés comme une tentative de taire les chefs Atchans ? La question demeure pertinente, surtout dans le contexte politique actuel. Ces annonces surviennent après un appel à la démission de Cissé Bacongo par le collectif Atchan Goto Fé, qui revendique la tradition voulant que le District d'Abidjan soit gouverné par un Atchan.

Les Revendications : Une Tentative de Calmer les Tensions ?


La présence de Cissé Bacongo à ce poste est contestée par le collectif Atchan Goto Fé, qui estime que cela ouvre la voie à d'autres revendications. La question qui se pose alors est de savoir si les dons et les promesses sont une tentative de calmer les tensions et d'apaiser les revendications, ou s'ils représentent une sincère volonté de coopération et de développement.

En conclusion, la rencontre entre le Ministre gouverneur Cissé Bacongo et les chefs traditionnels Atchans soulève des questions importantes sur la politique, la tradition et le développement. Je vous encourage tous à partager vos opinions et vos expériences sur ce sujet. Qu'en pensez-vous ? Les dons et les promesses constituent-ils une stratégie politique ou une véritable volonté de coopération ? La discussion est ouverte.

Image de Société. Depuis des mois, une réunion entre le Ministre gouverneur Cissé Bacongo et les 60 Chefs traditionnels des villages Atchans du District Autonome d’Abidjan a suscité un débat passionné. Les annonces de dons généreux et de promesses formulées ont alimenté les discussions, soulevant des questions sur l'intégrité et les intentions derrière de tels gestes. Les Faits : Une Salle Félix Houphouët-Boigny Chargée de Promesses La réunion s'est déroulée à la Salle Félix Houphouët-Boigny de l'Hôtel du District au Plateau, le 6 mars 2024. Le Ministre gouverneur a présenté sa mission axée sur l'urbanisme et l'assainissement urbain à Abidjan. Cependant, ce qui a retenu l'attention de tous, ce sont les annonces de dons et de promesses. La construction d'un siège de la Chefferie Atchan, la nomination de trois Chefs Atchan comme Conseillers spéciaux, et la remise de quatre-vingt-dix véhicules ont été les points forts de cette réunion. Les Questions : Stratégie Politique ou Sincérité ? Ces gestes généreux peuvent-ils être considérés comme une tentative de taire les chefs Atchans ? La question demeure pertinente, surtout dans le contexte politique actuel. Ces annonces surviennent après un appel à la démission de Cissé Bacongo par le collectif Atchan Goto Fé, qui revendique la tradition voulant que le District d'Abidjan soit gouverné par un Atchan. Les Revendications : Une Tentative de Calmer les Tensions ? La présence de Cissé Bacongo à ce poste est contestée par le collectif Atchan Goto Fé, qui estime que cela ouvre la voie à d'autres revendications. La question qui se pose alors est de savoir si les dons et les promesses sont une tentative de calmer les tensions et d'apaiser les revendications, ou s'ils représentent une sincère volonté de coopération et de développement. En conclusion, la rencontre entre le Ministre gouverneur Cissé Bacongo et les chefs traditionnels Atchans soulève des questions importantes sur la politique, la tradition et le développement. Je vous encourage tous à partager vos opinions et vos expériences sur ce sujet. Qu'en pensez-vous ? Les dons et les promesses constituent-ils une stratégie politique ou une véritable volonté de coopération ? La discussion est ouverte.

Deuxième Image de Société. Depuis des mois, une réunion entre le Ministre gouverneur Cissé Bacongo et les 60 Chefs traditionnels des villages Atchans du District Autonome d’Abidjan a suscité un débat passionné. Les annonces de dons généreux et de promesses formulées ont alimenté les discussions, soulevant des questions sur l'intégrité et les intentions derrière de tels gestes. Les Faits : Une Salle Félix Houphouët-Boigny Chargée de Promesses La réunion s'est déroulée à la Salle Félix Houphouët-Boigny de l'Hôtel du District au Plateau, le 6 mars 2024. Le Ministre gouverneur a présenté sa mission axée sur l'urbanisme et l'assainissement urbain à Abidjan. Cependant, ce qui a retenu l'attention de tous, ce sont les annonces de dons et de promesses. La construction d'un siège de la Chefferie Atchan, la nomination de trois Chefs Atchan comme Conseillers spéciaux, et la remise de quatre-vingt-dix véhicules ont été les points forts de cette réunion. Les Questions : Stratégie Politique ou Sincérité ? Ces gestes généreux peuvent-ils être considérés comme une tentative de taire les chefs Atchans ? La question demeure pertinente, surtout dans le contexte politique actuel. Ces annonces surviennent après un appel à la démission de Cissé Bacongo par le collectif Atchan Goto Fé, qui revendique la tradition voulant que le District d'Abidjan soit gouverné par un Atchan. Les Revendications : Une Tentative de Calmer les Tensions ? La présence de Cissé Bacongo à ce poste est contestée par le collectif Atchan Goto Fé, qui estime que cela ouvre la voie à d'autres revendications. La question qui se pose alors est de savoir si les dons et les promesses sont une tentative de calmer les tensions et d'apaiser les revendications, ou s'ils représentent une sincère volonté de coopération et de développement. En conclusion, la rencontre entre le Ministre gouverneur Cissé Bacongo et les chefs traditionnels Atchans soulève des questions importantes sur la politique, la tradition et le développement. Je vous encourage tous à partager vos opinions et vos expériences sur ce sujet. Qu'en pensez-vous ? Les dons et les promesses constituent-ils une stratégie politique ou une véritable volonté de coopération ? La discussion est ouverte.

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