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Messages de RomeoIvoire (20)

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RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit 55 Jeunes Formés Et Prêts Pour Les Métiers De La Conduite Et De La Mécanique dans Business/Investissement le 2 juillet à 19:15

À Koumassi-Abidjan, un groupe de 55 jeunes vient de franchir une étape significative vers l'insertion professionnelle, suite à une formation intensive dans les domaines de la conduite et de la mécanique automobile. Ce samedi 29 juin 2024, la cérémonie de clôture de cette formation a marqué non seulement la fin d'un cycle d'apprentissage mais aussi le début d'une nouvelle trajectoire professionnelle pour ces individus. Ce projet, une initiative d'Ivoire Transport soutenue par le Fonds de Développement de la Formation Professionnelle (FDFP) et le Cabinet de Formation du Conseil Academia (CFCA), illustre un effort collaboratif pour lutter contre le chômage parmi les jeunes en Côte d'Ivoire.

Une Formation Axée sur la Pratique et l'Emploi


La formation, étalée sur neuf mois, a été conçue pour répondre aux exigences spécifiques du marché du travail local, en particulier dans les secteurs de la conduite et de la mécanique automobile. Les participants, divisés en 40 chauffeurs et 15 mécaniciens, ont bénéficié d'une approche pédagogique qui allie théorie et pratique, permettant ainsi une immersion réelle dans leurs futurs environnements de travail. « Cette initiative vise à outiller ces jeunes non seulement avec des compétences techniques, mais aussi avec une éthique de travail solide », explique Rachelle Assi, directrice marketing du CFCA.

Au-delà de l'acquisition de compétences, le programme a des implications plus larges, notamment en matière de réduction du chômage et de prévention de la délinquance. Rachelle Assi souligne que « cette formation est également un outil de lutte contre la dépravation des mœurs et la migration sans issue souvent envisagée par la jeunesse désœuvrée ». En effet, par leur intégration dans le monde du travail, ces jeunes sont désormais des vecteurs de changement, porteurs d'espoir pour leurs communautés.

Insertion Professionnelle Réussie


Le succès de ce programme se mesure également à travers l'insertion professionnelle des participants. Sur les 55 jeunes formés, trente ont déjà trouvé un emploi chez Ivoire Transport, signe tangible de l'efficacité du programme. « Cela démontre notre engagement non seulement à former mais aussi à employer », déclare Arnaud Koffi, directeur des ressources humaines chez Ivoire Transport. Il encourage également les jeunes formés à être des ambassadeurs de cette initiative, en partageant leurs expériences positives.

Ouattara Zié, porte-parole des jeunes formés, exprime sa gratitude : « Nous sommes reconnaissants pour cette opportunité qui change notre vie. Nous promettons de faire honneur à cette formation en étant exemplaires dans nos postes respectifs. » Ces paroles reflètent le sentiment général de la cohorte, prête à embrasser pleinement ses nouvelles responsabilités professionnelles.

Ce projet est un exemple de ce que la collaboration entre le secteur privé, les institutions de formation et les organismes gouvernementaux peut réaliser en termes de développement des compétences et d'emploi. Ivoire Transport, existant depuis 2013 et spécialisée dans le transport des hydrocarbures, montre par cet engagement sa volonté de contribuer activement au développement économique local et à la stabilisation sociale.

La formation des 55 jeunes à Koumassi-Abidjan est plus qu'une réussite éducative; c'est une affirmation que l'éducation professionnelle ciblée est une clé pour résoudre certains des défis socio-économiques les plus pressants de la Côte d'Ivoire. Alors que ces jeunes commencent un nouveau chapitre de leur vie, la question demeure : comment d'autres secteurs en Côte d'Ivoire peuvent-ils s'inspirer de ce modèle pour créer des opportunités similaires à travers le pays ?

Image de Business/Investissement. À Koumassi-Abidjan, un groupe de 55 jeunes vient de franchir une étape significative vers l'insertion professionnelle, suite à une formation intensive dans les domaines de la conduite et de la mécanique automobile. Ce samedi 29 juin 2024, la cérémonie de clôture de cette formation a marqué non seulement la fin d'un cycle d'apprentissage mais aussi le début d'une nouvelle trajectoire professionnelle pour ces individus. Ce projet, une initiative d'Ivoire Transport soutenue par le Fonds de Développement de la Formation Professionnelle (FDFP) et le Cabinet de Formation du Conseil Academia (CFCA), illustre un effort collaboratif pour lutter contre le chômage parmi les jeunes en Côte d'Ivoire. Une Formation Axée sur la Pratique et l'Emploi La formation, étalée sur neuf mois, a été conçue pour répondre aux exigences spécifiques du marché du travail local, en particulier dans les secteurs de la conduite et de la mécanique automobile. Les participants, divisés en 40 chauffeurs et 15 mécaniciens, ont bénéficié d'une approche pédagogique qui allie théorie et pratique, permettant ainsi une immersion réelle dans leurs futurs environnements de travail. « Cette initiative vise à outiller ces jeunes non seulement avec des compétences techniques, mais aussi avec une éthique de travail solide », explique Rachelle Assi, directrice marketing du CFCA. Au-delà de l'acquisition de compétences, le programme a des implications plus larges, notamment en matière de réduction du chômage et de prévention de la délinquance. Rachelle Assi souligne que « cette formation est également un outil de lutte contre la dépravation des mœurs et la migration sans issue souvent envisagée par la jeunesse désœuvrée ». En effet, par leur intégration dans le monde du travail, ces jeunes sont désormais des vecteurs de changement, porteurs d'espoir pour leurs communautés. Insertion Professionnelle Réussie Le succès de ce programme se mesure également à travers l'insertion professionnelle des participants. Sur les 55 jeunes formés, trente ont déjà trouvé un emploi chez Ivoire Transport, signe tangible de l'efficacité du programme. « Cela démontre notre engagement non seulement à former mais aussi à employer », déclare Arnaud Koffi, directeur des ressources humaines chez Ivoire Transport. Il encourage également les jeunes formés à être des ambassadeurs de cette initiative, en partageant leurs expériences positives. Ouattara Zié, porte-parole des jeunes formés, exprime sa gratitude : « Nous sommes reconnaissants pour cette opportunité qui change notre vie. Nous promettons de faire honneur à cette formation en étant exemplaires dans nos postes respectifs. » Ces paroles reflètent le sentiment général de la cohorte, prête à embrasser pleinement ses nouvelles responsabilités professionnelles. Ce projet est un exemple de ce que la collaboration entre le secteur privé, les institutions de formation et les organismes gouvernementaux peut réaliser en termes de développement des compétences et d'emploi. Ivoire Transport, existant depuis 2013 et spécialisée dans le transport des hydrocarbures, montre par cet engagement sa volonté de contribuer activement au développement économique local et à la stabilisation sociale. La formation des 55 jeunes à Koumassi-Abidjan est plus qu'une réussite éducative; c'est une affirmation que l'éducation professionnelle ciblée est une clé pour résoudre certains des défis socio-économiques les plus pressants de la Côte d'Ivoire. Alors que ces jeunes commencent un nouveau chapitre de leur vie, la question demeure : comment d'autres secteurs en Côte d'Ivoire peuvent-ils s'inspirer de ce modèle pour créer des opportunités similaires à travers le pays ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Côte d'Ivoire: Lancement Officiel De l'Attestation De Droit d'Usage Coutumier dans Culture le 2 juillet à 18:18

En Côte d’Ivoire, une avancée significative a été réalisée dans la gestion des droits fonciers avec le lancement officiel de l'Attestation de Droit d’Usage Coutumier (ADU). Cette initiative, qui s'est déroulée le 1er juillet 2024 à Abidjan-Plateau, marque un tournant dans la sécurisation des transactions foncières et la reconnaissance des droits coutumiers, dans un pays où la question foncière reste sensible et complexe.

Un Changement de Paradigme dans la Gestion Foncière


La cérémonie de lancement, présidée par Bruno Nabagné Koné, ministre de la Construction, du Logement et de l’Urbanisme, a officialisé la transition vers un système plus sécurisé et transparent pour la gestion des droits fonciers coutumiers. L'ADU, qui remplace l'ancienne attestation villageoise, est désormais le seul document reconnu pour certifier le droit d'usage sur les terres coutumières transformées en parcelles urbaines.

Le ministre Koné a souligné que l'ADU est un document sécurisé, infalsifiable, et doté d'un Identifiant unique du Foncier de Côte d'Ivoire (IDUFCI). Ce dispositif vise à éliminer les doublons et les fraudes souvent associés à l'ancien système d'attestation villageoise. « Aujourd’hui, nous mettons à la disposition des populations un document qui transfère de manière sécurisée les droits d’un détenteur de droits coutumiers à la propriété d’une parcelle de terrain », a-t-il déclaré lors de son discours.

La nouvelle approche simplifie également le processus d'immatriculation des parcelles. Elle garantit que chaque lotissement est approuvé préalablement, offrant ainsi une assurance supplémentaire aux acheteurs. « Cela permet à l'acquéreur de vérifier que le lotissement a été officiellement approuvé et que le document correspondant ne peut pas être dupliqué pour une autre parcelle », a ajouté le ministre Koné.

Impact sur la Capacité de Traitement des Demandes


Avec l'introduction de l'ADU, le ministère prévoit une augmentation substantielle de sa capacité à traiter les demandes de titres fonciers, passant de 17 000 actes par an à 100 000. Cette hausse de productivité est cruciale pour répondre à la demande croissante en matière d'urbanisation et de développement immobilier en Côte d'Ivoire.

Le système revisité réduit considérablement le nombre de documents requis pour la délivrance des titres fonciers, ce qui devrait accélérer les processus et diminuer les coûts associés pour les citoyens. Cette simplification est un pas en avant vers une plus grande efficience et une meilleure accessibilité des services fonciers pour tous les Ivoiriens.

Cette réforme s'inscrit dans un contexte plus large de modernisation et de digitalisation des services publics en Côte d'Ivoire. Elle pose néanmoins des questions quant à l'accès à ces services pour les populations les moins connectées et les défis de la mise en œuvre de telles innovations dans des zones où les droits coutumiers prévalent souvent sur le droit formel.

Le lancement de l'ADU en Côte d'Ivoire représente une avancée majeure dans la sécurisation des droits fonciers et la modernisation de l'administration publique. Toutefois, son succès dépendra de son acceptation par les communautés locales et de l'efficacité de sa mise en œuvre sur le terrain. Avec cette nouvelle étape, le gouvernement ivoirien espère non seulement améliorer la gestion foncière mais aussi encourager l'investissement et le développement à travers le pays. Face à ces innovations, une question demeure : comment assurer que ces avancées bénéficient équitablement à toutes les couches de la population, particulièrement dans les régions les plus reculées ?

Image de Culture. En Côte d’Ivoire, une avancée significative a été réalisée dans la gestion des droits fonciers avec le lancement officiel de l'Attestation de Droit d’Usage Coutumier (ADU). Cette initiative, qui s'est déroulée le 1er juillet 2024 à Abidjan-Plateau, marque un tournant dans la sécurisation des transactions foncières et la reconnaissance des droits coutumiers, dans un pays où la question foncière reste sensible et complexe. Un Changement de Paradigme dans la Gestion Foncière La cérémonie de lancement, présidée par Bruno Nabagné Koné, ministre de la Construction, du Logement et de l’Urbanisme, a officialisé la transition vers un système plus sécurisé et transparent pour la gestion des droits fonciers coutumiers. L'ADU, qui remplace l'ancienne attestation villageoise, est désormais le seul document reconnu pour certifier le droit d'usage sur les terres coutumières transformées en parcelles urbaines. Le ministre Koné a souligné que l'ADU est un document sécurisé, infalsifiable, et doté d'un Identifiant unique du Foncier de Côte d'Ivoire (IDUFCI). Ce dispositif vise à éliminer les doublons et les fraudes souvent associés à l'ancien système d'attestation villageoise. « Aujourd’hui, nous mettons à la disposition des populations un document qui transfère de manière sécurisée les droits d’un détenteur de droits coutumiers à la propriété d’une parcelle de terrain », a-t-il déclaré lors de son discours. La nouvelle approche simplifie également le processus d'immatriculation des parcelles. Elle garantit que chaque lotissement est approuvé préalablement, offrant ainsi une assurance supplémentaire aux acheteurs. « Cela permet à l'acquéreur de vérifier que le lotissement a été officiellement approuvé et que le document correspondant ne peut pas être dupliqué pour une autre parcelle », a ajouté le ministre Koné. Impact sur la Capacité de Traitement des Demandes Avec l'introduction de l'ADU, le ministère prévoit une augmentation substantielle de sa capacité à traiter les demandes de titres fonciers, passant de 17 000 actes par an à 100 000. Cette hausse de productivité est cruciale pour répondre à la demande croissante en matière d'urbanisation et de développement immobilier en Côte d'Ivoire. Le système revisité réduit considérablement le nombre de documents requis pour la délivrance des titres fonciers, ce qui devrait accélérer les processus et diminuer les coûts associés pour les citoyens. Cette simplification est un pas en avant vers une plus grande efficience et une meilleure accessibilité des services fonciers pour tous les Ivoiriens. Cette réforme s'inscrit dans un contexte plus large de modernisation et de digitalisation des services publics en Côte d'Ivoire. Elle pose néanmoins des questions quant à l'accès à ces services pour les populations les moins connectées et les défis de la mise en œuvre de telles innovations dans des zones où les droits coutumiers prévalent souvent sur le droit formel. Le lancement de l'ADU en Côte d'Ivoire représente une avancée majeure dans la sécurisation des droits fonciers et la modernisation de l'administration publique. Toutefois, son succès dépendra de son acceptation par les communautés locales et de l'efficacité de sa mise en œuvre sur le terrain. Avec cette nouvelle étape, le gouvernement ivoirien espère non seulement améliorer la gestion foncière mais aussi encourager l'investissement et le développement à travers le pays. Face à ces innovations, une question demeure : comment assurer que ces avancées bénéficient équitablement à toutes les couches de la population, particulièrement dans les régions les plus reculées ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Côte d'Ivoire: Kerozen Vise Le Zenith De Paris En 2025 Après l'Échec Au Bataclan dans Musique/Radio le 2 juillet à 18:14

2025 s'annonce comme une année de grand retour pour l'artiste ivoirien Kerozen. Après un concert au Bataclan annulé en 2023 suite à des complications inattendues, le chanteur coupé-décalé est déterminé à retrouver son public parisien en grande pompe. C'est au Zénith de Paris La Villette, une salle emblématique de la capitale française, que Kerozen prévoit de marquer son retour, le 12 juillet 2025. Ce concert représente plus qu'une simple performance ; c'est une déclaration de persévérance et de foi en l'avenir.

Un Premier Rendez-vous Manqué


Le parcours de Kerozen vers le Zénith a été semé d'embûches. En décembre 2022, il avait initialement prévu de se produire au Bataclan, un lieu chargé d'histoire musicale et personnelle. Toutefois, ce projet a été reporté à avril 2023, puis finalement annulé. « On m'avait dit, je ne croyais pas, je suis à Paris depuis hier et je constate le boycott de mon concert au Bataclan ! », avait déclaré Kerozen sur sa page Facebook, révélant les défis auxquels il était confronté.

Malgré les déceptions, Kerozen n'a pas perdu espoir. Soutenu par sa productrice, Emma Dobré, et par une communauté de fans fidèles, il a choisi de transformer l'adversité en opportunité. « L’Élu de Dieu au Zénith Paris – La Villette le 12 Juillet 2025. Jusqu’à présent, Dieu m’a toujours secouru. Je lui rends la gloire. C’est relancé ! Ensemble, nous le ferons », partage-t-il sur Facebook, annonçant son futur concert avec une foi renouvelée.

Pour ce rendez-vous très attendu, Kerozen prévoit un spectacle qui promet d'être époustouflant. Les détails sont gardés secrets, mais l'artiste a laissé entendre que ce concert serait l'occasion de présenter de nouvelles compositions et de revisiter les grands succès de son album "Puissance 10". Cette performance est conçue pour être une célébration de la musique, de la culture, et surtout, un témoignage de la capacité de rebondir après l'échec.

Un Message d'Espoir et de Détermination


Kerozen veut faire de ce concert un symbole de résilience pour ses fans et pour lui-même. « On peut relancer… Quelle que soit la situation, on peut toujours relancer », affiche-t-il sur une autre publication, illustrant sa détermination à avancer malgré les obstacles. Ce message d'espoir résonne particulièrement dans un contexte où de nombreux artistes africains luttent pour se faire une place sur la scène internationale.

Le concert de Kerozen au Zénith de Paris en juillet 2025 ne sera pas seulement un spectacle musical, mais un événement chargé d'émotions et de significations. Après un parcours complexe marqué par des annulations et des défis inattendus, Kerozen est prêt à se présenter à ses fans comme un artiste transformé, fort de ses expériences. Ce retour triomphal sera-t-il le point de départ d'une nouvelle ère pour le chanteur ivoirien sur la scène internationale ?

Image de Musique/Radio. 2025 s'annonce comme une année de grand retour pour l'artiste ivoirien Kerozen. Après un concert au Bataclan annulé en 2023 suite à des complications inattendues, le chanteur coupé-décalé est déterminé à retrouver son public parisien en grande pompe. C'est au Zénith de Paris La Villette, une salle emblématique de la capitale française, que Kerozen prévoit de marquer son retour, le 12 juillet 2025. Ce concert représente plus qu'une simple performance ; c'est une déclaration de persévérance et de foi en l'avenir. Un Premier Rendez-vous Manqué Le parcours de Kerozen vers le Zénith a été semé d'embûches. En décembre 2022, il avait initialement prévu de se produire au Bataclan, un lieu chargé d'histoire musicale et personnelle. Toutefois, ce projet a été reporté à avril 2023, puis finalement annulé. « On m'avait dit, je ne croyais pas, je suis à Paris depuis hier et je constate le boycott de mon concert au Bataclan ! », avait déclaré Kerozen sur sa page Facebook, révélant les défis auxquels il était confronté. Malgré les déceptions, Kerozen n'a pas perdu espoir. Soutenu par sa productrice, Emma Dobré, et par une communauté de fans fidèles, il a choisi de transformer l'adversité en opportunité. « L’Élu de Dieu au Zénith Paris – La Villette le 12 Juillet 2025. Jusqu’à présent, Dieu m’a toujours secouru. Je lui rends la gloire. C’est relancé ! Ensemble, nous le ferons », partage-t-il sur Facebook, annonçant son futur concert avec une foi renouvelée. Pour ce rendez-vous très attendu, Kerozen prévoit un spectacle qui promet d'être époustouflant. Les détails sont gardés secrets, mais l'artiste a laissé entendre que ce concert serait l'occasion de présenter de nouvelles compositions et de revisiter les grands succès de son album "Puissance 10". Cette performance est conçue pour être une célébration de la musique, de la culture, et surtout, un témoignage de la capacité de rebondir après l'échec. Un Message d'Espoir et de Détermination Kerozen veut faire de ce concert un symbole de résilience pour ses fans et pour lui-même. « On peut relancer… Quelle que soit la situation, on peut toujours relancer », affiche-t-il sur une autre publication, illustrant sa détermination à avancer malgré les obstacles. Ce message d'espoir résonne particulièrement dans un contexte où de nombreux artistes africains luttent pour se faire une place sur la scène internationale. Le concert de Kerozen au Zénith de Paris en juillet 2025 ne sera pas seulement un spectacle musical, mais un événement chargé d'émotions et de significations. Après un parcours complexe marqué par des annulations et des défis inattendus, Kerozen est prêt à se présenter à ses fans comme un artiste transformé, fort de ses expériences. Ce retour triomphal sera-t-il le point de départ d'une nouvelle ère pour le chanteur ivoirien sur la scène internationale ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Charlotte Dipanda Sur La Chanteuse Josey: ‘’Elle a Quelque Chose En Elle’’ dans Musique/Radio le 2 juillet à 18:10

Dans le paysage musical africain riche et diversifié, certaines voix émergent avec une clarté et une présence qui captent l'attention bien au-delà des frontières de leurs pays d'origine. Josey, l'étoile montante de la Côte d'Ivoire, en fait indubitablement partie. Son talent exceptionnel a capturé l'admiration de plusieurs grands noms de la musique, dont Charlotte Dipanda, la diva camerounaise renommée pour sa voix suave et ses mélodies envoûtantes. Cette dernière ne tarit pas d'éloges sur sa consœur, soulignant une fraîcheur et une originalité qui la placent comme une figure prometteuse de la musique ivoirienne.

Un Talent Reconnaissable et Célébré


Josey, depuis ses premiers pas dans l'industrie musicale, a tracé un chemin impressionnant. De ses débuts avec des chansons qui touchaient le cœur de son public à son dernier album "Vibration universelle", elle a su évoluer tout en restant fidèle à ses racines et à son identité artistique. Sa capacité à mêler rythmes traditionnels et contemporains fait d'elle une artiste à part entière, dont la musique résonne avec une profondeur rare.

Charlotte Dipanda, lors d'une récente interview, a exprimé son admiration pour le parcours et le potentiel de Josey. « Elle a une fraîcheur, elle a quelque chose en elle... Je ne sais pas si c’est générationnel. Pour moi, elle fait partie de l’espoir de la musique ivoirienne aujourd'hui. Elle est vraiment une artiste complète, très bonne vocaliste et c'est quelqu'un qui a beaucoup de sensibilités, avec une intelligence dans la manière d'aborder ses mélodies », confie Charlotte.

La première fois que Charlotte Dipanda a entendu Josey chanter, elle fut immédiatement captivée. « WAW, c’est qui cette fille ? Elle a vraiment un gros potentiel », se souvient-elle avoir pensé. Ce potentiel s'est confirmé au fil des années, comme en témoignent les salles comble lors des concerts de Josey et la reconnaissance croissante qu'elle reçoit de ses pairs.

L'Impact de Josey sur la Scène Musicale Ivoirienne


L'impact de Josey ne se limite pas seulement à sa musique; elle joue également un rôle crucial dans la redéfinition de l'image de la femme dans l'industrie musicale africaine. En brisant les barrières et en démontrant qu'une femme peut à la fois être une force créative et un modèle pour la jeunesse, Josey inspire une nouvelle génération d'artistes féminines en Côte d'Ivoire et au-delà.

Dans un mois, Josey se produira au Parc des expositions d’Abidjan, un événement très attendu qui promet de rassembler ses fans et de consolider sa place dans le panthéon musical africain. Ce concert, qui se profile comme un jalon important de sa carrière, offrira à ses admirateurs une nouvelle occasion de vivre l'intensité de son art en direct.

À mesure que Josey continue de tracer son chemin dans le firmament musical, elle ne cesse de prouver que le talent, l'authenticité et la persévérance sont les clés du succès durable. Charlotte Dipanda, par ses mots, ne fait que souligner ce que beaucoup ressentent déjà à l'égard de cette artiste exceptionnelle. Alors que Josey s'apprête à captiver une fois de plus son public à Abidjan, une question demeure : jusqu'où sa fraîcheur et son innovation la mèneront-elles dans le futur de la musique africaine ?

Image de Musique/Radio. Dans le paysage musical africain riche et diversifié, certaines voix émergent avec une clarté et une présence qui captent l'attention bien au-delà des frontières de leurs pays d'origine. Josey, l'étoile montante de la Côte d'Ivoire, en fait indubitablement partie. Son talent exceptionnel a capturé l'admiration de plusieurs grands noms de la musique, dont Charlotte Dipanda, la diva camerounaise renommée pour sa voix suave et ses mélodies envoûtantes. Cette dernière ne tarit pas d'éloges sur sa consœur, soulignant une fraîcheur et une originalité qui la placent comme une figure prometteuse de la musique ivoirienne. Un Talent Reconnaissable et Célébré Josey, depuis ses premiers pas dans l'industrie musicale, a tracé un chemin impressionnant. De ses débuts avec des chansons qui touchaient le cœur de son public à son dernier album "Vibration universelle", elle a su évoluer tout en restant fidèle à ses racines et à son identité artistique. Sa capacité à mêler rythmes traditionnels et contemporains fait d'elle une artiste à part entière, dont la musique résonne avec une profondeur rare. Charlotte Dipanda, lors d'une récente interview, a exprimé son admiration pour le parcours et le potentiel de Josey. « Elle a une fraîcheur, elle a quelque chose en elle... Je ne sais pas si c’est générationnel. Pour moi, elle fait partie de l’espoir de la musique ivoirienne aujourd'hui. Elle est vraiment une artiste complète, très bonne vocaliste et c'est quelqu'un qui a beaucoup de sensibilités, avec une intelligence dans la manière d'aborder ses mélodies », confie Charlotte. La première fois que Charlotte Dipanda a entendu Josey chanter, elle fut immédiatement captivée. « WAW, c’est qui cette fille ? Elle a vraiment un gros potentiel », se souvient-elle avoir pensé. Ce potentiel s'est confirmé au fil des années, comme en témoignent les salles comble lors des concerts de Josey et la reconnaissance croissante qu'elle reçoit de ses pairs. L'Impact de Josey sur la Scène Musicale Ivoirienne L'impact de Josey ne se limite pas seulement à sa musique; elle joue également un rôle crucial dans la redéfinition de l'image de la femme dans l'industrie musicale africaine. En brisant les barrières et en démontrant qu'une femme peut à la fois être une force créative et un modèle pour la jeunesse, Josey inspire une nouvelle génération d'artistes féminines en Côte d'Ivoire et au-delà. Dans un mois, Josey se produira au Parc des expositions d’Abidjan, un événement très attendu qui promet de rassembler ses fans et de consolider sa place dans le panthéon musical africain. Ce concert, qui se profile comme un jalon important de sa carrière, offrira à ses admirateurs une nouvelle occasion de vivre l'intensité de son art en direct. À mesure que Josey continue de tracer son chemin dans le firmament musical, elle ne cesse de prouver que le talent, l'authenticité et la persévérance sont les clés du succès durable. Charlotte Dipanda, par ses mots, ne fait que souligner ce que beaucoup ressentent déjà à l'égard de cette artiste exceptionnelle. Alors que Josey s'apprête à captiver une fois de plus son public à Abidjan, une question demeure : jusqu'où sa fraîcheur et son innovation la mèneront-elles dans le futur de la musique africaine ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit CAN 2025: Le Coach Emerse Faé Participera Au Tirage Au Sort Des Éliminatoires dans Football le 2 juillet à 18:04

En juillet 2024, les yeux du monde du football africain se tourneront vers Johannesburg, où se déroulera le tirage au sort des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des Nations 2025 (CAN 2025). Parmi les figures attendues, Emerse Faé, le sélectionneur victorieux de la Côte d’Ivoire lors de l’édition précédente, jouera un rôle clé. Au-delà de sa simple participation, cette cérémonie représente un moment de convergence des aspirations continentales et de réaffirmation des ambitions ivoiriennes.

La Trajectoire de Faé: D'une Carrière de Joueur à un Rôle de Leader


Emerse Faé, à l’âge de 40 ans, incarne l'esprit de persévérance et de renouveau dans le football africain. Ancien milieu défensif de talent, sa reconversion en sélectionneur a été couronnée par un triomphe à la CAN 2023, un événement qui a vu les Éléphants de Côte d’Ivoire remporter le prestigieux trophée sous son intérim. « Son ascension est un véritable conte de fées, marqué par un retournement spectaculaire qui restera dans les annales du football africain », souligne un communiqué de la CAF.

Lors de la cérémonie du tirage au sort, prévue pour le 4 juillet 2024, Emerse Faé ne sera pas seulement présent en tant qu'observateur, mais aussi en tant qu'assistant du processus. Ce rôle, bien que symbolique, souligne l'importance de son expérience et de son approche tactique, reconnues au-delà des frontières de son pays natal. La CAF exprime ainsi une reconnaissance non seulement pour son expertise mais également pour son influence inspirante dans le milieu.

Le tirage réunira des équipes de toute l'Afrique, chacune portant l’espoir de sa nation. Des géants du football comme le Nigeria, l'Algérie et l'Égypte aux équipes montantes telles que le Cap-Vert et le Burundi, la diversité des talents promet une compétition acharnée et des rencontres électrisantes. Le Maroc, pays hôte de l'édition 2025, participe également avec des ambitions renforcées, ayant investi massivement dans les infrastructures sportives et la formation.


https://www.youtube.com/watch?v=HOuY7SHMGtE

Enjeux et Perspectives pour la Côte d'Ivoire


Sous la houlette de Faé, la Côte d’Ivoire envisage cette nouvelle édition avec confiance mais aussi avec prudence. L'objectif est clair : réitérer le succès de 2023. Pourtant, les défis sont nombreux, incluant la pression de défendre un titre et la nécessité de renouveler une équipe vieillissante. "Nous devons rester humbles et concentrés, chaque match sera une bataille", confie Faé lors d'une interview récente.

La CAN est bien plus qu'un tournoi sportif; c'est un vecteur de développement et d'unité. Elle offre une plateforme où les talents locaux peuvent s'épanouir et se faire remarquer sur la scène internationale. Pour de nombreux jeunes joueurs, c'est l'opportunité de suivre les traces de légendes comme Faé et de marquer l'histoire.

À l'approche du tirage au sort de la CAN 2025, l'excitation est palpable, et les enjeux, élevés. Emerse Faé, avec son parcours exemplaire et sa vision stratégique, sera sans doute au centre des attentions. Alors que la nouvelle génération de footballeurs africains se prépare à entrer en scène, la question demeure : qui émergera comme le nouveau champion d'Afrique, prêt à revendiquer la gloire sur les terres marocaines ?

Image de Football. En juillet 2024, les yeux du monde du football africain se tourneront vers Johannesburg, où se déroulera le tirage au sort des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des Nations 2025 (CAN 2025). Parmi les figures attendues, Emerse Faé, le sélectionneur victorieux de la Côte d’Ivoire lors de l’édition précédente, jouera un rôle clé. Au-delà de sa simple participation, cette cérémonie représente un moment de convergence des aspirations continentales et de réaffirmation des ambitions ivoiriennes. La Trajectoire de Faé: D'une Carrière de Joueur à un Rôle de Leader Emerse Faé, à l’âge de 40 ans, incarne l'esprit de persévérance et de renouveau dans le football africain. Ancien milieu défensif de talent, sa reconversion en sélectionneur a été couronnée par un triomphe à la CAN 2023, un événement qui a vu les Éléphants de Côte d’Ivoire remporter le prestigieux trophée sous son intérim. « Son ascension est un véritable conte de fées, marqué par un retournement spectaculaire qui restera dans les annales du football africain », souligne un communiqué de la CAF. Lors de la cérémonie du tirage au sort, prévue pour le 4 juillet 2024, Emerse Faé ne sera pas seulement présent en tant qu'observateur, mais aussi en tant qu'assistant du processus. Ce rôle, bien que symbolique, souligne l'importance de son expérience et de son approche tactique, reconnues au-delà des frontières de son pays natal. La CAF exprime ainsi une reconnaissance non seulement pour son expertise mais également pour son influence inspirante dans le milieu. Le tirage réunira des équipes de toute l'Afrique, chacune portant l’espoir de sa nation. Des géants du football comme le Nigeria, l'Algérie et l'Égypte aux équipes montantes telles que le Cap-Vert et le Burundi, la diversité des talents promet une compétition acharnée et des rencontres électrisantes. Le Maroc, pays hôte de l'édition 2025, participe également avec des ambitions renforcées, ayant investi massivement dans les infrastructures sportives et la formation. Enjeux et Perspectives pour la Côte d'Ivoire Sous la houlette de Faé, la Côte d’Ivoire envisage cette nouvelle édition avec confiance mais aussi avec prudence. L'objectif est clair : réitérer le succès de 2023. Pourtant, les défis sont nombreux, incluant la pression de défendre un titre et la nécessité de renouveler une équipe vieillissante. "Nous devons rester humbles et concentrés, chaque match sera une bataille", confie Faé lors d'une interview récente. La CAN est bien plus qu'un tournoi sportif; c'est un vecteur de développement et d'unité. Elle offre une plateforme où les talents locaux peuvent s'épanouir et se faire remarquer sur la scène internationale. Pour de nombreux jeunes joueurs, c'est l'opportunité de suivre les traces de légendes comme Faé et de marquer l'histoire. À l'approche du tirage au sort de la CAN 2025, l'excitation est palpable, et les enjeux, élevés. Emerse Faé, avec son parcours exemplaire et sa vision stratégique, sera sans doute au centre des attentions. Alors que la nouvelle génération de footballeurs africains se prépare à entrer en scène, la question demeure : qui émergera comme le nouveau champion d'Afrique, prêt à revendiquer la gloire sur les terres marocaines ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Week-End Crucial Pour Le RHDP, PPA-CI, Et PDCI; Pression Sur Ouattara dans Politique le 1 juillet à 12:38

Alors que la Côte d'Ivoire se rapproche des élections présidentielles de 2025, le paysage politique s'intensifie avec des préparations actives des principaux partis politiques. En parallèle, le domaine sportif offre un moment de célébration alors que l'Africa Sports d'Abidjan remporte le championnat de Ligue 2, annonçant son retour en première division.

La Dynamique Politique en Ébullition


Les partis politiques ivoiriens, avec moins de quinze mois avant l'élection présidentielle, multiplient les initiatives pour consolider leurs bases. Le PDCI-RDA, dirigé par Tidjane Thiam, continue de gagner du terrain. Après une démonstration remarquée à Soubré, Thiam a pris la parole à Dabou, critiquant ouvertement la gouvernance actuelle et appelant à une conquête du pouvoir par des moyens pacifiques. Ces propos, répercutés par le journal "Dernière Heure", résonnent comme un appel au changement.

La question de la candidature du président Alassane Ouattara pour un autre mandat reste en suspens. Malgré l'ambiguïté de sa position, des figures de son parti, le RHDP, le pressent de se représenter. Un rassemblement à Divo a été marqué par un soutien vocal pour sa candidature, soulignant une "mobilisation historique" et un engagement régional clair en faveur de sa reconduction.

Laurent Gbagbo et son parti, le PPA-CI, ne sont pas en reste. Ils ont organisé une formation pour des milliers d'instituteurs, mobilisant un soutien éducatif pour renforcer leur campagne. Ce type d'activité montre une stratégie de mobilisation de base, visant à ancrer le parti dans divers secteurs de la société ivoirienne.

L'Africa Sports, un Souffle de Victoire


Dans un contexte totalement différent, l'Africa Sports d'Abidjan a remporté le titre de la Ligue 2, après une victoire contre Olympic Sport d'Abobo. Ce succès, bien plus qu'un simple trophée, symbolise la résilience et l'espoir pour le club historique, prêt à faire son grand retour en Ligue 1.

La juxtaposition des préparatifs électoraux intenses et des célébrations sportives en Côte d'Ivoire peint un tableau de la dualité des passions qui animent le pays. Alors que les partis politiques préparent le terrain pour 2025, la population trouve aussi dans le sport un canal pour l'expression de la fierté nationale et locale.

À l'approche des élections, comment les partis politiques vont-ils continuer à engager les citoyens pour façonner l'avenir du pays, et quel rôle joueront les succès sportifs dans l'unité nationale?

Image de Politique. Alors que la Côte d'Ivoire se rapproche des élections présidentielles de 2025, le paysage politique s'intensifie avec des préparations actives des principaux partis politiques. En parallèle, le domaine sportif offre un moment de célébration alors que l'Africa Sports d'Abidjan remporte le championnat de Ligue 2, annonçant son retour en première division. La Dynamique Politique en Ébullition Les partis politiques ivoiriens, avec moins de quinze mois avant l'élection présidentielle, multiplient les initiatives pour consolider leurs bases. Le PDCI-RDA, dirigé par Tidjane Thiam, continue de gagner du terrain. Après une démonstration remarquée à Soubré, Thiam a pris la parole à Dabou, critiquant ouvertement la gouvernance actuelle et appelant à une conquête du pouvoir par des moyens pacifiques. Ces propos, répercutés par le journal "Dernière Heure", résonnent comme un appel au changement. La question de la candidature du président Alassane Ouattara pour un autre mandat reste en suspens. Malgré l'ambiguïté de sa position, des figures de son parti, le RHDP, le pressent de se représenter. Un rassemblement à Divo a été marqué par un soutien vocal pour sa candidature, soulignant une "mobilisation historique" et un engagement régional clair en faveur de sa reconduction. Laurent Gbagbo et son parti, le PPA-CI, ne sont pas en reste. Ils ont organisé une formation pour des milliers d'instituteurs, mobilisant un soutien éducatif pour renforcer leur campagne. Ce type d'activité montre une stratégie de mobilisation de base, visant à ancrer le parti dans divers secteurs de la société ivoirienne. L'Africa Sports, un Souffle de Victoire Dans un contexte totalement différent, l'Africa Sports d'Abidjan a remporté le titre de la Ligue 2, après une victoire contre Olympic Sport d'Abobo. Ce succès, bien plus qu'un simple trophée, symbolise la résilience et l'espoir pour le club historique, prêt à faire son grand retour en Ligue 1. La juxtaposition des préparatifs électoraux intenses et des célébrations sportives en Côte d'Ivoire peint un tableau de la dualité des passions qui animent le pays. Alors que les partis politiques préparent le terrain pour 2025, la population trouve aussi dans le sport un canal pour l'expression de la fierté nationale et locale. À l'approche des élections, comment les partis politiques vont-ils continuer à engager les citoyens pour façonner l'avenir du pays, et quel rôle joueront les succès sportifs dans l'unité nationale?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Littérature: Zoundjihekpon Explore Les Vertus De l'Igname Dans Son Ouvrage dans Littérature le 1 juillet à 12:33

Le 28 juin 2024, l'université Nangui Abrogoua d'Abobo a été le théâtre d'un événement marquant pour la communauté scientifique et académique de Côte d'Ivoire. La Professeure Jeanne G. Zoundjihekpon, éminente chercheuse d'origine béninoise, y a présenté son travail de plusieurs années sur l'igname, ce tubercule ancré dans les traditions et l'économie de l'Afrique de l'Ouest. La cérémonie de dédicace de son livre, "L’igname, une plante noble au futur pluriel", a rassemblé des enseignants-chercheurs, des professeurs d’universités et de nombreux étudiants, illustrant la portée de ses recherches.

L'Igname : Au Cœur de la Recherche et de l'Innovation


Le livre de la Professeure Zoundjihekpon, préfacé par le Professeur Karim Dramane, titulaire émérite des universités nationales du Bénin, et écrit en collaboration avec feu Roland Dumont du Cirad, se divise en deux grandes parties. La première, intitulée "Une ressource vivrière ancestrale en voie d'adaptation à l'agriculture moderne", examine comment l'igname, traditionnellement cultivée, s'adapte aux techniques agricoles contemporaines.

La seconde partie, "Introduction des graines comme semences dans la production des ignames en Afrique de l'ouest", propose une innovation majeure : l'utilisation de graines pour la culture de l'igname, potentiellement révolutionnaire pour l'agriculture paysanne. Le travail de Zoundjihekpon ne se limite pas à l'aspect botanique ; il aborde également la diversité génétique des ignames, menacée et pourtant cruciale pour la sécurité alimentaire future. Son livre détaille les variétés d'ignames, leur importance dans l'agriculture ouest-africaine, et les défis posés par la modernisation des pratiques agricoles.

Le dernier chapitre du livre met en lumière une collaboration réussie entre la recherche scientifique et les agriculteurs locaux, qui ont ensemble développé de nouvelles méthodes de pépinière pour les ignames. Cette initiative a permis aux agriculteurs de sélectionner et d'adapter des clones d'ignames à leurs environnements spécifiques sans intervention extérieure directe, une démarche vers plus d'autonomie et de résilience.

En conclusion de son ouvrage, Jeanne Zoundjihekpon plaide pour la reconnaissance des droits des communautés locales dans la gestion et la conservation de la biodiversité de l'igname. Elle souligne l'importance de protéger les savoirs traditionnels et les ressources génétiques contre l'exploitation commerciale non régulée.

Perspectives Futures et Engagement Communautaire


Selon le Dr. Kouakou Amani Michel, directeur du CNRA, l'ouvrage révèle non seulement la "noblesse de l'igname" mais aussi son "futur pluriel". Il souligne la nécessité de comprendre les interactions complexes entre le génotype des ignames et leur environnement pour optimiser leur culture, un défi que Zoundjihekpon a commencé à relever. Le Professeur Zoro Bi Irié Arsène, vice-président de l'université, a conclu la cérémonie en incitant les chercheurs locaux à intensifier leurs efforts dans la recherche agronomique, afin de continuer à enrichir le patrimoine scientifique de la Côte d'Ivoire.

La présentation de "L’igname, une plante noble au futur pluriel" par Jeanne Zoundjihekpon marque un tournant pour la recherche agronomique en Afrique de l'Ouest. En liant étroitement tradition et innovation, elle propose des pistes pour un développement agricole durable et respectueux des écosystèmes locaux. Ce travail est un hommage à la fois au passé et à l'avenir de l'agriculture africaine. Dans ce contexte, quelle peut être la contribution des jeunes chercheurs africains pour continuer à valoriser et à développer les ressources agricoles locales telles que l'igname?

Image de Littérature. Le 28 juin 2024, l'université Nangui Abrogoua d'Abobo a été le théâtre d'un événement marquant pour la communauté scientifique et académique de Côte d'Ivoire. La Professeure Jeanne G. Zoundjihekpon, éminente chercheuse d'origine béninoise, y a présenté son travail de plusieurs années sur l'igname, ce tubercule ancré dans les traditions et l'économie de l'Afrique de l'Ouest. La cérémonie de dédicace de son livre, "L’igname, une plante noble au futur pluriel", a rassemblé des enseignants-chercheurs, des professeurs d’universités et de nombreux étudiants, illustrant la portée de ses recherches. L'Igname : Au Cœur de la Recherche et de l'Innovation Le livre de la Professeure Zoundjihekpon, préfacé par le Professeur Karim Dramane, titulaire émérite des universités nationales du Bénin, et écrit en collaboration avec feu Roland Dumont du Cirad, se divise en deux grandes parties. La première, intitulée "Une ressource vivrière ancestrale en voie d'adaptation à l'agriculture moderne", examine comment l'igname, traditionnellement cultivée, s'adapte aux techniques agricoles contemporaines. La seconde partie, "Introduction des graines comme semences dans la production des ignames en Afrique de l'ouest", propose une innovation majeure : l'utilisation de graines pour la culture de l'igname, potentiellement révolutionnaire pour l'agriculture paysanne. Le travail de Zoundjihekpon ne se limite pas à l'aspect botanique ; il aborde également la diversité génétique des ignames, menacée et pourtant cruciale pour la sécurité alimentaire future. Son livre détaille les variétés d'ignames, leur importance dans l'agriculture ouest-africaine, et les défis posés par la modernisation des pratiques agricoles. Le dernier chapitre du livre met en lumière une collaboration réussie entre la recherche scientifique et les agriculteurs locaux, qui ont ensemble développé de nouvelles méthodes de pépinière pour les ignames. Cette initiative a permis aux agriculteurs de sélectionner et d'adapter des clones d'ignames à leurs environnements spécifiques sans intervention extérieure directe, une démarche vers plus d'autonomie et de résilience. En conclusion de son ouvrage, Jeanne Zoundjihekpon plaide pour la reconnaissance des droits des communautés locales dans la gestion et la conservation de la biodiversité de l'igname. Elle souligne l'importance de protéger les savoirs traditionnels et les ressources génétiques contre l'exploitation commerciale non régulée. Perspectives Futures et Engagement Communautaire Selon le Dr. Kouakou Amani Michel, directeur du CNRA, l'ouvrage révèle non seulement la "noblesse de l'igname" mais aussi son "futur pluriel". Il souligne la nécessité de comprendre les interactions complexes entre le génotype des ignames et leur environnement pour optimiser leur culture, un défi que Zoundjihekpon a commencé à relever. Le Professeur Zoro Bi Irié Arsène, vice-président de l'université, a conclu la cérémonie en incitant les chercheurs locaux à intensifier leurs efforts dans la recherche agronomique, afin de continuer à enrichir le patrimoine scientifique de la Côte d'Ivoire. La présentation de "L’igname, une plante noble au futur pluriel" par Jeanne Zoundjihekpon marque un tournant pour la recherche agronomique en Afrique de l'Ouest. En liant étroitement tradition et innovation, elle propose des pistes pour un développement agricole durable et respectueux des écosystèmes locaux. Ce travail est un hommage à la fois au passé et à l'avenir de l'agriculture africaine. Dans ce contexte, quelle peut être la contribution des jeunes chercheurs africains pour continuer à valoriser et à développer les ressources agricoles locales telles que l'igname?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Cajou: Les Exportateurs Contournent Les Ventes Aux Transformateurs Locaux dans Agriculture le 1 juillet à 12:29

La Côte d'Ivoire, l'un des leaders mondiaux dans la production de noix de cajou, se trouve à un carrefour critique. La gestion des stocks de noix brutes destinés aux marchés internationaux et locaux soulève des problématiques de souveraineté économique et de développement industriel. Malgré les tentatives de régulation, les transformateurs locaux peinent à obtenir les quantités nécessaires pour leur production, une situation exacerbée par les pratiques controversées des exportateurs.

Mesures Gouvernementales Contournées


En avril 2024, face à un manque récurrent d'approvisionnement des transformateurs locaux, le gouvernement ivoirien interdit l'exportation de 160 000 tonnes de noix brutes. L'objectif était clair : réserver ces stocks pour les besoins des usines locales et réduire la dépendance aux marchés extérieurs. Cependant, cette initiative bien intentionnée n'a pas porté ses fruits comme prévu.

Le lobby des exportateurs, influent et bien organisé, a réussi à négocier avec le Conseil Coton et Anacarde (CCA) la vente de seulement 30 000 tonnes de ces stocks aux transformateurs locaux, à un prix largement supérieur à celui du marché. Cette concession a largement déçu les attentes des industriels locaux, les laissant avec une fraction insuffisante pour couvrir leurs besoins opérationnels.

Les transformateurs, déjà confrontés à des défis logistiques et financiers, se sont heurtés à un autre obstacle majeur : la qualité des noix proposées. Les analyses révèlent que la majorité de ces 30 000 tonnes étaient de qualité médiocre, peu propices à une transformation locale efficace. Les coûts prohibitifs et la faible qualité des noix ont rendu leur acquisition économiquement non viable.

Faute de matières premières suffisantes et de qualité, les transformateurs locaux sont contraints de fonctionner en sous-capacité, ce qui entrave leur compétitivité et leur développement. Cette situation récurrente met en péril la viabilité de l'industrie de transformation du cajou en Côte d'Ivoire, censée générer de la valeur ajoutée et des emplois locaux.


https://www.youtube.com/watch?v=Kf8fax3tSEc

Problèmes Structurels et Solutions Potentielles


L'absence de supervision rigoureuse et d'arbitrage par le CCA lors de la cession des stocks illustre un manque de contrôle qui bénéficie aux exportateurs aux dépens des acteurs locaux. Ce déséquilibre dans la gestion des stocks et la fixation des prix nécessite une réforme urgente pour assurer une distribution équitable et transparente des ressources.

Il est impératif d'adopter un modèle de régulation similaire à celui de la filière cacao, où des mesures protectrices garantissent un équilibre entre les exportateurs et les transformateurs. Cela inclurait des transferts de stocks à des prix justes et une qualité garantie, assurant ainsi la pérennité et l'efficacité de toute la chaîne de valeur du cajou.

La filière cajou en Côte d'Ivoire se trouve à un tournant. Les défis rencontrés par les transformateurs locaux soulignent la nécessité d'une intervention gouvernementale plus forte et plus cohérente pour assurer une distribution équitable des ressources. Les réformes proposées doivent être rapidement mises en œuvre pour éviter que le secteur ne stagne ou ne régresse. La question demeure : comment le gouvernement peut-il renforcer sa régulation pour soutenir véritablement l'industrialisation de la filière cajou et favoriser le développement économique local ?

Image de Agriculture. La Côte d'Ivoire, l'un des leaders mondiaux dans la production de noix de cajou, se trouve à un carrefour critique. La gestion des stocks de noix brutes destinés aux marchés internationaux et locaux soulève des problématiques de souveraineté économique et de développement industriel. Malgré les tentatives de régulation, les transformateurs locaux peinent à obtenir les quantités nécessaires pour leur production, une situation exacerbée par les pratiques controversées des exportateurs. Mesures Gouvernementales Contournées En avril 2024, face à un manque récurrent d'approvisionnement des transformateurs locaux, le gouvernement ivoirien interdit l'exportation de 160 000 tonnes de noix brutes. L'objectif était clair : réserver ces stocks pour les besoins des usines locales et réduire la dépendance aux marchés extérieurs. Cependant, cette initiative bien intentionnée n'a pas porté ses fruits comme prévu. Le lobby des exportateurs, influent et bien organisé, a réussi à négocier avec le Conseil Coton et Anacarde (CCA) la vente de seulement 30 000 tonnes de ces stocks aux transformateurs locaux, à un prix largement supérieur à celui du marché. Cette concession a largement déçu les attentes des industriels locaux, les laissant avec une fraction insuffisante pour couvrir leurs besoins opérationnels. Les transformateurs, déjà confrontés à des défis logistiques et financiers, se sont heurtés à un autre obstacle majeur : la qualité des noix proposées. Les analyses révèlent que la majorité de ces 30 000 tonnes étaient de qualité médiocre, peu propices à une transformation locale efficace. Les coûts prohibitifs et la faible qualité des noix ont rendu leur acquisition économiquement non viable. Faute de matières premières suffisantes et de qualité, les transformateurs locaux sont contraints de fonctionner en sous-capacité, ce qui entrave leur compétitivité et leur développement. Cette situation récurrente met en péril la viabilité de l'industrie de transformation du cajou en Côte d'Ivoire, censée générer de la valeur ajoutée et des emplois locaux. Problèmes Structurels et Solutions Potentielles L'absence de supervision rigoureuse et d'arbitrage par le CCA lors de la cession des stocks illustre un manque de contrôle qui bénéficie aux exportateurs aux dépens des acteurs locaux. Ce déséquilibre dans la gestion des stocks et la fixation des prix nécessite une réforme urgente pour assurer une distribution équitable et transparente des ressources. Il est impératif d'adopter un modèle de régulation similaire à celui de la filière cacao, où des mesures protectrices garantissent un équilibre entre les exportateurs et les transformateurs. Cela inclurait des transferts de stocks à des prix justes et une qualité garantie, assurant ainsi la pérennité et l'efficacité de toute la chaîne de valeur du cajou. La filière cajou en Côte d'Ivoire se trouve à un tournant. Les défis rencontrés par les transformateurs locaux soulignent la nécessité d'une intervention gouvernementale plus forte et plus cohérente pour assurer une distribution équitable des ressources. Les réformes proposées doivent être rapidement mises en œuvre pour éviter que le secteur ne stagne ou ne régresse. La question demeure : comment le gouvernement peut-il renforcer sa régulation pour soutenir véritablement l'industrialisation de la filière cajou et favoriser le développement économique local ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Yamoussoukro: Un Mort Et Trois Blessés Dans Un Accident De La Route (Gspm) dans Faits Divers le 1 juillet à 12:25

Le dimanche 30 juin 2024, une collision tragique entre un camion remorque, un véhicule particulier et un taxi communal a secoué la ville de Yamoussoukro, la capitale politique et administrative de la Côte d’Ivoire. Cet accident de la circulation a causé la mort d'une personne et blessé trois autres, suscitant une vive émotion au sein de la communauté locale.

La Chronologie des Événements


Tôt le matin, la 5e compagnie du Groupement des Sapeurs Pompiers Militaires de Yamoussoukro a été alertée d’un accident sur l'un des axes routiers principaux de la ville. À leur arrivée, les pompiers ont découvert un scénario déchirant : un camion remorque impliqué dans une collision violente avec un véhicule de particulier et un taxi communal.

Les secours ont immédiatement déployé un Véhicule de Secours Routier de type 51 et un Véhicule de Soins d’Urgence de type 51 pour gérer la situation. La complexité de l’accident a exigé des manoeuvres précises pour extraire les victimes des véhicules endommagés. L’un des passagers du véhicule de particulier était incarcéré et a été déclaré mort sur les lieux, tandis que les trois autres blessés ont été rapidement transportés au Centre Hospitalier Régional (CHR) de Yamoussoukro pour recevoir les soins nécessaires.

Bien que les détails spécifiques de l'accident restent sous enquête, les premiers rapports suggèrent plusieurs facteurs potentiels, tels que la vitesse excessive, le manque de signalisation adéquate ou une erreur humaine. Ces accidents rappellent cruellement les risques persistants associés à la conduite sur les routes ivoiriennes, souvent marquées par des défis en termes de sécurité routière et de maintenance.

Les accidents de la route ne sont pas seulement des tragédies individuelles; ils ont un impact profond sur les communautés, affectant les familles, les amis et les collègues de ceux impliqués. Chaque accident est un rappel douloureux de la valeur de la vie et des conséquences de chaque seconde d’inattention ou de négligence sur la route.

Renforcement des Mesures de Sécurité Routière


En réponse à cet événement tragique et à d'autres incidents similaires, il est impératif que les autorités compétentes renforcent les mesures de sécurité routière. Cela pourrait inclure l'amélioration de la signalisation, l'application stricte des limites de vitesse, et des campagnes de sensibilisation publiques pour éduquer les conducteurs sur les dangers de la route.

Il est également crucial de continuer à éduquer le public sur l'importance du respect des règles de la route et de promouvoir des comportements de conduite responsables. Des initiatives telles que des formations obligatoires pour les nouveaux conducteurs et des campagnes de sensibilisation pourraient jouer un rôle vital dans la prévention des accidents.

La tragédie de Yamoussoukro est un douloureux rappel des enjeux de la sécurité routière en Côte d'Ivoire. Alors que la communauté pleure la perte d'un des siens et souhaite un prompt rétablissement aux blessés, cet incident doit servir de catalyseur pour des changements significatifs dans la manière dont nous percevons et abordons la sécurité routière.

En fin de compte, chaque accident est une leçon, mais combien de ces leçons devrons-nous apprendre avant que des changements réels et durables soient mis en place ? Comment les autorités et les citoyens peuvent-ils collaborer plus efficacement pour garantir que la sécurité sur nos routes devienne une priorité absolue?

Image de Faits Divers. Le dimanche 30 juin 2024, une collision tragique entre un camion remorque, un véhicule particulier et un taxi communal a secoué la ville de Yamoussoukro, la capitale politique et administrative de la Côte d’Ivoire. Cet accident de la circulation a causé la mort d'une personne et blessé trois autres, suscitant une vive émotion au sein de la communauté locale. La Chronologie des Événements Tôt le matin, la 5e compagnie du Groupement des Sapeurs Pompiers Militaires de Yamoussoukro a été alertée d’un accident sur l'un des axes routiers principaux de la ville. À leur arrivée, les pompiers ont découvert un scénario déchirant : un camion remorque impliqué dans une collision violente avec un véhicule de particulier et un taxi communal. Les secours ont immédiatement déployé un Véhicule de Secours Routier de type 51 et un Véhicule de Soins d’Urgence de type 51 pour gérer la situation. La complexité de l’accident a exigé des manoeuvres précises pour extraire les victimes des véhicules endommagés. L’un des passagers du véhicule de particulier était incarcéré et a été déclaré mort sur les lieux, tandis que les trois autres blessés ont été rapidement transportés au Centre Hospitalier Régional (CHR) de Yamoussoukro pour recevoir les soins nécessaires. Bien que les détails spécifiques de l'accident restent sous enquête, les premiers rapports suggèrent plusieurs facteurs potentiels, tels que la vitesse excessive, le manque de signalisation adéquate ou une erreur humaine. Ces accidents rappellent cruellement les risques persistants associés à la conduite sur les routes ivoiriennes, souvent marquées par des défis en termes de sécurité routière et de maintenance. Les accidents de la route ne sont pas seulement des tragédies individuelles; ils ont un impact profond sur les communautés, affectant les familles, les amis et les collègues de ceux impliqués. Chaque accident est un rappel douloureux de la valeur de la vie et des conséquences de chaque seconde d’inattention ou de négligence sur la route. Renforcement des Mesures de Sécurité Routière En réponse à cet événement tragique et à d'autres incidents similaires, il est impératif que les autorités compétentes renforcent les mesures de sécurité routière. Cela pourrait inclure l'amélioration de la signalisation, l'application stricte des limites de vitesse, et des campagnes de sensibilisation publiques pour éduquer les conducteurs sur les dangers de la route. Il est également crucial de continuer à éduquer le public sur l'importance du respect des règles de la route et de promouvoir des comportements de conduite responsables. Des initiatives telles que des formations obligatoires pour les nouveaux conducteurs et des campagnes de sensibilisation pourraient jouer un rôle vital dans la prévention des accidents. La tragédie de Yamoussoukro est un douloureux rappel des enjeux de la sécurité routière en Côte d'Ivoire. Alors que la communauté pleure la perte d'un des siens et souhaite un prompt rétablissement aux blessés, cet incident doit servir de catalyseur pour des changements significatifs dans la manière dont nous percevons et abordons la sécurité routière. En fin de compte, chaque accident est une leçon, mais combien de ces leçons devrons-nous apprendre avant que des changements réels et durables soient mis en place ? Comment les autorités et les citoyens peuvent-ils collaborer plus efficacement pour garantir que la sécurité sur nos routes devienne une priorité absolue?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Côte d’Ivoire: Voici Les Tarifs Des Produits Pétroliers Pour Juillet 2024 dans Business/Investissement le 1 juillet à 12:21

En Côte d'Ivoire, l'annonce des prix des produits pétroliers pour le mois de juillet 2024 a été faite avec anticipation, le 30 juin, par le ministère des Mines, du Pétrole et de l'Énergie. Cette communication est cruciale tant pour les consommateurs que pour les acteurs économiques, car elle influence directement les coûts de transport et les dépenses quotidiennes des ménages.

Stabilité dans un Contexte Volatil


Le ministère a confirmé le maintien des prix de l'essence Super sans plomb, du pétrole lampant, et du gasoil moteur aux tarifs de juin. Ainsi, le litre de Super sans plomb sera vendu à 875 francs CFA, celui de pétrole lampant à 745 francs CFA, et le gasoil moteur à 715 francs CFA. Cette stabilité des prix est une nouvelle rassurante pour les Ivoiriens, dans un contexte international souvent marqué par la volatilité des cours du pétrole.

Le prix du gaz domestique, essentiel pour la cuisson dans de nombreux foyers ivoiriens, reste également inchangé. La recharge de la bouteille de 6 kg continue de coûter 2000 FCFA. Les tarifs des autres capacités de bouteilles de gaz butane restent les mêmes, offrant une certaine prévisibilité pour les consommateurs. Les prix des bouteilles de 12.5kg, 15kg, 17.5kg, 25kg, et 28kg sont respectivement fixés à 5200 FCFA, 6965 FCFA, 8125 FCFA, 11.610 FCFA et 13000 FCFA.

Le maintien des prix des carburants est une mesure qui aide à contenir l'inflation des coûts de transport. Pour les entreprises de transport et les consommateurs individuels, cela signifie une plus grande prévisibilité dans les dépenses et aide à la planification budgétaire dans un environnement économique où d'autres variables, comme le coût des aliments et des services, peuvent être moins stables.

La décision de maintenir les prix du gaz domestique à un niveau constant reflète également une considération pour la stabilité sociale. En effet, le gaz est une composante essentielle du budget des ménages, et tout changement significatif pourrait avoir un impact direct sur le pouvoir d'achat des citoyens.

Appel au Respect des Prix Fixés


Le ministère des Mines, du Pétrole et de l'Énergie a mis en garde contre toute tentative de non-respect des tarifs annoncés. Les distributeurs sont appelés à se conformer strictement à ces directives, sous peine de sanctions. Cette mesure vise à éviter la spéculation et à garantir que tous les consommateurs bénéficient des prix réglementés, renforçant ainsi la confiance dans les mécanismes de régulation du marché.

Les contrevenants à la réglementation sur les prix des produits pétroliers sont exposés à des sanctions, ce qui souligne la détermination du gouvernement à maintenir l'ordre dans ce secteur crucial. Cela est particulièrement important dans un secteur aussi vital que celui de l'énergie, où les abus peuvent avoir des conséquences directes sur l'économie et le bien-être des citoyens.

La politique de maintien des prix des produits pétroliers en Côte d'Ivoire pour juillet 2024 montre une volonté de l'État de protéger les consommateurs et de stabiliser l'économie. Toutefois, elle soulève également des questions sur les défis futurs. Comment le gouvernement ivoirien pourra-t-il continuer à réguler efficacement ce secteur face aux fluctuations inévitables des marchés mondiaux?

Image de Business/Investissement. En Côte d'Ivoire, l'annonce des prix des produits pétroliers pour le mois de juillet 2024 a été faite avec anticipation, le 30 juin, par le ministère des Mines, du Pétrole et de l'Énergie. Cette communication est cruciale tant pour les consommateurs que pour les acteurs économiques, car elle influence directement les coûts de transport et les dépenses quotidiennes des ménages. Stabilité dans un Contexte Volatil Le ministère a confirmé le maintien des prix de l'essence Super sans plomb, du pétrole lampant, et du gasoil moteur aux tarifs de juin. Ainsi, le litre de Super sans plomb sera vendu à 875 francs CFA, celui de pétrole lampant à 745 francs CFA, et le gasoil moteur à 715 francs CFA. Cette stabilité des prix est une nouvelle rassurante pour les Ivoiriens, dans un contexte international souvent marqué par la volatilité des cours du pétrole. Le prix du gaz domestique, essentiel pour la cuisson dans de nombreux foyers ivoiriens, reste également inchangé. La recharge de la bouteille de 6 kg continue de coûter 2000 FCFA. Les tarifs des autres capacités de bouteilles de gaz butane restent les mêmes, offrant une certaine prévisibilité pour les consommateurs. Les prix des bouteilles de 12.5kg, 15kg, 17.5kg, 25kg, et 28kg sont respectivement fixés à 5200 FCFA, 6965 FCFA, 8125 FCFA, 11.610 FCFA et 13000 FCFA. Le maintien des prix des carburants est une mesure qui aide à contenir l'inflation des coûts de transport. Pour les entreprises de transport et les consommateurs individuels, cela signifie une plus grande prévisibilité dans les dépenses et aide à la planification budgétaire dans un environnement économique où d'autres variables, comme le coût des aliments et des services, peuvent être moins stables. La décision de maintenir les prix du gaz domestique à un niveau constant reflète également une considération pour la stabilité sociale. En effet, le gaz est une composante essentielle du budget des ménages, et tout changement significatif pourrait avoir un impact direct sur le pouvoir d'achat des citoyens. Appel au Respect des Prix Fixés Le ministère des Mines, du Pétrole et de l'Énergie a mis en garde contre toute tentative de non-respect des tarifs annoncés. Les distributeurs sont appelés à se conformer strictement à ces directives, sous peine de sanctions. Cette mesure vise à éviter la spéculation et à garantir que tous les consommateurs bénéficient des prix réglementés, renforçant ainsi la confiance dans les mécanismes de régulation du marché. Les contrevenants à la réglementation sur les prix des produits pétroliers sont exposés à des sanctions, ce qui souligne la détermination du gouvernement à maintenir l'ordre dans ce secteur crucial. Cela est particulièrement important dans un secteur aussi vital que celui de l'énergie, où les abus peuvent avoir des conséquences directes sur l'économie et le bien-être des citoyens. La politique de maintien des prix des produits pétroliers en Côte d'Ivoire pour juillet 2024 montre une volonté de l'État de protéger les consommateurs et de stabiliser l'économie. Toutefois, elle soulève également des questions sur les défis futurs. Comment le gouvernement ivoirien pourra-t-il continuer à réguler efficacement ce secteur face aux fluctuations inévitables des marchés mondiaux?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Camille Makosso s'Excuse Auprès De Coco Emilia Après Une Altercation dans Célébrités le 1 juillet à 12:17

Dans le paysage médiatique contemporain de l'Afrique francophone, les interactions entre personnalités publiques peuvent parfois prendre une tournure inattendue et s'étaler devant un large public. Récemment, un échange entre deux figures bien connues a capté l'attention des réseaux sociaux : Camille Makosso, influent révérend-pasteur ivoirien, et Coco Emilia, influenceuse et femme d'affaires camerounaise. Le conflit a débuté suite à des propos désobligeants de Makosso, qui a qualifié Emilia de "fille de joie", un commentaire qui n'a pas tardé à susciter une vive réaction.

Un Commentaire Mal Placé


Tout a commencé lorsque Camille Makosso a tenté de prendre la défense de Emma Lohoues, une autre figure publique, contre les critiques de Stéphanelle, mannequin et nouvelle présentatrice de la version africaine de l'émission de téléréalité "Secret Story". Dans son élan, Makosso a dérapé en s'attaquant à Coco Emilia, la traitant indirectement de "fille de joie" en référence à son style de vie perçu. Cette remarque a été faite publiquement, engendrant une onde de choc sur les réseaux sociaux.

La réponse de Coco Emilia ne s'est pas faite attendre. Connue pour sa répartie et son franc-parler, elle a rapidement pris les réseaux sociaux d'assaut pour exprimer son indignation. "Grand frère Makosso, je te remercie pour tes conseils, mais que ce soit la première et la dernière fois que tu me traites de fille de joie. Je ne fais pas la bordelerie avec tes filles", a-t-elle rétorqué, marquant son profond mécontentement et sa déception envers celui qu'elle considérait comme un aîné respecté.

Face à l'ampleur de la réaction et à la tension générée par ses commentaires, Camille Makosso a choisi de présenter ses excuses de manière publique. Le samedi 29 juin, il a posté sur sa page Facebook un message conciliant et repentant : "Petite-sœur Coco Emilia, j’apprends que mon expression de 'fille de joie' t’a vraiment vexé. Désolé et toutes mes excuses pour mes propos et reste bénie toi et ton époux. Sur ce, bonne soirée et que Dieu nous aide tous dans notre vision de la vie", a-t-il écrit, tentant de mettre un terme à l'escalade et de restaurer une certaine paix.

Impact des Réseaux Sociaux dans les Conflits Publics


Cet incident met en lumière le rôle puissant des réseaux sociaux dans la communication moderne, particulièrement lorsqu'il s'agit de personnalités publiques. Les déclarations faites en ligne peuvent rapidement devenir virales, attirant l'attention de milliers, voire de millions de personnes, amplifiant les conflits mais aussi offrant une plateforme pour des résolutions publiques.

L'affaire entre Camille Makosso et Coco Emilia souligne également la responsabilité qui incombe aux personnalités publiques concernant leurs paroles et actions, surtout quand elles peuvent influencer de larges audiences. La rapidité avec laquelle une situation peut escalader rappelle l'importance de la prudence et du respect dans toute communication.

L'incident entre Camille Makosso et Coco Emilia, bien que regrettable, a permis d'ouvrir un dialogue sur l'importance du respect mutuel et de la prudence dans l'espace public numérique. Alors que les deux parties semblent avoir mis de côté leur différend, cet épisode laisse une question ouverte : comment les personnalités publiques peuvent-elles mieux gérer leurs différends pour donner l'exemple et promouvoir un discours respectueux et constructif dans l'espace public?

Image de Célébrités. Dans le paysage médiatique contemporain de l'Afrique francophone, les interactions entre personnalités publiques peuvent parfois prendre une tournure inattendue et s'étaler devant un large public. Récemment, un échange entre deux figures bien connues a capté l'attention des réseaux sociaux : Camille Makosso, influent révérend-pasteur ivoirien, et Coco Emilia, influenceuse et femme d'affaires camerounaise. Le conflit a débuté suite à des propos désobligeants de Makosso, qui a qualifié Emilia de "fille de joie", un commentaire qui n'a pas tardé à susciter une vive réaction. Un Commentaire Mal Placé Tout a commencé lorsque Camille Makosso a tenté de prendre la défense de Emma Lohoues, une autre figure publique, contre les critiques de Stéphanelle, mannequin et nouvelle présentatrice de la version africaine de l'émission de téléréalité "Secret Story". Dans son élan, Makosso a dérapé en s'attaquant à Coco Emilia, la traitant indirectement de "fille de joie" en référence à son style de vie perçu. Cette remarque a été faite publiquement, engendrant une onde de choc sur les réseaux sociaux. La réponse de Coco Emilia ne s'est pas faite attendre. Connue pour sa répartie et son franc-parler, elle a rapidement pris les réseaux sociaux d'assaut pour exprimer son indignation. "Grand frère Makosso, je te remercie pour tes conseils, mais que ce soit la première et la dernière fois que tu me traites de fille de joie. Je ne fais pas la bordelerie avec tes filles", a-t-elle rétorqué, marquant son profond mécontentement et sa déception envers celui qu'elle considérait comme un aîné respecté. Face à l'ampleur de la réaction et à la tension générée par ses commentaires, Camille Makosso a choisi de présenter ses excuses de manière publique. Le samedi 29 juin, il a posté sur sa page Facebook un message conciliant et repentant : "Petite-sœur Coco Emilia, j’apprends que mon expression de 'fille de joie' t’a vraiment vexé. Désolé et toutes mes excuses pour mes propos et reste bénie toi et ton époux. Sur ce, bonne soirée et que Dieu nous aide tous dans notre vision de la vie", a-t-il écrit, tentant de mettre un terme à l'escalade et de restaurer une certaine paix. Impact des Réseaux Sociaux dans les Conflits Publics Cet incident met en lumière le rôle puissant des réseaux sociaux dans la communication moderne, particulièrement lorsqu'il s'agit de personnalités publiques. Les déclarations faites en ligne peuvent rapidement devenir virales, attirant l'attention de milliers, voire de millions de personnes, amplifiant les conflits mais aussi offrant une plateforme pour des résolutions publiques. L'affaire entre Camille Makosso et Coco Emilia souligne également la responsabilité qui incombe aux personnalités publiques concernant leurs paroles et actions, surtout quand elles peuvent influencer de larges audiences. La rapidité avec laquelle une situation peut escalader rappelle l'importance de la prudence et du respect dans toute communication. L'incident entre Camille Makosso et Coco Emilia, bien que regrettable, a permis d'ouvrir un dialogue sur l'importance du respect mutuel et de la prudence dans l'espace public numérique. Alors que les deux parties semblent avoir mis de côté leur différend, cet épisode laisse une question ouverte : comment les personnalités publiques peuvent-elles mieux gérer leurs différends pour donner l'exemple et promouvoir un discours respectueux et constructif dans l'espace public?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Côte d’Ivoire: Excellente Nouvelle Pour Olivia Yacé, Miss Côte d'Ivoire 2021 dans Célébrités le 1 juillet à 11:50

Olivia Yacé, couronnée Miss Côte d'Ivoire en 2021, continue de briller, bien au-delà des podiums de beauté. Après avoir honoré son pays sur la scène internationale en devenant la deuxième dauphine de Miss Monde à Porto Rico la même année, elle vient de franchir une nouvelle étape significative : l'obtention de son master en Marketing de luxe à l'Université Américaine Richmond de Londres. Son parcours exemplaire montre qu'elle est bien plus qu'une reine de beauté ; c’est une source d’inspiration pour la jeunesse ivoirienne.

Une Ambassadrice de la Beauté et de l'Intelligence


Élue Miss Côte d'Ivoire en 2021, Olivia Yacé a su marquer son mandat par des initiatives notables et une représentation dignifiante de son pays à l'international. Sa performance à Miss Monde, où elle a été désignée deuxième dauphine, reste un des moments phares de sa carrière, démontrant que la beauté ivoirienne peut rayonner sur la scène mondiale avec élégance et dignité.

La fin de son mandat n'a pas signifié la fin de son impact. Fille du Maire de Cocody, Jean-Marc Yacé, Olivia a été sollicitée par plusieurs entreprises et organisations pour endosser le rôle d'ambassadrice ou d'égérie. Notamment, le Ministère du tourisme et des loisirs de Côte d'Ivoire l'a choisie pour promouvoir les merveilles du pays à travers le monde, une mission qu’elle remplit avec passion et dévouement.

Olivia n'a jamais perdu de vue l'importance de l'éducation. Inscrite à l'Université Américaine Richmond de Londres, elle a poursuivi ses études en Marketing de luxe, un domaine qui correspond à son intérêt pour l'élégance et le raffinement, mais aussi pour les stratégies commerciales et la gestion de marque. Sa récente graduation n'est pas seulement un triomphe personnel mais aussi une démonstration de son engagement envers son développement personnel et professionnel.

Distinction Académique


Sa réussite académique culmine avec son titre de major de promotion, un honneur qui lui a permis de prononcer le discours lors de la cérémonie de remise des diplômes. Ce moment a été une occasion pour elle de partager ses réflexions sur l'importance de la persévérance et de l'éducation, thèmes qu'elle incarne pleinement.

Olivia Yacé incarne la rencontre entre le glamour et le savoir, prouvant que ces deux mondes peuvent non seulement coexister mais également se compléter. Son parcours est une inspiration pour de nombreux jeunes, en particulier les jeunes filles qui aspirent à conjuguer succès académique et engagements personnels.

Sa trajectoire soulève une question importante pour la société ivoirienne : comment peut-on mieux soutenir les jeunes talents pour qu'ils puissent, à l'image d'Olivia, exceller tant sur la scène nationale qu'internationale?

Image de Célébrités. Olivia Yacé, couronnée Miss Côte d'Ivoire en 2021, continue de briller, bien au-delà des podiums de beauté. Après avoir honoré son pays sur la scène internationale en devenant la deuxième dauphine de Miss Monde à Porto Rico la même année, elle vient de franchir une nouvelle étape significative : l'obtention de son master en Marketing de luxe à l'Université Américaine Richmond de Londres. Son parcours exemplaire montre qu'elle est bien plus qu'une reine de beauté ; c’est une source d’inspiration pour la jeunesse ivoirienne. Une Ambassadrice de la Beauté et de l'Intelligence Élue Miss Côte d'Ivoire en 2021, Olivia Yacé a su marquer son mandat par des initiatives notables et une représentation dignifiante de son pays à l'international. Sa performance à Miss Monde, où elle a été désignée deuxième dauphine, reste un des moments phares de sa carrière, démontrant que la beauté ivoirienne peut rayonner sur la scène mondiale avec élégance et dignité. La fin de son mandat n'a pas signifié la fin de son impact. Fille du Maire de Cocody, Jean-Marc Yacé, Olivia a été sollicitée par plusieurs entreprises et organisations pour endosser le rôle d'ambassadrice ou d'égérie. Notamment, le Ministère du tourisme et des loisirs de Côte d'Ivoire l'a choisie pour promouvoir les merveilles du pays à travers le monde, une mission qu’elle remplit avec passion et dévouement. Olivia n'a jamais perdu de vue l'importance de l'éducation. Inscrite à l'Université Américaine Richmond de Londres, elle a poursuivi ses études en Marketing de luxe, un domaine qui correspond à son intérêt pour l'élégance et le raffinement, mais aussi pour les stratégies commerciales et la gestion de marque. Sa récente graduation n'est pas seulement un triomphe personnel mais aussi une démonstration de son engagement envers son développement personnel et professionnel. Distinction Académique Sa réussite académique culmine avec son titre de major de promotion, un honneur qui lui a permis de prononcer le discours lors de la cérémonie de remise des diplômes. Ce moment a été une occasion pour elle de partager ses réflexions sur l'importance de la persévérance et de l'éducation, thèmes qu'elle incarne pleinement. Olivia Yacé incarne la rencontre entre le glamour et le savoir, prouvant que ces deux mondes peuvent non seulement coexister mais également se compléter. Son parcours est une inspiration pour de nombreux jeunes, en particulier les jeunes filles qui aspirent à conjuguer succès académique et engagements personnels. Sa trajectoire soulève une question importante pour la société ivoirienne : comment peut-on mieux soutenir les jeunes talents pour qu'ils puissent, à l'image d'Olivia, exceller tant sur la scène nationale qu'internationale?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Crise Des Primes Au Ministère De La Justice: Appel À l'Équité Et À La Réforme dans Société le 1 juillet à 11:46

Le samedi 29 juin 2024, dans un espace événementiel de la commune de Yopougon, sept syndicats d'agents du ministère de la Justice et des Droits de l'homme se sont unis pour revendiquer une répartition plus équitable des primes. Cette alliance a été scellée sous la houlette de Houallo Stanislas, nouveau secrétaire général de l'Union syndicale nationale pour la défense des intérêts du personnel du ministère de la Justice, et conseiller d'éducation surveillée au service de la protection judiciaire de l’enfance et de la jeunesse au tribunal de Yopougon.

L'Injustice des Primes : Un Déséquilibre de Longue Date


Depuis près de six ans, une inégalité flagrante persiste dans la répartition des primes trimestrielles au ministère, surnommées "émoluments". "Il y a des agents de grade inférieur comme le B3 qui perçoivent entre 300 000 et 400 000 FCFA, tandis que ceux de grades supérieurs, A4 et A5, ne reçoivent que 60 000 à 80 000 FCFA. Cela est injuste et anormal", dénonce Houallo Stanislas. Cette disparité, non seulement crée un climat de mécontentement, mais soulève aussi des questions profondes sur les critères de répartition utilisés par le ministère.

Face à cette situation, l'Union syndicale a pris des mesures concrètes en sollicitant une révision de l'arrêté régissant ces primes. "Nous avons fait des démarches auprès de la hiérarchie, auprès de la chancellerie pour qu'elle puisse réviser cet arrêté, car il ne peut plus continuer d’être opérationnel", affirme Stanislas. Cette initiative vise à restaurer un sentiment de justice et d'équité au sein du ministère.

Dans un appel vibrant adressé au Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l’homme, Stanislas exige une action décisive : "Nous demandons seulement que le Garde des Sceaux prenne une décision courageuse pour mettre fin à l'injustice actuelle afin que tout le personnel soit traité de manière égale". Cette requête souligne la nécessité d'une approche plus transparente et juste dans la gestion des ressources humaines au ministère.

Problématiques Connexes : La Gestion des Postes de Direction


Au-delà des primes, Stanislas critique la gestion des postes de sous-direction au sein des différentes corporations de la justice, tous occupés par des magistrats. Cette pratique, perçue comme une monopolisation des postes stratégiques, diminue les chances de promotion pour d'autres compétences au sein du ministère. "Nous allons demander au Garde des Sceaux de faire la promotion des compétences au sein des différentes corporations", insiste Stanislas, ajoutant que l'intention n'est pas de perturber le fonctionnement du ministère, mais de favoriser une meilleure représentation des diverses professions judiciaires.

La mobilisation des sept syndicats sous l'égide de l'Union syndicale nationale pour la défense des intérêts du personnel du ministère de la Justice marque un tournant potentiel dans la gestion des ressources humaines au sein du ministère. En cherchant à corriger les inégalités dans la distribution des primes et à promouvoir une gestion plus inclusive des postes de direction, ces syndicats posent les bases d'une réforme nécessaire et longtemps attendue.

Comment les efforts de ces syndicats influenceront-ils les politiques internes du ministère de la Justice et pourront-ils instaurer un climat de confiance et d'équité durable parmi le personnel?

Image de Société. Le samedi 29 juin 2024, dans un espace événementiel de la commune de Yopougon, sept syndicats d'agents du ministère de la Justice et des Droits de l'homme se sont unis pour revendiquer une répartition plus équitable des primes. Cette alliance a été scellée sous la houlette de Houallo Stanislas, nouveau secrétaire général de l'Union syndicale nationale pour la défense des intérêts du personnel du ministère de la Justice, et conseiller d'éducation surveillée au service de la protection judiciaire de l’enfance et de la jeunesse au tribunal de Yopougon. L'Injustice des Primes : Un Déséquilibre de Longue Date Depuis près de six ans, une inégalité flagrante persiste dans la répartition des primes trimestrielles au ministère, surnommées "émoluments". "Il y a des agents de grade inférieur comme le B3 qui perçoivent entre 300 000 et 400 000 FCFA, tandis que ceux de grades supérieurs, A4 et A5, ne reçoivent que 60 000 à 80 000 FCFA. Cela est injuste et anormal", dénonce Houallo Stanislas. Cette disparité, non seulement crée un climat de mécontentement, mais soulève aussi des questions profondes sur les critères de répartition utilisés par le ministère. Face à cette situation, l'Union syndicale a pris des mesures concrètes en sollicitant une révision de l'arrêté régissant ces primes. "Nous avons fait des démarches auprès de la hiérarchie, auprès de la chancellerie pour qu'elle puisse réviser cet arrêté, car il ne peut plus continuer d’être opérationnel", affirme Stanislas. Cette initiative vise à restaurer un sentiment de justice et d'équité au sein du ministère. Dans un appel vibrant adressé au Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l’homme, Stanislas exige une action décisive : "Nous demandons seulement que le Garde des Sceaux prenne une décision courageuse pour mettre fin à l'injustice actuelle afin que tout le personnel soit traité de manière égale". Cette requête souligne la nécessité d'une approche plus transparente et juste dans la gestion des ressources humaines au ministère. Problématiques Connexes : La Gestion des Postes de Direction Au-delà des primes, Stanislas critique la gestion des postes de sous-direction au sein des différentes corporations de la justice, tous occupés par des magistrats. Cette pratique, perçue comme une monopolisation des postes stratégiques, diminue les chances de promotion pour d'autres compétences au sein du ministère. "Nous allons demander au Garde des Sceaux de faire la promotion des compétences au sein des différentes corporations", insiste Stanislas, ajoutant que l'intention n'est pas de perturber le fonctionnement du ministère, mais de favoriser une meilleure représentation des diverses professions judiciaires. La mobilisation des sept syndicats sous l'égide de l'Union syndicale nationale pour la défense des intérêts du personnel du ministère de la Justice marque un tournant potentiel dans la gestion des ressources humaines au sein du ministère. En cherchant à corriger les inégalités dans la distribution des primes et à promouvoir une gestion plus inclusive des postes de direction, ces syndicats posent les bases d'une réforme nécessaire et longtemps attendue. Comment les efforts de ces syndicats influenceront-ils les politiques internes du ministère de la Justice et pourront-ils instaurer un climat de confiance et d'équité durable parmi le personnel?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit L'Ong Petra-Roc En Côte d'Ivoire Fait Un Plaidoyer Pour Les Droits Des Veuves dans Société le 1 juillet à 11:38

Dans un élan de dévouement pour la justice sociale, l'ONG Petra-Roc a proclamé sa mission de défendre les droits des veuves en Côte d'Ivoire, un groupe souvent marginalisé dans la société. Cela a été mis en avant lors d'une conférence de presse le dimanche 30 juin 2024 à Abidjan-Cocody, où l'ONG a exposé ses stratégies et ses réussites dans la protection de ces femmes vulnérables.

Initiatives de Soutien Juridique et Émotionnel


Madame Pehé, porte-parole de Petra-Roc, a détaillé l'approche multifacette de l'organisation pour aider les veuves. « En tant qu'entité privée, nous fournissons une assistance juridique, morale et financière aux veuves victimes d'abus. Nous proposons également des services de médiation pour résoudre pacifiquement les litiges et nous formons nos responsables de sections à la connaissance de leurs droits afin qu'elles puissent à leur tour informer leurs membres », expliquait-elle.

Pour les cas plus graves, l'ONG engage des procédures avec les juridictions compétentes et, si nécessaire, travaille en collaboration avec les ministères de la Femme, de la Famille et de l'Enfant, ainsi qu'avec celui de la Cohésion Nationale, de la Solidarité et de la Lutte contre la Pauvreté. Madame Pehé a souligné que les veuves en Côte d'Ivoire ont droit aux mêmes droits que toutes les autres femmes, y compris le droit d'être traitées avec dignité par leurs belles-familles, de jouir des biens de leur défunt époux, de s'occuper de leurs enfants, de se remarier librement et de bénéficier des prestations de sécurité sociale du défunt.

Les violations des droits des veuves sont nombreuses et souvent déchirantes. Madame Pehé a partagé des histoires poignantes, notamment celle d'une veuve et de ses enfants qui se sont retrouvés sans abri après que leur maison a été détruite. Petra-Roc est intervenue pour fournir un logement d'urgence et un congélateur pour démarrer une petite entreprise de vente de glace pour les soutenir. Un autre cas concernait une veuve qui a été expulsée de son domicile par ses beaux-parents sous prétexte que son mariage n'était pas légalement reconnu.

Une Journée de Sensibilisation et de Célébration


Madame Pehé a souligné l'importance de la Journée internationale des veuves, célébrée depuis 2011 le 23 juin. « Cette journée sert à alerter le monde sur les conditions de vie des veuves, notamment celles de notre pays, et à plaider pour leurs droits », a-t-elle noté. La célébration de cette année a eu lieu à Facobly, où les veuves de différentes sections ont été honorées lors d'une cérémonie joyeuse avec distribution de dons en présence des autorités locales.

Petra-Roc prévoit de poursuivre sa mission en construisant deux nouveaux centres : un centre d'hébergement d'urgence pour les veuves expulsées et un centre de formation professionnelle. Les terrains pour ces projets ont déjà été acquis, mais des ressources financières substantielles sont nécessaires pour leur réalisation. « Il reste beaucoup à faire pour répondre efficacement aux difficultés que rencontrent nos veuves. Je lance un appel à notre Président de la République, à nos ministres de tutelle, ainsi qu'à toutes les personnes de bonne volonté, pour qu'ils nous soutiennent tant sur le plan institutionnel que financier dans la réalisation de nos projets », a conclu Madame Pehé.

Fondée il y a plus de 14 ans par Madame Pehé épouse Tahou, Petra-Roc est dédiée à l'assistance des veuves et des orphelins, œuvrant pour leur autonomisation socio-économique. Cela comprend le financement d'activités génératrices de revenus, la fourniture de formations professionnelles et scolaires, ainsi que la prise en charge de leurs besoins médicaux, moraux et urgents.

Alors que Petra-Roc continue son travail vital, la question du soutien sociétal plus large reste posée. Comment la communauté dans son ensemble, ainsi que les organismes gouvernementaux et internationaux, peuvent-ils mieux soutenir des initiatives comme Petra-Roc pour garantir qu'aucune veuve en Côte d'Ivoire n'ait à affronter ses défis seule ?

Image de Société. Dans un élan de dévouement pour la justice sociale, l'ONG Petra-Roc a proclamé sa mission de défendre les droits des veuves en Côte d'Ivoire, un groupe souvent marginalisé dans la société. Cela a été mis en avant lors d'une conférence de presse le dimanche 30 juin 2024 à Abidjan-Cocody, où l'ONG a exposé ses stratégies et ses réussites dans la protection de ces femmes vulnérables. Initiatives de Soutien Juridique et Émotionnel Madame Pehé, porte-parole de Petra-Roc, a détaillé l'approche multifacette de l'organisation pour aider les veuves. « En tant qu'entité privée, nous fournissons une assistance juridique, morale et financière aux veuves victimes d'abus. Nous proposons également des services de médiation pour résoudre pacifiquement les litiges et nous formons nos responsables de sections à la connaissance de leurs droits afin qu'elles puissent à leur tour informer leurs membres », expliquait-elle. Pour les cas plus graves, l'ONG engage des procédures avec les juridictions compétentes et, si nécessaire, travaille en collaboration avec les ministères de la Femme, de la Famille et de l'Enfant, ainsi qu'avec celui de la Cohésion Nationale, de la Solidarité et de la Lutte contre la Pauvreté. Madame Pehé a souligné que les veuves en Côte d'Ivoire ont droit aux mêmes droits que toutes les autres femmes, y compris le droit d'être traitées avec dignité par leurs belles-familles, de jouir des biens de leur défunt époux, de s'occuper de leurs enfants, de se remarier librement et de bénéficier des prestations de sécurité sociale du défunt. Les violations des droits des veuves sont nombreuses et souvent déchirantes. Madame Pehé a partagé des histoires poignantes, notamment celle d'une veuve et de ses enfants qui se sont retrouvés sans abri après que leur maison a été détruite. Petra-Roc est intervenue pour fournir un logement d'urgence et un congélateur pour démarrer une petite entreprise de vente de glace pour les soutenir. Un autre cas concernait une veuve qui a été expulsée de son domicile par ses beaux-parents sous prétexte que son mariage n'était pas légalement reconnu. Une Journée de Sensibilisation et de Célébration Madame Pehé a souligné l'importance de la Journée internationale des veuves, célébrée depuis 2011 le 23 juin. « Cette journée sert à alerter le monde sur les conditions de vie des veuves, notamment celles de notre pays, et à plaider pour leurs droits », a-t-elle noté. La célébration de cette année a eu lieu à Facobly, où les veuves de différentes sections ont été honorées lors d'une cérémonie joyeuse avec distribution de dons en présence des autorités locales. Petra-Roc prévoit de poursuivre sa mission en construisant deux nouveaux centres : un centre d'hébergement d'urgence pour les veuves expulsées et un centre de formation professionnelle. Les terrains pour ces projets ont déjà été acquis, mais des ressources financières substantielles sont nécessaires pour leur réalisation. « Il reste beaucoup à faire pour répondre efficacement aux difficultés que rencontrent nos veuves. Je lance un appel à notre Président de la République, à nos ministres de tutelle, ainsi qu'à toutes les personnes de bonne volonté, pour qu'ils nous soutiennent tant sur le plan institutionnel que financier dans la réalisation de nos projets », a conclu Madame Pehé. Fondée il y a plus de 14 ans par Madame Pehé épouse Tahou, Petra-Roc est dédiée à l'assistance des veuves et des orphelins, œuvrant pour leur autonomisation socio-économique. Cela comprend le financement d'activités génératrices de revenus, la fourniture de formations professionnelles et scolaires, ainsi que la prise en charge de leurs besoins médicaux, moraux et urgents. Alors que Petra-Roc continue son travail vital, la question du soutien sociétal plus large reste posée. Comment la communauté dans son ensemble, ainsi que les organismes gouvernementaux et internationaux, peuvent-ils mieux soutenir des initiatives comme Petra-Roc pour garantir qu'aucune veuve en Côte d'Ivoire n'ait à affronter ses défis seule ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Livre/ Claude Sahy: ‘’Alassane Ouattara Est Une Étoile Pour La Côte d’Ivoire" dans Littérature le 1 juillet à 11:33

Dans les couloirs feutrés du siège du RHDP à Cocody, s'est tenue la cérémonie de dédicace d'une œuvre captivante intitulée « Alassane Ouattara : l’homme de la rupture ». Rédigé par le Dr Paul Dakuyo et publié par Sim-éditions, ce livre propose un regard approfondi sur la présidence d'Alassane Ouattara, sous l'angle d'une transformation radicale qu'il a imprimée à la Côte d'Ivoire. L'ambassadeur Claude Sahy, en sa qualité de critique littéraire, a animé cet événement, décrivant avec éloquence la portée et la profondeur du mandat d'Ouattara.

Un Leadership Sous le Signe de la Rupture


Claude Sahy met en lumière dans son discours critique comment, en seulement treize ans, le président Ouattara a redéfini le paysage politique et développemental de la Côte d'Ivoire. "Le Président Alassane Ouattara est une étoile qui imprime sa marque de manière indélébile, à la marche de l’histoire de la Côte d’Ivoire vers le progrès et le développement," souligne Sahy. Cette période est présentée comme une ère de prouesses inégalées, marquant une "rupture significative" par rapport aux administrations précédentes.

Au-delà de ses compétences administratives, Ouattara est loué pour son charisme et son humanisme, traits qui, selon Sahy, le portent à la dimension de l’immortalité dans le cœur des Ivoiriens. Cela est particulièrement pertinent dans le contexte des défis contemporains, où le leadership compassionnel et efficace est crucial.

Claude Sahy apprécie la manière dont Dakuyo établit le profil personnel et professionnel d'Ouattara, allant de sa carrière politique à ses réalisations substantielles comme chef d'État. "Une gouvernance bien présentée et décrite comme une démarcation profonde et qualitative par rapport aux différentes gestions que la Côte d’Ivoire a connues dans son passé," commente Sahy.

Des Réalisations qui Résonnent


Selon Sahy, Ouattara a su éviter que la Côte d’Ivoire soit "dépassée" ou "déclassée" parmi les nations modernes, grâce à une vision de rupture axée sur l'unité, l'apaisement, et le progrès. Il décrit le président comme ayant fait un choix clair pour la République et contre le repli identitaire, inscrivant la solidarité et la fraternité au cœur de sa politique.

Sahy exprime une adhésion entière aux vues de Dakuyo, affirmant que le président Ouattara représente "un moment décisif" dans l'histoire de la Côte d'Ivoire. Il envisage une distinction claire entre l'avant et l'après Ouattara, un témoignage de l'impact profond et durable du président sur le pays. L'organisation et la méthode sont les maîtres mots de l'administration Ouattara, selon Sahy. L'ex-président est loué pour sa capacité à structurer son action et à anticiper les défis, ce qui, selon le critique, constitue une rupture dans la manière de diriger.

Le livre de Dr. Paul Dakuyo, préfacé par la présidente du Sénat, Kandia Camara, offre plus qu'un simple portrait : il trace le contour d'une époque définie par un leader qui a profondément marqué son pays. Tandis que la Côte d'Ivoire continue d'évoluer sous l'impulsion des politiques d'Ouattara, ce livre restera un document essentiel pour comprendre les rouages de cette transformation. Alassane Ouattara a-t-il définitivement transformé la Côte d'Ivoire, ou son héritage suscitera-t-il des réévaluations futures ?

Image de Littérature. Dans les couloirs feutrés du siège du RHDP à Cocody, s'est tenue la cérémonie de dédicace d'une œuvre captivante intitulée « Alassane Ouattara : l’homme de la rupture ». Rédigé par le Dr Paul Dakuyo et publié par Sim-éditions, ce livre propose un regard approfondi sur la présidence d'Alassane Ouattara, sous l'angle d'une transformation radicale qu'il a imprimée à la Côte d'Ivoire. L'ambassadeur Claude Sahy, en sa qualité de critique littéraire, a animé cet événement, décrivant avec éloquence la portée et la profondeur du mandat d'Ouattara. Un Leadership Sous le Signe de la Rupture Claude Sahy met en lumière dans son discours critique comment, en seulement treize ans, le président Ouattara a redéfini le paysage politique et développemental de la Côte d'Ivoire. "Le Président Alassane Ouattara est une étoile qui imprime sa marque de manière indélébile, à la marche de l’histoire de la Côte d’Ivoire vers le progrès et le développement," souligne Sahy. Cette période est présentée comme une ère de prouesses inégalées, marquant une "rupture significative" par rapport aux administrations précédentes. Au-delà de ses compétences administratives, Ouattara est loué pour son charisme et son humanisme, traits qui, selon Sahy, le portent à la dimension de l’immortalité dans le cœur des Ivoiriens. Cela est particulièrement pertinent dans le contexte des défis contemporains, où le leadership compassionnel et efficace est crucial. Claude Sahy apprécie la manière dont Dakuyo établit le profil personnel et professionnel d'Ouattara, allant de sa carrière politique à ses réalisations substantielles comme chef d'État. "Une gouvernance bien présentée et décrite comme une démarcation profonde et qualitative par rapport aux différentes gestions que la Côte d’Ivoire a connues dans son passé," commente Sahy. Des Réalisations qui Résonnent Selon Sahy, Ouattara a su éviter que la Côte d’Ivoire soit "dépassée" ou "déclassée" parmi les nations modernes, grâce à une vision de rupture axée sur l'unité, l'apaisement, et le progrès. Il décrit le président comme ayant fait un choix clair pour la République et contre le repli identitaire, inscrivant la solidarité et la fraternité au cœur de sa politique. Sahy exprime une adhésion entière aux vues de Dakuyo, affirmant que le président Ouattara représente "un moment décisif" dans l'histoire de la Côte d'Ivoire. Il envisage une distinction claire entre l'avant et l'après Ouattara, un témoignage de l'impact profond et durable du président sur le pays. L'organisation et la méthode sont les maîtres mots de l'administration Ouattara, selon Sahy. L'ex-président est loué pour sa capacité à structurer son action et à anticiper les défis, ce qui, selon le critique, constitue une rupture dans la manière de diriger. Le livre de Dr. Paul Dakuyo, préfacé par la présidente du Sénat, Kandia Camara, offre plus qu'un simple portrait : il trace le contour d'une époque définie par un leader qui a profondément marqué son pays. Tandis que la Côte d'Ivoire continue d'évoluer sous l'impulsion des politiques d'Ouattara, ce livre restera un document essentiel pour comprendre les rouages de cette transformation. Alassane Ouattara a-t-il définitivement transformé la Côte d'Ivoire, ou son héritage suscitera-t-il des réévaluations futures ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Elections: Laurent Gbagbo Annoncé À Bonoua En Côte d’Ivoire Le 14 Juillet 2024 dans Politique le 1 juillet à 11:29

Le 14 juillet 2024, l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, récemment désigné candidat par le PPA-CI pour l'élection présidentielle de 2025, effectuera une visite stratégique à Bonoua. Cette ville, située au sud-est d'Abidjan, devient le théâtre d'un moment crucial préfigurant la campagne pour son retour potentiel au pouvoir.

Un Retour Politique Chargé d'Enjeux


La visite de Laurent Gbagbo à Bonoua n'est pas un événement anodin. Elle marque le début officiel de sa campagne électorale, une démarche pleine de symbolisme dans le contexte de la politique ivoirienne. L'ex-président, dont le mandat a été marqué par des périodes de grande turbulence, cherche à renouer avec une base électorale qui l'a autrefois soutenu et à présenter ses nouvelles visions pour l'avenir de la Côte d'Ivoire.

Le Secrétaire Général du PPA-CI, l'honorable Tchéidé Jean-Gervais, ainsi que le comité d'organisation local, ont déjà entamé les préparatifs de cette visite. Une réunion clé s'est tenue le 29 juin, dirigée par Pr. Ekra Elidjé, Député de Bonoua et Secrétaire Général Adjoint du parti. L'objectif était de peaufiner les détails logistiques et de mobiliser les ressources nécessaires pour assurer le succès de l'événement. L'engagement des cadres du parti et de la population du Sud-Comoé a été particulièrement souligné, illustrant l'importance de cette visite dans la stratégie globale de Gbagbo.

Gbagbo, figure controversée mais indéniablement charismatique, compte sur cette visite pour transmettre un message de renouveau et d'espoir à ses partisans. Le discours qu'il tiendra à Bonoua sera probablement scruté non seulement par ses fidèles mais aussi par ses opposants et les observateurs internationaux, tous curieux de saisir la direction que prendra sa campagne.

Enjeux Sécuritaires et Logistiques


Tchéidé Jean-Gervais a annoncé une seconde visite de suivi pour s'assurer que tous les aspects de l'événement sont couverts. La sécurité, en particulier, est une priorité absolue, compte tenu du passé politique récent de la Côte d'Ivoire et des passions que peut encore susciter la figure de Gbagbo.

Cette visite à Bonoua pourrait bien définir les contours de la prochaine campagne présidentielle. En choisissant de lancer sa campagne dans une région qui lui est historiquement fidèle, Gbagbo signale son intention de reconquérir le terrain perdu et de repositionner son parti comme une force majeure dans l'arène politique ivoirienne.

Alors que la Côte d'Ivoire se prépare à accueillir Laurent Gbagbo à Bonoua, les questions abondent quant à l'impact de sa candidature sur la dynamique politique du pays. Avec une campagne qui débute sous le signe de la mobilisation et de la préparation minutieuse, Gbagbo semble déterminé à jouer un rôle central dans l'avenir politique de son pays. Cependant, reste à voir comment son retour sera accueilli par différentes factions de la société ivoirienne.

Avec cette visite, Gbagbo réussira-t-il à rallumer la flamme de ses partisans et à naviguer les complexités politiques pour retrouver une place de choix dans la politique ivoirienne ?

Image de Politique. Le 14 juillet 2024, l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, récemment désigné candidat par le PPA-CI pour l'élection présidentielle de 2025, effectuera une visite stratégique à Bonoua. Cette ville, située au sud-est d'Abidjan, devient le théâtre d'un moment crucial préfigurant la campagne pour son retour potentiel au pouvoir. Un Retour Politique Chargé d'Enjeux La visite de Laurent Gbagbo à Bonoua n'est pas un événement anodin. Elle marque le début officiel de sa campagne électorale, une démarche pleine de symbolisme dans le contexte de la politique ivoirienne. L'ex-président, dont le mandat a été marqué par des périodes de grande turbulence, cherche à renouer avec une base électorale qui l'a autrefois soutenu et à présenter ses nouvelles visions pour l'avenir de la Côte d'Ivoire. Le Secrétaire Général du PPA-CI, l'honorable Tchéidé Jean-Gervais, ainsi que le comité d'organisation local, ont déjà entamé les préparatifs de cette visite. Une réunion clé s'est tenue le 29 juin, dirigée par Pr. Ekra Elidjé, Député de Bonoua et Secrétaire Général Adjoint du parti. L'objectif était de peaufiner les détails logistiques et de mobiliser les ressources nécessaires pour assurer le succès de l'événement. L'engagement des cadres du parti et de la population du Sud-Comoé a été particulièrement souligné, illustrant l'importance de cette visite dans la stratégie globale de Gbagbo. Gbagbo, figure controversée mais indéniablement charismatique, compte sur cette visite pour transmettre un message de renouveau et d'espoir à ses partisans. Le discours qu'il tiendra à Bonoua sera probablement scruté non seulement par ses fidèles mais aussi par ses opposants et les observateurs internationaux, tous curieux de saisir la direction que prendra sa campagne. Enjeux Sécuritaires et Logistiques Tchéidé Jean-Gervais a annoncé une seconde visite de suivi pour s'assurer que tous les aspects de l'événement sont couverts. La sécurité, en particulier, est une priorité absolue, compte tenu du passé politique récent de la Côte d'Ivoire et des passions que peut encore susciter la figure de Gbagbo. Cette visite à Bonoua pourrait bien définir les contours de la prochaine campagne présidentielle. En choisissant de lancer sa campagne dans une région qui lui est historiquement fidèle, Gbagbo signale son intention de reconquérir le terrain perdu et de repositionner son parti comme une force majeure dans l'arène politique ivoirienne. Alors que la Côte d'Ivoire se prépare à accueillir Laurent Gbagbo à Bonoua, les questions abondent quant à l'impact de sa candidature sur la dynamique politique du pays. Avec une campagne qui débute sous le signe de la mobilisation et de la préparation minutieuse, Gbagbo semble déterminé à jouer un rôle central dans l'avenir politique de son pays. Cependant, reste à voir comment son retour sera accueilli par différentes factions de la société ivoirienne. Avec cette visite, Gbagbo réussira-t-il à rallumer la flamme de ses partisans et à naviguer les complexités politiques pour retrouver une place de choix dans la politique ivoirienne ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Marie-Emmanuelle Diamala: Découvrez La Nouvelle Miss Côte d’Ivoire 2024 dans Beauté/Mode le 1 juillet à 11:25

Le 29 juin 2024, Marie-Emmanuelle Diamala a été couronnée Miss Côte d’Ivoire 2024. À 20 ans, cette jeune femme, mesurant 1m79, représentait fièrement la région du Sud Comoé. Au-delà de l’éclat de sa couronne, se cache une étudiante en troisième année de Management Finance dans une université anglophone, déterminée à utiliser son titre pour une cause noble, la lutte contre la mortalité infantile et maternelle.

Une Couronne et une Mission


La couronne de Miss Côte d'Ivoire 2024 n'est pas seulement un symbole de beauté et de grâce, mais aussi un étendard de responsabilité et de devoir social. Marie-Emmanuelle Diamala, à seulement 20 ans, incarne cette dualité avec une passion ardente pour la lutte contre la mortalité infantile et maternelle.

Originaire de la région du Sud Comoé, Marie-Emmanuelle a été couronnée le 29 juin 2024, devant un public enthousiaste et un jury impressionné par son charisme et sa détermination. Cette étudiante en troisième année de Management Finance dans une université anglophone se distingue par bien plus que son allure élégante. Elle est une jeune femme engagée, portant un projet qui va bien au-delà des projecteurs et des podiums. "Pour moi, la lutte contre la mortalité infantile et maternelle est primordiale. Améliorer la santé des enfants et des femmes est essentiel, car la santé est un droit fondamental et une condition nécessaire pour combattre la pauvreté," affirme-t-elle avec une conviction palpable.

La cause de la mortalité maternelle et néonatale n'a pas été choisie au hasard par Marie-Emmanuelle. Elle voit en elle un obstacle majeur au bien-être des familles et au développement de la société ivoirienne. "La base de tout, c’est la vie," déclare-t-elle avec ferveur. "Je suis fermement convaincue que chaque vie est d’une valeur inestimable et il est profondément injuste que certaines femmes perdent la leur en donnant naissance. Pendant mon mandat, je serai un symbole ardent de la lutte contre la mortalité maternelle. Mon objectif principal sera de m’assurer que chaque femme puisse vivre l’expérience de la maternité avec la certitude qu’elle verra son enfant grandir en sécurité."

Marie-Emmanuelle n'est pas seulement une beauté couronnée ; elle est une jeune femme ambitieuse et déterminée, prête à utiliser sa notoriété pour sensibiliser et mobiliser autour de cette cause vitale. Son parcours jusqu'à la couronne a été marqué par un engagement sans faille et une volonté de fer. La compétition a été rude, mais elle a su se démarquer par son charisme, son engagement et sa détermination. Face à Miss Gontougo, candidate numéro 10, et Miss de La Mé, candidate numéro 1, Marie-Emmanuelle a remporté la couronne haut la main.

En dehors de ses engagements, Marie-Emmanuelle est une jeune femme comme les autres. Elle apprécie particulièrement s’instruire, voyager et écouter de la musique. Son plat préféré est l’alloco au poulet, un mets typique ivoirien qui lui rappelle les saveurs de son enfance. Ces passions et ses goûts simples la rendent d’autant plus accessible et aimée du public.

Une Ambassadrice de la Santé Maternelle


Le mandat de Marie-Emmanuelle Diamala s’annonce donc sous le signe de l’engagement social. En tant que Miss Côte d’Ivoire 2024, elle entend mettre en lumière les enjeux de la santé maternelle et infantile, œuvrant pour un avenir où chaque naissance sera synonyme de vie et d’espoir. "Je suis déterminée à utiliser chaque plateforme à ma disposition pour sensibiliser et éduquer le public sur l'importance de la santé maternelle et infantile. Il est crucial que nous travaillions ensemble pour créer un environnement où chaque mère peut donner naissance en toute sécurité et où chaque enfant peut grandir en bonne santé," explique-t-elle.

Marie-Emmanuelle aspire à devenir une figure emblématique dans cette lutte, utilisant sa notoriété pour sensibiliser et mobiliser autour de cette cause vitale. Sa mission est claire : réduire la mortalité maternelle et infantile en Côte d'Ivoire en sensibilisant le public et en collaborant avec des organisations de santé et des gouvernements pour mettre en place des politiques et des programmes efficaces.

Marie-Emmanuelle est un modèle de détermination et de passion pour les jeunes femmes partout en Côte d'Ivoire et au-delà. Elle montre que la beauté peut être un puissant vecteur de changement social et que chaque couronne peut être portée avec un sens profond de responsabilité. Sa vision pour l'avenir est celle d'un monde où chaque mère et chaque enfant peuvent vivre en sécurité et en bonne santé.

Le parcours de Marie-Emmanuelle Diamala est une source d'inspiration pour tous ceux qui croient en la possibilité de changer le monde par des actions déterminées et passionnées. En tant que Miss Côte d'Ivoire 2024, elle a déjà commencé à marquer les esprits et à toucher les cœurs avec son engagement sincère et son dévouement inébranlable à sa cause. "Je veux être une voix pour ceux qui n'en ont pas et une source d'espoir pour ceux qui en ont besoin. Ensemble, nous pouvons faire une différence," déclare-t-elle avec une conviction qui résonne profondément.

Alors que Marie-Emmanuelle Diamala entame son mandat, une question reste en suspens : comment ses efforts pourront-ils transformer durablement la santé maternelle et infantile en Côte d'Ivoire ?


https://www.youtube.com/watch?v=v6ZXoNybNNI

Image de Beauté/Mode. Le 29 juin 2024, Marie-Emmanuelle Diamala a été couronnée Miss Côte d’Ivoire 2024. À 20 ans, cette jeune femme, mesurant 1m79, représentait fièrement la région du Sud Comoé. Au-delà de l’éclat de sa couronne, se cache une étudiante en troisième année de Management Finance dans une université anglophone, déterminée à utiliser son titre pour une cause noble, la lutte contre la mortalité infantile et maternelle. Une Couronne et une Mission La couronne de Miss Côte d'Ivoire 2024 n'est pas seulement un symbole de beauté et de grâce, mais aussi un étendard de responsabilité et de devoir social. Marie-Emmanuelle Diamala, à seulement 20 ans, incarne cette dualité avec une passion ardente pour la lutte contre la mortalité infantile et maternelle. Originaire de la région du Sud Comoé, Marie-Emmanuelle a été couronnée le 29 juin 2024, devant un public enthousiaste et un jury impressionné par son charisme et sa détermination. Cette étudiante en troisième année de Management Finance dans une université anglophone se distingue par bien plus que son allure élégante. Elle est une jeune femme engagée, portant un projet qui va bien au-delà des projecteurs et des podiums. "Pour moi, la lutte contre la mortalité infantile et maternelle est primordiale. Améliorer la santé des enfants et des femmes est essentiel, car la santé est un droit fondamental et une condition nécessaire pour combattre la pauvreté," affirme-t-elle avec une conviction palpable. La cause de la mortalité maternelle et néonatale n'a pas été choisie au hasard par Marie-Emmanuelle. Elle voit en elle un obstacle majeur au bien-être des familles et au développement de la société ivoirienne. "La base de tout, c’est la vie," déclare-t-elle avec ferveur. "Je suis fermement convaincue que chaque vie est d’une valeur inestimable et il est profondément injuste que certaines femmes perdent la leur en donnant naissance. Pendant mon mandat, je serai un symbole ardent de la lutte contre la mortalité maternelle. Mon objectif principal sera de m’assurer que chaque femme puisse vivre l’expérience de la maternité avec la certitude qu’elle verra son enfant grandir en sécurité." Marie-Emmanuelle n'est pas seulement une beauté couronnée ; elle est une jeune femme ambitieuse et déterminée, prête à utiliser sa notoriété pour sensibiliser et mobiliser autour de cette cause vitale. Son parcours jusqu'à la couronne a été marqué par un engagement sans faille et une volonté de fer. La compétition a été rude, mais elle a su se démarquer par son charisme, son engagement et sa détermination. Face à Miss Gontougo, candidate numéro 10, et Miss de La Mé, candidate numéro 1, Marie-Emmanuelle a remporté la couronne haut la main. En dehors de ses engagements, Marie-Emmanuelle est une jeune femme comme les autres. Elle apprécie particulièrement s’instruire, voyager et écouter de la musique. Son plat préféré est l’alloco au poulet, un mets typique ivoirien qui lui rappelle les saveurs de son enfance. Ces passions et ses goûts simples la rendent d’autant plus accessible et aimée du public. Une Ambassadrice de la Santé Maternelle Le mandat de Marie-Emmanuelle Diamala s’annonce donc sous le signe de l’engagement social. En tant que Miss Côte d’Ivoire 2024, elle entend mettre en lumière les enjeux de la santé maternelle et infantile, œuvrant pour un avenir où chaque naissance sera synonyme de vie et d’espoir. "Je suis déterminée à utiliser chaque plateforme à ma disposition pour sensibiliser et éduquer le public sur l'importance de la santé maternelle et infantile. Il est crucial que nous travaillions ensemble pour créer un environnement où chaque mère peut donner naissance en toute sécurité et où chaque enfant peut grandir en bonne santé," explique-t-elle. Marie-Emmanuelle aspire à devenir une figure emblématique dans cette lutte, utilisant sa notoriété pour sensibiliser et mobiliser autour de cette cause vitale. Sa mission est claire : réduire la mortalité maternelle et infantile en Côte d'Ivoire en sensibilisant le public et en collaborant avec des organisations de santé et des gouvernements pour mettre en place des politiques et des programmes efficaces. Marie-Emmanuelle est un modèle de détermination et de passion pour les jeunes femmes partout en Côte d'Ivoire et au-delà. Elle montre que la beauté peut être un puissant vecteur de changement social et que chaque couronne peut être portée avec un sens profond de responsabilité. Sa vision pour l'avenir est celle d'un monde où chaque mère et chaque enfant peuvent vivre en sécurité et en bonne santé. Le parcours de Marie-Emmanuelle Diamala est une source d'inspiration pour tous ceux qui croient en la possibilité de changer le monde par des actions déterminées et passionnées. En tant que Miss Côte d'Ivoire 2024, elle a déjà commencé à marquer les esprits et à toucher les cœurs avec son engagement sincère et son dévouement inébranlable à sa cause. "Je veux être une voix pour ceux qui n'en ont pas et une source d'espoir pour ceux qui en ont besoin. Ensemble, nous pouvons faire une différence," déclare-t-elle avec une conviction qui résonne profondément. Alors que Marie-Emmanuelle Diamala entame son mandat, une question reste en suspens : comment ses efforts pourront-ils transformer durablement la santé maternelle et infantile en Côte d'Ivoire ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Marie-Dominique Kacou Trouve Sa Dernière Demeure Au Cimetière De Grand-Bassam dans Célébrités le 30 juin à 15:21

Dans l'enceinte paisible du cimetière de Grand-Bassam, le samedi 29 juin 2024, une foule de proches, de collègues et d'admirateurs a dit adieu à Marie-Dominique Kacou, affectueusement appelée ‘’MDK’’. Décédée le 6 mai 2024 suite à des complications post-opératoires, sa disparition a laissé un vide immense dans le paysage médiatique et dans les cœurs de ceux qui la connaissaient.

L’Émotion Palpable à Ivosep Treichville


La cérémonie de levée du corps à Ivosep Treichville a été marquée par des émotions profondes et des larmes, témoignant de l'impact profond qu'elle avait sur sa communauté. "C'était plus qu'une chroniqueuse, c'était une amie, une sœur, qui a touché nos vies de mille façons", confie un collègue lors de la cérémonie. Le cortège funéraire qui s'est ensuite dirigé vers Grand-Bassam était accompagné d'une procession silencieuse et respectueuse.

La veille de ses funérailles, une veillée artistique a été organisée au stade d’Angré, transformant un moment de deuil en une célébration de sa vie et de sa carrière. Des performances de musique, de poésie et des discours élogieux ont illustré l'ampleur de son influence et le vide qu'elle laisse derrière elle. "Elle a toujours voulu que nous célébrions la vie, même dans les moments les plus sombres", partage un artiste local.

Chroniqueuse émérite de l'émission ‘’PPLK’’ sur la 3, Marie-Dominique Kacou était connue pour sa perspicacité, son humour et son engagement envers des causes sociales importantes. À travers ses interventions, elle a su mettre en lumière des sujets souvent ignorés et donner une voix à ceux qui n'en avaient pas. Son travail a non seulement divertit mais a également éduqué et inspiré une génération de téléspectateurs.

Son influence dépassait les frontières de la télévision; elle était également active dans diverses œuvres caritatives et initiatives communautaires. Sa passion pour le changement social et son engagement pour la justice étaient évidents dans chaque projet qu'elle entreprenait.

La Gestion du Deuil dans le Secteur Médiatique


La disparition de figures publiques comme Marie-Dominique Kacou pose la question de la gestion du deuil dans le secteur médiatique. Comment les médias et les communautés qu'ils servent réagissent-ils et se remettent-ils de la perte de tels piliers ? La couverture médiatique de son décès et des funérailles a montré un équilibre entre le respect de la vie privée de sa famille et la reconnaissance publique de son rôle dans la société.

Marie-Dominique Kacou laisse derrière elle non seulement un héritage professionnel, mais aussi un modèle de courage et d'authenticité. Ses contributions continueront de vivre à travers les nombreux enregistrements de ses émissions et les vies qu'elle a touchées.

Alors que la communauté pleure et rend hommage à une vie bien vécue, il est crucial de se demander : comment pouvons-nous mieux soutenir les familles et les collègues de ceux qui sont constamment sous les feux de la rampe, surtout lorsqu'ils traversent des épreuves aussi douloureuses ? La mémoire de Marie-Dominique Kacou restera à jamais gravée dans le cœur de ses proches et de ses fans, rappelant l'éphémérité de la vie et l'importance de chaque moment partagé.

Image de Célébrités. Dans l'enceinte paisible du cimetière de Grand-Bassam, le samedi 29 juin 2024, une foule de proches, de collègues et d'admirateurs a dit adieu à Marie-Dominique Kacou, affectueusement appelée ‘’MDK’’. Décédée le 6 mai 2024 suite à des complications post-opératoires, sa disparition a laissé un vide immense dans le paysage médiatique et dans les cœurs de ceux qui la connaissaient. L’Émotion Palpable à Ivosep Treichville La cérémonie de levée du corps à Ivosep Treichville a été marquée par des émotions profondes et des larmes, témoignant de l'impact profond qu'elle avait sur sa communauté. "C'était plus qu'une chroniqueuse, c'était une amie, une sœur, qui a touché nos vies de mille façons", confie un collègue lors de la cérémonie. Le cortège funéraire qui s'est ensuite dirigé vers Grand-Bassam était accompagné d'une procession silencieuse et respectueuse. La veille de ses funérailles, une veillée artistique a été organisée au stade d’Angré, transformant un moment de deuil en une célébration de sa vie et de sa carrière. Des performances de musique, de poésie et des discours élogieux ont illustré l'ampleur de son influence et le vide qu'elle laisse derrière elle. "Elle a toujours voulu que nous célébrions la vie, même dans les moments les plus sombres", partage un artiste local. Chroniqueuse émérite de l'émission ‘’PPLK’’ sur la 3, Marie-Dominique Kacou était connue pour sa perspicacité, son humour et son engagement envers des causes sociales importantes. À travers ses interventions, elle a su mettre en lumière des sujets souvent ignorés et donner une voix à ceux qui n'en avaient pas. Son travail a non seulement divertit mais a également éduqué et inspiré une génération de téléspectateurs. Son influence dépassait les frontières de la télévision; elle était également active dans diverses œuvres caritatives et initiatives communautaires. Sa passion pour le changement social et son engagement pour la justice étaient évidents dans chaque projet qu'elle entreprenait. La Gestion du Deuil dans le Secteur Médiatique La disparition de figures publiques comme Marie-Dominique Kacou pose la question de la gestion du deuil dans le secteur médiatique. Comment les médias et les communautés qu'ils servent réagissent-ils et se remettent-ils de la perte de tels piliers ? La couverture médiatique de son décès et des funérailles a montré un équilibre entre le respect de la vie privée de sa famille et la reconnaissance publique de son rôle dans la société. Marie-Dominique Kacou laisse derrière elle non seulement un héritage professionnel, mais aussi un modèle de courage et d'authenticité. Ses contributions continueront de vivre à travers les nombreux enregistrements de ses émissions et les vies qu'elle a touchées. Alors que la communauté pleure et rend hommage à une vie bien vécue, il est crucial de se demander : comment pouvons-nous mieux soutenir les familles et les collègues de ceux qui sont constamment sous les feux de la rampe, surtout lorsqu'ils traversent des épreuves aussi douloureuses ? La mémoire de Marie-Dominique Kacou restera à jamais gravée dans le cœur de ses proches et de ses fans, rappelant l'éphémérité de la vie et l'importance de chaque moment partagé.

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Après La CAN, Gbané (Dg Ons) Instaure Une Gestion Durable Des Infrastructures dans Football le 30 juin à 15:16

Lors d'un cocktail de presse à Abidjan le jeudi 27 juin 2024, Ousmane Gbané, directeur général de l'Office National des Sports (ONS), a partagé les plans ambitieux de son organisation pour assurer la gestion durable des infrastructures sportives héritées de la CAN 2023 en Côte d'Ivoire. Cet événement a été l'occasion de souligner l'importance de ces installations modernes dans le paysage sportif ivoirien.

Un Symbole de Fierté Nationale


Les six stades ultra modernes, homologués pour accueillir des compétitions internationales par la CAF et la FIFA, ainsi que les 24 terrains d'entraînement et les cités CAN, sont désormais des symboles de fierté pour les Ivoiriens. Selon Ousmane Gbané, ces infrastructures sont comparables à des icônes mondiales telles que la Statue de la Liberté ou la Tour Eiffel, incarnant la grandeur et le progrès sportif de la Côte d'Ivoire.

Il a souligné que toutes ces infrastructures sont opérationnelles et font l'objet d'un entretien rigoureux supervisé par l'ONS en collaboration avec le Bureau National d'Études Techniques et de Développement (BNETD). « Nous veillons à ce que chaque stade et chaque pelouse soit maintenu dans des conditions optimales pour accueillir divers événements sportifs et socioculturels », a déclaré M. Gbané.

Pour garantir la pérennité de ces installations, des stratégies de gestion avancées sont mises en œuvre. Ousmane Gbané a mentionné la mise sous gérance des infrastructures d'hébergement de la CAN et la signature de conventions avec divers partenaires pour la gestion des stades d'entraînement. Ces initiatives visent à optimiser l'utilisation des installations tout en assurant leur maintenance continue.

Engagement envers le Développement Durable


La rencontre avec la presse a également mis en lumière l'engagement de l'ONS envers le développement durable. Les infrastructures post-CAN ne sont pas seulement des lieux de compétition sportive, mais aussi des catalyseurs de développement communautaire et économique. Elles incarnent la vision de la Côte d'Ivoire pour un avenir où le sport joue un rôle central dans la promotion du bien-être et de l'unité nationale.

Alors que la Côte d'Ivoire s'efforce de maintenir ces infrastructures comme des piliers de son héritage sportif, une question demeure : comment ces installations peuvent-elles être encore mieux intégrées dans la vie quotidienne des Ivoiriens et assurer un impact durable pour les générations futures ? L'ONS et ses partenaires continueront-ils à innover et à développer des stratégies pour maximiser l'utilisation et la valeur de ces infrastructures au bénéfice de toute la nation ?

Cette ambition collective de préserver et d'utiliser judicieusement les infrastructures sportives post-CAN témoigne de la volonté de la Côte d'Ivoire de rester un leader régional dans le domaine du sport et du développement communautaire.

Image de Football. Lors d'un cocktail de presse à Abidjan le jeudi 27 juin 2024, Ousmane Gbané, directeur général de l'Office National des Sports (ONS), a partagé les plans ambitieux de son organisation pour assurer la gestion durable des infrastructures sportives héritées de la CAN 2023 en Côte d'Ivoire. Cet événement a été l'occasion de souligner l'importance de ces installations modernes dans le paysage sportif ivoirien. Un Symbole de Fierté Nationale Les six stades ultra modernes, homologués pour accueillir des compétitions internationales par la CAF et la FIFA, ainsi que les 24 terrains d'entraînement et les cités CAN, sont désormais des symboles de fierté pour les Ivoiriens. Selon Ousmane Gbané, ces infrastructures sont comparables à des icônes mondiales telles que la Statue de la Liberté ou la Tour Eiffel, incarnant la grandeur et le progrès sportif de la Côte d'Ivoire. Il a souligné que toutes ces infrastructures sont opérationnelles et font l'objet d'un entretien rigoureux supervisé par l'ONS en collaboration avec le Bureau National d'Études Techniques et de Développement (BNETD). « Nous veillons à ce que chaque stade et chaque pelouse soit maintenu dans des conditions optimales pour accueillir divers événements sportifs et socioculturels », a déclaré M. Gbané. Pour garantir la pérennité de ces installations, des stratégies de gestion avancées sont mises en œuvre. Ousmane Gbané a mentionné la mise sous gérance des infrastructures d'hébergement de la CAN et la signature de conventions avec divers partenaires pour la gestion des stades d'entraînement. Ces initiatives visent à optimiser l'utilisation des installations tout en assurant leur maintenance continue. Engagement envers le Développement Durable La rencontre avec la presse a également mis en lumière l'engagement de l'ONS envers le développement durable. Les infrastructures post-CAN ne sont pas seulement des lieux de compétition sportive, mais aussi des catalyseurs de développement communautaire et économique. Elles incarnent la vision de la Côte d'Ivoire pour un avenir où le sport joue un rôle central dans la promotion du bien-être et de l'unité nationale. Alors que la Côte d'Ivoire s'efforce de maintenir ces infrastructures comme des piliers de son héritage sportif, une question demeure : comment ces installations peuvent-elles être encore mieux intégrées dans la vie quotidienne des Ivoiriens et assurer un impact durable pour les générations futures ? L'ONS et ses partenaires continueront-ils à innover et à développer des stratégies pour maximiser l'utilisation et la valeur de ces infrastructures au bénéfice de toute la nation ? Cette ambition collective de préserver et d'utiliser judicieusement les infrastructures sportives post-CAN témoigne de la volonté de la Côte d'Ivoire de rester un leader régional dans le domaine du sport et du développement communautaire.

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Une Firme Minière Présente Un Modèle De Financement Pour Les Artisans Miniers dans Société le 30 juin à 15:12

L'engagement envers une exploitation minière plus durable et moins nocive pour l'environnement a atteint un jalon significatif avec la présentation récente d'un rapport clé par la firme PlanetGOLD à Cocody 7e Tranche, Côte d'Ivoire. Cette étude, intitulée « Environnement et contexte de l’accès au financement des artisans miniers du secteur de l’or en Côte d’Ivoire », vise à transformer radicalement les pratiques minières artisanales dans le pays.

Un Rapport Crucial pour l'Évolution du Secteur Minier


Après des mois d'études de terrain et de collecte de données, PlanetGOLD Côte d’Ivoire a officiellement dévoilé les conclusions de son rapport lors d'un atelier où les parties prenantes du secteur minier étaient présentes en nombre. L'objectif principal de cette rencontre était de présenter les résultats préliminaires afin de solliciter les avis et contributions des acteurs concernés pour affiner le rapport final.

Au cœur de ce rapport se trouve un appel urgent à réduire drastiquement, voire à éliminer complètement, l'utilisation du mercure dans l'exploitation minière artisanale en Côte d'Ivoire. Mme Vi Kouadio Amenan, point focal de la convention de Minamata et Coordonnatrice du projet PlanetGOLD, a souligné la nécessité critique de cette démarche : « L'inventaire a révélé que 96% des artisans miniers utilisent le mercure, une pratique non seulement préjudiciable à la santé mais aussi désastreuse pour l'environnement. »

La convention de Minamata, à laquelle la Côte d'Ivoire est partie, impose des normes strictes visant à éliminer progressivement l'utilisation du mercure, particulièrement dans les secteurs vulnérables comme l'exploitation minière artisanale. « Notre objectif est d'équiper les artisans miniers des outils et technologies nécessaires pour extraire l'or sans avoir recours au mercure, tout en sensibilisant sur les dangers associés », a précisé Mme Amenan.

Le Rôle du Financement dans la Transformation du Secteur


Pour concrétiser cette transition vers des pratiques plus durables, PlanetGOLD met en place un mécanisme de financement spécifique. M. Aka Safo, directeur national du projet PlanetGOLD+, a souligné l'importance de ce soutien financier : « Nous nous engageons à accompagner financièrement les artisans miniers afin qu'ils puissent adopter de nouvelles technologies et méthodes d'extraction qui préservent la santé et l'environnement. »

Ce projet d'envergure, financé par le Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) avec la participation du Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE), représente une collaboration internationale cruciale pour la transformation durable du secteur minier en Côte d'Ivoire. Il s'agit non seulement d'une initiative environnementale majeure mais aussi d'un effort pour promouvoir une exploitation minière plus responsable et respectueuse des normes internationales.

Alors que ce projet ambitieux prend forme, une question demeure : quel sera l'impact réel de ces initiatives sur les communautés d'artisans miniers en Côte d'Ivoire et au-delà ? Comment les acteurs locaux et internationaux peuvent-ils collaborer pour assurer une transition en douceur vers des pratiques minières durables et respectueuses de l'environnement ?

Image de Société. L'engagement envers une exploitation minière plus durable et moins nocive pour l'environnement a atteint un jalon significatif avec la présentation récente d'un rapport clé par la firme PlanetGOLD à Cocody 7e Tranche, Côte d'Ivoire. Cette étude, intitulée « Environnement et contexte de l’accès au financement des artisans miniers du secteur de l’or en Côte d’Ivoire », vise à transformer radicalement les pratiques minières artisanales dans le pays. Un Rapport Crucial pour l'Évolution du Secteur Minier Après des mois d'études de terrain et de collecte de données, PlanetGOLD Côte d’Ivoire a officiellement dévoilé les conclusions de son rapport lors d'un atelier où les parties prenantes du secteur minier étaient présentes en nombre. L'objectif principal de cette rencontre était de présenter les résultats préliminaires afin de solliciter les avis et contributions des acteurs concernés pour affiner le rapport final. Au cœur de ce rapport se trouve un appel urgent à réduire drastiquement, voire à éliminer complètement, l'utilisation du mercure dans l'exploitation minière artisanale en Côte d'Ivoire. Mme Vi Kouadio Amenan, point focal de la convention de Minamata et Coordonnatrice du projet PlanetGOLD, a souligné la nécessité critique de cette démarche : « L'inventaire a révélé que 96% des artisans miniers utilisent le mercure, une pratique non seulement préjudiciable à la santé mais aussi désastreuse pour l'environnement. » La convention de Minamata, à laquelle la Côte d'Ivoire est partie, impose des normes strictes visant à éliminer progressivement l'utilisation du mercure, particulièrement dans les secteurs vulnérables comme l'exploitation minière artisanale. « Notre objectif est d'équiper les artisans miniers des outils et technologies nécessaires pour extraire l'or sans avoir recours au mercure, tout en sensibilisant sur les dangers associés », a précisé Mme Amenan. Le Rôle du Financement dans la Transformation du Secteur Pour concrétiser cette transition vers des pratiques plus durables, PlanetGOLD met en place un mécanisme de financement spécifique. M. Aka Safo, directeur national du projet PlanetGOLD+, a souligné l'importance de ce soutien financier : « Nous nous engageons à accompagner financièrement les artisans miniers afin qu'ils puissent adopter de nouvelles technologies et méthodes d'extraction qui préservent la santé et l'environnement. » Ce projet d'envergure, financé par le Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) avec la participation du Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE), représente une collaboration internationale cruciale pour la transformation durable du secteur minier en Côte d'Ivoire. Il s'agit non seulement d'une initiative environnementale majeure mais aussi d'un effort pour promouvoir une exploitation minière plus responsable et respectueuse des normes internationales. Alors que ce projet ambitieux prend forme, une question demeure : quel sera l'impact réel de ces initiatives sur les communautés d'artisans miniers en Côte d'Ivoire et au-delà ? Comment les acteurs locaux et internationaux peuvent-ils collaborer pour assurer une transition en douceur vers des pratiques minières durables et respectueuses de l'environnement ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Voici La Réaction De Coco Emilia Suite À La Déclaration De Camille Makosso dans Célébrités le 30 juin à 12:54

Le monde des réseaux sociaux est à nouveau secoué par une série d'échanges passionnés entre personnalités publiques. Cette fois-ci, l'affrontement met en scène l'influenceuse bien connue Coco Emilia et le révérend-pasteur controversé Camille Makosso. La polémique a éclaté après que ce dernier ait publiquement critiqué les choix personnels de Coco Emilia, suscitant une réaction vive de sa part après plusieurs semaines de silence.

Un Pasteur dans l'Arène des Médias Sociaux


Camille Makosso, figure charismatique et souvent controversée de la scène médiatique ivoirienne, n'est pas étranger aux débats en ligne. Connu pour ses prises de position tranchées sur divers sujets d'actualité et de société, il n'hésite pas à exprimer ses opinions avec force et conviction. Récemment, il s'est exprimé sur l'émission de télé-réalité 'Secret Story Afrique', soulevant des réactions passionnées de ses nombreux adeptes sur les réseaux sociaux.

Lorsque Coco Emilia, une personnalité influente dans le monde du showbiz africain, a partagé ses impressions sur la version africaine de cette émission populaire, elle ne s'attendait probablement pas à l'avalanche de critiques qui s'ensuivit. Sa prise de position a déclenché un débat animé parmi ses followers et au-delà, attirant l'attention du pasteur Makosso qui a choisi de prendre la défense d'une autre personnalité, Emma Lohoues, dans l'affaire.


https://www.youtube.com/watch?v=QCKST9tWlek

Une Réponse Cinglante


Après avoir été la cible de commentaires désobligeants de la part de Camille Makosso, Coco Emilia a finalement pris la parole, mettant un terme à son silence avec une réponse franche et directe. Dans un message retentissant sur les réseaux sociaux, elle a exprimé son désaccord avec les critiques du pasteur, affirmant fermement sa position et demandant le respect de sa vie privée : "Grand frère Makosso je te remercie pour tes conseils mais que ce soit la première et la dernière fois que tu me traites de Fille de joie , je ne fais pas la bordelerie avec tes filles . Merci."

Cette réaction de Coco Emilia marque-t-elle la fin de cette querelle médiatique ou annonce-t-elle une nouvelle série de confrontations dans le monde des célébrités en ligne ? Alors que les débats en ligne continuent d'évoluer et de captiver un public mondial, l'avenir réserve-t-il davantage de rebondissements entre ces deux personnalités ?

Image de Célébrités. Le monde des réseaux sociaux est à nouveau secoué par une série d'échanges passionnés entre personnalités publiques. Cette fois-ci, l'affrontement met en scène l'influenceuse bien connue Coco Emilia et le révérend-pasteur controversé Camille Makosso. La polémique a éclaté après que ce dernier ait publiquement critiqué les choix personnels de Coco Emilia, suscitant une réaction vive de sa part après plusieurs semaines de silence. Un Pasteur dans l'Arène des Médias Sociaux Camille Makosso, figure charismatique et souvent controversée de la scène médiatique ivoirienne, n'est pas étranger aux débats en ligne. Connu pour ses prises de position tranchées sur divers sujets d'actualité et de société, il n'hésite pas à exprimer ses opinions avec force et conviction. Récemment, il s'est exprimé sur l'émission de télé-réalité 'Secret Story Afrique', soulevant des réactions passionnées de ses nombreux adeptes sur les réseaux sociaux. Lorsque Coco Emilia, une personnalité influente dans le monde du showbiz africain, a partagé ses impressions sur la version africaine de cette émission populaire, elle ne s'attendait probablement pas à l'avalanche de critiques qui s'ensuivit. Sa prise de position a déclenché un débat animé parmi ses followers et au-delà, attirant l'attention du pasteur Makosso qui a choisi de prendre la défense d'une autre personnalité, Emma Lohoues, dans l'affaire. Une Réponse Cinglante Après avoir été la cible de commentaires désobligeants de la part de Camille Makosso, Coco Emilia a finalement pris la parole, mettant un terme à son silence avec une réponse franche et directe. Dans un message retentissant sur les réseaux sociaux, elle a exprimé son désaccord avec les critiques du pasteur, affirmant fermement sa position et demandant le respect de sa vie privée : "Grand frère Makosso je te remercie pour tes conseils mais que ce soit la première et la dernière fois que tu me traites de Fille de joie , je ne fais pas la bordelerie avec tes filles . Merci." Cette réaction de Coco Emilia marque-t-elle la fin de cette querelle médiatique ou annonce-t-elle une nouvelle série de confrontations dans le monde des célébrités en ligne ? Alors que les débats en ligne continuent d'évoluer et de captiver un public mondial, l'avenir réserve-t-il davantage de rebondissements entre ces deux personnalités ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Côte d'Ivoire: Josey Célèbre Son Anniversaire En Rendant Hommage À Dieu dans Célébrités le 30 juin à 12:47

Ce samedi 29 juin, la chanteuse ivoirienne Josey célèbre son 39ème anniversaire avec une gratitude profonde envers Dieu. Connu pour son album "Vibration Universelle" et préparant un concert live très attendu pour le 14 août au Parc des Expositions d'Abidjan, Josey a partagé ses sentiments sur Facebook à l'occasion de cet événement spécial.

Une Expression de Gratitude Divine


Dans un post émouvant sur sa page officielle, Josey exprime sa reconnaissance envers Dieu pour toutes les bénédictions reçues jusqu'à ce jour. "Que de Grâce, Dieu de l’Univers. Merci pour cette bougie de plus. Tu prends l’indigent et tu le fais asseoir à la table des rois. Tu m’as comblé de beaucoup d’amour jusqu’au jour d’aujourd’hui. Tu oins d’huile ma tête et ma coupe déborde", écrit-elle, reflétant sa foi et sa gratitude.

Confiance et Espoir pour l'Avenir


Josey, également connue pour sa relation avec Serey Dié, célèbre non seulement son anniversaire mais aussi les projets à venir, y compris son concert à Abidjan. "Accorde-moi de rester un avec toi et bénis tous ceux qui m’encouragent à aller de l’avant. Bénis aussi ceux qui veulent m’empêcher d’atteindre mes objectifs, parce que Tu as dit de prier pour eux. Je veux juste qu’ils voient ce que Tu feras de moi sous leurs yeux", a-t-elle partagé avec ses fans. Le 14 août promet d'être un jour spécial, sous la protection divine, comme l'a affirmé Josey. En conclusion de son message, elle souhaite un joyeux anniversaire à tous ceux nés le même jour qu'elle, partageant ainsi sa joie avec ses admirateurs.

Image de Célébrités. Ce samedi 29 juin, la chanteuse ivoirienne Josey célèbre son 39ème anniversaire avec une gratitude profonde envers Dieu. Connu pour son album "Vibration Universelle" et préparant un concert live très attendu pour le 14 août au Parc des Expositions d'Abidjan, Josey a partagé ses sentiments sur Facebook à l'occasion de cet événement spécial. Une Expression de Gratitude Divine Dans un post émouvant sur sa page officielle, Josey exprime sa reconnaissance envers Dieu pour toutes les bénédictions reçues jusqu'à ce jour. "Que de Grâce, Dieu de l’Univers. Merci pour cette bougie de plus. Tu prends l’indigent et tu le fais asseoir à la table des rois. Tu m’as comblé de beaucoup d’amour jusqu’au jour d’aujourd’hui. Tu oins d’huile ma tête et ma coupe déborde", écrit-elle, reflétant sa foi et sa gratitude. Confiance et Espoir pour l'Avenir Josey, également connue pour sa relation avec Serey Dié, célèbre non seulement son anniversaire mais aussi les projets à venir, y compris son concert à Abidjan. "Accorde-moi de rester un avec toi et bénis tous ceux qui m’encouragent à aller de l’avant. Bénis aussi ceux qui veulent m’empêcher d’atteindre mes objectifs, parce que Tu as dit de prier pour eux. Je veux juste qu’ils voient ce que Tu feras de moi sous leurs yeux", a-t-elle partagé avec ses fans. Le 14 août promet d'être un jour spécial, sous la protection divine, comme l'a affirmé Josey. En conclusion de son message, elle souhaite un joyeux anniversaire à tous ceux nés le même jour qu'elle, partageant ainsi sa joie avec ses admirateurs.

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Alassane Ouattara Décerne Une Distinction Au Président Angolais Joao Lourenço dans Politique le 30 juin à 12:43

Lors d'une visite diplomatique marquée par la coopération et les échanges fructueux, le président de la république d’Angola, Joao Manuel Lourenço, a été accueilli en Côte d’Ivoire avec les honneurs. L'événement culminant de cette rencontre a été un dîner officiel au cours duquel le président Alassane Ouattara a conféré à son homologue angolais une distinction prestigieuse, élevant ainsi les relations entre leurs nations à de nouveaux sommets.

La cérémonie de distinction


Lors du dîner organisé en l’honneur du président Lourenço et de sa délégation, Alassane Ouattara a décerné à Joao Lourenço la Grand-croix de l’ordre national de Côte d’Ivoire, la plus haute distinction honorifique du pays. Cette marque de reconnaissance illustre non seulement l'appréciation pour les contributions de l'Angola à la coopération régionale, mais aussi le désir de renforcer les liens historiques et culturels entre les deux nations.

Dans un discours empreint de gratitude et de perspective pour l'avenir, Alassane Ouattara a souligné l'importance de la collaboration continue entre la Côte d’Ivoire et l’Angola. Les 14 accords de coopération signés pendant le séjour de la délégation angolaise à Abidjan témoignent de l'engagement mutuel à explorer de nouvelles opportunités économiques, culturelles et politiques.

Perspectives futures


La visite du président Lourenço a également permis des échanges fructueux sur des questions de développement économique, de sécurité régionale et de partenariats stratégiques. Alors que la délégation angolaise explorait les lieux stratégiques en Côte d’Ivoire, le président Lourenço a exprimé son optimisme quant aux possibilités futures de collaboration dans des domaines clés tels que l'agriculture, l'énergie et les infrastructures.

En concluant cette visite diplomatique enrichissante, les deux chefs d'État ont réaffirmé leur engagement à consolider les relations entre leurs peuples respectifs. L'élargissement des liens de coopération entre la Côte d’Ivoire et l’Angola offre des perspectives prometteuses pour un avenir commun plus solide et plus prospère. Comment cette coopération renforcée pourrait-elle influencer les dynamiques régionales en Afrique de l’Ouest ?

Image de Politique. Lors d'une visite diplomatique marquée par la coopération et les échanges fructueux, le président de la république d’Angola, Joao Manuel Lourenço, a été accueilli en Côte d’Ivoire avec les honneurs. L'événement culminant de cette rencontre a été un dîner officiel au cours duquel le président Alassane Ouattara a conféré à son homologue angolais une distinction prestigieuse, élevant ainsi les relations entre leurs nations à de nouveaux sommets. La cérémonie de distinction Lors du dîner organisé en l’honneur du président Lourenço et de sa délégation, Alassane Ouattara a décerné à Joao Lourenço la Grand-croix de l’ordre national de Côte d’Ivoire, la plus haute distinction honorifique du pays. Cette marque de reconnaissance illustre non seulement l'appréciation pour les contributions de l'Angola à la coopération régionale, mais aussi le désir de renforcer les liens historiques et culturels entre les deux nations. Dans un discours empreint de gratitude et de perspective pour l'avenir, Alassane Ouattara a souligné l'importance de la collaboration continue entre la Côte d’Ivoire et l’Angola. Les 14 accords de coopération signés pendant le séjour de la délégation angolaise à Abidjan témoignent de l'engagement mutuel à explorer de nouvelles opportunités économiques, culturelles et politiques. Perspectives futures La visite du président Lourenço a également permis des échanges fructueux sur des questions de développement économique, de sécurité régionale et de partenariats stratégiques. Alors que la délégation angolaise explorait les lieux stratégiques en Côte d’Ivoire, le président Lourenço a exprimé son optimisme quant aux possibilités futures de collaboration dans des domaines clés tels que l'agriculture, l'énergie et les infrastructures. En concluant cette visite diplomatique enrichissante, les deux chefs d'État ont réaffirmé leur engagement à consolider les relations entre leurs peuples respectifs. L'élargissement des liens de coopération entre la Côte d’Ivoire et l’Angola offre des perspectives prometteuses pour un avenir commun plus solide et plus prospère. Comment cette coopération renforcée pourrait-elle influencer les dynamiques régionales en Afrique de l’Ouest ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Vaccination: La Côte d’Ivoire Intègre Le Vaccin R21 Matrix-M Dans Son Programme dans Santé le 30 juin à 12:37

Le jeudi 27 juin 2024, Abidjan a été le théâtre d'un événement marquant pour la santé publique en Côte d’Ivoire : la réception officielle de plus de 131 100 doses de vaccins antipaludiques R21/Matrix-M. Ce déploiement stratégique vise à intégrer ces vaccins dans le Programme Élargi de Vaccination (PEV), avec pour objectif ambitieux de vacciner 250 000 enfants âgés de 0 à 23 mois à partir du 15 juillet 2024.

Un Déploiement Crucial pour la Santé Infantile


Sur le tarmac de l'aéroport Felix Houphouët Boigny, le ministre de la Santé, de l’Hygiène publique et de la Couverture maladie universelle, Pierre Dimba, a supervisé la réception des premières doses. Accompagné de partenaires techniques et financiers, cet événement marque une étape décisive dans la lutte contre le paludisme infantile en Côte d’Ivoire.

Le programme prévoit l'administration de quatre doses de vaccin antipaludique (VAP) à intervalles spécifiques : à 6 mois, 8 mois, 9 mois et 15 mois. Cette stratégie vise à renforcer l'immunité des enfants les plus vulnérables dans 38 districts sanitaires répartis à travers 16 régions du pays. À terme, l'extension du programme à 75 autres districts sanitaires d'ici fin 2024 est prévue, afin de maximiser l'impact sur la santé publique.

L'ambition principale de cette initiative est de contribuer significativement à l'accélération de l'élimination du paludisme infantile en Côte d’Ivoire. Le paludisme reste une des principales causes de mortalité infantile dans la région, et l'introduction de ce vaccin promet de réduire drastiquement ces statistiques alarmantes.

Assurance de Sécurité et Efficacité


Le ministre a tenu à rassurer la population sur la sécurité et l'efficacité du vaccin R21/Matrix-M : « Ce vaccin est sûr et efficace, et représente une avancée majeure dans notre lutte contre le paludisme. Il permettra de protéger nos enfants et de sauver des vies », a-t-il déclaré lors de la cérémonie.

Alors que la Côte d’Ivoire se prépare à étendre le programme de vaccination antipaludique à travers le pays, des défis logistiques et d'accessibilité subsistent. Comment assurer une couverture maximale dans les régions les plus reculées et les plus vulnérables ? Quelles stratégies seront mises en place pour garantir que chaque enfant ait accès à ces vaccins vitaux ?

La bataille contre le paludisme infantile en Côte d’Ivoire prend un tournant décisif avec l'introduction du vaccin R21/Matrix-M. L'avenir de cette lutte dépendra non seulement de la volonté politique et des ressources allouées, mais aussi de l'engagement continu des acteurs de la santé et de la société civile.

Image de Santé. Le jeudi 27 juin 2024, Abidjan a été le théâtre d'un événement marquant pour la santé publique en Côte d’Ivoire : la réception officielle de plus de 131 100 doses de vaccins antipaludiques R21/Matrix-M. Ce déploiement stratégique vise à intégrer ces vaccins dans le Programme Élargi de Vaccination (PEV), avec pour objectif ambitieux de vacciner 250 000 enfants âgés de 0 à 23 mois à partir du 15 juillet 2024. Un Déploiement Crucial pour la Santé Infantile Sur le tarmac de l'aéroport Felix Houphouët Boigny, le ministre de la Santé, de l’Hygiène publique et de la Couverture maladie universelle, Pierre Dimba, a supervisé la réception des premières doses. Accompagné de partenaires techniques et financiers, cet événement marque une étape décisive dans la lutte contre le paludisme infantile en Côte d’Ivoire. Le programme prévoit l'administration de quatre doses de vaccin antipaludique (VAP) à intervalles spécifiques : à 6 mois, 8 mois, 9 mois et 15 mois. Cette stratégie vise à renforcer l'immunité des enfants les plus vulnérables dans 38 districts sanitaires répartis à travers 16 régions du pays. À terme, l'extension du programme à 75 autres districts sanitaires d'ici fin 2024 est prévue, afin de maximiser l'impact sur la santé publique. L'ambition principale de cette initiative est de contribuer significativement à l'accélération de l'élimination du paludisme infantile en Côte d’Ivoire. Le paludisme reste une des principales causes de mortalité infantile dans la région, et l'introduction de ce vaccin promet de réduire drastiquement ces statistiques alarmantes. Assurance de Sécurité et Efficacité Le ministre a tenu à rassurer la population sur la sécurité et l'efficacité du vaccin R21/Matrix-M : « Ce vaccin est sûr et efficace, et représente une avancée majeure dans notre lutte contre le paludisme. Il permettra de protéger nos enfants et de sauver des vies », a-t-il déclaré lors de la cérémonie. Alors que la Côte d’Ivoire se prépare à étendre le programme de vaccination antipaludique à travers le pays, des défis logistiques et d'accessibilité subsistent. Comment assurer une couverture maximale dans les régions les plus reculées et les plus vulnérables ? Quelles stratégies seront mises en place pour garantir que chaque enfant ait accès à ces vaccins vitaux ? La bataille contre le paludisme infantile en Côte d’Ivoire prend un tournant décisif avec l'introduction du vaccin R21/Matrix-M. L'avenir de cette lutte dépendra non seulement de la volonté politique et des ressources allouées, mais aussi de l'engagement continu des acteurs de la santé et de la société civile.

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Scandale À Miss Côte d’Ivoire 2024: Révélations Choquantes Durant La Cérémonie dans TV/Films/Séries le 30 juin à 12:29

La soirée tant attendue de l'élection de Miss Côte d’Ivoire 2024 a été marquée par un scandale retentissant, suscitant une vague d'indignation parmi les internautes. Retour sur les événements qui ont secoué cette 28ᵉ édition de l'événement prestigieux.

Une Soirée Semée de Controverses


La cérémonie de l’élection, qui s’est déroulée le samedi 29 juin, avait débuté dans l'attente fébrile des résultats régionaux. Vingt-six candidates avaient atteint la finale, promettant une compétition féroce pour le titre convoité de Miss Côte d’Ivoire.

Dès le début de la soirée, les réseaux sociaux ont été le théâtre de critiques acerbes envers le Comité d’Organisation (COMICI). Les internautes ont exprimé leur déception quant au choix des artistes invités, regrettant l'absence de figures majeures comme Josey et Roseline Layo, qui auraient pu dynamiser l'événement.

Le point culminant de la controverse est survenu lors de l'annonce des résultats finaux. Après la sélection des cinq finalistes, l'annonceur a commis une bourde monumentale en confondant les noms des candidates. Touré Steve, initialement annoncée, a été soudainement remplacée par Coulibaly Fatoumata, suite à une rectification tardive et confuse.

« L'erreur du présentateur a plongé la soirée dans un chaos inattendu. Les réactions des internautes ont été immédiates et virulentes », déclare un témoin de l'événement. La réaction du public n'a pas tardé à se faire entendre, dénonçant cette injustice apparente et remettant en question l'intégrité de tout le processus de sélection. Sur les plateformes en ligne, des hashtags critiquant le COMICI ont rapidement fait surface, alimentant une discussion nationale sur la transparence et l'équité dans les concours de beauté.

Couronnement et Soutien à Touré Steve


Malgré le tumulte, Diamala Marie Emmanuelle a été couronnée Miss Côte d’Ivoire 2024, avec Coulibaly Fatoumata et Konan Maulani comme premières dauphines. Pendant ce temps, les partisans de Touré Steve se mobilisent pour exprimer leur solidarité envers la candidate lésée.

À l'heure actuelle, Steve Touré n'a pas encore fait de déclaration publique sur l'incident. Sa position et ses actions futures seront scrutées de près dans les jours à venir, alors que le débat sur l'équité et la gestion des concours de beauté continue de faire rage.

L'épisode tumultueux de l'élection de Miss Côte d’Ivoire 2024 soulève des questions cruciales sur la nécessité de réformes dans le processus de sélection et d'annonce des résultats. Comment garantir la transparence et l'équité dans de tels événements prestigieux ? C'est une interrogation qui mérite une réflexion approfondie et un dialogue ouvert pour l'avenir des concours de beauté en Côte d'Ivoire et au-delà.

Image de TV/Films/Séries. La soirée tant attendue de l'élection de Miss Côte d’Ivoire 2024 a été marquée par un scandale retentissant, suscitant une vague d'indignation parmi les internautes. Retour sur les événements qui ont secoué cette 28ᵉ édition de l'événement prestigieux. Une Soirée Semée de Controverses La cérémonie de l’élection, qui s’est déroulée le samedi 29 juin, avait débuté dans l'attente fébrile des résultats régionaux. Vingt-six candidates avaient atteint la finale, promettant une compétition féroce pour le titre convoité de Miss Côte d’Ivoire. Dès le début de la soirée, les réseaux sociaux ont été le théâtre de critiques acerbes envers le Comité d’Organisation (COMICI). Les internautes ont exprimé leur déception quant au choix des artistes invités, regrettant l'absence de figures majeures comme Josey et Roseline Layo, qui auraient pu dynamiser l'événement. Le point culminant de la controverse est survenu lors de l'annonce des résultats finaux. Après la sélection des cinq finalistes, l'annonceur a commis une bourde monumentale en confondant les noms des candidates. Touré Steve, initialement annoncée, a été soudainement remplacée par Coulibaly Fatoumata, suite à une rectification tardive et confuse. « L'erreur du présentateur a plongé la soirée dans un chaos inattendu. Les réactions des internautes ont été immédiates et virulentes », déclare un témoin de l'événement. La réaction du public n'a pas tardé à se faire entendre, dénonçant cette injustice apparente et remettant en question l'intégrité de tout le processus de sélection. Sur les plateformes en ligne, des hashtags critiquant le COMICI ont rapidement fait surface, alimentant une discussion nationale sur la transparence et l'équité dans les concours de beauté. Couronnement et Soutien à Touré Steve Malgré le tumulte, Diamala Marie Emmanuelle a été couronnée Miss Côte d’Ivoire 2024, avec Coulibaly Fatoumata et Konan Maulani comme premières dauphines. Pendant ce temps, les partisans de Touré Steve se mobilisent pour exprimer leur solidarité envers la candidate lésée. À l'heure actuelle, Steve Touré n'a pas encore fait de déclaration publique sur l'incident. Sa position et ses actions futures seront scrutées de près dans les jours à venir, alors que le débat sur l'équité et la gestion des concours de beauté continue de faire rage. L'épisode tumultueux de l'élection de Miss Côte d’Ivoire 2024 soulève des questions cruciales sur la nécessité de réformes dans le processus de sélection et d'annonce des résultats. Comment garantir la transparence et l'équité dans de tels événements prestigieux ? C'est une interrogation qui mérite une réflexion approfondie et un dialogue ouvert pour l'avenir des concours de beauté en Côte d'Ivoire et au-delà.

Deuxième Image de TV/Films/Séries. La soirée tant attendue de l'élection de Miss Côte d’Ivoire 2024 a été marquée par un scandale retentissant, suscitant une vague d'indignation parmi les internautes. Retour sur les événements qui ont secoué cette 28ᵉ édition de l'événement prestigieux. Une Soirée Semée de Controverses La cérémonie de l’élection, qui s’est déroulée le samedi 29 juin, avait débuté dans l'attente fébrile des résultats régionaux. Vingt-six candidates avaient atteint la finale, promettant une compétition féroce pour le titre convoité de Miss Côte d’Ivoire. Dès le début de la soirée, les réseaux sociaux ont été le théâtre de critiques acerbes envers le Comité d’Organisation (COMICI). Les internautes ont exprimé leur déception quant au choix des artistes invités, regrettant l'absence de figures majeures comme Josey et Roseline Layo, qui auraient pu dynamiser l'événement. Le point culminant de la controverse est survenu lors de l'annonce des résultats finaux. Après la sélection des cinq finalistes, l'annonceur a commis une bourde monumentale en confondant les noms des candidates. Touré Steve, initialement annoncée, a été soudainement remplacée par Coulibaly Fatoumata, suite à une rectification tardive et confuse. « L'erreur du présentateur a plongé la soirée dans un chaos inattendu. Les réactions des internautes ont été immédiates et virulentes », déclare un témoin de l'événement. La réaction du public n'a pas tardé à se faire entendre, dénonçant cette injustice apparente et remettant en question l'intégrité de tout le processus de sélection. Sur les plateformes en ligne, des hashtags critiquant le COMICI ont rapidement fait surface, alimentant une discussion nationale sur la transparence et l'équité dans les concours de beauté. Couronnement et Soutien à Touré Steve Malgré le tumulte, Diamala Marie Emmanuelle a été couronnée Miss Côte d’Ivoire 2024, avec Coulibaly Fatoumata et Konan Maulani comme premières dauphines. Pendant ce temps, les partisans de Touré Steve se mobilisent pour exprimer leur solidarité envers la candidate lésée. À l'heure actuelle, Steve Touré n'a pas encore fait de déclaration publique sur l'incident. Sa position et ses actions futures seront scrutées de près dans les jours à venir, alors que le débat sur l'équité et la gestion des concours de beauté continue de faire rage. L'épisode tumultueux de l'élection de Miss Côte d’Ivoire 2024 soulève des questions cruciales sur la nécessité de réformes dans le processus de sélection et d'annonce des résultats. Comment garantir la transparence et l'équité dans de tels événements prestigieux ? C'est une interrogation qui mérite une réflexion approfondie et un dialogue ouvert pour l'avenir des concours de beauté en Côte d'Ivoire et au-delà.

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Franck Kessié Investit Lourdement, Espérant Des Millions De FCFA En Peu De Temps dans Célébrités le 30 juin à 12:21

En Côte d’Ivoire, l'initiative entrepreneuriale de Franck Kessié ne se limite pas aux terrains de football. Avec une vision stratégique tournée vers l'avenir, le joueur de renommée internationale investit dans des secteurs clés comme l'immobilier, marquant ainsi le début d'une nouvelle ère pour sa carrière et son patrimoine financier.

Investissement dans l'Immobilier : Un Choix Lucratif


Franck Kessié, bien connu pour ses performances sur le terrain, montre également son intelligence financière en investissant dans l'immobilier en Côte d'Ivoire. Ce secteur, particulièrement florissant dans le pays, offre des opportunités de croissance substantielles pour ceux qui savent saisir les bonnes occasions. Avec sa récente incursion dans ce domaine, Kessié ne fait pas que diversifier ses actifs, il établit également un modèle pour les jeunes aspirants ivoiriens.

Sira Kessié, épouse de Franck Kessié, a partagé que le couple a pris des mesures prévoyantes pour sécuriser leur avenir financier, notamment à travers des investissements judicieux dans le football et l'immobilier. Cette stratégie vise à assurer une retraite confortable et à générer des revenus passifs à long terme.

Franck Kessié, en tant que figure emblématique du sport et de l'entrepreneuriat en Côte d'Ivoire, inspire non seulement par ses exploits sur le terrain, mais aussi par sa capacité à diversifier ses revenus et à investir dans des secteurs prometteurs. Son exemple encourage la jeunesse à envisager l'investissement comme un pilier essentiel de la réussite future.

Le Modèle de l'Immobilier pour les Célébrités Ivoiriennes


L'immobilier attire également d'autres personnalités influentes en Côte d'Ivoire, telles que le célèbre chanteur A'salfo. Ce dernier a souligné l'importance de diversifier ses revenus et de préparer l'avenir, en choisissant l'immobilier comme un investissement stable et durable. Ses propos résonnent comme un conseil avisé pour une génération souvent éblouie par le succès temporaire.

« Nous venons d’un quartier pauvre. Un jour, au vu de notre succès, j’ai dit à mes frères : ‘Cette fois-ci, nous parlons en euros et ça risque de nous faire perdre la tête’. Mais quand on a de la lucidité, on prend du recul et on se dit qu’il y a des choses qu’il faut faire. En réalité, dans nos chansons, nous-mêmes, nous donnons des conseils aux gens. Donc tout de suite, il fallait investir dans des choses, car le métier d’artiste est un métier qui connaît des hauts et des bas. Il fallait préparer le jour où ça n’irait pas bien, d’autant plus que DIEU a permis qu’on ait une longévité, c’est-à-dire 30 ans de succès. Donc, on a essayé d’investir dans ce qui pouvait être pérenne, d’où notre choix dans l’immobilier, bien qu’on ait commencé dans le transport. Avoir un abri, c’est déjà la première des choses ».

L'initiative de Franck Kessié et d'autres personnalités ivoiriennes dans l'immobilier illustre une tendance croissante vers la diversification des investissements et la prévoyance financière. Ces actions posent la question : comment la jeunesse ivoirienne peut-elle s'inspirer de ces exemples pour construire un avenir financier solide ? La réponse pourrait bien résider dans l'éducation financière et la vision à long terme, deux piliers essentiels pour transformer les ambitions en réussites durables.

Image de Célébrités. En Côte d’Ivoire, l'initiative entrepreneuriale de Franck Kessié ne se limite pas aux terrains de football. Avec une vision stratégique tournée vers l'avenir, le joueur de renommée internationale investit dans des secteurs clés comme l'immobilier, marquant ainsi le début d'une nouvelle ère pour sa carrière et son patrimoine financier. Investissement dans l'Immobilier : Un Choix Lucratif Franck Kessié, bien connu pour ses performances sur le terrain, montre également son intelligence financière en investissant dans l'immobilier en Côte d'Ivoire. Ce secteur, particulièrement florissant dans le pays, offre des opportunités de croissance substantielles pour ceux qui savent saisir les bonnes occasions. Avec sa récente incursion dans ce domaine, Kessié ne fait pas que diversifier ses actifs, il établit également un modèle pour les jeunes aspirants ivoiriens. Sira Kessié, épouse de Franck Kessié, a partagé que le couple a pris des mesures prévoyantes pour sécuriser leur avenir financier, notamment à travers des investissements judicieux dans le football et l'immobilier. Cette stratégie vise à assurer une retraite confortable et à générer des revenus passifs à long terme. Franck Kessié, en tant que figure emblématique du sport et de l'entrepreneuriat en Côte d'Ivoire, inspire non seulement par ses exploits sur le terrain, mais aussi par sa capacité à diversifier ses revenus et à investir dans des secteurs prometteurs. Son exemple encourage la jeunesse à envisager l'investissement comme un pilier essentiel de la réussite future. Le Modèle de l'Immobilier pour les Célébrités Ivoiriennes L'immobilier attire également d'autres personnalités influentes en Côte d'Ivoire, telles que le célèbre chanteur A'salfo. Ce dernier a souligné l'importance de diversifier ses revenus et de préparer l'avenir, en choisissant l'immobilier comme un investissement stable et durable. Ses propos résonnent comme un conseil avisé pour une génération souvent éblouie par le succès temporaire. « Nous venons d’un quartier pauvre. Un jour, au vu de notre succès, j’ai dit à mes frères : ‘Cette fois-ci, nous parlons en euros et ça risque de nous faire perdre la tête’. Mais quand on a de la lucidité, on prend du recul et on se dit qu’il y a des choses qu’il faut faire. En réalité, dans nos chansons, nous-mêmes, nous donnons des conseils aux gens. Donc tout de suite, il fallait investir dans des choses, car le métier d’artiste est un métier qui connaît des hauts et des bas. Il fallait préparer le jour où ça n’irait pas bien, d’autant plus que DIEU a permis qu’on ait une longévité, c’est-à-dire 30 ans de succès. Donc, on a essayé d’investir dans ce qui pouvait être pérenne, d’où notre choix dans l’immobilier, bien qu’on ait commencé dans le transport. Avoir un abri, c’est déjà la première des choses ». L'initiative de Franck Kessié et d'autres personnalités ivoiriennes dans l'immobilier illustre une tendance croissante vers la diversification des investissements et la prévoyance financière. Ces actions posent la question : comment la jeunesse ivoirienne peut-elle s'inspirer de ces exemples pour construire un avenir financier solide ? La réponse pourrait bien résider dans l'éducation financière et la vision à long terme, deux piliers essentiels pour transformer les ambitions en réussites durables.

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Adjoumani: 12 Entreprises Exploitent 14 Usines De Transformation De Cacao dans Agriculture le 29 juin à 21:38

La Côte d'Ivoire, premier producteur mondial de cacao, continue de renforcer ses capacités dans le secteur de la transformation du cacao. Lors de la visite du président angolais João Manuel Gonçalves Lourenço à l'usine de chocolaterie du groupe CEMOI à Yopougon, le ministre d'État, ministre de l'Agriculture, du Développement rural et des Productions vivrières, Kobenan Kouassi Adjoumani, a présenté un tableau détaillé des progrès réalisés par le pays.

Un Secteur en Pleine Croissance


À ce jour, la Côte d'Ivoire compte 12 entreprises exploitant 14 usines de transformation de cacao. Ces infrastructures permettent de produire de la masse de cacao, du beurre de cacao, et d'autres dérivés semi-finis de première transformation. Selon le ministre Adjoumani, la capacité de broyage du pays est actuellement estimée à 972 000 tonnes, avec un taux de transformation effectif de 35%.

Le ministre a également annoncé des projets ambitieux visant à augmenter cette capacité à 1 176 040 tonnes, grâce à la construction de nouvelles usines. Cette expansion vise non seulement à augmenter la valeur ajoutée des exportations de cacao mais aussi à créer davantage d'emplois et à stimuler l'économie locale.

Pour ce qui est de la seconde transformation, la Côte d'Ivoire compte 52 opérateurs en activité, parmi lesquels 24 sociétés coopératives et un industriel majeur, l'entreprise CEMOI Chocolat. Ces acteurs jouent un rôle crucial dans la diversification des produits dérivés du cacao, allant au-delà des matières premières pour produire des produits finis à haute valeur ajoutée.

Les produits issus de la première transformation sont principalement destinés à des clients en Europe, où ils sont utilisés pour fabriquer du chocolat. Toutefois, le marché local et régional n'est pas négligé. Des produits comme la poudre de petit-déjeuner, la pâte à tartiner au chocolat et les tablettes de chocolat sont vendus localement et dans d'autres pays d'Afrique subsaharienne, renforçant ainsi la présence du cacao ivoirien sur les marchés internationaux.

Défis et Perspectives


Malgré ces avancées, le secteur de la transformation du cacao en Côte d'Ivoire doit encore relever plusieurs défis. L'une des principales difficultés réside dans l'accès aux financements nécessaires pour la modernisation et l'expansion des usines. De plus, la formation et la qualification de la main-d'œuvre sont essentielles pour garantir des standards de qualité élevés et pour innover dans les processus de transformation.

Le gouvernement ivoirien a mis en place plusieurs politiques pour soutenir ce secteur stratégique. Des incitations fiscales, des programmes de formation professionnelle, et des partenariats public-privé sont autant de mesures destinées à stimuler la transformation locale du cacao. La visite du président angolais et les discussions bilatérales qui en ont découlé illustrent également l'importance de la coopération internationale pour partager les meilleures pratiques et attirer des investissements étrangers.

La transformation du cacao en Côte d'Ivoire est un secteur en pleine expansion, porteur de promesses pour l'avenir économique du pays. Avec des capacités de broyage en augmentation et des projets de diversification des produits, la Côte d'Ivoire se positionne comme un acteur majeur non seulement dans la production, mais aussi dans la transformation du cacao à l'échelle mondiale.

Alors que le pays continue de développer son infrastructure de transformation, comment les nouvelles technologies et l'innovation peuvent-elles être intégrées pour améliorer encore la qualité et la compétitivité du cacao ivoirien sur les marchés internationaux?

Image de Agriculture. La Côte d'Ivoire, premier producteur mondial de cacao, continue de renforcer ses capacités dans le secteur de la transformation du cacao. Lors de la visite du président angolais João Manuel Gonçalves Lourenço à l'usine de chocolaterie du groupe CEMOI à Yopougon, le ministre d'État, ministre de l'Agriculture, du Développement rural et des Productions vivrières, Kobenan Kouassi Adjoumani, a présenté un tableau détaillé des progrès réalisés par le pays. Un Secteur en Pleine Croissance À ce jour, la Côte d'Ivoire compte 12 entreprises exploitant 14 usines de transformation de cacao. Ces infrastructures permettent de produire de la masse de cacao, du beurre de cacao, et d'autres dérivés semi-finis de première transformation. Selon le ministre Adjoumani, la capacité de broyage du pays est actuellement estimée à 972 000 tonnes, avec un taux de transformation effectif de 35%. Le ministre a également annoncé des projets ambitieux visant à augmenter cette capacité à 1 176 040 tonnes, grâce à la construction de nouvelles usines. Cette expansion vise non seulement à augmenter la valeur ajoutée des exportations de cacao mais aussi à créer davantage d'emplois et à stimuler l'économie locale. Pour ce qui est de la seconde transformation, la Côte d'Ivoire compte 52 opérateurs en activité, parmi lesquels 24 sociétés coopératives et un industriel majeur, l'entreprise CEMOI Chocolat. Ces acteurs jouent un rôle crucial dans la diversification des produits dérivés du cacao, allant au-delà des matières premières pour produire des produits finis à haute valeur ajoutée. Les produits issus de la première transformation sont principalement destinés à des clients en Europe, où ils sont utilisés pour fabriquer du chocolat. Toutefois, le marché local et régional n'est pas négligé. Des produits comme la poudre de petit-déjeuner, la pâte à tartiner au chocolat et les tablettes de chocolat sont vendus localement et dans d'autres pays d'Afrique subsaharienne, renforçant ainsi la présence du cacao ivoirien sur les marchés internationaux. Défis et Perspectives Malgré ces avancées, le secteur de la transformation du cacao en Côte d'Ivoire doit encore relever plusieurs défis. L'une des principales difficultés réside dans l'accès aux financements nécessaires pour la modernisation et l'expansion des usines. De plus, la formation et la qualification de la main-d'œuvre sont essentielles pour garantir des standards de qualité élevés et pour innover dans les processus de transformation. Le gouvernement ivoirien a mis en place plusieurs politiques pour soutenir ce secteur stratégique. Des incitations fiscales, des programmes de formation professionnelle, et des partenariats public-privé sont autant de mesures destinées à stimuler la transformation locale du cacao. La visite du président angolais et les discussions bilatérales qui en ont découlé illustrent également l'importance de la coopération internationale pour partager les meilleures pratiques et attirer des investissements étrangers. La transformation du cacao en Côte d'Ivoire est un secteur en pleine expansion, porteur de promesses pour l'avenir économique du pays. Avec des capacités de broyage en augmentation et des projets de diversification des produits, la Côte d'Ivoire se positionne comme un acteur majeur non seulement dans la production, mais aussi dans la transformation du cacao à l'échelle mondiale. Alors que le pays continue de développer son infrastructure de transformation, comment les nouvelles technologies et l'innovation peuvent-elles être intégrées pour améliorer encore la qualité et la compétitivité du cacao ivoirien sur les marchés internationaux?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Établissements Privés Laïcs: Les Fondateurs Menacent De Fermer Pour Dette dans Études/Devoirs le 29 juin à 21:32

La crise financière qui frappe les établissements privés laïcs de Côte d'Ivoire atteint un point critique. Lors d'une conférence de presse organisée le vendredi 28 juin 2024, la Fédération des établissements privés laïcs de Côte d'Ivoire (FENEPLACI) a exprimé son inquiétude face à une dette colossale de 72 milliards FCFA due par l'État pour l'année scolaire 2022-2023. Cette situation pourrait mener à la fermeture de nombreuses écoles à la rentrée prochaine, affectant des milliers d'élèves et d'enseignants.

Une Dette Colossale


Ibrahim Karamoko, président de la FENEPLACI, a lancé un appel pressant à l'État pour le versement immédiat des 72 milliards FCFA dus. "65% des apprenants et 75% des infrastructures sont en souffrance," a-t-il déclaré. "La rentrée scolaire est dans deux mois et si ce problème n'est pas résolu, les écoles risquent de fermer car les professeurs ne viendront pas." Cette dette met en péril non seulement la continuité pédagogique mais aussi la stabilité de tout le système éducatif privé laïc en Côte d'Ivoire.

Les conséquences de cette dette se font déjà sentir durement. Les établissements peinent à payer leurs enseignants et à entretenir leurs infrastructures. Le risque de fermeture à la prochaine rentrée scolaire pourrait laisser des milliers d’élèves sans école et aggraver les conditions de travail des enseignants.

Karamoko a également souligné que malgré les notifications à la Primature et aux ministères concernés, aucune action concrète n'a été prise pour remédier à la situation. "Dans notre convention, nous devrions être aux deux tiers du paiement, mais jusqu'à présent, nous n'avons reçu aucun document financier de l'État. Les établissements privés sont à l'agonie et exigent gain de cause," a-t-il affirmé.

Oumar Diallo, porte-parole des associations de fondateurs d'écoles privées, a rappelé que l'État doit non seulement 72 milliards pour l'année 2022-2023, mais aussi une somme estimée à 140 milliards FCFA pour l'année scolaire 2023-2024. "Le montant global des passifs s'élève à 25 617 0000 FCFA," a-t-il révélé, soulignant l'impact négatif de ces dettes sur le développement des établissements privés. Si cette situation perdure, la fermeture d'écoles à la rentrée 2024-2025 est inévitable. Cela entraînerait non seulement une rupture dans l'éducation des élèves mais aussi une perte d'emplois pour de nombreux enseignants et personnels administratifs.

Les élèves, principaux concernés, risquent de voir leur éducation interrompue, ce qui pourrait avoir des conséquences à long terme sur leur développement académique et professionnel. Les familles, déjà éprouvées par les défis économiques, seraient contraintes de trouver des solutions alternatives souvent plus coûteuses et moins accessibles. La fermeture massive des écoles privées aurait également des répercussions économiques significatives. Les établissements privés jouent un rôle crucial dans l'économie locale, en fournissant des emplois et en stimulant l'activité économique dans leurs communautés respectives.

Appel à la Responsabilité du Gouvernement


Les responsables de la FENEPLACI appellent le gouvernement à honorer ses engagements financiers pour éviter une catastrophe éducative. Un plan de remboursement clair et rapide est essentiel pour restaurer la confiance et assurer la continuité de l'éducation dans le secteur privé laïc.

Le développement de partenariats public-privé pourrait être une solution viable pour renforcer le secteur éducatif. Ces partenariats pourraient inclure des investissements dans les infrastructures scolaires, des programmes de formation pour les enseignants, et des initiatives visant à améliorer la qualité de l'éducation.

L'appel à l'aide internationale pourrait également être envisagé. Des organisations mondiales et des agences de développement peuvent apporter un soutien financier et technique pour aider à stabiliser et à revitaliser le secteur de l'éducation privée en Côte d'Ivoire.

La situation des établissements privés laïcs en Côte d'Ivoire est critique et nécessite une intervention urgente de la part de l'État et des parties prenantes. La continuité de l'éducation pour des milliers d'élèves dépend de la capacité du gouvernement à répondre rapidement et efficacement à cette crise financière.

Comment le gouvernement ivoirien et les parties prenantes internationales peuvent-ils collaborer pour assurer une éducation de qualité et durable pour tous les élèves en Côte d'Ivoire ?

Image de Études/Devoirs. La crise financière qui frappe les établissements privés laïcs de Côte d'Ivoire atteint un point critique. Lors d'une conférence de presse organisée le vendredi 28 juin 2024, la Fédération des établissements privés laïcs de Côte d'Ivoire (FENEPLACI) a exprimé son inquiétude face à une dette colossale de 72 milliards FCFA due par l'État pour l'année scolaire 2022-2023. Cette situation pourrait mener à la fermeture de nombreuses écoles à la rentrée prochaine, affectant des milliers d'élèves et d'enseignants. Une Dette Colossale Ibrahim Karamoko, président de la FENEPLACI, a lancé un appel pressant à l'État pour le versement immédiat des 72 milliards FCFA dus. "65% des apprenants et 75% des infrastructures sont en souffrance," a-t-il déclaré. "La rentrée scolaire est dans deux mois et si ce problème n'est pas résolu, les écoles risquent de fermer car les professeurs ne viendront pas." Cette dette met en péril non seulement la continuité pédagogique mais aussi la stabilité de tout le système éducatif privé laïc en Côte d'Ivoire. Les conséquences de cette dette se font déjà sentir durement. Les établissements peinent à payer leurs enseignants et à entretenir leurs infrastructures. Le risque de fermeture à la prochaine rentrée scolaire pourrait laisser des milliers d’élèves sans école et aggraver les conditions de travail des enseignants. Karamoko a également souligné que malgré les notifications à la Primature et aux ministères concernés, aucune action concrète n'a été prise pour remédier à la situation. "Dans notre convention, nous devrions être aux deux tiers du paiement, mais jusqu'à présent, nous n'avons reçu aucun document financier de l'État. Les établissements privés sont à l'agonie et exigent gain de cause," a-t-il affirmé. Oumar Diallo, porte-parole des associations de fondateurs d'écoles privées, a rappelé que l'État doit non seulement 72 milliards pour l'année 2022-2023, mais aussi une somme estimée à 140 milliards FCFA pour l'année scolaire 2023-2024. "Le montant global des passifs s'élève à 25 617 0000 FCFA," a-t-il révélé, soulignant l'impact négatif de ces dettes sur le développement des établissements privés. Si cette situation perdure, la fermeture d'écoles à la rentrée 2024-2025 est inévitable. Cela entraînerait non seulement une rupture dans l'éducation des élèves mais aussi une perte d'emplois pour de nombreux enseignants et personnels administratifs. Les élèves, principaux concernés, risquent de voir leur éducation interrompue, ce qui pourrait avoir des conséquences à long terme sur leur développement académique et professionnel. Les familles, déjà éprouvées par les défis économiques, seraient contraintes de trouver des solutions alternatives souvent plus coûteuses et moins accessibles. La fermeture massive des écoles privées aurait également des répercussions économiques significatives. Les établissements privés jouent un rôle crucial dans l'économie locale, en fournissant des emplois et en stimulant l'activité économique dans leurs communautés respectives. Appel à la Responsabilité du Gouvernement Les responsables de la FENEPLACI appellent le gouvernement à honorer ses engagements financiers pour éviter une catastrophe éducative. Un plan de remboursement clair et rapide est essentiel pour restaurer la confiance et assurer la continuité de l'éducation dans le secteur privé laïc. Le développement de partenariats public-privé pourrait être une solution viable pour renforcer le secteur éducatif. Ces partenariats pourraient inclure des investissements dans les infrastructures scolaires, des programmes de formation pour les enseignants, et des initiatives visant à améliorer la qualité de l'éducation. L'appel à l'aide internationale pourrait également être envisagé. Des organisations mondiales et des agences de développement peuvent apporter un soutien financier et technique pour aider à stabiliser et à revitaliser le secteur de l'éducation privée en Côte d'Ivoire. La situation des établissements privés laïcs en Côte d'Ivoire est critique et nécessite une intervention urgente de la part de l'État et des parties prenantes. La continuité de l'éducation pour des milliers d'élèves dépend de la capacité du gouvernement à répondre rapidement et efficacement à cette crise financière. Comment le gouvernement ivoirien et les parties prenantes internationales peuvent-ils collaborer pour assurer une éducation de qualité et durable pour tous les élèves en Côte d'Ivoire ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Ekeflicks: La Nouvelle Vitrine Du Cinéma Africain Lancée En Côte d'Ivoire dans TV/Films/Séries le 29 juin à 21:23

Le cinéma africain, riche de sa diversité culturelle et de son potentiel créatif, a longtemps peiné à trouver une vitrine internationale à la hauteur de ses aspirations. Pour combler ce manque, une nouvelle plateforme dénommée Ekeflicks a été lancée, visant à soutenir et promouvoir les films africains, avec un accent particulier sur les productions ivoiriennes.

Une Plateforme Ambitieuse


Ekeflicks, dont le nom est une fusion de "Eke" (signifiant "N°1" en Akyé) et "flicks" (argot pour "films"), aspire à devenir la référence du cinéma africain, similaire à ce que Netflix représente sur le plan international. L’initiative, lancée en octobre 2023, est dirigée par Landry Aby, Président-Directeur Général d’Ivoire Phoenix, et soutenue par une équipe de passionnés du cinéma.

Depuis son lancement, Ekeflicks a réussi à attirer l’adhésion de nombreux producteurs et artistes ivoiriens et burkinabé, y compris des figures éminentes comme les comédiens Kôrô Abou et Flêkêflêkê, la scénariste Fatoumata Traoré, et le producteur Aimé Monoko Barato Maranatha. Cette plateforme propose actuellement une sélection de 50 films originaux, couvrant une diversité de genres cinématographiques.

Lors de la conférence de presse de lancement, tenue le jeudi 27 juin aux Deux-Plateaux Vallons à Cocody, Marlène Boko, Directrice Générale d’Ekeflicks, a mis en avant la variété des contenus disponibles sur la plateforme. Ces contenus incluent des films, séries, documentaires, programmes éducatifs, dessins animés et divertissements pour enfants. Elle a également mentionné la possibilité future de diffuser des one-man shows originaux, enrichissant ainsi l’offre culturelle d'Ekeflicks.

Cette diversité de contenus vise à attirer un large public, tout en mettant en lumière la richesse culturelle et créative de l'Afrique. L'objectif est de créer un espace où les talents locaux peuvent s'exprimer librement et atteindre un public mondial.


https://www.youtube.com/watch?v=Q0qrt-5pE2U

Défis et Perspectives


En marge de la présentation officielle, un panel animé par Kôrô Abou, Flêkêflêkê, Fatoumata Traoré et Aimé Monoko Barato Maranatha a discuté du thème : “Comment promouvoir le cinéma africain à travers les nouvelles technologies ?” Les intervenants ont identifié plusieurs défis majeurs pour le cinéma africain, notamment le manque d’originalité, les besoins en formation des acteurs, la nécessité de financements extérieurs, et l’importance de l’engagement des gouvernements.

Pour répondre à ces défis, les intervenants ont souligné l'importance des partenariats stratégiques et des collaborations internationales. Ces éléments sont indispensables pour le développement durable de l'industrie cinématographique en Afrique. Ekeflicks ambitionne de jouer un rôle clé dans cette dynamique, en facilitant ces collaborations et en offrant une plateforme accessible pour les talents africains.

L’ambition d'Ekeflicks est claire : offrir une plateforme dynamique et inclusive pour soutenir la création cinématographique africaine et permettre aux talents locaux de rayonner à l’échelle mondiale. À l'instar de leurs homologues nigérians et sud-africains, les cinéastes ivoiriens et burkinabé pourront ainsi bénéficier d'une exposition internationale, renforçant la position du cinéma africain sur la scène globale.

Cette initiative est également une opportunité de valoriser la culture africaine, en racontant des histoires authentiques qui reflètent les réalités et les aspirations des peuples africains. Ekeflicks entend contribuer à une meilleure compréhension et appréciation de la culture africaine dans le monde.

Le lancement d'Ekeflicks marque une étape importante pour le cinéma africain, offrant une nouvelle plateforme pour promouvoir les talents et les histoires du continent. Alors que la plateforme se développe, elle promet de devenir un pilier de l'industrie cinématographique africaine, en soutenant la créativité et en renforçant les collaborations internationales. À l’heure où le cinéma africain cherche à gagner en visibilité, comment Ekeflicks peut-elle contribuer à transformer les défis actuels en opportunités de croissance et de rayonnement pour les cinéastes africains ?

Image de TV/Films/Séries. Le cinéma africain, riche de sa diversité culturelle et de son potentiel créatif, a longtemps peiné à trouver une vitrine internationale à la hauteur de ses aspirations. Pour combler ce manque, une nouvelle plateforme dénommée Ekeflicks a été lancée, visant à soutenir et promouvoir les films africains, avec un accent particulier sur les productions ivoiriennes. Une Plateforme Ambitieuse Ekeflicks, dont le nom est une fusion de "Eke" (signifiant "N°1" en Akyé) et "flicks" (argot pour "films"), aspire à devenir la référence du cinéma africain, similaire à ce que Netflix représente sur le plan international. L’initiative, lancée en octobre 2023, est dirigée par Landry Aby, Président-Directeur Général d’Ivoire Phoenix, et soutenue par une équipe de passionnés du cinéma. Depuis son lancement, Ekeflicks a réussi à attirer l’adhésion de nombreux producteurs et artistes ivoiriens et burkinabé, y compris des figures éminentes comme les comédiens Kôrô Abou et Flêkêflêkê, la scénariste Fatoumata Traoré, et le producteur Aimé Monoko Barato Maranatha. Cette plateforme propose actuellement une sélection de 50 films originaux, couvrant une diversité de genres cinématographiques. Lors de la conférence de presse de lancement, tenue le jeudi 27 juin aux Deux-Plateaux Vallons à Cocody, Marlène Boko, Directrice Générale d’Ekeflicks, a mis en avant la variété des contenus disponibles sur la plateforme. Ces contenus incluent des films, séries, documentaires, programmes éducatifs, dessins animés et divertissements pour enfants. Elle a également mentionné la possibilité future de diffuser des one-man shows originaux, enrichissant ainsi l’offre culturelle d'Ekeflicks. Cette diversité de contenus vise à attirer un large public, tout en mettant en lumière la richesse culturelle et créative de l'Afrique. L'objectif est de créer un espace où les talents locaux peuvent s'exprimer librement et atteindre un public mondial. Défis et Perspectives En marge de la présentation officielle, un panel animé par Kôrô Abou, Flêkêflêkê, Fatoumata Traoré et Aimé Monoko Barato Maranatha a discuté du thème : “Comment promouvoir le cinéma africain à travers les nouvelles technologies ?” Les intervenants ont identifié plusieurs défis majeurs pour le cinéma africain, notamment le manque d’originalité, les besoins en formation des acteurs, la nécessité de financements extérieurs, et l’importance de l’engagement des gouvernements. Pour répondre à ces défis, les intervenants ont souligné l'importance des partenariats stratégiques et des collaborations internationales. Ces éléments sont indispensables pour le développement durable de l'industrie cinématographique en Afrique. Ekeflicks ambitionne de jouer un rôle clé dans cette dynamique, en facilitant ces collaborations et en offrant une plateforme accessible pour les talents africains. L’ambition d'Ekeflicks est claire : offrir une plateforme dynamique et inclusive pour soutenir la création cinématographique africaine et permettre aux talents locaux de rayonner à l’échelle mondiale. À l'instar de leurs homologues nigérians et sud-africains, les cinéastes ivoiriens et burkinabé pourront ainsi bénéficier d'une exposition internationale, renforçant la position du cinéma africain sur la scène globale. Cette initiative est également une opportunité de valoriser la culture africaine, en racontant des histoires authentiques qui reflètent les réalités et les aspirations des peuples africains. Ekeflicks entend contribuer à une meilleure compréhension et appréciation de la culture africaine dans le monde. Le lancement d'Ekeflicks marque une étape importante pour le cinéma africain, offrant une nouvelle plateforme pour promouvoir les talents et les histoires du continent. Alors que la plateforme se développe, elle promet de devenir un pilier de l'industrie cinématographique africaine, en soutenant la créativité et en renforçant les collaborations internationales. À l’heure où le cinéma africain cherche à gagner en visibilité, comment Ekeflicks peut-elle contribuer à transformer les défis actuels en opportunités de croissance et de rayonnement pour les cinéastes africains ?

RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Gaëlle Taglao Défend Son Compagnon: "Ne Venez Pas Minimiser Pas Mon Chéri" dans Célébrités le 29 juin à 21:17

Dans un monde où l’apparence extérieure semble souvent primer sur toute autre qualité, Gaëlle Taglao, célèbre humoriste ivoirienne, se retrouve au cœur d'une controverse après avoir révélé l'identité de son futur mari. Face à une vague de réactions négatives sur les réseaux sociaux, Gaëlle a pris une position ferme pour défendre son choix et la personne qu'elle aime, rappelant à tous l'importance de ne pas juger sur les apparences.

L'Annonce Qui a Divisé


L'annonce de l'identité du compagnon de Gaëlle a suscité une grande surprise et une série de réactions sur internet. Contrairement aux attentes de certains fans et followers, le jeune homme choisi par l'humoriste n'a pas correspondu à l'image traditionnelle de "l'homme idéal" véhiculée par certains standards sociaux et médiatiques. Cette situation a exposé le couple à une série de critiques souvent superficielles et dénigrantes.

Les commentaires négatifs se sont principalement concentrés sur l'apparence du compagnon de Gaëlle, le qualifiant de "bad boy" et insinuant qu’il ne correspondait pas au profil d’un partenaire idéal pour une femme de son statut. Cette réaction souligne une tendance sociétale à évaluer les relations sur des bases esthétiques et matérielles plutôt que sur le respect, l'amour et la compatibilité.

Face aux jugements et aux critiques, Gaëlle Taglao n'a pas hésité à défendre vigoureusement son choix. Dans une déclaration passionnée, elle a critiqué la superficialité des commentaires : « Ne minimisez pas mon compagnon. Ce n’est pas parce qu’il a un style bad boy qu’il manque d’intelligence ou de maturité. Vous jugez trop les gens sur leur apparence. » Cette défense met en lumière son désir de briser les stéréotypes et d'affirmer son indépendance dans le choix de son partenaire.

Taglao a également remis en question la légitimité des conseils non sollicités, souvent donnés par des personnes qui, selon elle, ne sont pas en position de juger. « Je ne sais même pas avec quel genre d’hommes, elles sortent, et ce sont elles qui me conseillent toujours de fréquenter un homme mature ou très responsable. Toujours des conseils… Mais quand je vois leurs compagnons, je me dis vraiment qu’il y a de quoi être découragée. »

Implications Socioculturelles


Cette controverse met en exergue une problématique plus large de jugement social basé sur l'apparence, qui peut influencer négativement la perception publique des relations personnelles. Elle souligne également comment les personnalités publiques sont particulièrement vulnérables aux critiques et aux attentes souvent irréalistes de la société.

La dynamique des médias sociaux joue un rôle crucial dans la diffusion et l'amplification des opinions, souvent sans filtre ni réflexion approfondie. Cela pose la question de la responsabilité des plateformes et de leurs utilisateurs dans la propagation de commentaires potentiellement nuisibles.

La défense de Gaëlle Taglao de son compagnon contre les critiques superficielles est un rappel puissant que les relations doivent être jugées sur des critères plus significatifs que l'apparence. Elle met en lumière la nécessité de promouvoir un dialogue plus respectueux et plus profond sur les choix personnels, loin des préjugés et des attentes sociétales. Dans une ère où l'image publique est souvent scrutée, comment pouvons-nous mieux soutenir les individus dans leur droit à choisir librement, sans subir de préjugés ni de pression sociale?

Image de Célébrités. Dans un monde où l’apparence extérieure semble souvent primer sur toute autre qualité, Gaëlle Taglao, célèbre humoriste ivoirienne, se retrouve au cœur d'une controverse après avoir révélé l'identité de son futur mari. Face à une vague de réactions négatives sur les réseaux sociaux, Gaëlle a pris une position ferme pour défendre son choix et la personne qu'elle aime, rappelant à tous l'importance de ne pas juger sur les apparences. L'Annonce Qui a Divisé L'annonce de l'identité du compagnon de Gaëlle a suscité une grande surprise et une série de réactions sur internet. Contrairement aux attentes de certains fans et followers, le jeune homme choisi par l'humoriste n'a pas correspondu à l'image traditionnelle de "l'homme idéal" véhiculée par certains standards sociaux et médiatiques. Cette situation a exposé le couple à une série de critiques souvent superficielles et dénigrantes. Les commentaires négatifs se sont principalement concentrés sur l'apparence du compagnon de Gaëlle, le qualifiant de "bad boy" et insinuant qu’il ne correspondait pas au profil d’un partenaire idéal pour une femme de son statut. Cette réaction souligne une tendance sociétale à évaluer les relations sur des bases esthétiques et matérielles plutôt que sur le respect, l'amour et la compatibilité. Face aux jugements et aux critiques, Gaëlle Taglao n'a pas hésité à défendre vigoureusement son choix. Dans une déclaration passionnée, elle a critiqué la superficialité des commentaires : « Ne minimisez pas mon compagnon. Ce n’est pas parce qu’il a un style bad boy qu’il manque d’intelligence ou de maturité. Vous jugez trop les gens sur leur apparence. » Cette défense met en lumière son désir de briser les stéréotypes et d'affirmer son indépendance dans le choix de son partenaire. Taglao a également remis en question la légitimité des conseils non sollicités, souvent donnés par des personnes qui, selon elle, ne sont pas en position de juger. « Je ne sais même pas avec quel genre d’hommes, elles sortent, et ce sont elles qui me conseillent toujours de fréquenter un homme mature ou très responsable. Toujours des conseils… Mais quand je vois leurs compagnons, je me dis vraiment qu’il y a de quoi être découragée. » Implications Socioculturelles Cette controverse met en exergue une problématique plus large de jugement social basé sur l'apparence, qui peut influencer négativement la perception publique des relations personnelles. Elle souligne également comment les personnalités publiques sont particulièrement vulnérables aux critiques et aux attentes souvent irréalistes de la société. La dynamique des médias sociaux joue un rôle crucial dans la diffusion et l'amplification des opinions, souvent sans filtre ni réflexion approfondie. Cela pose la question de la responsabilité des plateformes et de leurs utilisateurs dans la propagation de commentaires potentiellement nuisibles. La défense de Gaëlle Taglao de son compagnon contre les critiques superficielles est un rappel puissant que les relations doivent être jugées sur des critères plus significatifs que l'apparence. Elle met en lumière la nécessité de promouvoir un dialogue plus respectueux et plus profond sur les choix personnels, loin des préjugés et des attentes sociétales. Dans une ère où l'image publique est souvent scrutée, comment pouvons-nous mieux soutenir les individus dans leur droit à choisir librement, sans subir de préjugés ni de pression sociale?

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