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RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Cissé Bacongo Offre Des Véhicules Aux Chefs Akyé, Après Les Chefs Atchans dans Politique le 15 mai à 18:51
Le ministre-gouverneur du District autonome d'Abidjan, Ibrahim Cissé Bacongo, poursuit sa série de rencontres avec les chefs traditionnels de la région. Après avoir échangé avec les chefs Atchans en mars dernier, il a reçu, le 14 mai 2024, 59 chefs Akyé d'Abidjan. L'objectif est clair : renforcer les liens avec les gardiens de la tradition et obtenir leur soutien pour les échéances électorales de 2025.

Des dons pour les chefs Akyé


Lors de cette rencontre, Ibrahim Cissé Bacongo a annoncé des dons aux chefs Akyé, notamment des voitures et des téléphones portables. Une manière de montrer son appréciation pour leur rôle dans la société ivoirienne et de les associer à son action politique. Les chefs Akyé ont saisi l'opportunité pour exprimer leur gratitude envers le président Alassane Ouattara, qu'ils ont félicité pour sa "vision de la gouvernance".

Le porte-parole des chefs Akyé, Abodou Faustin, a transmis un message de soutien au président de la République. "2025 arrive, dites au Président que nous sommes avec vous. Là où vous mettrez vos pieds, nous serons là à vos côtés", a-t-il déclaré. Les chefs Akyé ont ainsi manifesté leur attachement à la politique du président Ouattara et leur confiance dans sa capacité à diriger le pays.

Un soutien sans faille à Cissé Bacongo


Les chefs Akyé ont également apporté leur soutien à Ibrahim Cissé Bacongo pour sa nouvelle mission de ministre-gouverneur. "Nous étions en train de nous interroger sur l'après Mambé. Après vous avoir écouté, nous vous avons accepté et adopté. Nous avons vu votre capacité à transformer les rêves en réalités. Koumassi porte aujourd'hui la marque indélébile 'CIB' (Cissé Ibrahima Bacongo). Cette marque indélébile portée sur Koumassi va désormais être délocalisée pour prendre le tout Abidjan. Vous êtes l'homme de la situation", ont-ils déclaré.

La série de rencontres entre Ibrahim Cissé Bacongo et les chefs traditionnels d'Abidjan s'inscrit dans une stratégie de rapprochement avec les communautés locales. Le ministre-gouverneur cherche à obtenir leur soutien pour les échéances électorales de 2025, où le président Ouattara sera probablement candidat à sa propre succession. En renforçant ses liens avec les chefs traditionnels, Cissé Bacongo cherche à consolider sa position politique et à se présenter comme un leader capable de rassembler les différentes communautés de la région.

La question qui se pose maintenant est de savoir quel est le coût réel de ces dons pour les chefs traditionnels. Les voitures et les téléphones portables offerts par Ibrahim Cissé Bacongo sont-ils une simple manifestation de générosité ou une manière de acheter leur soutien politique? Et quels sont les véritables enjeux de cette stratégie de rapprochement avec les chefs traditionnels?

Image de Politique. Le ministre-gouverneur du District autonome d'Abidjan, Ibrahim Cissé Bacongo, poursuit sa série de rencontres avec les chefs traditionnels de la région. Après avoir échangé avec les chefs Atchans en mars dernier, il a reçu, le 14 mai 2024, 59 chefs Akyé d'Abidjan. L'objectif est clair : renforcer les liens avec les gardiens de la tradition et obtenir leur soutien pour les échéances électorales de 2025. Des dons pour les chefs Akyé Lors de cette rencontre, Ibrahim Cissé Bacongo a annoncé des dons aux chefs Akyé, notamment des voitures et des téléphones portables. Une manière de montrer son appréciation pour leur rôle dans la société ivoirienne et de les associer à son action politique. Les chefs Akyé ont saisi l'opportunité pour exprimer leur gratitude envers le président Alassane Ouattara, qu'ils ont félicité pour sa "vision de la gouvernance". Le porte-parole des chefs Akyé, Abodou Faustin, a transmis un message de soutien au président de la République. "2025 arrive, dites au Président que nous sommes avec vous. Là où vous mettrez vos pieds, nous serons là à vos côtés", a-t-il déclaré. Les chefs Akyé ont ainsi manifesté leur attachement à la politique du président Ouattara et leur confiance dans sa capacité à diriger le pays. Un soutien sans faille à Cissé Bacongo Les chefs Akyé ont également apporté leur soutien à Ibrahim Cissé Bacongo pour sa nouvelle mission de ministre-gouverneur. "Nous étions en train de nous interroger sur l'après Mambé. Après vous avoir écouté, nous vous avons accepté et adopté. Nous avons vu votre capacité à transformer les rêves en réalités. Koumassi porte aujourd'hui la marque indélébile 'CIB' (Cissé Ibrahima Bacongo). Cette marque indélébile portée sur Koumassi va désormais être délocalisée pour prendre le tout Abidjan. Vous êtes l'homme de la situation", ont-ils déclaré. La série de rencontres entre Ibrahim Cissé Bacongo et les chefs traditionnels d'Abidjan s'inscrit dans une stratégie de rapprochement avec les communautés locales. Le ministre-gouverneur cherche à obtenir leur soutien pour les échéances électorales de 2025, où le président Ouattara sera probablement candidat à sa propre succession. En renforçant ses liens avec les chefs traditionnels, Cissé Bacongo cherche à consolider sa position politique et à se présenter comme un leader capable de rassembler les différentes communautés de la région. La question qui se pose maintenant est de savoir quel est le coût réel de ces dons pour les chefs traditionnels. Les voitures et les téléphones portables offerts par Ibrahim Cissé Bacongo sont-ils une simple manifestation de générosité ou une manière de acheter leur soutien politique? Et quels sont les véritables enjeux de cette stratégie de rapprochement avec les chefs traditionnels?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Le FEMUA 16 Débute Avec Le Légendaire "Coup Du Marteau" De Magic System dans Musique/Radio le 15 mai à 18:43
Le Festival des musiques urbaines d'Anoumabo (Femua 16) a entamé sa 16e édition le mardi 14 mai 2024 à Abidjan. L'événement tant attendu se clôturera le dimanche 19 mai 2024 à Ferkessédougou, dans le nord du pays. La soirée d'ouverture a été marquée par une prestation enflammée du groupe Magic System, qui a envoûté le public avec leur légendaire "Coup du marteau". Cet article vous plongera au cœur de cet événement majeur de la scène musicale, en détaillant les moments forts de cette soirée d'ouverture et en vous présentant les temps forts à venir du Femua 16.

Une soirée privée envoûtante avec Magic System


La soirée d'ouverture du Femua 16 s'est déroulée dans l'atmosphère prestigieuse du Sofitel Hôtel Ivoire. C'est lors de cet événement exclusif que les membres du groupe Magic System, A'salfo, Tino, Goudé et Manaja, ont offert une performance remarquable. Leur tube à succès "Les Gaou magiciens" a fait vibrer la salle, et les artistes se sont livrés corps et âme en exécutant avec brio le fameux "Coup du marteau". Cette danse emblématique a suscité une ambiance électrique et a conquis le public, composé de nombreuses personnalités influentes.

Plus tôt dans la journée, une cérémonie officielle d'ouverture s'est tenue à l'espace Femua d'Anoumabo, en présence de la Première dame, Dominique Ouattara. A'salfo, le Commissaire général du Femua, a profité de cette occasion pour rappeler les temps forts de cette édition placée sous le thème de "l'art et la santé mentale des jeunes". Il a notamment évoqué les grandes scènes du Femua qui se dérouleront jeudi, vendredi et samedi à l'Institut National de la Jeunesse et des Sports. Un line-up impressionnant d'artistes est attendu, parmi lesquels Gims, Yemi Alade, Gadji Celi, Tamsir, O'nel Mala, Franglish, Morijah, Fadal Dey, Affou Keïta et bien d'autres. Ces performances promettent d'enflammer les scènes du Femua 16 et de laisser une empreinte mémorable dans le cœur des festivaliers.

Le Femua 16, un rendez-vous incontournable pour la musique urbaine


Depuis sa création, le Festival des musiques urbaines d'Anoumabo est devenu un événement majeur de la scène musicale en Côte d'Ivoire et en Afrique de l'Ouest. Chaque année, il réunit un public passionné et offre une plateforme exceptionnelle aux artistes locaux et internationaux. Le Femua se distingue également par son engagement social, mettant en avant des thématiques importantes telles que la santé mentale des jeunes, l'éducation et l'insertion professionnelle. Cette 16e édition promet d'être à la hauteur des attentes, avec un programme riche en divertissement, en découverte musicale et en réflexion sur les enjeux sociétaux.

Le Femua 16 a démarré en beauté avec l'énergique "Coup du marteau" de Magic System, qui a enflammé la soirée d'ouverture. Les festivités se poursuivront tout au long de la semaine, avec des performances exceptionnelles prévues sur les grandes scènes de l'Institut National de la Jeunesse et des Sports. Le Femua continue de marquer les esprits en tant que rendez-vous incontournable pour les amateurs de musique urbaine et de culture.


https://www.youtube.com/watch?v=5zaeAcjTito

Image de Musique/Radio. Le Festival des musiques urbaines d'Anoumabo (Femua 16) a entamé sa 16e édition le mardi 14 mai 2024 à Abidjan. L'événement tant attendu se clôturera le dimanche 19 mai 2024 à Ferkessédougou, dans le nord du pays. La soirée d'ouverture a été marquée par une prestation enflammée du groupe Magic System, qui a envoûté le public avec leur légendaire "Coup du marteau". Cet article vous plongera au cœur de cet événement majeur de la scène musicale, en détaillant les moments forts de cette soirée d'ouverture et en vous présentant les temps forts à venir du Femua 16. Une soirée privée envoûtante avec Magic System La soirée d'ouverture du Femua 16 s'est déroulée dans l'atmosphère prestigieuse du Sofitel Hôtel Ivoire. C'est lors de cet événement exclusif que les membres du groupe Magic System, A'salfo, Tino, Goudé et Manaja, ont offert une performance remarquable. Leur tube à succès "Les Gaou magiciens" a fait vibrer la salle, et les artistes se sont livrés corps et âme en exécutant avec brio le fameux "Coup du marteau". Cette danse emblématique a suscité une ambiance électrique et a conquis le public, composé de nombreuses personnalités influentes. Plus tôt dans la journée, une cérémonie officielle d'ouverture s'est tenue à l'espace Femua d'Anoumabo, en présence de la Première dame, Dominique Ouattara. A'salfo, le Commissaire général du Femua, a profité de cette occasion pour rappeler les temps forts de cette édition placée sous le thème de "l'art et la santé mentale des jeunes". Il a notamment évoqué les grandes scènes du Femua qui se dérouleront jeudi, vendredi et samedi à l'Institut National de la Jeunesse et des Sports. Un line-up impressionnant d'artistes est attendu, parmi lesquels Gims, Yemi Alade, Gadji Celi, Tamsir, O'nel Mala, Franglish, Morijah, Fadal Dey, Affou Keïta et bien d'autres. Ces performances promettent d'enflammer les scènes du Femua 16 et de laisser une empreinte mémorable dans le cœur des festivaliers. Le Femua 16, un rendez-vous incontournable pour la musique urbaine Depuis sa création, le Festival des musiques urbaines d'Anoumabo est devenu un événement majeur de la scène musicale en Côte d'Ivoire et en Afrique de l'Ouest. Chaque année, il réunit un public passionné et offre une plateforme exceptionnelle aux artistes locaux et internationaux. Le Femua se distingue également par son engagement social, mettant en avant des thématiques importantes telles que la santé mentale des jeunes, l'éducation et l'insertion professionnelle. Cette 16e édition promet d'être à la hauteur des attentes, avec un programme riche en divertissement, en découverte musicale et en réflexion sur les enjeux sociétaux. Le Femua 16 a démarré en beauté avec l'énergique "Coup du marteau" de Magic System, qui a enflammé la soirée d'ouverture. Les festivités se poursuivront tout au long de la semaine, avec des performances exceptionnelles prévues sur les grandes scènes de l'Institut National de la Jeunesse et des Sports. Le Femua continue de marquer les esprits en tant que rendez-vous incontournable pour les amateurs de musique urbaine et de culture.
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Art Contemporain: La Côte d'Ivoire Marque Sa Présence À La Biennale De Venise dans Art le 15 mai à 18:37
La Côte d'Ivoire se prépare à participer à la 60ème édition de la Biennale de Venise, l'un des événements artistiques les plus prestigieux et les plus suivis au monde. Cette année marque une étape historique pour le pays, car c'est la première fois que le Pavillon National Ivoirien est entièrement financé par l'État ivoirien lui-même. Cette réalisation est le fruit de la vision et de l'engagement de Madame Françoise Remarck, Ministre de la Culture et de la Francophonie, qui a fait de la promotion de l'art contemporain une priorité de son mandat.

"The Blue Note" : Résilience et espoir à travers l'expression artistique


Sous la direction de la Commissaire Illa G. Donwahi et du Curateur Simon Njami, la Côte d'Ivoire présente "The Blue Note" comme thème central de son pavillon. Ce choix s'inscrit dans la thématique plus large de "Stranieri Ovunque" ("Étrangers Partout"). Simon Njami explique que "The Blue Note" symbolise la résilience et l'espoir à travers l'expression artistique. Cette note de musique, créée par les Africains déportés aux Amériques, est à l'origine du Jazz et du Blues. Ainsi, la Côte d'Ivoire met en avant le fait que même dans l'adversité, l'espoir et la créativité peuvent émerger grâce à l'expression artistique.

Une participation marquée par le dialogue et la fraternité
Lors de son allocution, Madame la Ministre Françoise Remarck a souligné l'importance de la présence ivoirienne à Venise comme un moment de partage et de dialogue. Elle a rappelé les similitudes entre Venise et Abidjan, deux villes ouvertes sur le monde et riches de leur multiculturalité. Cette participation est l'occasion de renforcer les liens entre les artistes ivoiriens et les artistes du monde entier, et de favoriser les échanges culturels et artistiques.

Les artistes ivoiriens à l'honneur
Le Pavillon National Ivoirien met en avant le talent et la vision de cinq artistes exceptionnels. Parmi eux, Jems Koko Bi, sculpteur ivoirien reconnu pour son travail du bois et ses performances. Lauréat de la bourse DAAD, il a étudié à l'Académie des Beaux-Arts de Düsseldorf et a vu ses œuvres présentées et primées dans de nombreuses biennales et expositions internationales.

Sadikou Oukpedjo, originaire du Togo et ivoirien d'adoption, explore à travers ses œuvres sculpturales et picturales les notions d'origine, d'héritage et la dualité homme-animal. Son travail introspectif a été exposé en Afrique et en Europe, et figure dans d'importantes collections. Feu Franck Abd-Bakar Fanny, photographe d'exception, a représenté la Côte d'Ivoire à la 55ème Biennale de Venise. Son exploration de la société contemporaine lui a valu une reconnaissance internationale, avec des œuvres exposées dans des musées renommés à travers le monde. Il est lauréat du Prix UEMOA de la Biennale de Dakar. Bien que décédé en 2021, son travail continue d'inspirer et de marquer les esprits.

Marie-Claire Messouma Manlanbien, dont les œuvres ont été exposées au Palais de Tokyo à Paris et à l'Institut français de Berlin, explore les thèmes de l'identité, de la créolisation et de la synthèse culturelle à travers le textile, le dessin, la sculpture, la photographie, la vidéo et l'installation. Ses créations font partie de nombreuses collections prestigieuses. François-Xavier Gbré, né à Lille, explore à travers la photographie et l'installation les thèmes de la mémoire, de la transformation sociale et de l'architecture. Son travail a été exposé internationalement, notamment à la Tate à Londres et au Centre Pompidou à Paris.

Des commissaires engagés pourla promotion de l'art contemporain ivoirien


La commissaire Illa G. Donwahi et le curateur Simon Njami ont été choisis pour diriger le Pavillon National Ivoirien à la Biennale de Venise 2024. Ils sont tous deux reconnus pour leur engagement dans la promotion de l'art africain et leur expertise en matière d'art contemporain. Leur sélection témoigne de la volonté de la Côte d'Ivoire de présenter des artistes de qualité et de favoriser le dialogue interculturel au sein de la communauté artistique mondiale.

Les attentes de la Côte d'Ivoire à la Biennale de Venise
La participation de la Côte d'Ivoire à la Biennale de Venise 2024 est une occasion unique de mettre en valeur la diversité culturelle et la richesse artistique du pays. Le pavillon ivoirien vise à susciter des conversations et des échanges sur les thèmes de la résilience, de l'espoir et de la créativité. Il offre également une plateforme aux artistes ivoiriens pour présenter leur travail au public international et aux professionnels de l'art.

En participant à cet événement artistique majeur, la Côte d'Ivoire cherche à renforcer sa présence sur la scène artistique mondiale, à favoriser les collaborations et les partenariats internationaux, ainsi qu'à attirer l'attention sur le riche héritage culturel et artistique du pays.

Promouvoir l'art contemporain en Côte d'Ivoire
La participation à la Biennale de Venise est un moteur pour la promotion de l'art contemporain en Côte d'Ivoire. Le gouvernement ivoirien, à travers le financement du Pavillon National Ivoirien, témoigne de son engagement en faveur du développement du secteur artistique et culturel du pays. Cette démarche vise à encourager les artistes locaux, à renforcer les infrastructures artistiques et à favoriser l'éducation artistique.

En soutenant les artistes ivoiriens et en créant des opportunités d'exposition et de collaboration internationale, la Côte d'Ivoire aspire à faire émerger de nouveaux talents, à stimuler la créativité et à promouvoir la diversité des expressions artistiques dans le pays.

En conclusion, la participation de la Côte d'Ivoire à la Biennale de Venise 2024 est une étape importante dans la promotion de l'art contemporain ivoirien et dans la consolidation de sa présence sur la scène artistique mondiale. À travers le thème "The Blue Note" et la sélection d'artistes talentueux, le pavillon ivoirien met en valeur la résilience, l'espoir et la créativité comme moteurs de l'expression artistique. Cette participation témoigne de l'engagement de la Côte d'Ivoire en faveur de la diversité culturelle et de l'épanouissement des artistes ivoiriens.

Image de Art. La Côte d'Ivoire se prépare à participer à la 60ème édition de la Biennale de Venise, l'un des événements artistiques les plus prestigieux et les plus suivis au monde. Cette année marque une étape historique pour le pays, car c'est la première fois que le Pavillon National Ivoirien est entièrement financé par l'État ivoirien lui-même. Cette réalisation est le fruit de la vision et de l'engagement de Madame Françoise Remarck, Ministre de la Culture et de la Francophonie, qui a fait de la promotion de l'art contemporain une priorité de son mandat. "The Blue Note" : Résilience et espoir à travers l'expression artistique Sous la direction de la Commissaire Illa G. Donwahi et du Curateur Simon Njami, la Côte d'Ivoire présente "The Blue Note" comme thème central de son pavillon. Ce choix s'inscrit dans la thématique plus large de "Stranieri Ovunque" ("Étrangers Partout"). Simon Njami explique que "The Blue Note" symbolise la résilience et l'espoir à travers l'expression artistique. Cette note de musique, créée par les Africains déportés aux Amériques, est à l'origine du Jazz et du Blues. Ainsi, la Côte d'Ivoire met en avant le fait que même dans l'adversité, l'espoir et la créativité peuvent émerger grâce à l'expression artistique. Une participation marquée par le dialogue et la fraternité Lors de son allocution, Madame la Ministre Françoise Remarck a souligné l'importance de la présence ivoirienne à Venise comme un moment de partage et de dialogue. Elle a rappelé les similitudes entre Venise et Abidjan, deux villes ouvertes sur le monde et riches de leur multiculturalité. Cette participation est l'occasion de renforcer les liens entre les artistes ivoiriens et les artistes du monde entier, et de favoriser les échanges culturels et artistiques. Les artistes ivoiriens à l'honneur Le Pavillon National Ivoirien met en avant le talent et la vision de cinq artistes exceptionnels. Parmi eux, Jems Koko Bi, sculpteur ivoirien reconnu pour son travail du bois et ses performances. Lauréat de la bourse DAAD, il a étudié à l'Académie des Beaux-Arts de Düsseldorf et a vu ses œuvres présentées et primées dans de nombreuses biennales et expositions internationales. Sadikou Oukpedjo, originaire du Togo et ivoirien d'adoption, explore à travers ses œuvres sculpturales et picturales les notions d'origine, d'héritage et la dualité homme-animal. Son travail introspectif a été exposé en Afrique et en Europe, et figure dans d'importantes collections. Feu Franck Abd-Bakar Fanny, photographe d'exception, a représenté la Côte d'Ivoire à la 55ème Biennale de Venise. Son exploration de la société contemporaine lui a valu une reconnaissance internationale, avec des œuvres exposées dans des musées renommés à travers le monde. Il est lauréat du Prix UEMOA de la Biennale de Dakar. Bien que décédé en 2021, son travail continue d'inspirer et de marquer les esprits. Marie-Claire Messouma Manlanbien, dont les œuvres ont été exposées au Palais de Tokyo à Paris et à l'Institut français de Berlin, explore les thèmes de l'identité, de la créolisation et de la synthèse culturelle à travers le textile, le dessin, la sculpture, la photographie, la vidéo et l'installation. Ses créations font partie de nombreuses collections prestigieuses. François-Xavier Gbré, né à Lille, explore à travers la photographie et l'installation les thèmes de la mémoire, de la transformation sociale et de l'architecture. Son travail a été exposé internationalement, notamment à la Tate à Londres et au Centre Pompidou à Paris. Des commissaires engagés pourla promotion de l'art contemporain ivoirien La commissaire Illa G. Donwahi et le curateur Simon Njami ont été choisis pour diriger le Pavillon National Ivoirien à la Biennale de Venise 2024. Ils sont tous deux reconnus pour leur engagement dans la promotion de l'art africain et leur expertise en matière d'art contemporain. Leur sélection témoigne de la volonté de la Côte d'Ivoire de présenter des artistes de qualité et de favoriser le dialogue interculturel au sein de la communauté artistique mondiale. Les attentes de la Côte d'Ivoire à la Biennale de Venise La participation de la Côte d'Ivoire à la Biennale de Venise 2024 est une occasion unique de mettre en valeur la diversité culturelle et la richesse artistique du pays. Le pavillon ivoirien vise à susciter des conversations et des échanges sur les thèmes de la résilience, de l'espoir et de la créativité. Il offre également une plateforme aux artistes ivoiriens pour présenter leur travail au public international et aux professionnels de l'art. En participant à cet événement artistique majeur, la Côte d'Ivoire cherche à renforcer sa présence sur la scène artistique mondiale, à favoriser les collaborations et les partenariats internationaux, ainsi qu'à attirer l'attention sur le riche héritage culturel et artistique du pays. Promouvoir l'art contemporain en Côte d'Ivoire La participation à la Biennale de Venise est un moteur pour la promotion de l'art contemporain en Côte d'Ivoire. Le gouvernement ivoirien, à travers le financement du Pavillon National Ivoirien, témoigne de son engagement en faveur du développement du secteur artistique et culturel du pays. Cette démarche vise à encourager les artistes locaux, à renforcer les infrastructures artistiques et à favoriser l'éducation artistique. En soutenant les artistes ivoiriens et en créant des opportunités d'exposition et de collaboration internationale, la Côte d'Ivoire aspire à faire émerger de nouveaux talents, à stimuler la créativité et à promouvoir la diversité des expressions artistiques dans le pays. En conclusion, la participation de la Côte d'Ivoire à la Biennale de Venise 2024 est une étape importante dans la promotion de l'art contemporain ivoirien et dans la consolidation de sa présence sur la scène artistique mondiale. À travers le thème "The Blue Note" et la sélection d'artistes talentueux, le pavillon ivoirien met en valeur la résilience, l'espoir et la créativité comme moteurs de l'expression artistique. Cette participation témoigne de l'engagement de la Côte d'Ivoire en faveur de la diversité culturelle et de l'épanouissement des artistes ivoiriens.

Deuxième Image de Art. La Côte d'Ivoire se prépare à participer à la 60ème édition de la Biennale de Venise, l'un des événements artistiques les plus prestigieux et les plus suivis au monde. Cette année marque une étape historique pour le pays, car c'est la première fois que le Pavillon National Ivoirien est entièrement financé par l'État ivoirien lui-même. Cette réalisation est le fruit de la vision et de l'engagement de Madame Françoise Remarck, Ministre de la Culture et de la Francophonie, qui a fait de la promotion de l'art contemporain une priorité de son mandat. "The Blue Note" : Résilience et espoir à travers l'expression artistique Sous la direction de la Commissaire Illa G. Donwahi et du Curateur Simon Njami, la Côte d'Ivoire présente "The Blue Note" comme thème central de son pavillon. Ce choix s'inscrit dans la thématique plus large de "Stranieri Ovunque" ("Étrangers Partout"). Simon Njami explique que "The Blue Note" symbolise la résilience et l'espoir à travers l'expression artistique. Cette note de musique, créée par les Africains déportés aux Amériques, est à l'origine du Jazz et du Blues. Ainsi, la Côte d'Ivoire met en avant le fait que même dans l'adversité, l'espoir et la créativité peuvent émerger grâce à l'expression artistique. Une participation marquée par le dialogue et la fraternité Lors de son allocution, Madame la Ministre Françoise Remarck a souligné l'importance de la présence ivoirienne à Venise comme un moment de partage et de dialogue. Elle a rappelé les similitudes entre Venise et Abidjan, deux villes ouvertes sur le monde et riches de leur multiculturalité. Cette participation est l'occasion de renforcer les liens entre les artistes ivoiriens et les artistes du monde entier, et de favoriser les échanges culturels et artistiques. Les artistes ivoiriens à l'honneur Le Pavillon National Ivoirien met en avant le talent et la vision de cinq artistes exceptionnels. Parmi eux, Jems Koko Bi, sculpteur ivoirien reconnu pour son travail du bois et ses performances. Lauréat de la bourse DAAD, il a étudié à l'Académie des Beaux-Arts de Düsseldorf et a vu ses œuvres présentées et primées dans de nombreuses biennales et expositions internationales. Sadikou Oukpedjo, originaire du Togo et ivoirien d'adoption, explore à travers ses œuvres sculpturales et picturales les notions d'origine, d'héritage et la dualité homme-animal. Son travail introspectif a été exposé en Afrique et en Europe, et figure dans d'importantes collections. Feu Franck Abd-Bakar Fanny, photographe d'exception, a représenté la Côte d'Ivoire à la 55ème Biennale de Venise. Son exploration de la société contemporaine lui a valu une reconnaissance internationale, avec des œuvres exposées dans des musées renommés à travers le monde. Il est lauréat du Prix UEMOA de la Biennale de Dakar. Bien que décédé en 2021, son travail continue d'inspirer et de marquer les esprits. Marie-Claire Messouma Manlanbien, dont les œuvres ont été exposées au Palais de Tokyo à Paris et à l'Institut français de Berlin, explore les thèmes de l'identité, de la créolisation et de la synthèse culturelle à travers le textile, le dessin, la sculpture, la photographie, la vidéo et l'installation. Ses créations font partie de nombreuses collections prestigieuses. François-Xavier Gbré, né à Lille, explore à travers la photographie et l'installation les thèmes de la mémoire, de la transformation sociale et de l'architecture. Son travail a été exposé internationalement, notamment à la Tate à Londres et au Centre Pompidou à Paris. Des commissaires engagés pourla promotion de l'art contemporain ivoirien La commissaire Illa G. Donwahi et le curateur Simon Njami ont été choisis pour diriger le Pavillon National Ivoirien à la Biennale de Venise 2024. Ils sont tous deux reconnus pour leur engagement dans la promotion de l'art africain et leur expertise en matière d'art contemporain. Leur sélection témoigne de la volonté de la Côte d'Ivoire de présenter des artistes de qualité et de favoriser le dialogue interculturel au sein de la communauté artistique mondiale. Les attentes de la Côte d'Ivoire à la Biennale de Venise La participation de la Côte d'Ivoire à la Biennale de Venise 2024 est une occasion unique de mettre en valeur la diversité culturelle et la richesse artistique du pays. Le pavillon ivoirien vise à susciter des conversations et des échanges sur les thèmes de la résilience, de l'espoir et de la créativité. Il offre également une plateforme aux artistes ivoiriens pour présenter leur travail au public international et aux professionnels de l'art. En participant à cet événement artistique majeur, la Côte d'Ivoire cherche à renforcer sa présence sur la scène artistique mondiale, à favoriser les collaborations et les partenariats internationaux, ainsi qu'à attirer l'attention sur le riche héritage culturel et artistique du pays. Promouvoir l'art contemporain en Côte d'Ivoire La participation à la Biennale de Venise est un moteur pour la promotion de l'art contemporain en Côte d'Ivoire. Le gouvernement ivoirien, à travers le financement du Pavillon National Ivoirien, témoigne de son engagement en faveur du développement du secteur artistique et culturel du pays. Cette démarche vise à encourager les artistes locaux, à renforcer les infrastructures artistiques et à favoriser l'éducation artistique. En soutenant les artistes ivoiriens et en créant des opportunités d'exposition et de collaboration internationale, la Côte d'Ivoire aspire à faire émerger de nouveaux talents, à stimuler la créativité et à promouvoir la diversité des expressions artistiques dans le pays. En conclusion, la participation de la Côte d'Ivoire à la Biennale de Venise 2024 est une étape importante dans la promotion de l'art contemporain ivoirien et dans la consolidation de sa présence sur la scène artistique mondiale. À travers le thème "The Blue Note" et la sélection d'artistes talentueux, le pavillon ivoirien met en valeur la résilience, l'espoir et la créativité comme moteurs de l'expression artistique. Cette participation témoigne de l'engagement de la Côte d'Ivoire en faveur de la diversité culturelle et de l'épanouissement des artistes ivoiriens.

Troisième Image de Art. La Côte d'Ivoire se prépare à participer à la 60ème édition de la Biennale de Venise, l'un des événements artistiques les plus prestigieux et les plus suivis au monde. Cette année marque une étape historique pour le pays, car c'est la première fois que le Pavillon National Ivoirien est entièrement financé par l'État ivoirien lui-même. Cette réalisation est le fruit de la vision et de l'engagement de Madame Françoise Remarck, Ministre de la Culture et de la Francophonie, qui a fait de la promotion de l'art contemporain une priorité de son mandat. "The Blue Note" : Résilience et espoir à travers l'expression artistique Sous la direction de la Commissaire Illa G. Donwahi et du Curateur Simon Njami, la Côte d'Ivoire présente "The Blue Note" comme thème central de son pavillon. Ce choix s'inscrit dans la thématique plus large de "Stranieri Ovunque" ("Étrangers Partout"). Simon Njami explique que "The Blue Note" symbolise la résilience et l'espoir à travers l'expression artistique. Cette note de musique, créée par les Africains déportés aux Amériques, est à l'origine du Jazz et du Blues. Ainsi, la Côte d'Ivoire met en avant le fait que même dans l'adversité, l'espoir et la créativité peuvent émerger grâce à l'expression artistique. Une participation marquée par le dialogue et la fraternité Lors de son allocution, Madame la Ministre Françoise Remarck a souligné l'importance de la présence ivoirienne à Venise comme un moment de partage et de dialogue. Elle a rappelé les similitudes entre Venise et Abidjan, deux villes ouvertes sur le monde et riches de leur multiculturalité. Cette participation est l'occasion de renforcer les liens entre les artistes ivoiriens et les artistes du monde entier, et de favoriser les échanges culturels et artistiques. Les artistes ivoiriens à l'honneur Le Pavillon National Ivoirien met en avant le talent et la vision de cinq artistes exceptionnels. Parmi eux, Jems Koko Bi, sculpteur ivoirien reconnu pour son travail du bois et ses performances. Lauréat de la bourse DAAD, il a étudié à l'Académie des Beaux-Arts de Düsseldorf et a vu ses œuvres présentées et primées dans de nombreuses biennales et expositions internationales. Sadikou Oukpedjo, originaire du Togo et ivoirien d'adoption, explore à travers ses œuvres sculpturales et picturales les notions d'origine, d'héritage et la dualité homme-animal. Son travail introspectif a été exposé en Afrique et en Europe, et figure dans d'importantes collections. Feu Franck Abd-Bakar Fanny, photographe d'exception, a représenté la Côte d'Ivoire à la 55ème Biennale de Venise. Son exploration de la société contemporaine lui a valu une reconnaissance internationale, avec des œuvres exposées dans des musées renommés à travers le monde. Il est lauréat du Prix UEMOA de la Biennale de Dakar. Bien que décédé en 2021, son travail continue d'inspirer et de marquer les esprits. Marie-Claire Messouma Manlanbien, dont les œuvres ont été exposées au Palais de Tokyo à Paris et à l'Institut français de Berlin, explore les thèmes de l'identité, de la créolisation et de la synthèse culturelle à travers le textile, le dessin, la sculpture, la photographie, la vidéo et l'installation. Ses créations font partie de nombreuses collections prestigieuses. François-Xavier Gbré, né à Lille, explore à travers la photographie et l'installation les thèmes de la mémoire, de la transformation sociale et de l'architecture. Son travail a été exposé internationalement, notamment à la Tate à Londres et au Centre Pompidou à Paris. Des commissaires engagés pourla promotion de l'art contemporain ivoirien La commissaire Illa G. Donwahi et le curateur Simon Njami ont été choisis pour diriger le Pavillon National Ivoirien à la Biennale de Venise 2024. Ils sont tous deux reconnus pour leur engagement dans la promotion de l'art africain et leur expertise en matière d'art contemporain. Leur sélection témoigne de la volonté de la Côte d'Ivoire de présenter des artistes de qualité et de favoriser le dialogue interculturel au sein de la communauté artistique mondiale. Les attentes de la Côte d'Ivoire à la Biennale de Venise La participation de la Côte d'Ivoire à la Biennale de Venise 2024 est une occasion unique de mettre en valeur la diversité culturelle et la richesse artistique du pays. Le pavillon ivoirien vise à susciter des conversations et des échanges sur les thèmes de la résilience, de l'espoir et de la créativité. Il offre également une plateforme aux artistes ivoiriens pour présenter leur travail au public international et aux professionnels de l'art. En participant à cet événement artistique majeur, la Côte d'Ivoire cherche à renforcer sa présence sur la scène artistique mondiale, à favoriser les collaborations et les partenariats internationaux, ainsi qu'à attirer l'attention sur le riche héritage culturel et artistique du pays. Promouvoir l'art contemporain en Côte d'Ivoire La participation à la Biennale de Venise est un moteur pour la promotion de l'art contemporain en Côte d'Ivoire. Le gouvernement ivoirien, à travers le financement du Pavillon National Ivoirien, témoigne de son engagement en faveur du développement du secteur artistique et culturel du pays. Cette démarche vise à encourager les artistes locaux, à renforcer les infrastructures artistiques et à favoriser l'éducation artistique. En soutenant les artistes ivoiriens et en créant des opportunités d'exposition et de collaboration internationale, la Côte d'Ivoire aspire à faire émerger de nouveaux talents, à stimuler la créativité et à promouvoir la diversité des expressions artistiques dans le pays. En conclusion, la participation de la Côte d'Ivoire à la Biennale de Venise 2024 est une étape importante dans la promotion de l'art contemporain ivoirien et dans la consolidation de sa présence sur la scène artistique mondiale. À travers le thème "The Blue Note" et la sélection d'artistes talentueux, le pavillon ivoirien met en valeur la résilience, l'espoir et la créativité comme moteurs de l'expression artistique. Cette participation témoigne de l'engagement de la Côte d'Ivoire en faveur de la diversité culturelle et de l'épanouissement des artistes ivoiriens.
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Pulchérie Gbalet Dit Ses Vérités À Laurent Et Simone Gbagbo Ainsi Qu'À Blé Goudé dans Politique le 15 mai à 18:30
À l'approche de la présidentielle de 2025 en Côte d'Ivoire, les tensions politiques s'intensifient et les acteurs de la scène politique se préparent à une compétition acharnée. Parmi les voix qui se font entendre, Pulchérie Gbalet, la présidente de l'organisation de la société civile Alternative citoyenne ivoirienne (ACI), a prononcé un discours ferme et percutant lors de la rentrée politique du parti de Charles Blé Goudé, le COJEP, le dimanche 12 mai 2024 à Yamoussoukro. Son message s'adresse tout particulièrement à la Gauche politique ivoirienne, qu'elle appelle à l'unité et à la responsabilité politique. Dans un contexte marqué par les défis internes et les divisions idéologiques, son appel résonne comme une demande pressante de coordination et de cohésion au sein de cette famille politique.

La Gauche ivoirienne face à ses défis internes


La gauche politique ivoirienne, caractérisée par une diversité d'opinions et d'approches politiques allant du socialisme traditionnel à des formes plus nationalistes et progressistes, a connu des difficultés depuis le retour de Laurent Gbagbo sur la scène politique. Les divisions idéologiques, les rivalités personnelles et les désaccords stratégiques ont affaibli sa capacité à présenter une alternative politique crédible et unifiée, en particulier lors des dernières élections locales. Ces défis internes ont nui à la cohérence et à l'efficacité de l'opposition de gauche, donnant ainsi une longueur d'avance à d'autres forces politiques.

Dans son discours, Pulchérie Gbalet a souligné l'importance de l'unité au sein de la Gauche ivoirienne. Elle a rappelé aux leaders politiques que dans le paysage politique ivoirien, aucune formation politique ne peut espérer remporter une élection sans le soutien d'alliances stratégiques. Ainsi, elle a exhorté les différents acteurs de la Gauche à surmonter leurs différences et à travailler ensemble pour l'intérêt supérieur de la Côte d'Ivoire et de son peuple. La militante de la société civile a souligné les conséquences de la division politique en déclarant : « Pendant que vous vous divisez, les gens nous maltraitent ». Son appel à l'unité vise à mobiliser les forces de gauche pour qu'elles puissent faire face aux défis nationaux actuels.

Le jugement des partis politiques à l'approche des élections


Pulchérie Gbalet a également mis l'accent sur l'importance des actions des partis politiques à l'approche des élections de 2025. Elle a souligné que chaque parti sera jugé par ses actes et ses réalisations. Les électeurs ivoiriens sont de plus en plus exigeants et attentifs aux promesses électorales passées et à la réalité de l'action politique. Ainsi, l'heure est venue pour les acteurs politiques de faire preuve de transparence, d'intégrité et de responsabilité dans leurs actions, afin de regagner la confiance du peuple ivoirien.

Dans son discours, Pulchérie Gbalet a abordé la question des promesses non tenues et des évolutions politiques controversées, notamment celles du RHDP, le parti au pouvoir. Elle a souligné le contraste entre les promesses électorales passées et la réalité actuelle, mettant ainsi en évidence les attentes déçues de la population. De plus, elle a critiqué le revirement du président de la République sur la question du mandat présidentiel, affirmant que « l'heure est à l'humilité ». Elle a plaidé en faveur de la réconciliation nationale et de l'amnistie de tous les dirigeants politiques, afin de garantir une participation équitable à la vie politique du pays.

Dans un paysage politique marqué par des divisions et des défis internes, l'unité et la responsabilité politique sont-elles réalisables pour la Gauche ivoirienne ?

Image de Politique. À l'approche de la présidentielle de 2025 en Côte d'Ivoire, les tensions politiques s'intensifient et les acteurs de la scène politique se préparent à une compétition acharnée. Parmi les voix qui se font entendre, Pulchérie Gbalet, la présidente de l'organisation de la société civile Alternative citoyenne ivoirienne (ACI), a prononcé un discours ferme et percutant lors de la rentrée politique du parti de Charles Blé Goudé, le COJEP, le dimanche 12 mai 2024 à Yamoussoukro. Son message s'adresse tout particulièrement à la Gauche politique ivoirienne, qu'elle appelle à l'unité et à la responsabilité politique. Dans un contexte marqué par les défis internes et les divisions idéologiques, son appel résonne comme une demande pressante de coordination et de cohésion au sein de cette famille politique. La Gauche ivoirienne face à ses défis internes La gauche politique ivoirienne, caractérisée par une diversité d'opinions et d'approches politiques allant du socialisme traditionnel à des formes plus nationalistes et progressistes, a connu des difficultés depuis le retour de Laurent Gbagbo sur la scène politique. Les divisions idéologiques, les rivalités personnelles et les désaccords stratégiques ont affaibli sa capacité à présenter une alternative politique crédible et unifiée, en particulier lors des dernières élections locales. Ces défis internes ont nui à la cohérence et à l'efficacité de l'opposition de gauche, donnant ainsi une longueur d'avance à d'autres forces politiques. Dans son discours, Pulchérie Gbalet a souligné l'importance de l'unité au sein de la Gauche ivoirienne. Elle a rappelé aux leaders politiques que dans le paysage politique ivoirien, aucune formation politique ne peut espérer remporter une élection sans le soutien d'alliances stratégiques. Ainsi, elle a exhorté les différents acteurs de la Gauche à surmonter leurs différences et à travailler ensemble pour l'intérêt supérieur de la Côte d'Ivoire et de son peuple. La militante de la société civile a souligné les conséquences de la division politique en déclarant : « Pendant que vous vous divisez, les gens nous maltraitent ». Son appel à l'unité vise à mobiliser les forces de gauche pour qu'elles puissent faire face aux défis nationaux actuels. Le jugement des partis politiques à l'approche des élections Pulchérie Gbalet a également mis l'accent sur l'importance des actions des partis politiques à l'approche des élections de 2025. Elle a souligné que chaque parti sera jugé par ses actes et ses réalisations. Les électeurs ivoiriens sont de plus en plus exigeants et attentifs aux promesses électorales passées et à la réalité de l'action politique. Ainsi, l'heure est venue pour les acteurs politiques de faire preuve de transparence, d'intégrité et de responsabilité dans leurs actions, afin de regagner la confiance du peuple ivoirien. Dans son discours, Pulchérie Gbalet a abordé la question des promesses non tenues et des évolutions politiques controversées, notamment celles du RHDP, le parti au pouvoir. Elle a souligné le contraste entre les promesses électorales passées et la réalité actuelle, mettant ainsi en évidence les attentes déçues de la population. De plus, elle a critiqué le revirement du président de la République sur la question du mandat présidentiel, affirmant que « l'heure est à l'humilité ». Elle a plaidé en faveur de la réconciliation nationale et de l'amnistie de tous les dirigeants politiques, afin de garantir une participation équitable à la vie politique du pays. Dans un paysage politique marqué par des divisions et des défis internes, l'unité et la responsabilité politique sont-elles réalisables pour la Gauche ivoirienne ?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit La Fête À l'Ambassade: Agalawal Promet Originalité Et Exclusivités Le 8 Juin dans Événements/Sorties le 15 mai à 18:19
L'humoriste Agalawal, ambassadeur de l'humour ivoirien, a lancé ce mardi 14 mai 2024 son nouveau one man show intitulé "La Fête à l'Ambassade". Ce spectacle, qui aura lieu le 8 juin prochain au Sofitel Hôtel Ivoire, promet d'être une soirée inoubliable, riche en originalité et en exclusivités.

Un Nouveau Défi pour Agalawal


Après son dernier spectacle de 2023, "Je déménage", Agalawal se lance dans un nouveau défi avec "La Fête à l'Ambassade". Ce one man show marque un tournant dans la carrière de l'humoriste, qui quitte le Palais de la Culture de Treichville pour s'installer dans un nouveau local de spectacle. Selon Kra Kobenan Ignace, ce spectacle sera une sorte de pendaison de crémaillère pour ce nouveau local.

Lors de la conférence de presse de lancement, Agalawal a refusé de dévoiler les thèmes qui seront abordés lors de son spectacle. Cependant, il n'a pas exclu l'idée d'une satire sur les faits sociaux d'actualité, tels que le déguerpissement ou l'augmentation des factures d'électricité. "Je laisse l'exclusivité à la surprise le jour du spectacle", a-t-il répondu à la question d'un journaliste.

Agalawal s'est opposé frontalement à la pratique de certains humoristes qui proposent des blagues déjà virales sur les réseaux sociaux. Il a promis et réitéré que le public aura droit à de l'originalité, de la recherche et des exclusivités. "Pour ceux qui me suivent depuis des années, ils savent que je ne fais jamais du réchauffé, c'est d'ailleurs quelque chose que je n'encourage pas dans le milieu. Nous faisons beaucoup de recherches pour offrir à notre public des spectacles originaux", a-t-il déclaré.

Un Événement Attendu


Le lancement de ce one man show a été accompagné par la grande famille des humoristes de Côte d'Ivoire, avec la légende Gohou Michel à la table des séances. Agalawal était également entouré de ses partenaires, le ministère de la Culture et de la Francophonie, sa famille de Bondoukou avec le maire de ladite localité, et son parrain, le ministre des Transports représenté. Tous ont lancé la mobilisation autour de ce spectacle, qui se veut riche en exclusivités.

Avec "La Fête à l'Ambassade", Agalawal prouve une fois encore qu'il est l'un des leaders de l'humour ivoirien. Mais quels sont les défis à relever pour que l'humour ivoirien continue de se développer et de se renouveler? Comment les humoristes ivoiriens vont-ils répondre aux attentes du public et offrir des spectacles originaux et exclusifs? La Côte d'Ivoire est-elle prête à devenir un hub de l'humour africain?

Image de Événements/Sorties. L'humoriste Agalawal, ambassadeur de l'humour ivoirien, a lancé ce mardi 14 mai 2024 son nouveau one man show intitulé "La Fête à l'Ambassade". Ce spectacle, qui aura lieu le 8 juin prochain au Sofitel Hôtel Ivoire, promet d'être une soirée inoubliable, riche en originalité et en exclusivités. Un Nouveau Défi pour Agalawal Après son dernier spectacle de 2023, "Je déménage", Agalawal se lance dans un nouveau défi avec "La Fête à l'Ambassade". Ce one man show marque un tournant dans la carrière de l'humoriste, qui quitte le Palais de la Culture de Treichville pour s'installer dans un nouveau local de spectacle. Selon Kra Kobenan Ignace, ce spectacle sera une sorte de pendaison de crémaillère pour ce nouveau local. Lors de la conférence de presse de lancement, Agalawal a refusé de dévoiler les thèmes qui seront abordés lors de son spectacle. Cependant, il n'a pas exclu l'idée d'une satire sur les faits sociaux d'actualité, tels que le déguerpissement ou l'augmentation des factures d'électricité. "Je laisse l'exclusivité à la surprise le jour du spectacle", a-t-il répondu à la question d'un journaliste. Agalawal s'est opposé frontalement à la pratique de certains humoristes qui proposent des blagues déjà virales sur les réseaux sociaux. Il a promis et réitéré que le public aura droit à de l'originalité, de la recherche et des exclusivités. "Pour ceux qui me suivent depuis des années, ils savent que je ne fais jamais du réchauffé, c'est d'ailleurs quelque chose que je n'encourage pas dans le milieu. Nous faisons beaucoup de recherches pour offrir à notre public des spectacles originaux", a-t-il déclaré. Un Événement Attendu Le lancement de ce one man show a été accompagné par la grande famille des humoristes de Côte d'Ivoire, avec la légende Gohou Michel à la table des séances. Agalawal était également entouré de ses partenaires, le ministère de la Culture et de la Francophonie, sa famille de Bondoukou avec le maire de ladite localité, et son parrain, le ministre des Transports représenté. Tous ont lancé la mobilisation autour de ce spectacle, qui se veut riche en exclusivités. Avec "La Fête à l'Ambassade", Agalawal prouve une fois encore qu'il est l'un des leaders de l'humour ivoirien. Mais quels sont les défis à relever pour que l'humour ivoirien continue de se développer et de se renouveler? Comment les humoristes ivoiriens vont-ils répondre aux attentes du public et offrir des spectacles originaux et exclusifs? La Côte d'Ivoire est-elle prête à devenir un hub de l'humour africain?

Deuxième Image de Événements/Sorties. L'humoriste Agalawal, ambassadeur de l'humour ivoirien, a lancé ce mardi 14 mai 2024 son nouveau one man show intitulé "La Fête à l'Ambassade". Ce spectacle, qui aura lieu le 8 juin prochain au Sofitel Hôtel Ivoire, promet d'être une soirée inoubliable, riche en originalité et en exclusivités. Un Nouveau Défi pour Agalawal Après son dernier spectacle de 2023, "Je déménage", Agalawal se lance dans un nouveau défi avec "La Fête à l'Ambassade". Ce one man show marque un tournant dans la carrière de l'humoriste, qui quitte le Palais de la Culture de Treichville pour s'installer dans un nouveau local de spectacle. Selon Kra Kobenan Ignace, ce spectacle sera une sorte de pendaison de crémaillère pour ce nouveau local. Lors de la conférence de presse de lancement, Agalawal a refusé de dévoiler les thèmes qui seront abordés lors de son spectacle. Cependant, il n'a pas exclu l'idée d'une satire sur les faits sociaux d'actualité, tels que le déguerpissement ou l'augmentation des factures d'électricité. "Je laisse l'exclusivité à la surprise le jour du spectacle", a-t-il répondu à la question d'un journaliste. Agalawal s'est opposé frontalement à la pratique de certains humoristes qui proposent des blagues déjà virales sur les réseaux sociaux. Il a promis et réitéré que le public aura droit à de l'originalité, de la recherche et des exclusivités. "Pour ceux qui me suivent depuis des années, ils savent que je ne fais jamais du réchauffé, c'est d'ailleurs quelque chose que je n'encourage pas dans le milieu. Nous faisons beaucoup de recherches pour offrir à notre public des spectacles originaux", a-t-il déclaré. Un Événement Attendu Le lancement de ce one man show a été accompagné par la grande famille des humoristes de Côte d'Ivoire, avec la légende Gohou Michel à la table des séances. Agalawal était également entouré de ses partenaires, le ministère de la Culture et de la Francophonie, sa famille de Bondoukou avec le maire de ladite localité, et son parrain, le ministre des Transports représenté. Tous ont lancé la mobilisation autour de ce spectacle, qui se veut riche en exclusivités. Avec "La Fête à l'Ambassade", Agalawal prouve une fois encore qu'il est l'un des leaders de l'humour ivoirien. Mais quels sont les défis à relever pour que l'humour ivoirien continue de se développer et de se renouveler? Comment les humoristes ivoiriens vont-ils répondre aux attentes du public et offrir des spectacles originaux et exclusifs? La Côte d'Ivoire est-elle prête à devenir un hub de l'humour africain?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Lutte Contre La Malnutrition Infantile: Cartographie Des Données Nutritionnelles dans Société le 15 mai à 18:12
La Côte d'Ivoire, comme de nombreux pays en développement, fait face à un problème de santé publique majeur : la malnutrition infantile. Les taux de malnutrition chronique dans le pays sont alarmants, variant entre 8,4 % et 23 % selon les données de l'Enquête Démographique et de Santé. Pour lutter efficacement contre ce fléau, il est essentiel de disposer de données précises et fiables sur la nutrition en Côte d'Ivoire. C'est dans ce contexte que s'est tenu, du 13 au 15 mai, à l'Hôtel Suprême de Grand-Bassam, un atelier de finalisation et de validation de la cartographie des données de nutrition en Côte d'Ivoire.

Un Atelier de Trois Jours pour Valider le Rapport


L'objectif principal de cet atelier était de permettre aux participants d'analyser les points forts et les faiblesses du projet de cartographie des données nutritionnelles élaboré par le Programme National de Nutrition et de Malnutrition Infantile (PNMIN). Pendant trois jours, les experts ont travaillé à l'interprétation de toutes les questions relatives au rapport, à la finalisation et à la validation de la cartographie des données nutritionnelles exécutée par le PNMIN.

Ce projet novateur et innovant vise à faciliter le travail des organismes de nutrition de la petite enfance sur le terrain. Selon le Dr Kouakou Jean-Marie, Secrétaire Exécutif du Conseil National pour la Nutrition et le Développement de la Petite Enfance, "ce rapport prévoit de répertorier et d'exploiter des données cartographiées afin de lutter efficacement contre la malnutrition infantile en Côte d'Ivoire". Le projet a pour but de décrire les principales organisations fournissant des données de nutrition, d'identifier les systèmes d'information et les sources de données de nutrition, ainsi que d'élaborer la matrice des indicateurs sectoriels de nutrition.

Des Recommandations Opérationnelles pour Améliorer les Systèmes d'Information


Les travaux de l'atelier ont permis aux participants de prendre connaissance du rapport d'étude du PNMIN et de formuler des recommandations opérationnelles pour pallier les lacunes des systèmes d'information sur la nutrition en Côte d'Ivoire. Ces recommandations visent à améliorer la collecte, la gestion et l'analyse des données de nutrition, ainsi que la coordination entre les différents acteurs impliqués dans la lutte contre la malnutrition infantile.

L'atelier de finalisation et de validation de la cartographie des données de nutrition en Côte d'Ivoire a été l'occasion pour les acteurs de la nutrition de se réunir et de partager leurs expériences. Selon Mme Anne-Marie N'da Kouassi, représentante de l'UNICEF en Côte d'Ivoire, "il est essentiel que les acteurs de la nutrition travaillent ensemble pour lutter contre la malnutrition infantile en Côte d'Ivoire". Le Dr Kouassi Francis, Assistant du Secrétaire exécutif du CONNAPE, a ajouté que "la cartographie des données de nutrition est un outil essentiel pour identifier les zones à risque et cibler les interventions".

La cartographie des données de nutrition en Côte d'Ivoire est un pas important vers la lutte contre la malnutrition infantile. Mais quels sont les défis à relever pour que ce projet novateur et innovant soit couronné de succès? Comment les acteurs de la nutrition vont-ils travailler ensemble pour mettre en œuvre les recommandations opérationnelles formulées lors de l'atelier? La Côte d'Ivoire est-elle prête à relever le défi de la malnutrition infantile?

Image de Société. La Côte d'Ivoire, comme de nombreux pays en développement, fait face à un problème de santé publique majeur : la malnutrition infantile. Les taux de malnutrition chronique dans le pays sont alarmants, variant entre 8,4 % et 23 % selon les données de l'Enquête Démographique et de Santé. Pour lutter efficacement contre ce fléau, il est essentiel de disposer de données précises et fiables sur la nutrition en Côte d'Ivoire. C'est dans ce contexte que s'est tenu, du 13 au 15 mai, à l'Hôtel Suprême de Grand-Bassam, un atelier de finalisation et de validation de la cartographie des données de nutrition en Côte d'Ivoire. Un Atelier de Trois Jours pour Valider le Rapport L'objectif principal de cet atelier était de permettre aux participants d'analyser les points forts et les faiblesses du projet de cartographie des données nutritionnelles élaboré par le Programme National de Nutrition et de Malnutrition Infantile (PNMIN). Pendant trois jours, les experts ont travaillé à l'interprétation de toutes les questions relatives au rapport, à la finalisation et à la validation de la cartographie des données nutritionnelles exécutée par le PNMIN. Ce projet novateur et innovant vise à faciliter le travail des organismes de nutrition de la petite enfance sur le terrain. Selon le Dr Kouakou Jean-Marie, Secrétaire Exécutif du Conseil National pour la Nutrition et le Développement de la Petite Enfance, "ce rapport prévoit de répertorier et d'exploiter des données cartographiées afin de lutter efficacement contre la malnutrition infantile en Côte d'Ivoire". Le projet a pour but de décrire les principales organisations fournissant des données de nutrition, d'identifier les systèmes d'information et les sources de données de nutrition, ainsi que d'élaborer la matrice des indicateurs sectoriels de nutrition. Des Recommandations Opérationnelles pour Améliorer les Systèmes d'Information Les travaux de l'atelier ont permis aux participants de prendre connaissance du rapport d'étude du PNMIN et de formuler des recommandations opérationnelles pour pallier les lacunes des systèmes d'information sur la nutrition en Côte d'Ivoire. Ces recommandations visent à améliorer la collecte, la gestion et l'analyse des données de nutrition, ainsi que la coordination entre les différents acteurs impliqués dans la lutte contre la malnutrition infantile. L'atelier de finalisation et de validation de la cartographie des données de nutrition en Côte d'Ivoire a été l'occasion pour les acteurs de la nutrition de se réunir et de partager leurs expériences. Selon Mme Anne-Marie N'da Kouassi, représentante de l'UNICEF en Côte d'Ivoire, "il est essentiel que les acteurs de la nutrition travaillent ensemble pour lutter contre la malnutrition infantile en Côte d'Ivoire". Le Dr Kouassi Francis, Assistant du Secrétaire exécutif du CONNAPE, a ajouté que "la cartographie des données de nutrition est un outil essentiel pour identifier les zones à risque et cibler les interventions". La cartographie des données de nutrition en Côte d'Ivoire est un pas important vers la lutte contre la malnutrition infantile. Mais quels sont les défis à relever pour que ce projet novateur et innovant soit couronné de succès? Comment les acteurs de la nutrition vont-ils travailler ensemble pour mettre en œuvre les recommandations opérationnelles formulées lors de l'atelier? La Côte d'Ivoire est-elle prête à relever le défi de la malnutrition infantile?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit La Ministre Dogo Renforce La Cohésion Et Consolide La Paix À Konan-N'Drikro dans Société le 15 mai à 18:06
La ministre de la Cohésion nationale, de la Solidarité et de la Lutte contre la pauvreté, Myss Belmonde Dogo, s'est rendue à Konan-N'drikro (Bocanda) le lundi 13 mai 2024 pour soutenir les femmes de la localité. Dans le cadre du financement des Projets à Impact Rapide (PIR), le Ministère a remis des équipements à la coopérative des femmes de Konan-N'drikro, dans l'objectif de renforcer la cohésion sociale et de consolider la paix. Cette initiative s'inscrit dans le cadre du Plan National de Développement (PND) et vise à répondre aux besoins exprimés par les populations locales.

Des équipements pour soutenir les femmes de Konan-N'drikro


Dans le cadre du financement des Projets à Impact Rapide (PIR), le Ministère de la Cohésion nationale, de la Solidarité et de la Lutte contre la pauvreté a remis divers équipements à la coopérative des femmes de Konan-N'drikro (Bocanda). Parmi les équipements offerts figuraient un tricycle, un baffle sono, des bâches, des chaises, des pulvérisateurs, des dabas, des machettes et des arrosoirs. Ces outils permettront aux femmes de développer leurs activités économiques et de générer des revenus.

La ministre Myss Belmonde Dogo a souligné l'importance de ce financement pour renforcer les relations intercommunautaires et promouvoir la cohésion sociale. Elle a déclaré : "Le financement de ces projets contribue largement à consolider les relations intercommunautaires et à renforcer la cohésion sociale. C’est d’ailleurs sur votre demande que Konan N’drikro a été choisi afin de bénéficier pour le renforcement des activités… je voudrais vous inviter tous à adhérer à la politique du chef de l’État en vous engageant à œuvrer dans le sens de la paix et du vivre-ensemble."

Les besoins exprimés par la population


Lors de cette cérémonie, les représentants de la population ont exprimé leur gratitude envers le président de la République, Alassane Ouattara, pour ce don qui contribuera à réunir toutes les communautés de Konan-N'drikro. Cependant, ils ont également fait part de leurs préoccupations quant aux conditions de vie des habitants.

Le 2ème vice-président du conseil régional, Nyambé Konan Bertin, a plaidé en faveur de l'extension de ces actions à d'autres localités de la région. Il a exprimé son souhait de voir "d'autres localités de notre grande région [connaître] le bonheur de bénéficier de ce matériel pour l'implémentation d'activités génératrices de revenus."

Le porte-parole de la population, Kouadio Konan Antoine, a formulé plusieurs doléances, notamment la construction d'un centre de médiation et de règlement des conflits, la construction d'un pont, d'une école, l'extension du réseau électrique, ainsi que l'ouverture et l'assainissement de la voirie.

L'initiative de la ministre Myss Belmonde Dogo à Konan-N'drikro s'inscrit dans le cadre du Plan National de Développement (PND) de la Côte d'Ivoire. Ce programme vise à promouvoir le développement économique et social du pays en répondant aux besoins des populations dans divers domaines, tels que l'infrastructure, l'éducation et la santé.

En soutenant les femmes de Konan-N'drikro, le Ministère de la Cohésion nationale, de la Solidarité et de la Lutte contre la pauvreté contribue à renforcer la cohésion sociale et à consolider la paix dans la région. Il s'agit d'un pas important vers le développement harmonieux de la localité et de ses communautés.

Image de Société. La ministre de la Cohésion nationale, de la Solidarité et de la Lutte contre la pauvreté, Myss Belmonde Dogo, s'est rendue à Konan-N'drikro (Bocanda) le lundi 13 mai 2024 pour soutenir les femmes de la localité. Dans le cadre du financement des Projets à Impact Rapide (PIR), le Ministère a remis des équipements à la coopérative des femmes de Konan-N'drikro, dans l'objectif de renforcer la cohésion sociale et de consolider la paix. Cette initiative s'inscrit dans le cadre du Plan National de Développement (PND) et vise à répondre aux besoins exprimés par les populations locales. Des équipements pour soutenir les femmes de Konan-N'drikro Dans le cadre du financement des Projets à Impact Rapide (PIR), le Ministère de la Cohésion nationale, de la Solidarité et de la Lutte contre la pauvreté a remis divers équipements à la coopérative des femmes de Konan-N'drikro (Bocanda). Parmi les équipements offerts figuraient un tricycle, un baffle sono, des bâches, des chaises, des pulvérisateurs, des dabas, des machettes et des arrosoirs. Ces outils permettront aux femmes de développer leurs activités économiques et de générer des revenus. La ministre Myss Belmonde Dogo a souligné l'importance de ce financement pour renforcer les relations intercommunautaires et promouvoir la cohésion sociale. Elle a déclaré : "Le financement de ces projets contribue largement à consolider les relations intercommunautaires et à renforcer la cohésion sociale. C’est d’ailleurs sur votre demande que Konan N’drikro a été choisi afin de bénéficier pour le renforcement des activités… je voudrais vous inviter tous à adhérer à la politique du chef de l’État en vous engageant à œuvrer dans le sens de la paix et du vivre-ensemble." Les besoins exprimés par la population Lors de cette cérémonie, les représentants de la population ont exprimé leur gratitude envers le président de la République, Alassane Ouattara, pour ce don qui contribuera à réunir toutes les communautés de Konan-N'drikro. Cependant, ils ont également fait part de leurs préoccupations quant aux conditions de vie des habitants. Le 2ème vice-président du conseil régional, Nyambé Konan Bertin, a plaidé en faveur de l'extension de ces actions à d'autres localités de la région. Il a exprimé son souhait de voir "d'autres localités de notre grande région [connaître] le bonheur de bénéficier de ce matériel pour l'implémentation d'activités génératrices de revenus." Le porte-parole de la population, Kouadio Konan Antoine, a formulé plusieurs doléances, notamment la construction d'un centre de médiation et de règlement des conflits, la construction d'un pont, d'une école, l'extension du réseau électrique, ainsi que l'ouverture et l'assainissement de la voirie. L'initiative de la ministre Myss Belmonde Dogo à Konan-N'drikro s'inscrit dans le cadre du Plan National de Développement (PND) de la Côte d'Ivoire. Ce programme vise à promouvoir le développement économique et social du pays en répondant aux besoins des populations dans divers domaines, tels que l'infrastructure, l'éducation et la santé. En soutenant les femmes de Konan-N'drikro, le Ministère de la Cohésion nationale, de la Solidarité et de la Lutte contre la pauvreté contribue à renforcer la cohésion sociale et à consolider la paix dans la région. Il s'agit d'un pas important vers le développement harmonieux de la localité et de ses communautés.
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Le Daice s'Engage À Diversifier l'Industrie Pour Renforcer Le Tissu Commercial dans Politique le 15 mai à 17:56
La Côte d'Ivoire, en quête d'un développement industriel solide et durable, met en place le Programme Diversification, Accélération Industrielle, Compétitivité et Emploi (DAICE). Ce programme d'envergure résulte des enseignements tirés de deux projets majeurs, le Projet d'Appui au Renforcement et à la Compétitivité du Secteur Industriel (PARCSI) et le Projet d'Amélioration des Services aux Industries en Côte d'Ivoire (PASI-CI). Le Ministère du Commerce et de l'Industrie, soucieux de structurer ce processus de développement industriel, accueille avec enthousiasme cette initiative qui promet de dynamiser l'économie ivoirienne.

Des partenaires mobilisés pour la réussite du DAICE


Doté d'un financement de 165 millions d'euros, complété par une contribution nationale de 13 millions d'euros, le Programme DAICE se positionne comme un instrument d'appui essentiel pour les micro, petites, moyennes et grandes entreprises de Côte d'Ivoire. Placé sous la tutelle du Ministère du Commerce et de l'Industrie, ce nouveau programme ouvre un chapitre prometteur dans la relance industrielle du pays.

Grâce à ces fonds, le DAICE vise à renforcer la compétitivité des chaînes de valeur, faciliter l'accès au financement pour les PME et encourager les investissements, en phase avec les priorités du Plan National de Développement (PND) 2021-2025. La Banque Africaine de Développement (BAD) a joué un rôle clé dans le financement du programme, apportant une contribution de 165 millions d'euros, soit environ 116,16 milliards de FCFA. Cette aide financière témoigne de l'engagement de la BAD à soutenir le gouvernement ivoirien dans ses efforts de diversification économique, d'industrialisation accélérée et de création d'emplois.

Consolider la position économique de la Côte d'Ivoire


La mise en œuvre du programme DAICE devrait consolider les acquis socio-économiques de la Côte d'Ivoire, renforcer les fondements du développement industriel et maintenir sa position de référence sur le plan continental en termes de performance économique. Grâce au développement des chaînes de valeur dans les secteurs économiques prioritaires, le DAICE vise à renforcer la compétitivité de l'économie nationale et à consolider sa présence sur le marché sous-régional ainsi que sur le marché commun africain de la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAf), qui compte pas moins de 1,3 milliard de consommateurs.

L'appui de la BAD témoigne de la confiance accordée aux actions de développement entreprises par le gouvernement ivoirien. Ce partenariat solide renforce la coopération entre la Côte d'Ivoire et la Banque Africaine de Développement, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives pour le pays. Comment le programme DAICE pourrait-il transformer le paysage industriel ivoirien et stimuler la croissance économique à long terme ?

Image de Politique. La Côte d'Ivoire, en quête d'un développement industriel solide et durable, met en place le Programme Diversification, Accélération Industrielle, Compétitivité et Emploi (DAICE). Ce programme d'envergure résulte des enseignements tirés de deux projets majeurs, le Projet d'Appui au Renforcement et à la Compétitivité du Secteur Industriel (PARCSI) et le Projet d'Amélioration des Services aux Industries en Côte d'Ivoire (PASI-CI). Le Ministère du Commerce et de l'Industrie, soucieux de structurer ce processus de développement industriel, accueille avec enthousiasme cette initiative qui promet de dynamiser l'économie ivoirienne. Des partenaires mobilisés pour la réussite du DAICE Doté d'un financement de 165 millions d'euros, complété par une contribution nationale de 13 millions d'euros, le Programme DAICE se positionne comme un instrument d'appui essentiel pour les micro, petites, moyennes et grandes entreprises de Côte d'Ivoire. Placé sous la tutelle du Ministère du Commerce et de l'Industrie, ce nouveau programme ouvre un chapitre prometteur dans la relance industrielle du pays. Grâce à ces fonds, le DAICE vise à renforcer la compétitivité des chaînes de valeur, faciliter l'accès au financement pour les PME et encourager les investissements, en phase avec les priorités du Plan National de Développement (PND) 2021-2025. La Banque Africaine de Développement (BAD) a joué un rôle clé dans le financement du programme, apportant une contribution de 165 millions d'euros, soit environ 116,16 milliards de FCFA. Cette aide financière témoigne de l'engagement de la BAD à soutenir le gouvernement ivoirien dans ses efforts de diversification économique, d'industrialisation accélérée et de création d'emplois. Consolider la position économique de la Côte d'Ivoire La mise en œuvre du programme DAICE devrait consolider les acquis socio-économiques de la Côte d'Ivoire, renforcer les fondements du développement industriel et maintenir sa position de référence sur le plan continental en termes de performance économique. Grâce au développement des chaînes de valeur dans les secteurs économiques prioritaires, le DAICE vise à renforcer la compétitivité de l'économie nationale et à consolider sa présence sur le marché sous-régional ainsi que sur le marché commun africain de la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAf), qui compte pas moins de 1,3 milliard de consommateurs. L'appui de la BAD témoigne de la confiance accordée aux actions de développement entreprises par le gouvernement ivoirien. Ce partenariat solide renforce la coopération entre la Côte d'Ivoire et la Banque Africaine de Développement, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives pour le pays. Comment le programme DAICE pourrait-il transformer le paysage industriel ivoirien et stimuler la croissance économique à long terme ?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Anader: La Côte d'Ivoire Sur La Voie De La Production De Biocarburant Durable dans Société le 15 mai à 17:38
La Côte d'Ivoire est sur le point de devenir un pionnier dans la production de biocarburant durable en Afrique de l'Ouest. Le projet de valorisation des sous-produits agricoles, lancé en 2022 par le consortium composé de l'ANADER, SCANIA, TotalEnergies et de la Société Ivoirienne de Raffinage (SIR), a atteint une étape importante avec la mise en œuvre de la phase pilote de production de biodiésel à partir des graines d'hévéa. Dans cet article, nous allons examiner les avancées réalisées dans ce projet novateur et les perspectives qu'il offre pour l'environnement et l'économie ivoiriennes.

La phase pilote, un succès


La phase pilote du projet, qui arrive à terme d'ici fin juin 2024, a permis de valider les tests de conformité du biodiésel et de démontrer la faisabilité de la production de biocarburant en Côte d'Ivoire. "Nous sommes fiers de produire du biocarburant en Côte d'Ivoire", a déclaré M. Yao Olivier Jacques Arnaud, Coordonnateur du projet à l'ANADER. Cette réussite est le fruit d'un travail de plusieurs mois et de la collaboration étroite entre les partenaires du consortium.

Ce projet vise à terme la production locale de biodiesel qui servira à alimenter, dans un premier temps, les autobus de la SOTRA, et à réduire la pollution de l'air à Abidjan. Il contribuera également à débarrasser l'environnement rural des sous-produits agricoles considérés par le passé comme des déchets, améliorer les revenus des exploitants agricoles et préserver l'environnement dans un contexte mondial de changement climatique.

Un engagement résolu des partenaires


La cérémonie de présentation des résultats de la phase pilote a été l'occasion pour les partenaires du consortium de réaffirmer leur engagement en faveur de ce projet novateur. "Nous sommes satisfaits de voir se concrétiser une opportunité d'amélioration des revenus des producteurs d'hévéa en Côte d'Ivoire", a déclaré Dr Sidiki Cissé, Directeur Général de l'ANADER.

La mise en place d'unités industrielles de production de biodiésel est prévue pour les mois à venir. Ce projet ouvre des perspectives prometteuses pour l'environnement et l'économie ivoiriennes. Mais la question qui se pose est : comment la Côte d'Ivoire peut-elle garantir la durabilité de ce projet et en faire un modèle pour d'autres pays africains?

Image de Société. La Côte d'Ivoire est sur le point de devenir un pionnier dans la production de biocarburant durable en Afrique de l'Ouest. Le projet de valorisation des sous-produits agricoles, lancé en 2022 par le consortium composé de l'ANADER, SCANIA, TotalEnergies et de la Société Ivoirienne de Raffinage (SIR), a atteint une étape importante avec la mise en œuvre de la phase pilote de production de biodiésel à partir des graines d'hévéa. Dans cet article, nous allons examiner les avancées réalisées dans ce projet novateur et les perspectives qu'il offre pour l'environnement et l'économie ivoiriennes. La phase pilote, un succès La phase pilote du projet, qui arrive à terme d'ici fin juin 2024, a permis de valider les tests de conformité du biodiésel et de démontrer la faisabilité de la production de biocarburant en Côte d'Ivoire. "Nous sommes fiers de produire du biocarburant en Côte d'Ivoire", a déclaré M. Yao Olivier Jacques Arnaud, Coordonnateur du projet à l'ANADER. Cette réussite est le fruit d'un travail de plusieurs mois et de la collaboration étroite entre les partenaires du consortium. Ce projet vise à terme la production locale de biodiesel qui servira à alimenter, dans un premier temps, les autobus de la SOTRA, et à réduire la pollution de l'air à Abidjan. Il contribuera également à débarrasser l'environnement rural des sous-produits agricoles considérés par le passé comme des déchets, améliorer les revenus des exploitants agricoles et préserver l'environnement dans un contexte mondial de changement climatique. Un engagement résolu des partenaires La cérémonie de présentation des résultats de la phase pilote a été l'occasion pour les partenaires du consortium de réaffirmer leur engagement en faveur de ce projet novateur. "Nous sommes satisfaits de voir se concrétiser une opportunité d'amélioration des revenus des producteurs d'hévéa en Côte d'Ivoire", a déclaré Dr Sidiki Cissé, Directeur Général de l'ANADER. La mise en place d'unités industrielles de production de biodiésel est prévue pour les mois à venir. Ce projet ouvre des perspectives prometteuses pour l'environnement et l'économie ivoiriennes. Mais la question qui se pose est : comment la Côte d'Ivoire peut-elle garantir la durabilité de ce projet et en faire un modèle pour d'autres pays africains?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit La Côte d'Ivoire Dément Les Rumeurs Sur Son Retour Au Statut De Ppte dans Politique le 15 mai à 17:32
Depuis plusieurs jours, une information circule dans l'espace médiatique et public sur la Côte d'Ivoire, selon laquelle le pays aurait repris son statut de Pays Pauvre Très Endetté (PPTE). Cependant, le Ministère de l'Economie et des Finances dément formellement cette information, rappelant que la Côte d'Ivoire a quitté ce programme en 2018. Dans cet article, nous allons examiner les fondamentaux économiques solides de la Côte d'Ivoire, pays à revenu intermédiaire, et mettre en perspective les opportunités de collaboration offertes par la ratification de l'accord sur la Facilité Africaine de Soutien Juridique (FASJ).

La Côte d'Ivoire, une puissance économique régionale


La Côte d'Ivoire est classée au rang des pays à revenus intermédiaires, selon la Banque mondiale. Cette classification est basée sur les perspectives économiques positives du pays, portées par les efforts de diversification et de consolidation initiés par le gouvernement. "Nous sommes fiers de nos réalisations économiques, qui ont permis à notre pays de devenir la première puissance économique de la zone UEMOA", a déclaré le ministre de l'Economie et des Finances, lors d'une récente conférence de presse.

L'initiative PPTE a été créée par le "Club de Paris" en collaboration avec les institutions de Bretton Woods, dans le but d'alléger ou de réaménager la dette extérieure des pays présentant des difficultés à l'honorer. La Côte d'Ivoire a bénéficié de ce dispositif d'allègement de dette en 2012, mais en est sortie en 2018. "Nous avons pu nous sortir de ce programme grâce à nos efforts de réforme économique et de gestion de la dette", a expliqué le ministre de l'Economie et des Finances.

La polémique sur le retour de la Côte d'Ivoire au programme PPTE est née de la mauvaise interprétation d'un article publié sur le site de la Banque mondiale, mettant à jour la liste des pays ayant bénéficié par le passé de l'Initiative PPTE. "Nous sommes surpris que certaines personnes aient pu interpréter de manière erronée les informations de la Banque mondiale", a déclaré un responsable du ministère de l'Economie et des Finances.

La Facilité Africaine de Soutien Juridique (FASJ), un instrument de coopération


La ratification de l'accord sur la Facilité Africaine de Soutien Juridique (FASJ) a été interprétée par certains analystes comme un retour au PPTE. Cependant, cet instrument relevant de la Banque Africaine de Développement (BAD) a pour mission de soutenir les États africains, notamment les Pays Pauvres Très Endettés, dans plusieurs secteurs tels que les activités extractives, les ressources naturelles, les infrastructures, les Partenariats Public-Privé (PPP), l'énergie, la dette souveraine, le règlement des différends, les traités internationaux, l'assistance technique, la bonne gouvernance, l'environnement et la promotion du Genre. "La ratification de cet accord présente des opportunités de collaboration multiformes pour notre pays", a expliqué un responsable de la Banque Africaine de Développement.

La Côte d'Ivoire est un pays à revenu intermédiaire, avec des fondamentaux économiques solides et des perspectives économiques positives. La polémique sur le retour au programme PPTE est donc infondée, et la ratification de l'accord sur la Facilité Africaine de Soutien Juridique (FASJ) offre des opportunités de collaboration pour le pays. Mais la question qui se pose est : comment peut-on éviter que de telles polémiques ne nuisent à l'image de la Côte d'Ivoire et à son développement économique?

Image de Politique. Depuis plusieurs jours, une information circule dans l'espace médiatique et public sur la Côte d'Ivoire, selon laquelle le pays aurait repris son statut de Pays Pauvre Très Endetté (PPTE). Cependant, le Ministère de l'Economie et des Finances dément formellement cette information, rappelant que la Côte d'Ivoire a quitté ce programme en 2018. Dans cet article, nous allons examiner les fondamentaux économiques solides de la Côte d'Ivoire, pays à revenu intermédiaire, et mettre en perspective les opportunités de collaboration offertes par la ratification de l'accord sur la Facilité Africaine de Soutien Juridique (FASJ). La Côte d'Ivoire, une puissance économique régionale La Côte d'Ivoire est classée au rang des pays à revenus intermédiaires, selon la Banque mondiale. Cette classification est basée sur les perspectives économiques positives du pays, portées par les efforts de diversification et de consolidation initiés par le gouvernement. "Nous sommes fiers de nos réalisations économiques, qui ont permis à notre pays de devenir la première puissance économique de la zone UEMOA", a déclaré le ministre de l'Economie et des Finances, lors d'une récente conférence de presse. L'initiative PPTE a été créée par le "Club de Paris" en collaboration avec les institutions de Bretton Woods, dans le but d'alléger ou de réaménager la dette extérieure des pays présentant des difficultés à l'honorer. La Côte d'Ivoire a bénéficié de ce dispositif d'allègement de dette en 2012, mais en est sortie en 2018. "Nous avons pu nous sortir de ce programme grâce à nos efforts de réforme économique et de gestion de la dette", a expliqué le ministre de l'Economie et des Finances. La polémique sur le retour de la Côte d'Ivoire au programme PPTE est née de la mauvaise interprétation d'un article publié sur le site de la Banque mondiale, mettant à jour la liste des pays ayant bénéficié par le passé de l'Initiative PPTE. "Nous sommes surpris que certaines personnes aient pu interpréter de manière erronée les informations de la Banque mondiale", a déclaré un responsable du ministère de l'Economie et des Finances. La Facilité Africaine de Soutien Juridique (FASJ), un instrument de coopération La ratification de l'accord sur la Facilité Africaine de Soutien Juridique (FASJ) a été interprétée par certains analystes comme un retour au PPTE. Cependant, cet instrument relevant de la Banque Africaine de Développement (BAD) a pour mission de soutenir les États africains, notamment les Pays Pauvres Très Endettés, dans plusieurs secteurs tels que les activités extractives, les ressources naturelles, les infrastructures, les Partenariats Public-Privé (PPP), l'énergie, la dette souveraine, le règlement des différends, les traités internationaux, l'assistance technique, la bonne gouvernance, l'environnement et la promotion du Genre. "La ratification de cet accord présente des opportunités de collaboration multiformes pour notre pays", a expliqué un responsable de la Banque Africaine de Développement. La Côte d'Ivoire est un pays à revenu intermédiaire, avec des fondamentaux économiques solides et des perspectives économiques positives. La polémique sur le retour au programme PPTE est donc infondée, et la ratification de l'accord sur la Facilité Africaine de Soutien Juridique (FASJ) offre des opportunités de collaboration pour le pays. Mais la question qui se pose est : comment peut-on éviter que de telles polémiques ne nuisent à l'image de la Côte d'Ivoire et à son développement économique?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit La Formation Des Leaders Politiques De Demain: L'Ifp-Agc Lance Sa 4Ème Promotion dans Politique le 15 mai à 17:26
L'Institut de Formation Politique Amadou Gon-Coulibaly (IFP-AGC) a officiellement lancé le processus de recrutement pour sa 4ème promotion, lors d'une conférence de presse tenue ce mardi 14 mai 2024. Cette nouvelle promotion promet un programme de formation riche et diversifié, destiné à former une nouvelle génération de leaders politiques et sociaux, ouverts à toutes les sensibilités et prêts à contribuer au développement de l'Afrique.

Un bilan des activités passées et un avenir prometteur


L'objectif principal de cette conférence de presse était de dresser un bilan des activités passées de l'Institut, tout en annonçant officiellement le lancement du processus de recrutement pour la nouvelle promotion. L'IFP-AGC s'affirme comme un acteur majeur dans la formation des futurs leaders politiques en Afrique, avec le lancement de sa 4ème promotion, l'Institut continue de jouer un rôle crucial dans le renforcement des capacités des jeunes leaders, contribuant ainsi au développement d'une gouvernance politique plus dynamique et inclusive sur le continent.

Les inscriptions pour la 4ème promotion des auditeurs de l'IFP-AGC débuteront le mercredi 15 mai 2024 et se clôtureront le 25 mai 2024. Les candidats intéressés sont invités à postuler en ligne sur le site internet de l'Institut, disponible à l'adresse [url]www.Ifp-agc.com[/url].

Un programme de formation riche et diversifié


Les candidats retenus auront l'opportunité de bénéficier d'un enseignement théorique approfondi sur divers aspects de l'engagement politique, du leadership, des idéologies politiques, de la géopolitique, et bien d'autres domaines essentiels à la formation des futurs leaders africains. La formation politique à l'IFP-AGC mettra également l'accent sur la pratique, avec des exercices d'art oratoire, des simulations de prises de parole en public, des séances de media training, et d'autres activités visant à développer les compétences nécessaires pour évoluer dans le monde politique moderne.

Les candidats intéressés doivent remplir certaines conditions, notamment être âgés entre 18 et 35 ans, détenir un niveau Bac plus 2, et être engagés dans un mouvement de la société civile ou d'un parti politique, ou avoir un projet dans ce sens. La cérémonie de clôture de la 3ème promotion se tiendra le 08 juillet 2024 au Sofitel Hôtel Ivoire. Les auditeurs qui auront suivi et validé la formation recevront alors leurs parchemins, marquant ainsi le début de leur engagement dans la vie politique et sociale de leur pays.

Quel est l'avenir de la gouvernance politique en Afrique?

Image de Politique. L'Institut de Formation Politique Amadou Gon-Coulibaly (IFP-AGC) a officiellement lancé le processus de recrutement pour sa 4ème promotion, lors d'une conférence de presse tenue ce mardi 14 mai 2024. Cette nouvelle promotion promet un programme de formation riche et diversifié, destiné à former une nouvelle génération de leaders politiques et sociaux, ouverts à toutes les sensibilités et prêts à contribuer au développement de l'Afrique. Un bilan des activités passées et un avenir prometteur L'objectif principal de cette conférence de presse était de dresser un bilan des activités passées de l'Institut, tout en annonçant officiellement le lancement du processus de recrutement pour la nouvelle promotion. L'IFP-AGC s'affirme comme un acteur majeur dans la formation des futurs leaders politiques en Afrique, avec le lancement de sa 4ème promotion, l'Institut continue de jouer un rôle crucial dans le renforcement des capacités des jeunes leaders, contribuant ainsi au développement d'une gouvernance politique plus dynamique et inclusive sur le continent. Les inscriptions pour la 4ème promotion des auditeurs de l'IFP-AGC débuteront le mercredi 15 mai 2024 et se clôtureront le 25 mai 2024. Les candidats intéressés sont invités à postuler en ligne sur le site internet de l'Institut, disponible à l'adresse www.Ifp-agc.com. Un programme de formation riche et diversifié Les candidats retenus auront l'opportunité de bénéficier d'un enseignement théorique approfondi sur divers aspects de l'engagement politique, du leadership, des idéologies politiques, de la géopolitique, et bien d'autres domaines essentiels à la formation des futurs leaders africains. La formation politique à l'IFP-AGC mettra également l'accent sur la pratique, avec des exercices d'art oratoire, des simulations de prises de parole en public, des séances de media training, et d'autres activités visant à développer les compétences nécessaires pour évoluer dans le monde politique moderne. Les candidats intéressés doivent remplir certaines conditions, notamment être âgés entre 18 et 35 ans, détenir un niveau Bac plus 2, et être engagés dans un mouvement de la société civile ou d'un parti politique, ou avoir un projet dans ce sens. La cérémonie de clôture de la 3ème promotion se tiendra le 08 juillet 2024 au Sofitel Hôtel Ivoire. Les auditeurs qui auront suivi et validé la formation recevront alors leurs parchemins, marquant ainsi le début de leur engagement dans la vie politique et sociale de leur pays. Quel est l'avenir de la gouvernance politique en Afrique?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Côte d'Ivoire: L'Exercice Flintlock 2024 Contre Le Terrorisme Débute dans Société le 15 mai à 17:17
L'exercice militaire Flintlock 2024 a officiellement démarré en Côte d'Ivoire le 13 mai dernier, en présence de Son Excellence Madame Jessica Ba Davis, ambassadrice des États-Unis en Côte d'Ivoire. Cette édition de l'exercice Flintlock réunit plus de 1300 militaires venus de 29 pays, pour une formation et un entraînement intensif dans la lutte contre le terrorisme.

Une opportunité pour faire face aux défis de sécurité communs


Selon Jessica Ba Davis, l'exercice Flintlock est plus qu'un simple exercice militaire, c'est une plateforme d'intégration régionale et de coopération internationale qui permet aux pays africains de faire face aux défis de sécurité communs sur le continent. "Cet exercice militaire donne l'opportunité de faire face aux défis de sécurité communs sur ce continent divers et vibrant et de renforcer la résilience pour combattre avec fermeté les menaces transnationales contre notre communauté mondiale", a-t-elle déclaré.

Les États-Unis sont engagés dans la formation et le perfectionnement professionnel des forces de sécurité, ainsi que dans le système judiciaire et les institutions vitales pour prévenir les conflits et promouvoir la paix. "Nous sommes engagés dans la formation et le perfectionnement professionnel des forces de sécurité, ainsi que dans le système judiciaire et les institutions vitales pour prévenir les conflits et promouvoir la paix. La sécurité et le bien-être de nos partenaires Africains sont, par essence, liés à la sécurité mondiale", a ajouté Jessica Ba Davis.


https://www.youtube.com/watch?v=cvtHC6RDNv8

Un exercice multinational d'opérations spéciales


Fintlock est un exercice multinational d'opérations spéciales organisé et financé par le Commandement des opérations spéciales des Etats-Unis pour l'Afrique. Cet événement est vital pour faire avancer les partenariats militaires des États-Unis. Il se tient du lundi 13 mai au vendredi 24 mai 2024 à l'Académie internationale de lutte contre le terrorisme.

La Côte d'Ivoire se présente pour la troisième année consécutive comme un partenaire dans l'organisation de l'exercice Flintlock. "Notamment, pour la troisième année consécutive, la Côte d'Ivoire se présente comme un partenaire dans l'organisation de l'exercice Flintlock. La relation entre les Opérations Spéciales Américaines et celles de la Côte d'Ivoire continue de s'intensifier", s'est-elle félicitée.

Quels sont les moyens concrets pour éradiquer le terrorisme en Afrique?

Image de Société. L'exercice militaire Flintlock 2024 a officiellement démarré en Côte d'Ivoire le 13 mai dernier, en présence de Son Excellence Madame Jessica Ba Davis, ambassadrice des États-Unis en Côte d'Ivoire. Cette édition de l'exercice Flintlock réunit plus de 1300 militaires venus de 29 pays, pour une formation et un entraînement intensif dans la lutte contre le terrorisme. Une opportunité pour faire face aux défis de sécurité communs Selon Jessica Ba Davis, l'exercice Flintlock est plus qu'un simple exercice militaire, c'est une plateforme d'intégration régionale et de coopération internationale qui permet aux pays africains de faire face aux défis de sécurité communs sur le continent. "Cet exercice militaire donne l'opportunité de faire face aux défis de sécurité communs sur ce continent divers et vibrant et de renforcer la résilience pour combattre avec fermeté les menaces transnationales contre notre communauté mondiale", a-t-elle déclaré. Les États-Unis sont engagés dans la formation et le perfectionnement professionnel des forces de sécurité, ainsi que dans le système judiciaire et les institutions vitales pour prévenir les conflits et promouvoir la paix. "Nous sommes engagés dans la formation et le perfectionnement professionnel des forces de sécurité, ainsi que dans le système judiciaire et les institutions vitales pour prévenir les conflits et promouvoir la paix. La sécurité et le bien-être de nos partenaires Africains sont, par essence, liés à la sécurité mondiale", a ajouté Jessica Ba Davis. Un exercice multinational d'opérations spéciales Fintlock est un exercice multinational d'opérations spéciales organisé et financé par le Commandement des opérations spéciales des Etats-Unis pour l'Afrique. Cet événement est vital pour faire avancer les partenariats militaires des États-Unis. Il se tient du lundi 13 mai au vendredi 24 mai 2024 à l'Académie internationale de lutte contre le terrorisme. La Côte d'Ivoire se présente pour la troisième année consécutive comme un partenaire dans l'organisation de l'exercice Flintlock. "Notamment, pour la troisième année consécutive, la Côte d'Ivoire se présente comme un partenaire dans l'organisation de l'exercice Flintlock. La relation entre les Opérations Spéciales Américaines et celles de la Côte d'Ivoire continue de s'intensifier", s'est-elle félicitée. Quels sont les moyens concrets pour éradiquer le terrorisme en Afrique?

Deuxième Image de Société. L'exercice militaire Flintlock 2024 a officiellement démarré en Côte d'Ivoire le 13 mai dernier, en présence de Son Excellence Madame Jessica Ba Davis, ambassadrice des États-Unis en Côte d'Ivoire. Cette édition de l'exercice Flintlock réunit plus de 1300 militaires venus de 29 pays, pour une formation et un entraînement intensif dans la lutte contre le terrorisme. Une opportunité pour faire face aux défis de sécurité communs Selon Jessica Ba Davis, l'exercice Flintlock est plus qu'un simple exercice militaire, c'est une plateforme d'intégration régionale et de coopération internationale qui permet aux pays africains de faire face aux défis de sécurité communs sur le continent. "Cet exercice militaire donne l'opportunité de faire face aux défis de sécurité communs sur ce continent divers et vibrant et de renforcer la résilience pour combattre avec fermeté les menaces transnationales contre notre communauté mondiale", a-t-elle déclaré. Les États-Unis sont engagés dans la formation et le perfectionnement professionnel des forces de sécurité, ainsi que dans le système judiciaire et les institutions vitales pour prévenir les conflits et promouvoir la paix. "Nous sommes engagés dans la formation et le perfectionnement professionnel des forces de sécurité, ainsi que dans le système judiciaire et les institutions vitales pour prévenir les conflits et promouvoir la paix. La sécurité et le bien-être de nos partenaires Africains sont, par essence, liés à la sécurité mondiale", a ajouté Jessica Ba Davis. Un exercice multinational d'opérations spéciales Fintlock est un exercice multinational d'opérations spéciales organisé et financé par le Commandement des opérations spéciales des Etats-Unis pour l'Afrique. Cet événement est vital pour faire avancer les partenariats militaires des États-Unis. Il se tient du lundi 13 mai au vendredi 24 mai 2024 à l'Académie internationale de lutte contre le terrorisme. La Côte d'Ivoire se présente pour la troisième année consécutive comme un partenaire dans l'organisation de l'exercice Flintlock. "Notamment, pour la troisième année consécutive, la Côte d'Ivoire se présente comme un partenaire dans l'organisation de l'exercice Flintlock. La relation entre les Opérations Spéciales Américaines et celles de la Côte d'Ivoire continue de s'intensifier", s'est-elle félicitée. Quels sont les moyens concrets pour éradiquer le terrorisme en Afrique?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Sensibilisation Des Acteurs De La Filière Bois Contre Le Sciage À Façon dans Société le 15 mai à 17:11
La Direction de la police forestière et de l'eau (DPFE) a organisé une séance de sensibilisation contre le sciage à façon, à l'initiative du ministère des Eaux et Forêts. Cette initiative vise à lutter contre la dégradation du patrimoine forestier et à promouvoir l'adoption de bonnes pratiques dans la filière bois.

Le sciage à façon, une pratique préoccupante


Le sciage à façon, qui consiste à scier du bois brut en produits semi-finis sur un site d'abattage, est une pratique qui contribue à la dégradation du patrimoine forestier. Cette pratique illégale est souvent réalisée au moyen d'une tronçonneuse, d'une scie mobile, ou d'un matériel semblable. Les conséquences de cette pratique sont désastreuses pour l'environnement et pour l'économie du pays.

La DPFE a réuni 48 leaders de la filière bois, issus de diverses régions de la Côte d'Ivoire, pour une séance de sensibilisation contre le sciage à façon. Les participants, qui comprenaient des menuisiers, des artisans, des transformateurs de bois, des commerçants et des organisations professionnelles du bois, ont été informés sur les dangers du sciage à façon et sur l'importance de l'adoption de bonnes pratiques.

Les responsables du ministère des Eaux et Forêts ont également présenté les conditionnalités d'exercice de l'activité de transformation de bois dans les menuiseries industrielles au titre de l'année 2024. Les participants ont été informés sur les normes et les réglementations en vigueur dans le secteur.

Un appel à l'action pour les opérateurs


Le colonel Alain N'guessan, directeur de la Police forestière, a sensibilisé les participants sur l'état de dégradation générale du patrimoine forestier et sur la question préoccupante du sciage à illégal. Il a appelé les opérateurs à s'approprier l'idée d'adoption des bonnes pratiques en sensibilisant davantage leurs pairs et en s'organisant pour impulser le projet d'approvisionnement des marchés locaux en bois légal par la création de centrales d'achats dans les grandes régions.

Les acteurs de la filière bois ont pris l'engagement de relayer les informations reçues auprès de leurs membres et de s'engager dans la protection des ressources forestières ivoiriennes. Ils ont également souhaité que le ministère des Eaux et Forêts initie régulièrement ces séances de sensibilisation pour renforcer la lutte contre le sciage à façon.

Quels sont les moyens concrets pour mettre fin au sciage à façon en Côte d'Ivoire?

Image de Société. La Direction de la police forestière et de l'eau (DPFE) a organisé une séance de sensibilisation contre le sciage à façon, à l'initiative du ministère des Eaux et Forêts. Cette initiative vise à lutter contre la dégradation du patrimoine forestier et à promouvoir l'adoption de bonnes pratiques dans la filière bois. Le sciage à façon, une pratique préoccupante Le sciage à façon, qui consiste à scier du bois brut en produits semi-finis sur un site d'abattage, est une pratique qui contribue à la dégradation du patrimoine forestier. Cette pratique illégale est souvent réalisée au moyen d'une tronçonneuse, d'une scie mobile, ou d'un matériel semblable. Les conséquences de cette pratique sont désastreuses pour l'environnement et pour l'économie du pays. La DPFE a réuni 48 leaders de la filière bois, issus de diverses régions de la Côte d'Ivoire, pour une séance de sensibilisation contre le sciage à façon. Les participants, qui comprenaient des menuisiers, des artisans, des transformateurs de bois, des commerçants et des organisations professionnelles du bois, ont été informés sur les dangers du sciage à façon et sur l'importance de l'adoption de bonnes pratiques. Les responsables du ministère des Eaux et Forêts ont également présenté les conditionnalités d'exercice de l'activité de transformation de bois dans les menuiseries industrielles au titre de l'année 2024. Les participants ont été informés sur les normes et les réglementations en vigueur dans le secteur. Un appel à l'action pour les opérateurs Le colonel Alain N'guessan, directeur de la Police forestière, a sensibilisé les participants sur l'état de dégradation générale du patrimoine forestier et sur la question préoccupante du sciage à illégal. Il a appelé les opérateurs à s'approprier l'idée d'adoption des bonnes pratiques en sensibilisant davantage leurs pairs et en s'organisant pour impulser le projet d'approvisionnement des marchés locaux en bois légal par la création de centrales d'achats dans les grandes régions. Les acteurs de la filière bois ont pris l'engagement de relayer les informations reçues auprès de leurs membres et de s'engager dans la protection des ressources forestières ivoiriennes. Ils ont également souhaité que le ministère des Eaux et Forêts initie régulièrement ces séances de sensibilisation pour renforcer la lutte contre le sciage à façon. Quels sont les moyens concrets pour mettre fin au sciage à façon en Côte d'Ivoire?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit FEMUA 16: Dominique Ouattara, Donne Le Coup d'Envoi De La 16Ème Édition dans Musique/Radio le 15 mai à 17:02
La 16ème édition du Festival des Musiques Urbaines d'Anoumabo (FEMUA) a officiellement démarré ce mardi 14 mai dans le village Atchan d'Anoumabo, dans la commune de Marcory. La Première Dame de Côte d'Ivoire, Dominique Ouattara, marraine institutionnelle de ce grand événement, a donné le coup d'envoi de cette édition qui se déroulera jusqu'au 19 mai.

Un festival pour la santé mentale des jeunes


Cette année, le FEMUA aborde la délicate question de la santé mentale des jeunes. Une thématique importante qui touche au bien-être et à l'épanouissement de la jeunesse. La Première Dame de Côte d'Ivoire a salué l'initiative de la Fondation Magic System qui permettra de mettre en lumière ce problème encore méconnu qui sévit dans les sociétés africaines. "C'est également l'occasion d'y apporter une réponse adaptée, afin de venir en aide aux jeunes filles et garçons qui souffrent en silence", a-t-elle déclaré.

La cérémonie d'ouverture a vu la présence de plusieurs personnalités traditionnelles, politiques, gouvernementales et artistiques. Les Ministres bissau-guinéens de la Culture, de la Jeunesse et des Sports, Augusto Gomez, et de la Communication sociale, Maria Conceiçao Evora, représentant de Son Excellence Monsieur Umaro Sissoco Embalo, Président de la République de Guinée Bissau, étaient également présents.

La Première Dame de Côte d'Ivoire a offert des dons en nature et en espèces d'une valeur de 18 millions F CFA à la population d'Anoumabo. Elle a offert 500 chaises VIP, une télévision de 75 pouces, 4 splits, 2 ordinateurs pour le nouveau centre culturel, ainsi que 2 bureaux à la chefferie traditionnelle. La valeur de ces dons en nature est estimée à 12 millions F CFA. L'épouse du Chef de l'Etat a également offert la somme de 6 millions F CFA à la population.

La Première Dame intronisée comme fille du village


Dominique Ouattara a été intronisée en tant que fille du village avec désormais comme nom "Achêbié" (femme sage, femme intelligente et femme lumière en langue Atachan). Elle appartient à la famille "Afiédo" et fait partie de la génération Tchagba Djehou, la génération au pouvoir dans le village d'Anoumabo.

Les programmations artistiques du FEMUA 16 commenceront à partir du jeudi 16 mai jusqu'au dimanche 19 mai à l'INJS de Marcory et à Ferkessédougou au Nord de la Côte d'Ivoire. Les festivaliers pourront découvrir des artistes ivoiriens et internationaux, ainsi que des innovations comme le Tradi FEMUA et la participation des artistes venus de la Guinée Bissau, le pays invité d'honneur cette année.

Alors que le FEMUA 16 met en avant la santé mentale des jeunes, une question se pose : quels sont les moyens concrets que les gouvernements et les organisations de la société civile peuvent mettre en place pour soutenir les jeunes qui souffrent de problèmes de santé mentale en Afrique?

Image de Musique/Radio. La 16ème édition du Festival des Musiques Urbaines d'Anoumabo (FEMUA) a officiellement démarré ce mardi 14 mai dans le village Atchan d'Anoumabo, dans la commune de Marcory. La Première Dame de Côte d'Ivoire, Dominique Ouattara, marraine institutionnelle de ce grand événement, a donné le coup d'envoi de cette édition qui se déroulera jusqu'au 19 mai. Un festival pour la santé mentale des jeunes Cette année, le FEMUA aborde la délicate question de la santé mentale des jeunes. Une thématique importante qui touche au bien-être et à l'épanouissement de la jeunesse. La Première Dame de Côte d'Ivoire a salué l'initiative de la Fondation Magic System qui permettra de mettre en lumière ce problème encore méconnu qui sévit dans les sociétés africaines. "C'est également l'occasion d'y apporter une réponse adaptée, afin de venir en aide aux jeunes filles et garçons qui souffrent en silence", a-t-elle déclaré. La cérémonie d'ouverture a vu la présence de plusieurs personnalités traditionnelles, politiques, gouvernementales et artistiques. Les Ministres bissau-guinéens de la Culture, de la Jeunesse et des Sports, Augusto Gomez, et de la Communication sociale, Maria Conceiçao Evora, représentant de Son Excellence Monsieur Umaro Sissoco Embalo, Président de la République de Guinée Bissau, étaient également présents. La Première Dame de Côte d'Ivoire a offert des dons en nature et en espèces d'une valeur de 18 millions F CFA à la population d'Anoumabo. Elle a offert 500 chaises VIP, une télévision de 75 pouces, 4 splits, 2 ordinateurs pour le nouveau centre culturel, ainsi que 2 bureaux à la chefferie traditionnelle. La valeur de ces dons en nature est estimée à 12 millions F CFA. L'épouse du Chef de l'Etat a également offert la somme de 6 millions F CFA à la population. La Première Dame intronisée comme fille du village Dominique Ouattara a été intronisée en tant que fille du village avec désormais comme nom "Achêbié" (femme sage, femme intelligente et femme lumière en langue Atachan). Elle appartient à la famille "Afiédo" et fait partie de la génération Tchagba Djehou, la génération au pouvoir dans le village d'Anoumabo. Les programmations artistiques du FEMUA 16 commenceront à partir du jeudi 16 mai jusqu'au dimanche 19 mai à l'INJS de Marcory et à Ferkessédougou au Nord de la Côte d'Ivoire. Les festivaliers pourront découvrir des artistes ivoiriens et internationaux, ainsi que des innovations comme le Tradi FEMUA et la participation des artistes venus de la Guinée Bissau, le pays invité d'honneur cette année. Alors que le FEMUA 16 met en avant la santé mentale des jeunes, une question se pose : quels sont les moyens concrets que les gouvernements et les organisations de la société civile peuvent mettre en place pour soutenir les jeunes qui souffrent de problèmes de santé mentale en Afrique?

Deuxième Image de Musique/Radio. La 16ème édition du Festival des Musiques Urbaines d'Anoumabo (FEMUA) a officiellement démarré ce mardi 14 mai dans le village Atchan d'Anoumabo, dans la commune de Marcory. La Première Dame de Côte d'Ivoire, Dominique Ouattara, marraine institutionnelle de ce grand événement, a donné le coup d'envoi de cette édition qui se déroulera jusqu'au 19 mai. Un festival pour la santé mentale des jeunes Cette année, le FEMUA aborde la délicate question de la santé mentale des jeunes. Une thématique importante qui touche au bien-être et à l'épanouissement de la jeunesse. La Première Dame de Côte d'Ivoire a salué l'initiative de la Fondation Magic System qui permettra de mettre en lumière ce problème encore méconnu qui sévit dans les sociétés africaines. "C'est également l'occasion d'y apporter une réponse adaptée, afin de venir en aide aux jeunes filles et garçons qui souffrent en silence", a-t-elle déclaré. La cérémonie d'ouverture a vu la présence de plusieurs personnalités traditionnelles, politiques, gouvernementales et artistiques. Les Ministres bissau-guinéens de la Culture, de la Jeunesse et des Sports, Augusto Gomez, et de la Communication sociale, Maria Conceiçao Evora, représentant de Son Excellence Monsieur Umaro Sissoco Embalo, Président de la République de Guinée Bissau, étaient également présents. La Première Dame de Côte d'Ivoire a offert des dons en nature et en espèces d'une valeur de 18 millions F CFA à la population d'Anoumabo. Elle a offert 500 chaises VIP, une télévision de 75 pouces, 4 splits, 2 ordinateurs pour le nouveau centre culturel, ainsi que 2 bureaux à la chefferie traditionnelle. La valeur de ces dons en nature est estimée à 12 millions F CFA. L'épouse du Chef de l'Etat a également offert la somme de 6 millions F CFA à la population. La Première Dame intronisée comme fille du village Dominique Ouattara a été intronisée en tant que fille du village avec désormais comme nom "Achêbié" (femme sage, femme intelligente et femme lumière en langue Atachan). Elle appartient à la famille "Afiédo" et fait partie de la génération Tchagba Djehou, la génération au pouvoir dans le village d'Anoumabo. Les programmations artistiques du FEMUA 16 commenceront à partir du jeudi 16 mai jusqu'au dimanche 19 mai à l'INJS de Marcory et à Ferkessédougou au Nord de la Côte d'Ivoire. Les festivaliers pourront découvrir des artistes ivoiriens et internationaux, ainsi que des innovations comme le Tradi FEMUA et la participation des artistes venus de la Guinée Bissau, le pays invité d'honneur cette année. Alors que le FEMUA 16 met en avant la santé mentale des jeunes, une question se pose : quels sont les moyens concrets que les gouvernements et les organisations de la société civile peuvent mettre en place pour soutenir les jeunes qui souffrent de problèmes de santé mentale en Afrique?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Litige Foncier Entre La Mairie d'Abobo Et l'Église Méthodiste Unie Béthel dans Société le 15 mai à 16:56
Un différend foncier de grande envergure a éclaté entre la mairie d'Abobo et l'Église Méthodiste Unie Béthel, plongeant la communauté locale dans une situation tendue. Alors que les autorités municipales se sont exprimées lors d'une conférence de presse, l'Église Méthodiste Unie Béthel maintient fermement sa revendication de propriété. Ce litige soulève des questions cruciales sur la légitimité des droits fonciers et l'utilisation des terres dans la région.

La mairie d'Abobo dénonce l'occupation illégale des réserves administratives


La mairie d'Abobo, représentée par son maire Kandia Camara, a vivement dénoncé l'occupation illégale des réserves administratives par l'Église Méthodiste Unie Béthel. L'îlot 173 du lotissement approuvé d'Abobo Baoulé 2e extension, qui était destiné à la construction d'un collège public, est particulièrement concerné par cette affaire. Les autorités municipales ont exprimé leur indignation face à cette appropriation illégitime des terres.

Koné Siaka, 2e adjoint au maire, a déclaré lors de la conférence de presse : "Nous ne pouvons pas tolérer une telle violation de nos réserves administratives. Ces terres étaient destinées à des projets d'intérêt public et il est inacceptable qu'elles soient utilisées de manière illégale et non autorisée." La mairie d'Abobo affirme que cette occupation irrégulière a des conséquences néfastes sur le développement de la communauté et qu'elle prendra toutes les mesures nécessaires pour résoudre ce litige.

Face à cette situation préoccupante, la mairie d'Abobo a annoncé son intention d'ouvrir une enquête approfondie afin de faire toute la lumière sur cette affaire. Selon le directeur des services techniques de la municipalité, l'îlot 173 est l'un des deux sites identifiés pour la construction d'un établissement à N'dotré ou à Abobo Baoulé. Cependant, aucune autorisation d'attribution n'a été donnée pour l'utilisation de ces terres. Cette enquête vise à déterminer comment et pourquoi l'Église Méthodiste Unie Béthel a pu s'approprier ces terres sans l'aval des autorités municipales. La mairie d'Abobo est déterminée à faire respecter la légalité et à libérer les réserves administratives illégalement occupées.

De son côté, l'Église Méthodiste Unie Béthel persiste dans sa revendication de propriété du terrain litigieux. Elle affirme avoir acquis légalement ces terres et dispose de documents officiels pour étayer sa position. Selon les représentants de l'église, ces terres ont été acquises il y a plusieurs décennies et ont été utilisées pour des activités religieuses et communautaires depuis lors. L'Église Méthodiste Unie Béthel s'oppose fermement aux accusations de la mairie d'Abobo et maintient que sa présence sur ces terres est tout à fait légitime. Des responsables de l'église ont déclaré : "Nous avons tous les documents nécessaires pour prouver notre droit de propriété sur ces terres. Nous continuerons à défendre nos droits et à protéger nos intérêts légitimes."

Vers une résolution pacifique du litige foncier ?


Alors que le litige foncier entre la mairie d'Abobo et l'Église Méthodiste Unie Béthel s'intensifie, la question de sa résolution pacifique se pose. Les deux parties semblent fermement convaincues de la légitimité de leurs revendications respectives, ce qui rend la situation complexe et délicate.

Les autorités municipales et l'Église Méthodiste Unie Béthel devraient chercher des solutions de compromis et explorer des voies de médiation pour résoudre ce différend foncier. Il est essentiel de préserver l'intérêt public et de trouver un équilibre entre les droits fonciers légitimes de l'église et les besoins de développement de la communauté.

Dans l'intérêt de tous les citoyens d'Abobo, il est crucial que ce litige soit résolu de manière équitable et transparente. Les autorités municipales et l'Église Méthodiste Unie Béthel doivent engager un dialogue constructif afin de parvenir à un accord mutuellement acceptable. La médiation d'un tiers impartial pourrait également contribuer à faciliter la résolution de ce conflit.

En conclusion, le litige foncier entre la mairie d'Abobo et l'Église Méthodiste Unie Béthel soulève des questions cruciales sur la propriété des terres et l'utilisation des ressources foncières dans la région. Alors que les deux parties défendent fermement leurs positions, il est impératif de trouver une solution pacifique qui préserve les intérêts de toutes les parties concernées. La résolution de ce différend aura un impact significatif sur la communauté d'Abobo et servira de référence pour d'autres cas similaires à l'avenir.

Comment les autorités municipales et l'Église Méthodiste Unie Béthel pourraient-elles parvenir à un compromis équitable et pacifique dans ce litige foncier ?*

Image de Société. Un différend foncier de grande envergure a éclaté entre la mairie d'Abobo et l'Église Méthodiste Unie Béthel, plongeant la communauté locale dans une situation tendue. Alors que les autorités municipales se sont exprimées lors d'une conférence de presse, l'Église Méthodiste Unie Béthel maintient fermement sa revendication de propriété. Ce litige soulève des questions cruciales sur la légitimité des droits fonciers et l'utilisation des terres dans la région. La mairie d'Abobo dénonce l'occupation illégale des réserves administratives La mairie d'Abobo, représentée par son maire Kandia Camara, a vivement dénoncé l'occupation illégale des réserves administratives par l'Église Méthodiste Unie Béthel. L'îlot 173 du lotissement approuvé d'Abobo Baoulé 2e extension, qui était destiné à la construction d'un collège public, est particulièrement concerné par cette affaire. Les autorités municipales ont exprimé leur indignation face à cette appropriation illégitime des terres. Koné Siaka, 2e adjoint au maire, a déclaré lors de la conférence de presse : "Nous ne pouvons pas tolérer une telle violation de nos réserves administratives. Ces terres étaient destinées à des projets d'intérêt public et il est inacceptable qu'elles soient utilisées de manière illégale et non autorisée." La mairie d'Abobo affirme que cette occupation irrégulière a des conséquences néfastes sur le développement de la communauté et qu'elle prendra toutes les mesures nécessaires pour résoudre ce litige. Face à cette situation préoccupante, la mairie d'Abobo a annoncé son intention d'ouvrir une enquête approfondie afin de faire toute la lumière sur cette affaire. Selon le directeur des services techniques de la municipalité, l'îlot 173 est l'un des deux sites identifiés pour la construction d'un établissement à N'dotré ou à Abobo Baoulé. Cependant, aucune autorisation d'attribution n'a été donnée pour l'utilisation de ces terres. Cette enquête vise à déterminer comment et pourquoi l'Église Méthodiste Unie Béthel a pu s'approprier ces terres sans l'aval des autorités municipales. La mairie d'Abobo est déterminée à faire respecter la légalité et à libérer les réserves administratives illégalement occupées. De son côté, l'Église Méthodiste Unie Béthel persiste dans sa revendication de propriété du terrain litigieux. Elle affirme avoir acquis légalement ces terres et dispose de documents officiels pour étayer sa position. Selon les représentants de l'église, ces terres ont été acquises il y a plusieurs décennies et ont été utilisées pour des activités religieuses et communautaires depuis lors. L'Église Méthodiste Unie Béthel s'oppose fermement aux accusations de la mairie d'Abobo et maintient que sa présence sur ces terres est tout à fait légitime. Des responsables de l'église ont déclaré : "Nous avons tous les documents nécessaires pour prouver notre droit de propriété sur ces terres. Nous continuerons à défendre nos droits et à protéger nos intérêts légitimes." Vers une résolution pacifique du litige foncier ? Alors que le litige foncier entre la mairie d'Abobo et l'Église Méthodiste Unie Béthel s'intensifie, la question de sa résolution pacifique se pose. Les deux parties semblent fermement convaincues de la légitimité de leurs revendications respectives, ce qui rend la situation complexe et délicate. Les autorités municipales et l'Église Méthodiste Unie Béthel devraient chercher des solutions de compromis et explorer des voies de médiation pour résoudre ce différend foncier. Il est essentiel de préserver l'intérêt public et de trouver un équilibre entre les droits fonciers légitimes de l'église et les besoins de développement de la communauté. Dans l'intérêt de tous les citoyens d'Abobo, il est crucial que ce litige soit résolu de manière équitable et transparente. Les autorités municipales et l'Église Méthodiste Unie Béthel doivent engager un dialogue constructif afin de parvenir à un accord mutuellement acceptable. La médiation d'un tiers impartial pourrait également contribuer à faciliter la résolution de ce conflit. En conclusion, le litige foncier entre la mairie d'Abobo et l'Église Méthodiste Unie Béthel soulève des questions cruciales sur la propriété des terres et l'utilisation des ressources foncières dans la région. Alors que les deux parties défendent fermement leurs positions, il est impératif de trouver une solution pacifique qui préserve les intérêts de toutes les parties concernées. La résolution de ce différend aura un impact significatif sur la communauté d'Abobo et servira de référence pour d'autres cas similaires à l'avenir. Comment les autorités municipales et l'Église Méthodiste Unie Béthel pourraient-elles parvenir à un compromis équitable et pacifique dans ce litige foncier ?*
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Roseline Layo Et Claudy Siar Enflamment Rfi Dans Couleurs Tropicales dans Musique/Radio le 15 mai à 16:49
L'émission Couleurs Tropicales de Claudy Siar sur RFI a connu un moment d'exception hier soir, avec la présence de deux grandes voix féminines de la musique africaine : Roseline LAYO et Dena Mwana. Les deux artistes ont offert un spectacle exceptionnel, qui a enflammé les ondes et ravi les auditeurs.

Roseline LAYO, la reine du zouglou


L'artiste ivoirienne au talent indéniable a charmé l'auditoire avec sa voix puissante et sa musique rythmée, empreinte de zouglou. Elle a notamment interprété son tube "Elotognan", qui a enflammé les ondes et ravi les auditeurs. "Je suis très heureuse d'avoir pu partager ma musique avec les auditeurs de RFI", a déclaré Roseline LAYO. "C'est un honneur de faire partie de cette émission qui célèbre la musique africaine."

La chantre congolaise à la voix suave et émouvante a quant à elle transporté le public dans un univers spirituel et mélodieux. Ses chants gospel ont touché les cœurs et apporté un message d'espoir et de paix. "Je suis venue partager mon message d'amour et de paix avec les auditeurs de RFI", a expliqué Dena Mwana. "Je suis convaincue que la musique peut changer le monde et apporter un peu de lumière dans les ténèbres."

Claudy Siar, le maestro de l'émission


Claudy Siar, le maestro de l'émission, a su mettre en valeur les talents exceptionnels de ses invitées et créer une ambiance chaleureuse et conviviale. Les échanges entre l'animateur et les artistes étaient riches et passionnants, permettant au public de découvrir la personnalité et le parcours de ces femmes remarquables. "Je suis fier de pouvoir mettre en avant les talents de ces deux femmes exceptionnelles", a déclaré Claudy Siar. "C'est un honneur de faire partie de cette émission qui célèbre la musique africaine."

Cette émission a été un véritable succès, et les auditeurs n'ont pas manqué de partager leur enthousiasme sur les réseaux sociaux. Ils ont salué la performance des artistes et remercié Claudy Siar pour ce moment de partage et d'évasion musicale. "Je suis sous le charme de Roseline LAYO et Dena Mwana", a écrit un auditeur sur Twitter. "Merci à Claudy Siar pour cette émission exceptionnelle."

Couleurs Tropicales a une fois de plus prouvé sa place de référence dans le paysage musical africain, en mettant en lumière des artistes talentueux et en offrant aux auditeurs un moment d'exception. "Nous sommes fiers de pouvoir offrir aux auditeurs une programmation de qualité, qui célèbre la musique africaine dans toutes ses formes", a déclaré un responsable de RFI.

Comment peut-on encourager la promotion de la musique africaine et soutenir les artistes talentueux qui la font vivre?

Image de Musique/Radio. L'émission Couleurs Tropicales de Claudy Siar sur RFI a connu un moment d'exception hier soir, avec la présence de deux grandes voix féminines de la musique africaine : Roseline LAYO et Dena Mwana. Les deux artistes ont offert un spectacle exceptionnel, qui a enflammé les ondes et ravi les auditeurs. Roseline LAYO, la reine du zouglou L'artiste ivoirienne au talent indéniable a charmé l'auditoire avec sa voix puissante et sa musique rythmée, empreinte de zouglou. Elle a notamment interprété son tube "Elotognan", qui a enflammé les ondes et ravi les auditeurs. "Je suis très heureuse d'avoir pu partager ma musique avec les auditeurs de RFI", a déclaré Roseline LAYO. "C'est un honneur de faire partie de cette émission qui célèbre la musique africaine." La chantre congolaise à la voix suave et émouvante a quant à elle transporté le public dans un univers spirituel et mélodieux. Ses chants gospel ont touché les cœurs et apporté un message d'espoir et de paix. "Je suis venue partager mon message d'amour et de paix avec les auditeurs de RFI", a expliqué Dena Mwana. "Je suis convaincue que la musique peut changer le monde et apporter un peu de lumière dans les ténèbres." Claudy Siar, le maestro de l'émission Claudy Siar, le maestro de l'émission, a su mettre en valeur les talents exceptionnels de ses invitées et créer une ambiance chaleureuse et conviviale. Les échanges entre l'animateur et les artistes étaient riches et passionnants, permettant au public de découvrir la personnalité et le parcours de ces femmes remarquables. "Je suis fier de pouvoir mettre en avant les talents de ces deux femmes exceptionnelles", a déclaré Claudy Siar. "C'est un honneur de faire partie de cette émission qui célèbre la musique africaine." Cette émission a été un véritable succès, et les auditeurs n'ont pas manqué de partager leur enthousiasme sur les réseaux sociaux. Ils ont salué la performance des artistes et remercié Claudy Siar pour ce moment de partage et d'évasion musicale. "Je suis sous le charme de Roseline LAYO et Dena Mwana", a écrit un auditeur sur Twitter. "Merci à Claudy Siar pour cette émission exceptionnelle." Couleurs Tropicales a une fois de plus prouvé sa place de référence dans le paysage musical africain, en mettant en lumière des artistes talentueux et en offrant aux auditeurs un moment d'exception. "Nous sommes fiers de pouvoir offrir aux auditeurs une programmation de qualité, qui célèbre la musique africaine dans toutes ses formes", a déclaré un responsable de RFI. Comment peut-on encourager la promotion de la musique africaine et soutenir les artistes talentueux qui la font vivre?

Deuxième Image de Musique/Radio. L'émission Couleurs Tropicales de Claudy Siar sur RFI a connu un moment d'exception hier soir, avec la présence de deux grandes voix féminines de la musique africaine : Roseline LAYO et Dena Mwana. Les deux artistes ont offert un spectacle exceptionnel, qui a enflammé les ondes et ravi les auditeurs. Roseline LAYO, la reine du zouglou L'artiste ivoirienne au talent indéniable a charmé l'auditoire avec sa voix puissante et sa musique rythmée, empreinte de zouglou. Elle a notamment interprété son tube "Elotognan", qui a enflammé les ondes et ravi les auditeurs. "Je suis très heureuse d'avoir pu partager ma musique avec les auditeurs de RFI", a déclaré Roseline LAYO. "C'est un honneur de faire partie de cette émission qui célèbre la musique africaine." La chantre congolaise à la voix suave et émouvante a quant à elle transporté le public dans un univers spirituel et mélodieux. Ses chants gospel ont touché les cœurs et apporté un message d'espoir et de paix. "Je suis venue partager mon message d'amour et de paix avec les auditeurs de RFI", a expliqué Dena Mwana. "Je suis convaincue que la musique peut changer le monde et apporter un peu de lumière dans les ténèbres." Claudy Siar, le maestro de l'émission Claudy Siar, le maestro de l'émission, a su mettre en valeur les talents exceptionnels de ses invitées et créer une ambiance chaleureuse et conviviale. Les échanges entre l'animateur et les artistes étaient riches et passionnants, permettant au public de découvrir la personnalité et le parcours de ces femmes remarquables. "Je suis fier de pouvoir mettre en avant les talents de ces deux femmes exceptionnelles", a déclaré Claudy Siar. "C'est un honneur de faire partie de cette émission qui célèbre la musique africaine." Cette émission a été un véritable succès, et les auditeurs n'ont pas manqué de partager leur enthousiasme sur les réseaux sociaux. Ils ont salué la performance des artistes et remercié Claudy Siar pour ce moment de partage et d'évasion musicale. "Je suis sous le charme de Roseline LAYO et Dena Mwana", a écrit un auditeur sur Twitter. "Merci à Claudy Siar pour cette émission exceptionnelle." Couleurs Tropicales a une fois de plus prouvé sa place de référence dans le paysage musical africain, en mettant en lumière des artistes talentueux et en offrant aux auditeurs un moment d'exception. "Nous sommes fiers de pouvoir offrir aux auditeurs une programmation de qualité, qui célèbre la musique africaine dans toutes ses formes", a déclaré un responsable de RFI. Comment peut-on encourager la promotion de la musique africaine et soutenir les artistes talentueux qui la font vivre?

Troisième Image de Musique/Radio. L'émission Couleurs Tropicales de Claudy Siar sur RFI a connu un moment d'exception hier soir, avec la présence de deux grandes voix féminines de la musique africaine : Roseline LAYO et Dena Mwana. Les deux artistes ont offert un spectacle exceptionnel, qui a enflammé les ondes et ravi les auditeurs. Roseline LAYO, la reine du zouglou L'artiste ivoirienne au talent indéniable a charmé l'auditoire avec sa voix puissante et sa musique rythmée, empreinte de zouglou. Elle a notamment interprété son tube "Elotognan", qui a enflammé les ondes et ravi les auditeurs. "Je suis très heureuse d'avoir pu partager ma musique avec les auditeurs de RFI", a déclaré Roseline LAYO. "C'est un honneur de faire partie de cette émission qui célèbre la musique africaine." La chantre congolaise à la voix suave et émouvante a quant à elle transporté le public dans un univers spirituel et mélodieux. Ses chants gospel ont touché les cœurs et apporté un message d'espoir et de paix. "Je suis venue partager mon message d'amour et de paix avec les auditeurs de RFI", a expliqué Dena Mwana. "Je suis convaincue que la musique peut changer le monde et apporter un peu de lumière dans les ténèbres." Claudy Siar, le maestro de l'émission Claudy Siar, le maestro de l'émission, a su mettre en valeur les talents exceptionnels de ses invitées et créer une ambiance chaleureuse et conviviale. Les échanges entre l'animateur et les artistes étaient riches et passionnants, permettant au public de découvrir la personnalité et le parcours de ces femmes remarquables. "Je suis fier de pouvoir mettre en avant les talents de ces deux femmes exceptionnelles", a déclaré Claudy Siar. "C'est un honneur de faire partie de cette émission qui célèbre la musique africaine." Cette émission a été un véritable succès, et les auditeurs n'ont pas manqué de partager leur enthousiasme sur les réseaux sociaux. Ils ont salué la performance des artistes et remercié Claudy Siar pour ce moment de partage et d'évasion musicale. "Je suis sous le charme de Roseline LAYO et Dena Mwana", a écrit un auditeur sur Twitter. "Merci à Claudy Siar pour cette émission exceptionnelle." Couleurs Tropicales a une fois de plus prouvé sa place de référence dans le paysage musical africain, en mettant en lumière des artistes talentueux et en offrant aux auditeurs un moment d'exception. "Nous sommes fiers de pouvoir offrir aux auditeurs une programmation de qualité, qui célèbre la musique africaine dans toutes ses formes", a déclaré un responsable de RFI. Comment peut-on encourager la promotion de la musique africaine et soutenir les artistes talentueux qui la font vivre?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Jacqueville: Des Villageois Contestent Légitimité Nouveau Chef d'Akrou dans Société le 15 mai à 16:42
La ville de Jacqueville, située à environ 60 km à l'ouest d'Abidjan, attire de plus en plus d'investisseurs et de promoteurs qui rêvent d'avoir leur petit lopin de terre. Cependant, dans ce département de la Côte d'Ivoire, entre océan et lagune, des conflits perturbent le quotidien paisible des communautés et leur écho se propagent, de la préfecture, au Ministère de la Construction et de l'Urbanisme, en passant par les juridictions judiciaires. A-t-on appris de la gestion des conflits fonciers et des querelles de pouvoir qui secouent la région?

La succession du chef du village d'Akrou


Le 17 avril 2024, Tékry Akadjé Gervais a revêtu la coiffe et les apparats de Chef d'Akrou, succédant ainsi à Yacé Nangban Ignace, décédé le 03 mars 2024. Si cette désignation a été soutenue notamment par Ahui Bogui Jacques, chef de la famille Tchava, l'une des grandes familles d'Akrou, et par Tékri Herman Loïc, Président de la jeunesse du village, cette dernière souffre, tout de même, de contestations.

Des faits et actes entachant la probité de Tékry Akadjé Gervais, le nouveau chef du village, ont été mis en avant par les opposants. Selon les documents que nous avons pu consulter, tout a commencé en novembre 1996, lorsque Yacé Nangban Ignace a été nommé à la tête du village d'Akrou. Tékry Akadjé Gervais, alors notable du village, a organisé une réunion en mars 2013 pour se faire désigner Président du comité de gestion de la bourgade. Une désignation qu'il a obtenue, le 22 août 2013, avec l'aval du Préfet en charge du dossier.

Finalement, le 31 décembre 2016, le Sous-Préfet de Jacqueville a mis en place, par décision, le Comité Villageois de Gestion Foncière et Rurale du Village d'Akrou, présidé, pour une durée de 03 ans, par N'Guessan Narcisse. Cependant, six mois plus tard, dans une note datée du 15 juin 2017, le Préfet du département de Jacqueville a informé sa hiérarchie « de la situation de bicéphalisme découlant de la mise en place du comité de gestion entériné par son prédécesseur. »

Les faits d'intimidation et de confiscation de biens


Dans cette note datée du 15 juin 2017, « des faits d'intimidation ou de séquestration » perpétrés par ledit comité de gestion, ainsi que « des actes de confiscation des biens ou du patrimoine du village » d'Akrou ont été communiqués. Le 21 juin 2017, suite à sa saisine par Tékry Akadjé Gervais, la Section du Tribunal de Dabou a donné à ce dernier acte du pouvoir pour signer les attestations d'attribution de terrains concernant les plans de lotissement d'Akrou.

Cependant, un an et demi plus tard, le Ministre en charge de la Construction et de l'Urbanisme a annulé, le 18 décembre 2018, les 04 derniers lotissements précités. Et le 12 mars 2019, la Cour d'Appel d'Abidjan, à son tour, a déclaré caduque l'ordonnance du juge des référés en date du 21 juin 2017.

Toutefois, l'affaire ne s'est pas arrêtée là! Tékry Akadjé Gervais a saisi encore une fois le Tribunal de Dabou, le 09 mai 2019, mais a été débouté de ses prétentions par une ordonnance de référé du Président du Tribunal en question, le 21 juin 2019. Et ce n'est pas tout! Dans la foulée, le 16 août 2019, le Directeur des affaires juridiques du Ministère de la Construction, du Logement et de l'Urbanisme, se fondant sur un arrêté préfectoral du 11 novembre 2016, a rappelé que Yacé Nangban Ignace, Chef du Village d'Akrou au moment de ces procédures, est le seul habilité à procéder « à la délivrance d'attestations villageoises portant sur des lots issus de lotissements approuvés du village d'Akrou. »

Comment la Côte d'Ivoire peut-elle garantir la paix et la stabilité dans la Région des Grands Ponts, face à ces conflits fonciers et querelles de pouvoir qui secouent la région?

Image de Société. La ville de Jacqueville, située à environ 60 km à l'ouest d'Abidjan, attire de plus en plus d'investisseurs et de promoteurs qui rêvent d'avoir leur petit lopin de terre. Cependant, dans ce département de la Côte d'Ivoire, entre océan et lagune, des conflits perturbent le quotidien paisible des communautés et leur écho se propagent, de la préfecture, au Ministère de la Construction et de l'Urbanisme, en passant par les juridictions judiciaires. A-t-on appris de la gestion des conflits fonciers et des querelles de pouvoir qui secouent la région? La succession du chef du village d'Akrou Le 17 avril 2024, Tékry Akadjé Gervais a revêtu la coiffe et les apparats de Chef d'Akrou, succédant ainsi à Yacé Nangban Ignace, décédé le 03 mars 2024. Si cette désignation a été soutenue notamment par Ahui Bogui Jacques, chef de la famille Tchava, l'une des grandes familles d'Akrou, et par Tékri Herman Loïc, Président de la jeunesse du village, cette dernière souffre, tout de même, de contestations. Des faits et actes entachant la probité de Tékry Akadjé Gervais, le nouveau chef du village, ont été mis en avant par les opposants. Selon les documents que nous avons pu consulter, tout a commencé en novembre 1996, lorsque Yacé Nangban Ignace a été nommé à la tête du village d'Akrou. Tékry Akadjé Gervais, alors notable du village, a organisé une réunion en mars 2013 pour se faire désigner Président du comité de gestion de la bourgade. Une désignation qu'il a obtenue, le 22 août 2013, avec l'aval du Préfet en charge du dossier. Finalement, le 31 décembre 2016, le Sous-Préfet de Jacqueville a mis en place, par décision, le Comité Villageois de Gestion Foncière et Rurale du Village d'Akrou, présidé, pour une durée de 03 ans, par N'Guessan Narcisse. Cependant, six mois plus tard, dans une note datée du 15 juin 2017, le Préfet du département de Jacqueville a informé sa hiérarchie « de la situation de bicéphalisme découlant de la mise en place du comité de gestion entériné par son prédécesseur. » Les faits d'intimidation et de confiscation de biens Dans cette note datée du 15 juin 2017, « des faits d'intimidation ou de séquestration » perpétrés par ledit comité de gestion, ainsi que « des actes de confiscation des biens ou du patrimoine du village » d'Akrou ont été communiqués. Le 21 juin 2017, suite à sa saisine par Tékry Akadjé Gervais, la Section du Tribunal de Dabou a donné à ce dernier acte du pouvoir pour signer les attestations d'attribution de terrains concernant les plans de lotissement d'Akrou. Cependant, un an et demi plus tard, le Ministre en charge de la Construction et de l'Urbanisme a annulé, le 18 décembre 2018, les 04 derniers lotissements précités. Et le 12 mars 2019, la Cour d'Appel d'Abidjan, à son tour, a déclaré caduque l'ordonnance du juge des référés en date du 21 juin 2017. Toutefois, l'affaire ne s'est pas arrêtée là! Tékry Akadjé Gervais a saisi encore une fois le Tribunal de Dabou, le 09 mai 2019, mais a été débouté de ses prétentions par une ordonnance de référé du Président du Tribunal en question, le 21 juin 2019. Et ce n'est pas tout! Dans la foulée, le 16 août 2019, le Directeur des affaires juridiques du Ministère de la Construction, du Logement et de l'Urbanisme, se fondant sur un arrêté préfectoral du 11 novembre 2016, a rappelé que Yacé Nangban Ignace, Chef du Village d'Akrou au moment de ces procédures, est le seul habilité à procéder « à la délivrance d'attestations villageoises portant sur des lots issus de lotissements approuvés du village d'Akrou. » Comment la Côte d'Ivoire peut-elle garantir la paix et la stabilité dans la Région des Grands Ponts, face à ces conflits fonciers et querelles de pouvoir qui secouent la région?
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Littérature: 'L'Ivraie' De Anaky, Un Roman Qui Dénonce Les Maux De La Société dans Littérature le 15 mai à 16:31
Dans son dernier ouvrage, "L'Ivraie", Julien Anaki, écrivain et journaliste expérimenté, lance un cri d'alarme contre les dérives de la société. Ce livre, qui défie les catégorisations littéraires, est un réquisitoire contre les abus de pouvoir, les trahisons de confiance et les méfaits qui perturbent l'harmonie de la société.

Un livre à charge


Dans "L'Ivraie", Julien Anaki met en scène un narrateur de 89 ans qui, à la fin de sa vie, décide de révéler les secrets qu'il a portés pendant longtemps. Avec la liberté que lui donne son grand âge, il dénonce sans gants les chefs religieux, les politiques et toutes les personnes qui détiennent une parcelle du pouvoir mais trahissent leurs missions et la confiance placée en eux.

Selon Julien Anaki, la société est composée de deux faces : la lumière et les ténèbres. "Dans l'administration publique autant que dans les organisations privées, il y a du bon et du mauvais. A tous les postes, on trouvera des gentils et, juste en face ou à côté, des méchants", écrit-il dans son livre. Cette dualité est un postulat naturel de la vie, et c'est cette réalité que l'auteur met en avant dans son ouvrage.

Julien Anaki, qui a une longue pratique de l'écriture journalistique, a adopté un style fluide et léger pour raconter l'histoire de son narrateur. Ce style, qui rappelle les chroniques journalistiques, rend la fiction très réaliste et donne l'impression que l'auteur a puisé son inspiration dans les faits de société.

Une dénonciation des postures condescendantes


Pour Julien Anaki, "L'Ivraie" est une dénonciation des postures condescendantes observées dans la vie. "Je ne me veux nullement un censeur, mais plutôt un objecteur de conscience", explique-t-il. Son livre est un hymne à la justice et à l'équité, une diatribe contre les déviations professionnelles.

Julien Anaki est un auteur engagé qui, à travers ses écrits, cherche à dénoncer les tares de la société. Ses précédents ouvrages, tels que "Chroniques ivoiriennes : ausculter la Côte d'Ivoire", "Délice de renégat", "Entre Hommes" et "Sodome", ont déjà montré sa plume trempée dans l'ancre de la dénonciation subtile mais tranchante des travers de la société.

Quel sera l'impact de "L'Ivraie" sur la société ivoirienne et africaine en général? Pourra-t-elle contribuer à une prise de conscience et à un changement de comportement chez les dirigeants et les responsables qui trahissent la confiance placée en eux? Seul l'avenir nous le dira.

Image de Littérature. Dans son dernier ouvrage, "L'Ivraie", Julien Anaki, écrivain et journaliste expérimenté, lance un cri d'alarme contre les dérives de la société. Ce livre, qui défie les catégorisations littéraires, est un réquisitoire contre les abus de pouvoir, les trahisons de confiance et les méfaits qui perturbent l'harmonie de la société. Un livre à charge Dans "L'Ivraie", Julien Anaki met en scène un narrateur de 89 ans qui, à la fin de sa vie, décide de révéler les secrets qu'il a portés pendant longtemps. Avec la liberté que lui donne son grand âge, il dénonce sans gants les chefs religieux, les politiques et toutes les personnes qui détiennent une parcelle du pouvoir mais trahissent leurs missions et la confiance placée en eux. Selon Julien Anaki, la société est composée de deux faces : la lumière et les ténèbres. "Dans l'administration publique autant que dans les organisations privées, il y a du bon et du mauvais. A tous les postes, on trouvera des gentils et, juste en face ou à côté, des méchants", écrit-il dans son livre. Cette dualité est un postulat naturel de la vie, et c'est cette réalité que l'auteur met en avant dans son ouvrage. Julien Anaki, qui a une longue pratique de l'écriture journalistique, a adopté un style fluide et léger pour raconter l'histoire de son narrateur. Ce style, qui rappelle les chroniques journalistiques, rend la fiction très réaliste et donne l'impression que l'auteur a puisé son inspiration dans les faits de société. Une dénonciation des postures condescendantes Pour Julien Anaki, "L'Ivraie" est une dénonciation des postures condescendantes observées dans la vie. "Je ne me veux nullement un censeur, mais plutôt un objecteur de conscience", explique-t-il. Son livre est un hymne à la justice et à l'équité, une diatribe contre les déviations professionnelles. Julien Anaki est un auteur engagé qui, à travers ses écrits, cherche à dénoncer les tares de la société. Ses précédents ouvrages, tels que "Chroniques ivoiriennes : ausculter la Côte d'Ivoire", "Délice de renégat", "Entre Hommes" et "Sodome", ont déjà montré sa plume trempée dans l'ancre de la dénonciation subtile mais tranchante des travers de la société. Quel sera l'impact de "L'Ivraie" sur la société ivoirienne et africaine en général? Pourra-t-elle contribuer à une prise de conscience et à un changement de comportement chez les dirigeants et les responsables qui trahissent la confiance placée en eux? Seul l'avenir nous le dira.
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit Alphabétisation Des Chauffeurs: 200 Acteurs De La Route Reprennent Les Cours dans Société le 15 mai à 16:21
Dans un pays où le transport terrestre est un secteur vital pour l'économie, la formation et l'alphabétisation des acteurs du secteur sont des enjeux majeurs. C'est pourquoi la Coordination nationale des gares routières de Côte d'Ivoire (Cngr-CI) a lancé une initiative inédite : offrir des cours d'alphabétisation, de formation et de recyclage à 200 acteurs du secteur, gratuitement. Cette démarche novatrice vise à améliorer les compétences des chauffeurs et à renforcer la sécurité routière.

Un besoin criant d'alphabétisation


Selon les données du ministère des Transports, plus de 70% des chauffeurs de la Côte d'Ivoire sont analphabètes. Cette situation pose un problème majeur pour la sécurité routière et la gestion des transports terrestres. En effet, comment peut-on attendre d'un chauffeur qu'il comprenne les règles de circulation, les panneaux de signalisation et les instructions de sécurité si lui-même ne sait pas lire et écrire?

C'est dans ce contexte que la Cngr-CI, présidée par Touré Adama, a décidé de lancer cette initiative d'alphabétisation et de formation. "Nous avons très vite compris l'utilité de savoir lire et écrire, nous nous sommes très tôt mis à la tâche depuis 2011. Nous sommes donc équipés et le problème ne nous est pas étrange. Du coup, nous sommes à l'aise aujourd'hui de mettre gracieusement notre centre de formation à la disposition de ceux qui veulent apprendre à lire et à écrire", a déclaré Touré Adama lors du lancement de l'initiative.

Les 200 acteurs du secteur des transports terrestres qui ont été sélectionnés pour cette formation pilote vont bénéficier de cours intensifs pendant six mois, tous les jours ouvrables. Les cours sont dispensés gratuitement au centre de formation de la Cngr-CI à Adjamé. Les participants viennent de tout le pays, y compris d'Anyama, pour bénéficier de cette opportunité unique.

Le Projet de la mobilité urbaine d'Abidjan (Pmua)


Cette initiative s'inscrit dans le cadre du Projet de la mobilité urbaine d'Abidjan (Pmua), financé par la Banque Mondiale. Le Pmua vise à améliorer la mobilité urbaine à Abidjan en modernisant les transports terrestres et en renforçant la sécurité routière. Dans ce contexte, la formation et l'alphabétisation des chauffeurs sont des éléments clés pour atteindre ces objectifs.

Les résultats attendus de cette initiative sont nombreux. D'abord, améliorer les compétences des chauffeurs pour renforcer la sécurité routière. Ensuite, moderniser les transports terrestres en Côte d'Ivoire pour répondre aux besoins croissants de la population. Enfin, contribuer à l'émergence d'un secteur des transports terrestres plus compétitif et plus efficace.

Quels seront les résultats concrets de cette initiative d'alphabétisation et de formation pour les chauffeurs de la Côte d'Ivoire? Pourra-t-elle contribuer à réduire les accidents de la route et à améliorer la sécurité routière dans le pays? Seul l'avenir nous le dira.

Image de Société. Dans un pays où le transport terrestre est un secteur vital pour l'économie, la formation et l'alphabétisation des acteurs du secteur sont des enjeux majeurs. C'est pourquoi la Coordination nationale des gares routières de Côte d'Ivoire (Cngr-CI) a lancé une initiative inédite : offrir des cours d'alphabétisation, de formation et de recyclage à 200 acteurs du secteur, gratuitement. Cette démarche novatrice vise à améliorer les compétences des chauffeurs et à renforcer la sécurité routière. Un besoin criant d'alphabétisation Selon les données du ministère des Transports, plus de 70% des chauffeurs de la Côte d'Ivoire sont analphabètes. Cette situation pose un problème majeur pour la sécurité routière et la gestion des transports terrestres. En effet, comment peut-on attendre d'un chauffeur qu'il comprenne les règles de circulation, les panneaux de signalisation et les instructions de sécurité si lui-même ne sait pas lire et écrire? C'est dans ce contexte que la Cngr-CI, présidée par Touré Adama, a décidé de lancer cette initiative d'alphabétisation et de formation. "Nous avons très vite compris l'utilité de savoir lire et écrire, nous nous sommes très tôt mis à la tâche depuis 2011. Nous sommes donc équipés et le problème ne nous est pas étrange. Du coup, nous sommes à l'aise aujourd'hui de mettre gracieusement notre centre de formation à la disposition de ceux qui veulent apprendre à lire et à écrire", a déclaré Touré Adama lors du lancement de l'initiative. Les 200 acteurs du secteur des transports terrestres qui ont été sélectionnés pour cette formation pilote vont bénéficier de cours intensifs pendant six mois, tous les jours ouvrables. Les cours sont dispensés gratuitement au centre de formation de la Cngr-CI à Adjamé. Les participants viennent de tout le pays, y compris d'Anyama, pour bénéficier de cette opportunité unique. Le Projet de la mobilité urbaine d'Abidjan (Pmua) Cette initiative s'inscrit dans le cadre du Projet de la mobilité urbaine d'Abidjan (Pmua), financé par la Banque Mondiale. Le Pmua vise à améliorer la mobilité urbaine à Abidjan en modernisant les transports terrestres et en renforçant la sécurité routière. Dans ce contexte, la formation et l'alphabétisation des chauffeurs sont des éléments clés pour atteindre ces objectifs. Les résultats attendus de cette initiative sont nombreux. D'abord, améliorer les compétences des chauffeurs pour renforcer la sécurité routière. Ensuite, moderniser les transports terrestres en Côte d'Ivoire pour répondre aux besoins croissants de la population. Enfin, contribuer à l'émergence d'un secteur des transports terrestres plus compétitif et plus efficace. Quels seront les résultats concrets de cette initiative d'alphabétisation et de formation pour les chauffeurs de la Côte d'Ivoire? Pourra-t-elle contribuer à réduire les accidents de la route et à améliorer la sécurité routière dans le pays? Seul l'avenir nous le dira.
RomeoIvoire RomeoIvoire a écrit École De La 2E Chance: Lancement Du Recrutement Et De La Formation De 25 Jeunes dans Carrière le 15 mai à 16:17
Dans un contexte où le chômage des jeunes est un défi majeur pour de nombreux pays, le ministère de l'Enseignement technique, de la Formation professionnelle et de l'Apprentissage, en partenariat avec le groupe Daikin, lance un programme de formation innovant pour les jeunes désireux de se lancer dans le métier d'installateur en froid-climatisation. Cette initiative, qui s'inscrit dans le cadre de l'Ecole de la 2e chance (E2c), vise à offrir une nouvelle opportunité aux jeunes pour relancer leur carrière et acquérir des compétences en demande sur le marché du travail.

Un partenariat stratégique


Selon Moustapha Sangaré, directeur de cabinet du ministère de l'Enseignement technique, de la Formation professionnelle et de l'Apprentissage, "ce partenariat avec le groupe Daikin est une opportunité pour les jeunes de bénéficier d'une formation de qualité et de se lancer dans un métier en plein essor". Le groupe Daikin, leader mondial dans la production de systèmes de climatisation, apporte son expertise et son soutien à ce programme de formation pour aider les jeunes à acquérir les compétences nécessaires pour répondre aux besoins du marché.

La formation, qui durera trois mois, se déroulera au lycée technique d'Abidjan, ainsi que dans les entreprises partenaires du ministère. Les candidats sélectionnés bénéficieront d'une formation pratique et théorique pour acquérir les compétences nécessaires pour devenir des installateurs en froid-climatisation qualifiés. Pour être éligible, il faut être âgé de 16 à 40 ans et avoir un niveau scolaire minimum de 3e.

Inscription et sélection


Les candidats intéressés peuvent s'inscrire en ligne du 14 au 20 mai 2024 sur les sites web www.formation-professionnelle.gouv.ci et www.daip.ci. Le dépôt des dossiers physiques se fera exclusivement au Dmdc au sein du lycée technique d'Abidjan. La sélection des candidats comprendra trois phases : analyse des dossiers pour vérifier leur complétude et établir la liste des admissibles ; un test de sélection comprenant des épreuves écrites et orales, et l'examen médical pour confirmer l'aptitude physique des candidats. Il est important de noter que l'inscription et la formation sont gratuites, ce qui rend ce programme accessible à un large public. Selon Moustapha Sangaré, "cette initiative vise à offrir une nouvelle chance aux jeunes pour relancer leur carrière et acquérir des compétences en demande sur le marché du travail, sans avoir à supporter les coûts élevés de la formation".

Ce programme de formation est une opportunité pour les jeunes de se lancer dans un métier en plein essor et de répondre aux besoins du marché du travail. Les installateurs en froid-climatisation sont en effet très demandés dans de nombreux secteurs, notamment dans la construction, l'industrie et les services. Les jeunes qui bénéficieront de cette formation auront ainsi une chance de trouver un emploi rapidement et de se lancer dans une carrière prometteuse.

Et maintenant, quels sont les défis à relever pour assurer la réussite de ce programme de formation?**

Image de Carrière. Dans un contexte où le chômage des jeunes est un défi majeur pour de nombreux pays, le ministère de l'Enseignement technique, de la Formation professionnelle et de l'Apprentissage, en partenariat avec le groupe Daikin, lance un programme de formation innovant pour les jeunes désireux de se lancer dans le métier d'installateur en froid-climatisation. Cette initiative, qui s'inscrit dans le cadre de l'Ecole de la 2e chance (E2c), vise à offrir une nouvelle opportunité aux jeunes pour relancer leur carrière et acquérir des compétences en demande sur le marché du travail. Un partenariat stratégique Selon Moustapha Sangaré, directeur de cabinet du ministère de l'Enseignement technique, de la Formation professionnelle et de l'Apprentissage, "ce partenariat avec le groupe Daikin est une opportunité pour les jeunes de bénéficier d'une formation de qualité et de se lancer dans un métier en plein essor". Le groupe Daikin, leader mondial dans la production de systèmes de climatisation, apporte son expertise et son soutien à ce programme de formation pour aider les jeunes à acquérir les compétences nécessaires pour répondre aux besoins du marché. La formation, qui durera trois mois, se déroulera au lycée technique d'Abidjan, ainsi que dans les entreprises partenaires du ministère. Les candidats sélectionnés bénéficieront d'une formation pratique et théorique pour acquérir les compétences nécessaires pour devenir des installateurs en froid-climatisation qualifiés. Pour être éligible, il faut être âgé de 16 à 40 ans et avoir un niveau scolaire minimum de 3e. Inscription et sélection Les candidats intéressés peuvent s'inscrire en ligne du 14 au 20 mai 2024 sur les sites web www.formation-professionnelle.gouv.ci et www.daip.ci. Le dépôt des dossiers physiques se fera exclusivement au Dmdc au sein du lycée technique d'Abidjan. La sélection des candidats comprendra trois phases : analyse des dossiers pour vérifier leur complétude et établir la liste des admissibles ; un test de sélection comprenant des épreuves écrites et orales, et l'examen médical pour confirmer l'aptitude physique des candidats. Il est important de noter que l'inscription et la formation sont gratuites, ce qui rend ce programme accessible à un large public. Selon Moustapha Sangaré, "cette initiative vise à offrir une nouvelle chance aux jeunes pour relancer leur carrière et acquérir des compétences en demande sur le marché du travail, sans avoir à supporter les coûts élevés de la formation". Ce programme de formation est une opportunité pour les jeunes de se lancer dans un métier en plein essor et de répondre aux besoins du marché du travail. Les installateurs en froid-climatisation sont en effet très demandés dans de nombreux secteurs, notamment dans la construction, l'industrie et les services. Les jeunes qui bénéficieront de cette formation auront ainsi une chance de trouver un emploi rapidement et de se lancer dans une carrière prometteuse. Et maintenant, quels sont les défis à relever pour assurer la réussite de ce programme de formation?**

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